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Massouana – Chapitre 7

Massouana - Chapitre 7



Charles faillit déchirer une page du mode d’emploi et perdit ses lunettes quand ses yeux tombèrent sur la magnifique danseuse étoile, toute nue et pré ficelée, qu’Elisa poussait devant elle.

— Oh, la belle martyre en puissance que voilà! Et que dire de ce tutu affriolant? A voir l’état de sa chatte, notre chérubin est drôlement en manque, ce soir.

— Ben oui! Je suis frustrée et alors? Le monde entier peut le savoir. Est-ce de ma faute si cela bouillonne sans arrêt dans mon ventre? Et vous ne faites rien non plus pour que cela s’arrange. Oh, Charles, non! C’est plus du jeu. Mon Titi est trop gros. Hiii! C’est trop, c’est trooop!

Il faisait rouler doucement, tout doucement, mon clitoris entre son pouce et son index.

— Laisse-moi faire! Je vais te mettre en condition avant de combler les désirs masochistes que tu m’as avoué un soir devant la télé.

A force de questions perfides, posées pendant mes moments d’égarement, mon beau-père connaissait évidemment tout de mes pulsions. Ce que j’ignorais, c’est qu’il confiait mes délires sexuels à la moitié de la planète.

— Tu t’en souviens!! J’ai rêvé de ce moment toutes les nuits depuis. C’était le jour où mon clitoris était si chatouilleux. Je t’avais mouillé plusieurs fois. J’en avais marre de me faire dorloter. Je t’avais imploré de me faire très mal. Tout ce que tu as trouvé à me faire, c’est de me prendre en photo, à poil et écartelée sur mon lit, avec sur le ventre les fouets que maman avait ramenés d’Afrique du Sud.

— Dix fouets, oui! Du plus doux au plus cruel. J’en avais posé un sur ta poitrine, deux sur ton ventre, un sur chaque cuisse et les cinq derniers entre tes jambes pointés vers ton clitoris tout ressorti comme tu dis.

— C’est vrai ça! Je ne les ai jamais vues, ces photos.

— Non, mais les filles qui sont ici, d’autres aussi, les ont vues et revues pour en arriver à la conclusion que ton jeune corps était d’une telle perfection et qu’il nous inspirait des désirs sadiques si violents que tu méritais la quintessence d’une souffrance savamment distillée dans le plus interminable et le plus impitoyable des martyres.

Mon corps jubilait en sachant que mon supplice allait être particulièrement long et odieux. C’était exactement ce que je voulais entendre. Exactement ce qu’il me fallait pour être à fond dans mon trip.

— Charles! Calme-toi!

— Oui, c’est vrai! Laissez-le parler! J’adore quand tu me parles comme ça, Charles. Tu me disais que l’instant magique de l’orgasme ne dure que quelques instants. Tu prétendais que l’extase que me procureraient les sévices corporels pourrait être fastueuse si je t’abandonnais mon corps.

— Charles! Son clitoris est énorme. Si tu continues à l’irriter, nous ne pourrons plus rien en tirer.

— Non, non! Continue, s’il te plait! Mets-le à vif! Je jouis beaucoup plus fort quand Titi est martyrisé. Hiii! Ouiii! C’est terriiible quand tu tires comme ça sur mon Titi…

"Ne confies jamais tes peines à autrui! L’épervier et le vautour s’abattent sur le blessé qui gémit", dit un proverbe Arabe.

— Vous voyez ce que je vous disais. Je la connais trop bien. Elle ne livre jamais aussi bien le fond de sa pensée que lorsqu’elle a le clitoris en vadrouille comme maintenant. Sous ce minois angélique se cache une exécrable masochiste qui n’ose avouer ses désirs sordides tant ils sont ignobles.

— Non! Charles! Ne leur dis pas! Aie! Tu me pinces trop fort, là.

— Explique à ces dames comment tu souhaites être traitée! Savez-vous, Mesdames, que cette petite gouine m’a un jour demandé, simplement parce qu’elle me trouvait trop tendre avec elle?

— De lui donner une bonne dérouillée, non?

— Trop simpliste! Cette garce est bien plus dépravée et voluptueuse.

— Ne leur dis pas! C’était ce film qui m’avait excitée…

— Justement! Elle m’a demandé de lui trouver des amies, suffisamment perverses et dénuées d’état d’âme, qui lui feraient passer quelques heures intenses en la torturant sans répit, rien que pour le plaisir de l’entendre brailler. Vrai ou pas!

Je Oui, tu as raison, c’est ce que je voulais, réussis-je à articuler péniblement.

— Je vais te demander si tes déclarations reflètent toujours ton état d’esprit. J’attends, de ta part, une réponse sans équivoque et sans forfanterie. Tu trembles, dirait-on? La peur gagnerait-elle sur l’excitation?

— Ca va maintenant! Tu m’as trop excitée. Je n’ai plus peur. Je suis déterminée plus que jamais à m’exécuter.

— Ou à être exécutée. Joli morceau de bravoure! Jolie, vicieuse et provocante en plus! Jen connais quelques unes qui semblent beaucoup apprécier ton allure gracieuse et juvénile de chérubin imberbe en tutu.

Les réactions des dames qui entendirent cette confession allèrent toutes dans le même sens. Comme je me déclarais consentante et résolue, il n’y avait plus aucun mal à me faire du mal. J’avais atteint mon objectif. Elles ne se cachaient même plus pour faire de moi leur martyre attitrée. Je n’oublierai jamais la soirée que j’ai passée avec mon beau-père et ces femmes après cet inconcevable aveux. Elles allaient m’en faire baver tant et plus et moi, comme une idiote, je n’attendais que cela.

Madame Rose entreprit immédiatement de me masturber habilement en vantant, devant tout le monde, l’humidité de mon entre cuisse et la prometteuse érection clitoridienne qu’elle entretenait délicieusement. Tout en me parlant, elle prenait un malin plaisir à me conduire à sa guise au bord de l’extase pour que je la supplie de me délivrer.

La plus inquiétante était incontestablement Aisha. Elle me pétrissait la poitrine comme si elle pressait une orange.

— Vous permettez, Charles! J’aimerais m’adresser à cette petite mendiante qui insiste grossièrement pour que nous brutalisions son gros Titi! Dis! Tu m’écoutes au lieu de gémir comme une catin? Toi, je sens que tu vas passer un séjour terrible à Massouana, ma petite, à la mesure du feu qui te dévore. Je pense que tu ne regretteras pas le voyage.

— Oh! Oh! Ce n’est pas de ma faute. Madame Rose fait des trucs fantastiques avec mon Titi. Oh noooon! Pitié! Le Titi, y grossit encore. Il va exploser si ça continue.

Soudain, un doute me traversa l’esprit. Et si, comme Charles, elle m’abandonnait dans l’état où il m’avait laissée la dernière fois. Le doute se dissipa très vite. A la surprise générale, je criai la première jouissance que Madame Rose venait de m’offrir sans le chercher vraiment. Un plaisir qui s’annonçait exceptionnel qu’Aisha stoppa net en me torsadant les pointes de seins comme une démente.

— C’est atroce ce que vous m’avez fait. Aie! Non plus les seins! Je me tais. Aiaiaie!

Sa main glissa sur mon sexe et elle me renvoya aussitôt sur orbite.

— Tu es une vilaine gourmande qui doit absolument apprendre à se retenir et à obéir. T’estimes-tu capable de supporter ce que je te fais sans te plaindre, par exemple?

Me fixant de ses yeux noirs, elle renforça son étreinte sur mon bourgeon jusqu’à pratiquement le déraciner. Des larmes de douleur coulaient sur mes joues mais je ne bronchais pas. Non, je ne broncherai pas. Pas la peine d’insister!

— Oui, je crois que je pourrraiiiiii!

— Alors, je continue. Ecoute bien le son de cette clochette! La prochaine fois, quand tu l’entendras, c’est probablement que ta réponse sera inappropriée. Que dirais-tu de commencer tout de suite ton dressage?

J’avais sans doute vu trop de films SM pour me laisser déstabiliser par une question aussi basique.

— Oui, Maîtresse. Mon corps vous appartient.

— Est-ce que cela t’exciterait de vivre en captivité un véritable esclavage sexuel intensif comme aucune fille n’en a jamais connu et n’en connaîtra jamais ?

La tenaille devint caresse et la Maîtresse me renvoya dans mes transes. Titi retrouva immédiatement une érection d’une telle vigueur qu’elle en devint douloureuse. Au moindre frôlement, Madame Rose parvenait à le faire pulser comme un cur.

— Oh Madame. Quand vous me dites que vous allez m’emprisonner, j’ai la trouille au ventre mais je sais que je peux vous

faire confiance pour prendre bien soin de moi.

— Tu as mille fois raison. Je te promets que tu ne resteras pas sur ta faim. Nos exigences seront à la hauteur de l’endurance que tu possèdes à ton âge…c’est à dire infinie. C’est pour cela que tu as signé pour nous suivre sous les tropiques, non?

Toutes les femmes m’entouraient. Elles s’étaient données le mot pour venir, chacune à leur tour, rendre hommage à Titi. J’avais atteint un stade d’excitation que je n’aurais jamais imaginé possible. Oui, Madame, c’est que je voulais sans y croire.

— Que m’arrive-t-il? Ma petite chatte est en feu. Faites quelque chose!

— Pas encore, ma chérie, ta chatte n’est pas encore en feu! Tu devras apprendre que désormais, tu ne prendras ton pied que lorsque tu l’auras mérité.

Charles déposa, sur une table basse, un bassin contenant une solution huileuse. A tour de rôle, les filles y trempèrent leurs mains avant de me badigeonner la fente et le sillon du produit miracle. Une congestion sans pareille s’empara de mes muqueuses quand le premier doigt explora mon vagin. Des milliers de fourmis affamées semblaient se nourrir de ma chair me transportèrent dans un état d’euphorie sexuelle démentiel.

Elisa me balança une claque sonore sur les fesses en me demandant d’écarter immédiatement mes cuisses.

— Comme t’es mauvaise, toi!

— C’est bien ! Tu es une petite esclave obéissante.

Deux filles me fixèrent une barre d’écartement sous les genoux. Elles me positionnèrent face au miroir pour que je me nourrisse de ma vulnérabilité, une position exquise pour la contemplation de mes charmes.

— Pourquoi m’écarter les cuisses à ce point ?

— Pour que tu ne puisses plus les resserrer avant demain, pour que ta minette ne manque rien des supplices qui l’attendent et aussi parce l’intérieur de tes belles cuisses est un endroit très sensible pour recevoir des coups de triques. Et d’abord, je me demande encore pourquoi je prends la peine de te répondre, sale gouine masochiste. Si on faisait un peu danser notre ballerine maintenant…

Madame Rose ouvrit son grand sac et étala une dizaines de longues schlagues tressées devant ses complices. Les fouets que Charles avait reçus en cadeau! Un sourire ironique illumina son visage.

— Servez-vous! Lisa! Le loup, s’il te plait!

Privée de la vue, mon esprit s’égara très vite dans un scénario directement inspiré du dernier film SM que Charles m’avait projeté. La favorite du harem, voulant se débarrasser d’une rivale, prétexta un vol de bijou pour la condamner à être fouettée à mort. Dix femmes cagoulées, ignorant la pitié, s’acharnaient sur leur victime expirante. Je dus me rendre rapidement à l’évidence, mes plus grands émois se construisaient dans la souffrance.

Tandis que l’une me tapotait le sexe, deux autres personne me fustigeaient les cuissots sans retenue. Un orgasme phénoménal me crucifia dans la seconde. Je n’avais jamais connu pareil bouleversement de mes sens.

— Encore…encore…plus fort sur mes cuisses…oui…oui!

— C’est très bien, petite chienne…lâche-toi!

— Raah! C’est trop facile comme ça. Vous allez me pomper toute mon énergie.

— Oui, belle enfant. N’oublies jamais que ta chatte et ce qu’elle produit nous appartiennent! Tu es une tigresse quand tu jouis, toi. J’ai les tympans qui saignent et les poils qui se hérissent. Il faudra que tu apprennes à jouir uniquement quand je te le dirai et à souffrir en silence ou je te ferai arracher la langue.

— Pardon! Je le ferai plus. Nooon! Je repaaars! Hiiii!

Charles m’obligea à avouer, devant sa caméra, la jouissive décharge d’adrénaline que je prenais quand elles me faisaient souffrir.

— Tu ne peux pas savoir à quel point ton cul et ton corps me bouleversent, Laure. Et ce n’est pas d’aujourd’hui, au point que je finissais par m’en lasser. De là m’est venue l’idée de te suspendre la tête en bas pour que tu profites une dernière fois de ma créativité sadique. Dès que mes amies auront vidé tes glandes et que tes jolies jambes ne pourront plus te porter, commencera pour toi une lente agonie rythmée par la flagellation.

— Pas ça Non! Je ne veux pas.

La clochette sonna pour la première fois. Le sifflement qui suivit me déchira le ventre à la manière d’un trait de scie.

— Lisa! Pose-lui le casque! Elle n’a pas besoin d’entendre la conversation des adultes.

Plongée dans le monde du silence, les paroles de mon beau-père repassaient en boucle dans mon cerveau. Ma seule chance de survivre était de rester debout malgré les coups qui pleuvaient sur mes gambettes et de continuer à jouir. Mon délire était si profond que je ne me rendais pas compte que mon beau-père et ses complices décidaient de ma destinée.

— Non, Charles, pas de soucis, elle ne peut plus nous entendre.

— Bon! Soyons clair! Je pressens que vous allez déconner. Vous en faites ce que vous voulez pourvu qu’elle quitte le continent en vie. Vous la balancerez en mer ou vous la finirez à Massouana. Peu m’importe pourvu qu’elle ne soit plus de ce monde à sa majorité. Vous savez compter aussi bien que moi. Dans moins de deux ans, je deviendrai le légataire de sa fortune et vous, propriétaire de l’île. Si vous estimez qu’elle a encore une valeur marchande, exploitez la à votre guise, je n’en ai rien à faire! Dites! Elle va jouir encore longtemps comme une détraquée? J’ai la main qui me démange.

Ca n’en finissait plus. Les orgasmes se succédaient à une cadence terrible. Quand elles me fouettaient sur le ventre, c’était même encore plus fort. Mes tortionnaires ne me laissaient pas le temps de souffler et mes genoux lâchaient peu à peu. Les cinglées se concentraient sur mes mollets pour m’obliger à perdre l’équilibre. J’accueillis presque comme un soulagement quand, à bout de force, un dernier coup me projeta au sol.

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