Histoires de tromper Premières histoires de sexe

Masturbation malsaine – Chapitre 1

Masturbation malsaine - Chapitre 1



Bonjour.

L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a quelques années, quand j’avais 18 ans. Mes parents ont divorcé quand j’étais très jeune (je ne m’en souviens même pas) mais mon père s’est vite remarié avec une autre femme. Celle-ci possédait déjà une fille du même âge que moi, Lola, qui est devenue en un sens ma "demi-sur". Cette situation de famille recomposée durait depuis si longtemps que tout le monde nous considérait comme frère et sur alors que nous n’avions aucun parent commun. Pourtant, alors que ma sexualité s’éveillait au fil des ans, je compris vite que ma relation avec Lola, qui entre-temps était devenue une superbe brune aux seins et fesses rebondis, n’était pas aussi fraternelle que cela.

Un été, alors que nous avions 18 ans, nous sommes partis en vacances avec nos parents (mon père, sa mère) et notre budget nous obligea à dormir moi et ma "sur" dans la même chambre, mais dans des lits séparés évidemment. Les trois premières nuits se déroulèrent sans encombres mais ce ne fût pas le cas de la quatrième. Ce soir-là, je ressentais une forte envie de me masturber. Cela faisait plus d’une semaine que je ne m’étais rien fait et la vue de toutes ces filles en maillots de bain à la plage avait réveillé ma libido. Toutefois, je ne pouvais pas me résoudre à me branler dans mon lit, à quelques mètres de ma "sur" qui dormait par ailleurs en sous-vêtements, ce qui n’arrangeait pas mon cas. Si elle me surprenait, je passerais pour un pervers. Mon envie étant trop important, je me décidais à me masturber quand même.

Beaucoup d’images défilaient dans ma tête tandis que j’effectuais des mouvements de bas en haut sur mon sexe vigoureux. Sous ma couette, j’essayais de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller Lola. Je pensais à cette blonde plantureuse que j’avais vu se baigner ce matin à la plage ou au film pornographique que j’avais vu la semaine passée. Alors que j’accélérais mes va-et-vient, la lumière de la chambre s’alluma. Surpris, je tournais la tête et remarquais Lola. Elle me regardait, sa main encore posée sur l’interrupteur située juste au dessus de son lit. Mon sentiment de malaise était profond, je ne savais plus quoi dire.

— Tu te branlais ? Me demanda-t-elle simplement.

— Moi ? Non, tu as dû rêvé. Répondis-je malgré le ton de ma voix qui me trahissait.

— Arrête, j’ai entendu ta couette bouger. Mais tu sais c’est pas grave, c’est normal. Tout le monde le fait et à ce que je vois, tu en avais besoin.

Cette conversation m’avait totalement fait oublier que je me trouvais encore sexe en main et ma couette avait légèrement glissée pendant mon sursaut. Lola dévisageait mon pénis avec une relative indifférence.

— Tu peux continuer si tu veux, je ne voulais pas te déranger.

Elle éteignit la lumière et reprit sa position de sommeil. Contrairement à tout à l’heure, elle était désormais dos à moi. J’imagine qu’elle faisait ça parce qu’elle savait que son regard me gênerait. Au bout de quelques minutes, après m’être assuré qu’elle s’était bien rendormie, je reprenais ma masturbation. Mais cette fois-ci, ce sont des images de ma "sur" qui me vinrent à l’esprit. Je la revoyais en sous-vêtements, en train de regarder mon sexe rigide. Que c’était-elle dit ? Cette vision l’avait-elle excité ? Je repensais à sa poitrine dont le soutien-gorge ne parvenait pas à cacher les formes. Son corps nue devait être magnifique. Je profitais alors du fait que Lola soit de dos (et dépourvue de couette puisqu’elle avait chaud) pour me masturber en la regardant. Je fixais son dos presque nu et sa culotte noire tandis que j’accélérais mes mouvements. En quelques instants, j’éjaculais, non sans honte. Je venais de me masturber sur ma "demi-sur" et j’avais aimé ça. Mais très vite, je repris mes esprits et une angoisse m’envahit : Lola allait-elle parler de ce qu’elle avait vu ?

A mon grand étonnement, le reste du séjour se passa sans qu’aucun de nous deux ne mentionne ce qu’il s’était passé. J’en avais pourtant été si perturbé que j’avais renoncé à l’idée d’une nouvelle séance de masturbation. Lola quant à elle, continuait de s’adresser à moi comme si de rien n’était. Cela me frustrait d’avantage car j’étais de fait incapable de savoir l’effet que lui avait provoqué ce qu’elle avait vu. Elle ne pouvait pas y être indifférente. J’éprouvais presque de la colère en imaginant que je ne lui avais pas fait d’effet. Cette situation n’avait-elle vraiment eu aucune ambiguïté pour elle ? Pourtant, les jours à venir allaient me prouver le contraire…

Près d’une semaine après notre retour de voyage, alors que nos parents travaillaient, Lola et moi étions seuls à la maison. Ne ressentant alors plus le besoin de jouer la comédie devant mon père et ma belle-mère, je me décidais à ne pas adresser la parole à ma "demi-sur" de toute la journée afin de la forcer à délier sa langue. Et c’est exactement ce qu’il se produisit puisque vers 14h, Lola toqua à la porte de ma chambre. Elle avait de toute évidence compris mon petit jeu. 

— Pourquoi tu m’évites ? Me demanda-t-elle, visiblement inquiète. C’est à cause de la semaine dernière ?

Bingo ! Elle avait touché le point sensible et cela éveilla ma curiosité.

— Ecoute, si vraiment cela t’a gêné que je te surprenne en train de te branler, on peut faire la même chose pour moi.

Je ne rêvais pas, Lola me proposait vraiment de la regarder se masturber !

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire