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Mauricette aime la quéquette 3 – Chapitre 1

Mauricette aime la quéquette 3 - Chapitre 1



Je regardais distraitement les personnages qui s’agitaient sur l’écran de la télévision. Pas très intéressé par ce qui s’y déroulait. Il était un peu plus de dix-sept heures quand je perçus un coup de klaxon provenant du côté du portail. Je regardais par la fenêtre et aperçus la voiture de madame. J’enclenchais le système d’ouverture des grilles. J’attendais qu’elle pénètre le domaine pour refermer.

Ceci fait, je pris les clefs sur le clou et allais au-devant de madame. Elle me reçut avec un sourire comme à son habitude. Elle attendait que j’arrive à la hauteur de sa portière pour l’ouvrir. Pour s’extraire de l’habitacle de sa luxueuse voiture, elle ouvrit le compas de ses jambes. Je n’avais pas pu m’empêcher de jeter un il dans l’ombre de sa jupe, et y aperçus une merveilleuse culotte à volants, mais aussi des bas couleur chair. Après lui avoir serré chaleureusement la main, je me déplaçais jusqu’au cul de la voiture et ouvris le coffre. Où se tenaient deux valises que je pris la peine de monter directement dans la chambre. J’en profitais pour m’examiner.

Dans le miroir fixait sur le mur. Une légère transpiration lissait mon front. C’était évidemment sans doute dû à la tension nerveuse qui m’habitait à lapproche de mon rendez-vous avec la voisine.

Madame m’attendait dans la cuisine buvant un verre d’eau. Elle me jeta un drôle de regard. Bien que je la sentisse tout de même bien détendue. Elle qui tenait à la perfection son rôle d’épouse d’homme d’affaires. Sachant très bien recevoir. Elle était rousse pas vilaine du tout. Avec des yeux de vicieuses. Toujours bien coiffé. Avec un nez coquin. Je restais là muet tout en la contemplant, attendant d’autres instructions. Elle étouffa un bâillement sonore, et posa le verre dans lévier.

— Si nous passions dans le salon.

Chaque rendez-vous débutait par une discussion sur le déroulement de la semaine pendant leur absence. C’était un moment privilégié entre patron et employé. Une mise au point du travail effectué.

Elle s’effaça pour me laisser fouler le tapis de la salle de séjour adjacente à la cuisine, et prit la peine de me précéder le long de l’immense couloir un peu sombre à mon goût, qui nous menait jusqu’au salon, dont les larges portes-fenêtres offraient une vue imprenable sur une parcelle gazonnée. La pièce était la plus grande de la bâtisse. Hormis de nombreux meubles, qui en occupaient une bonne surface, se tenaient aussi deux canapés de cuir blanc et trois fauteuils de la même matière qui entouraient une grande télévision.

Elle me permit de m’asseoir en me désignant le canapé. Elle se posa à mes côtés en émettant un petit rire bref. Nos genoux se touchaient presque.

— Alors quoi de neuf, questionna-t-elle.

Elle croisa les jambes machinalement sans paraître remarquer que son mouvement offrait une vue imprenable sur sa cuisse droite. Elle repoussa mécaniquement la mèche de cheveux qui balayait son front. Je la regardais droit dans les yeux. Je lui fis le topo du déroulement de la semaine.

— Et le peintre ? Fit-elle.

— Il est revenu tout de même remettre une couche sur la porte comme vous le désiriez.

Il ne lui en fallait pas plus pour la rendre voyeuse. Laissant échapper un rire de bon cur.

— Il n’a pas fait trop la tête ? Répliqua-t-elle, en décroisant les jambes. Faisant crisser délicieusement le nylon de ses bas. Il ne m’en fallait pas plus pour qu’une brusque bouffée de chaleur monte en moi. Elle me fixa, attendant ma réponse. L’un de ses sourcils relevait en accent circonflexe.

— Heu… Non, pas trop. Un peu au début mais après le sourire est revenu.

Nous pouffâmes de rire comme deux collégiens devant un tableau surréaliste. Elle pencha sa tête en arrière en exhalant un long soupir.

— Bon ! Rien d’autre… Alain ?

— Non… Rien d’autre, madame.

— Alors vous pouvez disposer.

— Merci madame.

Alors que j’allais disparaître à sa vue, elle m’interpela :

— Alain, vous n’oubliez pas d’ouvrir à mon amie. Je lui ai dit de klaxonner une fois devant la grille.

— Je reste aux aguets.

— À ce soir pour les volets. Lança-t-elle.

— A ce soir madame.

Quelques secondes plus tard alors que j’étais chez moi j’entendis une voiture s’arrêtait devant la grille. Je la reconnus tout de suite, étant celle de Mauricette. Encore une petite heure à patienter avant d’aller la rejoindre.

Depuis l’instant que je l’avais vu avec ses paniers en mains, je n’arrivais pas à me raisonnais, en pensant à la soirée prochaine. Des images me martelaient la tête. Plus cochonne les unes aux autres. Comme un automate actionné par une force incontrôlable. À en oublier même la fameuse amie qui n’était toujours pas arrivée.

Une demi-heure avant l’heure dite du rendez-vous j’avalais un comprimé de Cialis. Un stimulant sexuel très efficace. Vous donnant une bonne érection et cela pour une durée de vingt-quatre heures. Seulement si vous êtes excité bien sûr. Si vous épluchez des pommes de terre pour une purée, cela ne marche pas.

Avec tout ça, toujours pas d’amie. Je pris le risque de m’absenter quelques minutes de la fenêtre pour aller prendre une douche. J’avais même poussé le luxe de me passer une chemise blanche pour l’occasion. À quelques minutes du rendez-vous toujours pas de nouvelle de l’amie. Et cela commençait à m’inquiéter fortement.

C’est alors que le téléphone sonna. Je décrochais et reconnus la voix de madame.

— Pouvez-vous venir Alain ?

— C’est…

— Tout de suite… Alain…

Je n’avais pas fini ma phrase qu’elle avait déjà raccrochée. C’était avec rancur que je m’étais dirigé jusqu’à la demeure.

  Elle m’attendait dans la cuisine, appuyée contre le chambranle d’une porte. Un verre de ce qui semblait être un kir à la main droite. En voyant le rouge sur ses pommettes et le flou de son regard, je compris qu’elle n’était pas à son premier verre d’alcool. Elle se passa lentement la langue sur les lèvres, l’air vaguement songeur.

— Mon amie a eu un empêchement. Attaqua-t-elle. Elle ne viendra pas.

— Oh ! C’est ennuyeux !

— Qu’avez-vous prévu pour cette soirée ? souffla-t-elle d’une voix éteinte, à peine audible.

— J’avais prévu de dîner avec…

— … Moi, répliqua-t-elle.

— C’est que je ne peux pas.

— Comment ça vous ne pouvez pas ? Je vous fais remarquer que je suis votre patronne. Et vous me devez le respect. Alors quand je vous dis que vous allez dîner avec moi c’est que vous allez le faire. C’est même un ordre. Comprenez-vous ?

— Oui madame.

— Ginette (la cuisinière), s’est décarcassée à faire à dîner je ne vais tout de même pas le jeter tout de même. Soyez tout de même ravie de manger à ma table. Je ne le ferais pas avec tout le monde. Dit en passant, de vous à moi…

— Sachez madame, que je suis très touché de votre attention pour moi, mais c’est que j’avais déjà une invitation.

— Eh bien ça attendra demain…

— Oui mais elle avait tout préparé.

— Elle le fera réchauffer, voilà tout. Maintenant le sujet est clos et veuillez me faire l’amabilité de venir vous asseoir à ma table.

Elle me guida jusqu’à la pièce nommée.

— Pouvez-vous m’attendre un moment ici ? Je vais aller me changer.

Elle s’éclipsa avant que j’aie pu répondre. Il y avait dans cette invitation quelque chose de rassurant et en même temps d’inquiétant. Enfin patience. Je saurais peut-être bientôt à quelle sauce je serai mangé.

Je sortis de ma pensée, pour me concentrer du côté de la porte d’où se tenait madame. Elle était en peignoir en satin. Plongeant ses yeux dans les miens.

— Écoutez, Alain, je n’ai pas envie de tricher. Vous m’entendez… Je… N’ai… Plus… Envie. Alors autant que vous sachiez tout de suite à quoi vous en tenir.

D’une démarche féline, elle vint jusqu’à la table.

— Je vous choque, peut-être ?

Je souris en soutenant son regard.

— Non, madame, vous ne me choquez pas. Je comprends que je…

Elle balaya l’air d’un revers de main. Pour brusquement se saisir de la mienne et de me tirer de ma chaise pour m’attirer dans les escaliers pour me mener jusquà sa chambre.

— Vous savez ce que c’est ça Alain ? Me fit-elle en me désignant la pièce de sa main.

— Oui… Votre chambre…

— Non ! C’est la chambre d’une femme pleine aux as. Une chambre où le mari de la femme plein aux as ne l’a pas culbutée depuis maintenant cinq ans… Ni aucun homme d’ailleurs.

Elle prit le kir qu’elle avait dû poser sur la table de nuit pendant son changement de vêtement, et avala d’un trait le reste de son verre. Avant de le reposer là où elle l’avait pris.

— Ça va peut-être vous paraître ridicule, reprit-elle, mais je ne l’ai jamais trompé une seule fois depuis que nous sommes mariés. Et cela bien que notre vie conjugale ne soit que désert…

Elle noua ses bras autour de mon cou et se laissa aller contre moi. Instinctivement, je l’enlaçais.

— Je ne voudrais pas que vous me jugiez mal Alain, murmura-t-elle à mon oreille. Mais aujourd’hui je sens que si je trompe mon mari pour la première fois. Que si je prends du plaisir avec un autre homme, je serais capable ensuite de me résoudre à ce que j’aurai dû faire depuis longtemps. Prendre un amant.

Elle s’écarta légèrement de moi et me regarda. Je lus dans ses yeux un saisissant mélange de profonde tristesse et d’espoir fou.

— Alain, murmura-t-elle en se soutenant mon regard. On se connait depuis combien de temps ?

— Je suis à votre service depuis six ans, madame.

— Et le salaire vous convient ?

— J’n’ai pas trop à me plaindre. Même si je ne serais pas contre une augmentation.

— Combien ? Me demanda-t-elle.

— Je ne sais pas moi… Cent euros…

— Je vous donne trois euros de plus par mois et vous en échange vous devenez mon amant. Cela vous va ?

— Vous me prenez au dépourvu là… Madame…

— Dès lundi vous l’avez votre augmentation. Voulez maintenant bien me faire l’amour ? Me redonner gout à la vie.

Je restais un moment silencieux. Accusant le coup. Ce n’était pas peut-être très orthodoxe comme situation. Une lueur sale s’alluma dans ses yeux. Ce fut elle qui presque timidement avança ses lèvres à la rencontre des miennes. C’était tout de même un instant très agréable, que j’avais envie de prolonger. Pris au jeu de cette divagation des sens, je me laissais aller au mâle plaisir de posséder ma patronne et de devenir son amant. L’effet Cialis faisait déjà des siennes.

Et cela n’échappa pas à la vue de madame. Qui fixait d’un il intéressé la bosse qui déformait mon pantalon.

— Si je m’attendais à ça… Souffla-t-elle comme si elle se parlait à elle-même. Capable de faire bander un jeune homme.

Un silence épais s’installa. Elle était dans l’expectative. Je sentais qu’il allait se passer quelque chose de plus fort et j’en ressentais une frustration indicible. Elle tripotait nerveusement ses mains. Les minutes s’étalaient interminablement. Elle ne bougeait pas, faisait comme s’il je n’existais plus. Mais imperceptiblement, sa main se détacha de sa jumelle et se détendit jusqu’à moi. Elle effleura mon pantalon. Caressa le tissu du bout d’un doigt sans avoir l’air d’y toucher, puis dériva à tâtons vers mon entrejambe. Ce qui lui arrachait un petit sourire de contentement.

Je retenais ma respiration. Très lentement, elle fit baisser la fermeture éclair, et incrusta sa main dans mon slip. Je sentais ses doigts cajoler ma bite gonflée. Avec dextérité elle me prit à pleine main.

— Vous bandez très fort, mon cher Alain, chuchota-t-elle, admirative. Et ça pour moi ?

— Oui madame, pour vous…

J’avais maintenant envie de faire l’amour. Dans cette chambre et sur-le-champ. Je lus sur son visage le trouble s’accroître. Elle, la bourgeoise qui avait caché jusqu’à présent son amoralité foncière sous le vernis de sa bienveillance. Elle, qui me fixait dans l’instant, d’un regard plus brillant. Un tel clin d’il du sort était un présage et ne pouvait se refuser. J’en oubliais même Mauricette. Je voulais lui offrir des sensations fortes, pas banales. Quelque chose bouillonnait en moi. Quelque chose qui me rendait fou que si cela ne sortait pas. Et il fallait que ça sorte.

  Je n’hésitais pas un seul instant de la faire reculer jusquà son lit. Là dune poussée je lenvoyais valdinguer sur son lit. Elle se réceptionna sur le dos. Dans son élan ses jambes se soulevaient. Je m’en étais saisi d’une cheville. Je fis sauter son chausson et après un long massage je n’ai pas pu me résonner à le porter jusqu’à ma bouche. L’embrassant tout en humant. Il s’en dégageait une odeur enivrante. Puis une fois lassé je fis lentement descendre mes doigts le long de ses jambes. Sentant monter en moi cette chaleur que je connaissais si bien dans ces instants. Elle me plaisait bien et j’avais envie d’elle à présent. Fou que j’étais.

Sous ma caresse, elle fermait les yeux. La tête reposant sur le couvre-lit en satin. Pour son âge elle avait une peau douce. Elle ondulait sous mes tendresses. Mes doigts frôlèrent l’intérieur des cuisses. Elle minauda :

— Vous allez croire que je suis un débauché. Mais ce n’est pas vrai. C’est vous qui m’avez mis dans l’état où je me trouve.

Comme elle s’était délestée de sa culotte, mon majeur erra à travers un système velu. Trouva l’entaille de sa féminité que je remontais en un imperceptible effleurement jusqu’à l’infime protubérance du clitoris.

Elle salua mon initiative par un soupir rauque. Mon majeur tourna autour du bouton de chair. La situation me donna une impression d’irréalité. J’écartais doucement le peignoir sur le ventre. Elle se souleva légèrement pour me faciliter l’accès. Ses jambes étaient à présent dévoilées. Ainsi que le triangle poivre et sel de sa toison. Je penchais ma tête en avant. J’éprouvais comme une espèce de vertige. Elle avait eu un léger sursaut lorsque ma bouche se posa sur son intimité. L’odeur qui se dégageait était très forte. Un peu acre. Mélange

D’urine et de transpiration. Ce n’était pas franchement déplaisant. Je n’hésitais donc pas à me rapprocher pour embrasser goulûment cette friandise. D’abord sur les côtés. Dans les plis des cuisses. Puis sur les lèvres. Je donnais des petits coups de langue contre son clitoris, embrassais de nouveau ses lèvres.

Ses mains se crispaient sur mes cheveux, alors que ma langue s’activa sur son intimité. M’enfonçant profondément entre ses lèvres, puis dans son vagin. Elle se tordait, en donnant des petits coups de reins au rythme de ma langue.

L’odeur âcre avait disparu. Laissant place à une saveur légèrement salée, délicieuse. Très vite, sous ma caresse buccale, je la sentais venir. Elle se crispa, en serrant ses jambes autour de mon cou. Mempêchant même de respirer. Elle fut soudain prise de spasmes orgasmiques. Il s’en écoula un jet de liquide chaud. Légèrement salé. Plus onctueux que précédemment. Elle jouissait sur ma langue.

Tout de suite je la retournais. C’était maintenant son anus, qui me faisait face, bien ouvert et accueillant. Un léger filet de liquide blanchâtre, dernière trace de son orgasme, coula entre ses fesses, douces et luisantes de sueur.

— Mais c’est sale, mon garçon. Me fit-elle, alors que j’étais en train de humer le parfum piquant de son cul. Toujours au comble de l’excitation, je ne pouvais résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses, avant de titiller son anus avec ma langue.

Son muscle anal était complètement relâché. J’y pouvais m’y introduire sans peine. À ma grande satisfaction, elle semblait aimer cela. Au point de jouer avec. Le contracta et relâcha successivement son muscle anal. Ma langue était donc tour à tour happée dans le petit trou, puis expulsée, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu dura de longs moments. Avant que je décide de la remplacer par ma queue.

Quelle sensation étrange, vertigineuse, c’était de voir engloutir ma queue dans le cul de ma patronne. Et surtout… Oui surtout, de sentir la chair céder, s’écarter avec une infâme connivence. Je poussais plus fort. Engloutissant d’un coup toute ma queue, alors quelle grogna comme une bête blessée.

Je me retirais, pour mieux la lui remettre. Je la sentais trembler d’une affreuse extase. Je recommençais de plus en plus vite. Chaque fois que j’enfonçais ma queue, elle poussait une étrange plainte. Elle émit même une sorte de plainte étouffée. J’accélérai de plus en plus vite mon entrée et ma sortie dans ses entrailles. Mon bas ventre frappant le sien avec un petit de claque. Brusquement elle cambra davantage et lâcha un feulement rauque. Je donnais encore quelques coups de reins et avec un grognement sourd, me laissais aller à la jouissance tout en maintenant difficilement contre moi ma patronne dont le corps se tordait dans des sursauts spasmodiques.

Nous étions restés quelques instants allongés sur le lit. Le temps de reprendre notre souffle. Elle avait ensuite insisté pour que je partage son dîner. Mais j’avais décliné l’offre. Lui justifiant un besoin d’aller me reposer.

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