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Mes amies, mes esclaves. – Chapitre 1

Mes amies, mes esclaves. - Chapitre 1



J’ai toujours été entouré de plusieurs femmes, que ce soit dans mon parcours scolaire ou bien dans mon travail. Concours de circonstances me direz-vous; fort probable. En revanche, j’en tirai une grande satisfaction car je mintéressai énormément à la mentalité féminine. Et savoir comment elles pensaient, mintriguait au plus haut point.

  J’en apprenais tous les jours et je continue d’apprendre encore aujourd’hui mais grâce à tous ces contacts, ces longues discussions que j’ai pu avoir avec elles, j’ai peu à peu réussi à savoir ce qu’une Femme attendait d’un Homme et ce qui leur ferait baisser les armes. Je me suis toujours imagé comme une "Mante Orchidée", cette mante religieuse qui prend l’apparence d’une fleur pour attirer ses proies et les manger.

    Je changerai évidemment les prénoms, car mon intention première n’est pas de blesser mais de partager.

    Je m’appelle donc Alexandre Richard, j’ai 32 ans, et je travaille dans le monde du luxe dans la capitale en tant que conseiller de vente donc je suis amené de par mon travail à rencontrer beaucoup de personnes et plus particulièrement des femmes.

Je suis brun aux yeux verts, mesure 1m80 et disons que mes études de STAPS m’ont bien aidé à avoir un physique très agréable. Je sais que je plais aux femmes……et aux hommes mais je leur dis bien gentiment que cela ne m’intéresse pas!

  Mon premier cobaye, fût une camarade de classe de seconde du Lycée qui s’appelait Florence. C’est une très jolie blonde aux yeux bleus d’1m60 environ. Sa tenue vestimentaire cachait ses formes mais on voyait bien qu’elle était très bien foutue. En l’examinant un peu je décelais une paire de jambes fines avec, au bout, des fesses comme on en voit dans les magasines. Un piercing au nombril que l’on pouvait admirer durant les beaux jours où Florence portait des débardeurs, qui eux, nous révélaient également sa très belle peau blanche et surtout un bon 85C. Elle était de nature très discrète et n’était pas du genre à faire de vagues en cours, c’est peut-être pour cela que personne ne s’y est intéressé au début, à part moi…

Vu que mon plus grand passe-temps en cours était de bavarder je n’ai pas hésité à lui adresser la parole vu que j’avais fait en sorte de me placer juste devant elle. C’est comme ça que petit à petit, j’ai appris qu’elle n’avait pas de petit copain à l’époque et que sa seule vraie amie était dans un autre lycée.

En analysant alors la situation, j’avais à faire là, à une personne plutôt timide, qui se retrouve sans sa meilleure amie pour la conseiller et la guider dans ses choix. Ma marche à suivre était simple, en me montrant sûr de moi et en lui proposant mon aide pour l’Anglais car je voyais bien qu’elle galérait, j’étais à peu près sûr que j’allais pouvoir en faire quelque chose.

Après quelques jours de "travail", je décide un matin de ne pas lui adresser la parole. Elle le remarque évidemment et je vois bien qu’elle me regarde et que mon silence la trouble. Plus tard dans la matinée, je lui envoie un petit papier sur lequel est écrit : " Retrouve moi à 12h derrière le gymnase". C’est un endroit où je sais qu’il n’y aura personne au vu de l’heure donc à priori tout devrait bien se passer.

Vient 12h, nous sortons et marchons silencieusement vers le gymnase tandis que les autres se dirigent vers le réfectoire. Je vois bien qu’elle est perturbée et ça, ça m’arrange.

Arrivés derrière le gymnase, elle commence à me demander ce qu’il se passe, je lui laisse à peine le temps de finir sa phrase que ma bouche se dirige vers la sienne. Nos bouches se touchent et s’enlacent, je fais rentrer ma langue à l’intérieur et commence à l’enrouler autour de sa langue. Après 2 minutes passées à s’embrasser, elle me dit qu’elle est heureuse car elle le souhaitait mais n’osait rien tenter de peur de se faire envoyer balader.

A l’entente de ses mots, je retourne l’embrasser et sachant qu’elle est "mienne" je commence à glisser ma main vers son sein droit. Je le masse assez fortement et je sens bien à sa réaction qu’elle aime ça. Je continue alors et descends ma main plus bas tout en gardant celle-ci sur son jean. Elle ne dit rien et se laisse faire.

Je commence alors à faire des va-et-vient sur son entrejambe. Ses petits gémissements m’incitent à aller plus loin. Je déboutonne rapidement son pantalon et insère ma main dans sa culotte…elle était trempée. A peine rentrée, ma main était déjà bien mouillée et je n’eus aucune difficulté à y faire glisser mes doigts. Elle se débattait un peu en disant qu’il ne fallait pas, qu’on allait nous voir et qu’on allait se faire renvoyer. Moi je savais que personne n’allait venir, alors avec ma main gauche je commençais à lui caresser ses cheveux blonds en lui disant qu’elle n’avait rien à craindre, que tout irait bien. Alors avec ma main droite je commençais à la doigter avec 1 puis 2 doigts de manière assez douce. Je voulais qu’elle se plie à ma volonté, qu’elle cède au plaisir et ses petits cris m’incitaient à aller dans cette direction.

Je baissa alors sa culotte et vit des poils blonds s’hérissés au contact de l’air frais. Son clitoris était bien apparent, il était rose et bien gonflé, un de ces clitoris que l’on a envie de lécher, de mordiller, ce que je fis après un moment d’hésitation. Elle avait la main devant sa bouche afin qu’on ne puisse pas entendre les petits cris qu’elle émettait à chaque coup de langue de ma part tandis que ma main droite continuait d’explorer son intimité. J’adorais son odeur, son goût sucré et la manière qu’elle avait de pousser ses petits gémissements. Vraiment cette fille cachait bien des choses et j’étais content de l’avoir déniché. Je prenais un plaisir fou à la lécher. Rien que de passer ma langue sur son petit bouton me faisait plaisir et m’incitait à continuer, ce que je fis évidemment!

Apres avoir passé une énième fois ma langue râpeuse sur son clitoris tout gonflé, je sentis ses jambes trembler et ses petits cris s’accélérer. Je m’en donna alors à cur joie jusqu’à l’entendre gémir d’un petit cri aigu et étouffé qui m’indiqua qu’elle venait de jouir. Je releva la tête et vit celle de Florence, larmes à lil, rouge de plaisir avec une respiration saccadée qui entrouvrit la bouche et me dit :

" Je t’aime".

Je sus alors que j’avais gagné…

N’hésitez pas à commenter si vous avez aimé ou si vous avez des remarques, je vous raconte la suite très prochainement et vous explique comment elle est devenue ma première esclave sexuelle

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