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Mes ex ! – Chapitre 1

Mes ex ! - Chapitre 1



Mes ex (1° partie)

Je narrive pas à mendormir : tourne et retourne. Je repense à mes anciens amours. Il me semble avoir sous la main le grain de leur peau. Surtout celui dAline, ma première « fiancée ». Je lavais rencontré chez des copains. Elle nétait pas très grande avec une belle poitrine. Nous avons dansé plusieurs fois, surtout des machins corps à corps. Nous sommes partis ensemble. Dans la rue, je lai embrassé. Elle répondait bien avec sa langue. Mais pour aller plus loin, rien à faire. A croire quil fallait passer devant le curé avant. Un soir, en sortant du cinéma jai pu lentrainer sur un banc. Là enfin pour la première fois jai pu la caresser normalement. Je pouvais atteindre enfin le but. Le plus fort est quelle était trempée. Mon doigt sous sa culotte glissait en elle. Je caressais le clitoris, elle se tendait, soffrant à la caresse. Je voulais aller plus loin. Mon doigt passait de son sexe à son anus facilement. Je la sentais jouir enfin. Elle a touché ma queue parce que je prenais sa main. Elle ma enfin masturbé maladroitement. Pour une première fois je nallais pas faire le difficile. Plusieurs semaines après je lai allongée, je suis venu sur elle en dégageant ce qui gênait. Ma pine est entré vite dans son sexe elle poussait un petit cri de surprise. Pour finalement se donner complètement. Elle devenait une accro à la sexualité. Puis les hasards de la vie ont fait quelle est partie. Jai su bien plus tard quelle avait trois enfants.

La suivante était la fille adoptive dun capitaine de gendarmerie. Bonne famille, moins bonne pour la garder à la maison. Je la rencontrais dans un cinéma. La séance commençait, elle venait près de moi, isolé au dernier rang. Le film faisait parti des nanars de lépoque. Jallais partir quand la fille près de moi me retenait. Elle tendait sa bouche vers la mienne. Je lembrassais à pleine bouche. Elle ne me donnait sa langue quun moment après. Je posais facilement une main sur sa jambe. Elle se laissait faire. Je passais ma main sous la jupe. Elle écartait les jambes. Jallais vite fait bien fait sur sa culotte. Jécartais le bord de la culotte, puis je la lui enlevais : elle se soulevait pour que jenlève son sacré bout de chiffon.

Je ne me souviens pas davoir eu une fille aussi chaude. Mes doigts suffisaient à peine à la contenter. Javais le pouce sur le clitoris, un doigt dans le vagin, un dernier dans le cul (au début sur). Je sentais un spasme assez fort. Elle me demandait de continuer. Je lai masturbée jusquà la fin du film. Elle mavait oublié en route : je bandais à la sortir du cinéma. Je me serrais contre elle pour lui faire sentir la pression de ma queue. Elle me prenait enfin dans ses doigts. Je ne sais comment elle a fait, elle réussit à sortir ma queue sans dommage. Je lui ai demandé de me sucer avant de me branler. Sans regimber elle sest penchée devant moi, a pris la queue en entier entre ses lèvres. Sa langue venait de la partie. Elle faisait passer le gland entre sa langue est une joue. Cétait à mon tour de me retenir. Elle ma vaincu en peu de temps. Jai éjaculé dans sa bouche. Elle me gardait jusquà la dernière goutte. Une vraie pompeuse innée.

Cette expérience lui donnait davantage daudace. Elle venait à nos rendez vous sans culotte, sans soutien gorge. Elle connaissait ma chambre par cur. Elle venait le soir vers 23 heures. Je lattendais nu allongé sur le lit. En entrant elle pouvait voir ma queue bandée. Elle ne refusait jamais de venir sur moi : elle me baisait avec la même intensité quune femme de 40 ans (on ne disait pas couguars) Quelle science des choses de lamour. Elle achetait des revues de cul dans un bureau de tabac loin de chez elle. Ca lui donnait des idées pour nos baises et ses masturbations.

Quelle était belle, nue, les cuisses ouvertes à sa main seule. Elle commençait pas couvrir sa chatte de toute sa main. Plus tard elle tendait des doigts réunis en trois pour caresser le clitoris, descendant souvent tout en bas. Des fois elle cherchait son petit trou, pour enfoncer deux doigts bien au fond. Elle tendait ses fesses quand elle sentait venir lorgasme. Quand elle expliquait ce quelle faisait, jétais excité. Quand elle le faisait devant moi, après que jai joui, je bandais encore : elle se refusait à moi. Je devais faire comme elle : passer ma main sur la tige, faire descendre le prépuce tout en bas pour le remonter rapidement jusquà ce que je gicle. Nous passions souvent la nuit ensemble. Elle voulait que je sois en elle sans cesse. Une femme jouit plus quun homme, cest bien connu. Elle ne le comprenait jamais. Heureusement que ma langue était là. Je la léchais partout entre les seins, les jambes, le con, le cul, ce que je trouvais pour lui donner du plaisir. Elle savait bien me le rendre en suçant ma bite. Elle aimait le goût de sperme quelle dégustait comme une friandise rare. Elle me le faisait goûter en membrassant pas question que je boude sa bouche à ces instants. Jaurais bien aimé continuer : son père adoptif était muté. Elle est partie après une nuit splendide de baise intense. Jétais mort au petit matin.

(À Suivre)

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