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Mes premiers congés payés – Chapitre 2

Mes premiers congés payés - Chapitre 2



Jeanine sortit avec moi, je lui dis « ce nest pas la peine de venir, je nai quun sac et il nest pas lourd » elle me répondit « si, si en plus je veux voir ta voiture et le coffre pour voir si il est grand, par ce quon parle de changer la notre mais on hésite encore » nous étions arrivés à la voiture, je déverrouillais le coffre et louvrit, je pris rapidement mon sac et dis « tu vois il est pas mal, assez grand et en plus comme je nai jamais grand-chose à mettre dedans jai toujours de la place au cas ou ».

Jeanine se pencha pour mieux voir et attrapant la boule de tissus au fond du coffre me dit « cest quoi ça ? » et avant que jai eu le temps de répondre elle sortit ce quelle tenait à la main, ce nétait autre que mon pantalon et mon tee-shirt encore trempés de lurine de Germaine, Jeanine dit « mais cest trempé, tu ne devrais pas laisser des affaires mouillées dans ton coffre »

Moi « laisses ce nest rien, juste des affaires de rechanges qui ont pris lhumidité »

Jeanine après avoir porté à son nez les 2 vêtements « cest ça fous toi de moi, ça pu la pisse, quest-ce que tu as foutu, tu tes roulé dedans, ils sont complètement imprégnés »

Je lui répondis assez sèchement « mais laisses je te dis ce sont mes affaires »

Jeanine me regarda, me balança une gifle en disant « et dune tu ne me parles pas comme ça, je pourrais être ta mère, et de deux tu vas me raconter ce quil test arrivé et vite fait encore, sinon, cest simple, tu remontes dans ta voiture et tu rentres chez ta mère, je lappellerais pour lui dire pourquoi »

La claque avait cinglé ma joue et javais les larmes aux yeux, je suppliais Jeanine « sil te plaît, non ne fais pas ça, je veux rester quelques jours et surtout que tu ne dises rien à ma mère, jai été agressé sur lautoroute »

Jeanine se calma immédiatement et dit « cest bon, mais tu vas rentrer, tu prends une bonne douche et tu me rejoins sur la terrasse, je profite du soleil dès que je peux et pendant que tu prends ta douche tu laves tes fringues qui puent la pisse et à la main bien sur et ensuite tu viens me raconter ça et on avisera ».

Je baissais la tête et répondis « oui, Jeanine » elle sourit et rajouta « je vois que tu deviens docile, je préfère ça, allez files prendre une douche, je vais ranger tes affaires pendant ce temps là ».

La douche me fit beaucoup de bien, je laissais couler leau chaude sur mon corps après mêtre savonné et jallais arrêter quand la porte de la salle de bain souvrit, Jeanine tira le rideau de douche et furieuse me dit « dis donc je viens de ranger tes affaires, et je vois que tu nas pas de slip, comment ça se fait ? », debout mes mains devant mon sexe je baissais la tête, elle reprit « dépêches toi de mexpliquer ça ou ça va mal se terminer et puis enlèves tes mains, je te rappelle que jai un fils qui a deux ans de plus que toi et que je suis mariée donc je sais ce quest un sexe dhomme », je retirais mes mains et alors quelle ouvrait la bouche pour continuer sa diatribe, elle sarrêta net en regardant mon entrejambe ou pendait mon sexe, après quelques secondes de silence Jeanine dit « tu te rases le pubis, cest très cochon ça, par contre tu es généreusement doté pour ton âge, allez essuies toi et rejoins moi sur la terrasse, et tu amèneras le plateau qui est sur la table de la cuisine ».

Lorsque je fus essuyé, je vis que javais oublié de prendre des affaires, heureusement, ma chambre était en face de la salle de bain, je traversais le couloir en vitesse et entrais dans ce qui allait être ma chambre pendant une semaine, je trouvais mon sac vide et sur le lit un de mes short et un tee-shirt sans manche, jen déduis que Jeanine voulait que je mette ça, je mhabillais puis me dirigeais vers la cuisine où je trouvais sur la table un plateau avec deux verres et un broc plein de citronnade, je pris le plateau et sortais sur la terrasse où Jeanine mavait dit de la rejoindre.

Lorsque je la vis, allongée sur une chaise longue en maillot de bain noir avec deux pièces, je marrêtais net et la regardais, elle était bien en chair soit, mais tout était très avenant, une poitrine que javais deviné opulente et qui létait vraiment, ses seins étaient moulés dans son haut et on pouvait distinguer ses tétons qui faisaient de petites bosses dans le tissu tendu, en bas, le maillot sarrêtait juste au-dessus de son entrejambe et laissait voir quelques poils qui en dépassaient, ce spectacle eut un effet immédiat et sentant que la réaction allait être rapide, je préférais détourner le regard, Jeanine tourna la tête et me vit en arrêt devant elle, « ben il est temps, jai failli attendre, et quest-ce que tu fais là, sans bouger ? Allez racontes moi ce quil test arrivé, je veux tout savoir avec tous les détails et après nous aviserons si il y a quelque chose à faire, tu as confiance en moi jespère ? Je te rappel que jai deux enfants, un qui a 2 ans de plus que toi et lautre 18 mois de moins, je pourrais être ta mère » rouge de confusion, je baissais les yeux, alors que jallais masseoir elle me dit « non, tu restes debout et là où tu es comme ça je nai pas le soleil dans les yeux ».

Javais décidé de tout lui dire et en la voyant allongée dans sa chaise longue, en maillot de bain, avec sur elle juste de quoi cacher ce que javais très envie de voir, je me demandais ce quil allait se passer. Je commençais à raconter avec quelques détails lexcès de vitesse qui mavait amené au relais autoroutier, puis je racontais à Jeanine comment et pourquoi jen étais arrivé à cette agression, lorsque jen fus à la dimension du sexe dAlbert, il me sembla que ses tétons prenaient du volume, Jeanine me posa des questions très précises sur le sexe dAlbert, sa longueur, sa largeur, elle me demanda de le décrire plus précisément, et alors que je mexécutais, je constatais que ses tétons étaient maintenant dressés et bien durs, ils formaient un relief supplémentaire sur le haut de son maillot de bain, et alors que je lui décrivais, avec plus de détails, le sexe dAlbert, une de ses main qui était posée sur son ventre, descendit très lentement vers son entrejambe quelle écartait tout aussi lentement dans lespoir que je ne men aperçoive pas, tout en continuant à parler, je la regardais faire, sans en avoir lair, je vis sa main arrivée sur son maillot et elle passa lentement son majeur sur toute la longueur de son sexe.

Le fait de lui raconter mon histoire me gênais mais de voir sa réaction, commença à mexciter et je sentis que je commençais à bander, lorsque jen arrivais à la description de Germaine, Jeanine me dit « la salope, à cet âge, se balader sans culotte, même moi je ne le fais pas, et elle était très poilue ? » je répondis à Jeanine que le sexe Germaine était entourés dune toison fournie de poils gris et blancs, elle me demanda de continuer alors que sa main caressait doucement son sexe par-dessus son maillot et que je voyais une auréole dhumidité commencer à décorer son entrecuisse.

Dans mon short cétait de la folie, de raconter mon histoire à ma cousine et de la voir excitée au point de mouiller son maillot me fit bander encore plus, et bien évidemment, Jeanine sen aperçu « dis donc petit salaud, tu es entrain de bander, je vois quen fait dagression tu étais peut-être content que ça se passe comme ça, as-tu aimé que Germaine se lâche dans ta bouche et sur toi ? Dis-moi ce qui ta le plus plu et qui te fait bander »

Moi : « Oui jai aimé, te le raconter mexcite aussi et surtout de voir tes seins qui ont lair dêtre tellement durs quon dirait quils vont percer ton maillot et de te voir en même temps te caresser et excitant aussi »

Jeanine se levant dun bond arriva sur moi et me colla une claque « quest ce qui te permet de dire ça, non mais tu nes pas bien, espèce de dépravé »

Moi me tenant la joue et retenant mes larmes : « ben je tai vu faire et ton maillot est trempé alors voilà »

Jeanine se radoucissant : « bon je reconnais que tu mexcites avec ton histoire, et en plus tu racontes tellement bien que jai limpression dêtre juste à côté de vous trois, continues et décris moi le sexe de cette Germaine qui a lair dêtre une fieffée salope »

Alors quelle sallongeait à nouveau dans sa chaise longue, je mexécutais et lui décrivais le sexe de Germaine.

« il est couvert de poils gris assez longs, dailleurs, je navais pas vu de fente aussi poilues depuis longtemps » et là je marrêtais comprenant que je venais de dire une grosse connerie, Jeanine me coupa la parole « comment ça tu nen avais pas vu daussi poilues depuis longtemps, il va falloir que tu mexpliques ça quand tu auras fini, continues » et alors que je reprenais la parole en me maudissant, sa main partit entre ses cuisses pour se caresser par-dessus son maillot.

« elle avait les grandes lèvres qui pendaient un peu, et son clitoris gonflé était assez gros, de plus dès que jai glissé ma langue sur sa fente, elle sest mise à couler presque tout de suite mais sans jouir, et quand elle a jouit, son plaisir avait bon goût et ensuite elle ma uriné dans la bouche, jai dû lessuyer avec ma langue et elle a encore jouit dans ma bouche », je me taisais, et regardais Jeanine qui avait maintenant glisser sa main sous son maillot et se caressait en gémissant doucement les yeux fermés, face au silence, elle rouvrit les yeux et me dit « ben mon salaud toi tu sais raconter les belles histoires et en y mettant la forme, allez on fait une pause et après tu me racontes combien de chattes tu as déjà vu à ton âge et dans quelles circonstances, sers nous un verre et dépêches toi ». Elle sursauta en regardant lheure « merde, il est midi, cest pour ça que jai faim, allez, on va casser une petite croûte vite fait, ensuite tu iras faire une petite sieste et après tu continueras », puis voyant dans quel état jétais, elle rajouta « voilà qui promet un bel après-midi ». Nous mangeâmes rapidement et nous allâmes nous allonger chacun dans notre chambre, évidemment, jeu du mal à mendormir.

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