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Mes premiers congés payés – Chapitre 71

Mes premiers congés payés - Chapitre 71



Je restais derrière la porte fenêtre pour les écouter et Jeanine disait à Germaine « tu ais je ne cautionne pas ce que lui ont fait les personnes qui lont éduqué, mais je reconnais quelles ont fait du super boulot, elles en ont fait un objet de plaisir, tu fais ce que tu veux, il ne dit jamais non, ne rechigne à rien, et pour moi le top cest quand je lui pisse dessus, ça va me manquer ça et aussi, sa langue et sa bite »,

Germaine « je te comprends et je ne sais pas ce quil va se passer avec Albert quand je vais rentrer, mais jespère bien continuer à le voir, il me donne tellement de plaisir, et puis comme toi, jadore me vider sur lui ou dans sa bouche, quand à sa langue et sa bite, cest vrai, cest un vrai bonheur, et je rajouterais aussi son cul, son ptit trou est gourmand de tout ».

Javançais sur la terrasse en faisant mine darriver, mais je fus trahi, une belle érection me devançait, Jeanine éclata de rire et Germaine en fit autant, puis Jeanine me dit « dépêche-toi un peu il ne faut pas que vous partiez trop tard, et je me retiens depuis une bonne dizaine de minutes, jai la vessie pleine et je veux te doucher avec mon urine pour la dernière fois », je pris un air triste et lui dit « je regrette de partir, et que nous soyons aussi éloignés, mais tu pourras peut-être venir voir ta tante, ou Germaine ».

Jeanine me dit « eh bien figure-toi que jy ai pensé, effectivement, maintenant que je vais être seule toute la semaine avec lautre connard, je vais pouvoir partir de temps en temps, déjà je vais commencer par ramener ses affaires à Jacques et voir comment mon abruti de mari va prendre ça, après on verra, de toutes manières je vous tiendrais au courant tous les deux. En attendant en place jeune homme que nous puissions assouvir nos besoins naturels ».

Je descendis de la terrasse et mallongeais dans lherbe Germaine puis Jeanine se vidèrent sur moi et me demandèrent de les essuyer, pendant que je moccupais de Germaine, Jeanine séclipsa, quand elle revint, elle me dit daller prendre ma douche et que mes vêtements pour le voyage était sur le lit, je ne pus mempêcher de faire un tour par la chambre pour voir ce quelle avait préparé.

Sur le lit était posés une mini-jupe rouge, un tee-shirt blanc, et deux boîtes que je mempressais douvrir, dans la plus petite je trouvais un string rouge neuf, le devant était en voile et était transparent, dans la seconde il y avait une paire de ballerine vernies noires, et bien sur la perruque qui ferait de moi une véritable petite salope une fois habillée.

Jallais me précipiter sur la terrasse pour remercier Jeanine quand je me retins et me dis que le plus beau remerciement serait denfiler tout ça avant daller lembrasser.

Je fis ma toilette de fond en comble, me doigtant mon ptit trou pour quil soit bien propre, je vérifiais que mes jambes étaient bien lisses et je mhabillais, lorsque je les rejoignis et sautais au cou de Jeanine pour la remercier, celle-ci avait les yeux humides et me dit quelle espérait pouvoir venir très rapidement me voir.

Jeanine embrassa avec gourmandise les lèvres de Germaine avant quelle naille se doucher et shabiller puis se tournant vers moi me dit « je nai pas mis de soutif aujourdhui, à ton âge, toutes les filles nont pas de poitrine et comme ça cest plus naturel tu vas voir » et elle commença à titiller mes tétons par-dessus le teeshirt, quand ils furent dressés, elle les attrapa et me fis gémir en les pinçant, puis reculant pour voir le résultat de ses caresses, elle éclata de rire en disant « hum, une véritable petite salope en chaleur avec les tétons qui pointent à en traverser le tissus, bon ça cest fait, maintenant je vais te demander une dernière faveur, donne-moi ton ptit trou à lécher une dernière fois avant de partir », Germaine en profita pour séclipser et aller se préparer, je me penchais en avant, prenant appui sur la table, Jeanine sagenouilla derrière moi, je la sentis qui soulevait ma mini-jupe puis écartait la ficelle du string et ensuite, grand bonheur, la douceur de sa langue dans ma raie, puis sur mon ptit trou quelle titilla puis tenta de forcer avec le bout de cette langue gourmande qui allait tant me manquer, je gémis de plaisir, ma queue était tendue dans le string, après quelques minutes de ce traitement, Jeanine remis la ficelle en place et se releva, je gémis et lui dis « tu aurais pu continuer, jadore quand tu me fais ça », Jeanine me souris et dit « merci pour le compliment mon chéri, mais cest suffisant, je te promet quon se reverra très vite.

Germaine arrivait sur la terrasse, sa tenue ne me calma pas, loin de là. Elle avait passé la robe que je préférais, le haut nétait boutonné quà partir du 3ème bouton, ce qui laissait voir sa vallée mammaire et surtout laissait un accès très facile pour caresser ses seins, les boutons suivants étaient fermés, mais seulement jusquà son entrejambe, dès quelle marchait ses jambes nues se découvraient aux regards et je constatais quelle navait pas mis de culotte lorsquelle fit un tour complet sur elle-même et que les pans senvolèrent laissant voir ses fesses et sa fente sans aucun voile, cela narrangea pas mon état et je navais plus quune idée en tête, prendre la route et profiter pleinement de cette splendide femme mure aussi salope, voir plus que certaine femme beaucoup plus jeune.

Après de nouvelles embrassades assez torrides entre Jeanine, Germaine et moi, nous montâmes dans la voiture, et nous laissâmes Jeanine sur le bord du chemin, faisant de grands gestes avec la main pour nous saluer le plus longtemps possible, puis elle disparue de notre champ de vision, Germaine se retourna pour sasseoir correctement, profitant de loccasion pour écarter de chaque côtés de ses jambes les pans de sa robe et laisser à la gourmandise de mes yeux ses cuisses nues et sa fente glabre que jeus, subitement très envie de caresser il nétait que 9h30 et la journée allait être très longue et je lespérais épuisante.

Voyant que je fixais ses cuisses, elle me dit « oh, sil te plaît, regardes la route sinon je range tout », de peur quelle ne mette sa menace à exécution, je tournais mon regard vers la route, ce qui était nettement plus sécurisant pour nous deux, Germaine posa alors sa main sur ma cuisse et en caressa doucement lintérieur en remontant vers mon entrejambe, elle sarrêta juste au raz de mes couilles qui étaient gonflées, puis retirant sa main elle me dit « au fait pendant ce voyage, on va sarrêter, pour boire un coup, ou pour manger, tu préfères mappeler Germaine, ou alors tatie ou encore mammy, cest comme tu veux ? »

Je ne réfléchis pas longtemps et lui répondis « comme tu veux, cest toi qui choisis », elle réfléchit quelques secondes et dit « va pour Mammy, je ne serais pas mécontente que les gens pense que je suis la grand-mère dune aussi belle salope et surtout quils pensent que jen profite allègrement », après quelques minutes de silence elle reprit « au fait il est bien évident que cest moi qui paye tous les frais du voyage, essence, péages, boissons et repas, grâce à toi jai passé un superbe séjour, ce quil sest passé avec Albert serait arrivé de toutes manières et tu ny est pour rien, de plus aujourdhui tu es à moi, et tu fais tout ce que je te dirais, sans rechigner, je suis sur que cela ne te viendrait même pas à lesprit mais je préfère te prévenir que si tu désobéis, je sévirais, tu vas commencer par tarrêter à la prochaine station service pour faire le plein et je veux que tu montres ton ptit cul à tout ceux qui pourront le voir, cest compris », je répondis aussitôt « oui, bien sur, je serais très obéissante », elle sourit, posa sa main très haut à lintérieur de ma cuisse et me pinça en disant « tu as oublié quelque chose ma belle salope », sous la douleur, javais fait une embardée, je redressais la voiture dun coup de volant et je dis « oui, mammy, je serais très obéissant », Germaine sourit et rajouta « voilà qui est mieux ».

Quelques kilomètres plus loin, je marrêtais dans une station service, Germaine rabattit négligemment les pans de sa robe sur ses cuisses, mais sans tout caché, et alors que je descendais elle me rappela à lordre « noublies pas, je veux que tout le monde voit ton ptit cul de salope en chaleur ma chérie ».

Le pompiste était un gamin et il était seul, il profita largement de la vue que je lui offrais sur mon cul en ouvrant la trappe à essence et aussi de celle que Germaine lui offrit quand elle descendit de voiture pour payer, on aurait pu croire que ses yeux allaient sortir de leurs orbites.

Après cet intermède, nous prîmes la nationale jusquà lautoroute en écoutant de la musique.

Dès que nous eûmes passés le péage, Germaine me dit quelle allait essayer de dormir un peu, elle baissa le fauteuil et du coup se retrouva légèrement allongée, moi ce que je voyais, cest surtout quelle était jambes écartées et que javais une vue imprenable sur son sexe.

Quand je doublais le premier poids-lourd de la journée, il y eut un grand coup de klaxon et je compris que de sa position surélevée, le chauffeur venait de voir, au minimum, les jambes grandes ouvertes de Germaine.

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