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Mes premiers congés payés – Chapitre 75

Mes premiers congés payés - Chapitre 75



Je répondis à Germaine que je devais rentrer pour déposer ma valise, voir ma mère, que je navais pas vu depuis 15 jours, et me changer, et que je reviendrais dans la soirée, je lui demandais si je pouvais me changer et laisser les vêtements que je portais chez elle, elle me dit que cétait daccord à condition que pour me changer, je lui fasse un strip-tease.

Je commençais donc à me déshabiller lentement, quand je fus totalement nu, Germaine avait arrêté de pleurer et me dit « tu as été trop vite, ça mérite une punition, alors je te laisse rentrer et tu reviens dès que tu peux, ce soir on va au resto, je tinvite et cette nuit tu vas me faire lamour, jusquà plus soif », devant ce programme, je lui dis que jallais me dépêcher de revenir, je me rhabillais et je partais non sans lavoir embrassé très tendrement.

Arrivé chez moi, ma mère me demanda comment jallais, sachant que le départ de Martine mavait fait beaucoup de mal, et aussi me demanda de lui raconter mes vacances, je lui répondis que Martine allait énormément me manquer et lui racontait partiellement mes vacances reposantes, passées à profiter du soleil et de mes cousins, elle en fut enchanté et me dit « appel Jeanine pour la remercier et lui dire que tu es bien rentré », ce que je fis immédiatement.

Au téléphone, Jeanine me demanda comment sétait passé la route du retour et très succinctement je lui dis que tout sétait bien passé, ma mère nétait pas très loin, je rajoutais que jallais passer la soirée avec Germaine car elle nallait pas bien. Quand je raccrochais ma mère me demanda qui était Germaine et pourquoi elle nallait pas bien, je lui répondit que cétait la femme de mon collègue Albert et quen rentrant elle avait trouvé un mot de ce dernier lui annonçant quil partait de la maison, ma mère me dit alors de me dépêcher de la rejoindre pour la réconforter, et me demanda quand je rentrerais car mes amis Anne-Marie et Noël avaient appelé pour savoir quand je rentrais et avaient demandé que je les rappel dès mon retour, je répondis que je les rappellerais le lendemain soir en rentrant, puis jallais prendre une douche, me rhabillais en oubliant bien sur de mettre un slip et repartait chez Germaine qui habitait à ½ heure de route.

Lorsque jarrivais chez Germaine, celle-ci mattendait, elle sétait changée elle aussi et avait mis un corsage sous lequel on devinait une absence de soutien-gorge et une petite jupe qui sarrêtait juste au-dessus de ses genoux, après mavoir embrassé et remercié dêtre revenu rapidement, elle me dit « jai besoin dun conseil », je lui demandais lequel, et attrapant quelque chose sous les coussins du canapé, elle tendit ses deux mains en avant en me disant « lequel je mets ? », il sagissait deux strings, lun était rouge vif et lautre noir, je la regardais en sentant une réaction immédiate dans mon pantalon et je lui demandais « donc tu nas rien sous ta jupe ? » sa réponse, un simple sourire, fut aussi explicite que si elle avait parlé, je lui répondis en sentant mon sexe qui commençait à tendre le devant de mon pantalon « ben pour moi cest bien comme ça et si tu as froid, tu me le diras et je te réchaufferais », elle jeta les 2 strings par-dessus ses épaules, sassit dans le canapé en écartant les jambes et dit « jai froid ».

Je me laissais tomber à genoux entre ses jambes et sortant ma langue, je la faisais remonter doucement à lintérieur de sa cuisse, Germaine se mit à gémir « oui, fais moi du bien avec ta langue, mon chéri, jai besoin de tendresse, jai besoin que tu toccupes de moi pour oublier un peu le départ dAlbeeeeert » je venais datteindre sa fente et de passer ma langue sur toute sa longueur, Germaine était déjà bien humide et après lavoir dévoré quelques minutes, elle jouit une première fois dans ma bouche, je bu son plaisir et recommençais à la lécher quand le téléphone sonna.

Cétait Albert, et alors quelle lui demandait pourquoi il était partit, elle appuya sur ma tête pour que je continue ma caresses buccales, en quelques minutes elle gémit et jouit à nouveau et apparemment Albert lui demanda ce quelle avait, elle lui répondit « je viens de jouir dans la bouche du gamin et je vais continuer toute la nuit avec lui » et elle raccrocha brutalement.

Après avoir jouit une nouvelle fois dans ma bouche et que jeus essuyé correctement, elle me demanda darrêter et me dit « allez on va manger, on continuera après » et je rajoutais « ou pendant » qui la fit sourire.

Comme je me relevais, Germaine saperçu de mon état, la bosse qui déformait mon pantalon était significative, elle la caressa et dit « hum, jadore te voir dans cet état, jaime que tu bandes pour moi », je remettais un peu dordre dans ma tenue en déplaçant mon sexe de manière à ce que mon érection soit moins visible et nous sortîmes de la maison, le resto était à quelques centaines de mètres et nous y allâmes à pieds, Germaine avait pris ma main pour faire le chemin.

Pendant le repas, Germaine parla beaucoup dAlbert, elle était triste et cela se voyait, quand le dessert arriva, elle sourit et dit « bon après ce dessert, on rentre et je vais prendre mon vrai dessert dans la bouche avant de le mettre partout où il voudra aller et disant cela elle avait posé sa main sur ma cuisse, la faisait remonter pour atteindre la bosse qui déformait toujours mon pantalon, elle me caressa doucement en disant « hummmm, je sens que je vais adorer le reste de la soirée », puis elle demanda laddition la régla et me dit « vite à la maison que tu me la mette partout ».

La nuit fut très chaude et nous nous endormîmes dans les bras lun de lautre.

Le lendemain matin, après lui avoir fait lamour, je rentrais chez moi après lui avoir promis de revenir la voir souvent.

Voilà comme se passèrent mes premiers congés payés, une débauche totale, de nouvelles pratiques, et de nouvelles connaissances.

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