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Mes vacances en club – Chapitre 1

Mes vacances en club - Chapitre 1



Cétait un de ces clubs de vacance, les pieds dans la Méditerranée, dans lequel les familles viennent passer une ou deux des semaines pénibles dhiver. Jy étais allée avec mes parents.

Comme souvent dans de telles escapades, les vacances sont loccasion pour la famille dapprendre à vivre chacun de son côté. Mes parents se délectaient de lhôtel et des excursions, je préférais traîner à la plage. On se retrouvait le soir pour un repas en commun, histoire davoir des souvenirs à partager.

Ah, la plage Grande et belle, chaude Ce club nétait pas très cher, et attirait une clientèle diversifiée, dont de nombreux jeunes hommes venant en groupe de copains. Ah, la plage En ignorant les Allemands bedonnants en tongs et chaussettes, on y avait vraiment une vue appétissante ! Javais détecté quelques cibles, et au bout de la première après-midi, je savais déjà à qui javais envie de demander de me frotter le dos dhuile solaire.

Toute occupée au bronzage, je passais mes journées à faire des aller-retours entre le sable et le bar de plage, meilleur endroit pour se faire aborder. Malgré mon maillot de bain que je savais irrésistible, ces petits triangles de tissus noués par une ficelle sur les côtés, je navais pas encore rencontré le mec qui m’offrirait la première aventure sexuelle de mes vacances.

Jétais là, assise sur un tabouret de bar, à déguster encore un cocktail, lorsquun groupe sapprocha. Ils étaient plutôt jeunes, de mon âge, et, je parierais, un peu éméchés. Mais plutôt bien foutus, les abdos lisses de leur jeune âge que jaime tant, la peau bronzée, matte en fait.

Ils mabordèrent, me firent les compliments dusage pour briser la glace, et devinrent même entreprenants. Pendant que lun demandait au serveur de me remettre un verre, deux autres mencadraient, et trois de leurs amis restaient derrière. Tous parlaient en même temps, excités. Lorsque le serveur amena mon verre, lun de ces garçons trinqua avec moi.

– A madmoizelle qui est très sexy !

Les autres acquiescèrent bruyamment. En trinquant, celui juste devant moi sétait habilement placé dans lespace entre mes genoux, me forçant à garder les jambes écartées. Il était très proche de moi. La hauteur du tabouret mettait mon sexe juste à la hauteur du sien, de sorte qu’un spectateur lointain aurait pu croire qu’il était en train de me prendre. Ses copains formaient maintenant une sorte de pack tout autour de nous.

– Sérieux, tes tellement belle, jte niquerai là tout de suite ! En plus, jai grave envie.

– Ici, sur le tabouret, devant les gens ? dis-je en espérant le voir se dégonfler.

– Ouais, là, jte prends comme ça !

– Ca va, arrête ton délire !

– Quoi, tu mcrois pas ? Sérieux, jai trop envie, là, tu mfais trop deffet !

Et joignant le geste à la parole, il sort habilement son sexe de son caleçon de bain. Il était plutôt long, pas encore complètement tendu mais déjà en bonne forme. Il se posa sur ma cuisse.

– Tu vois, jme la raconte pas, hein !

Éberluée, décontenancée, je regarde ce pénis, me rappelant que je nen avais pas tellement vu ces derniers jours. Une vague chaude menvahit, comme la petite ivresse qui nous pousse à faire des choses stupides. Je pose la main sur son sexe, le caresse doucement, le sens durcir.

– Elle te plaît, ma teub, cest bien parce que tu lui plais aussi !

Je continuais, hypnotisée. Presque ne sentis-je pas les ficelles de mon slip se dénouer. Ses copains à luvre, la solidarité mâle sans doute. Je me retrouvais avec la chatte à lair, une bite tendue dans la main, et une folle envie de laisser faire quelque chose de stupide.

Et en face de moi, un mec décidé, pas moche, mais pas mon genre. Javançais mes fesses vers le bord du tabouret, et écartais encore plus les jambes en basculant mes hanches pour moffrir totalement. Il caressa mes poils, et commença à explorer ma fente avec son pouce. Il le fit glisser plusieurs fois, avant de le rentrer dans mon vagin, autant qu’il pouvait. Je sentais son doigt bouger en moi, m’explorer, pendant que sa paume s’écrasait sur mon clitoris. Mes lèvres s’écartaient à mesure qu’il s’enfonçait, son doigt prit rapidement la température de mon intérieur brûlant. La situation inattendue, excitante, me fit mouiller plus et plus rapidement que d’habitude, même si je ne suis pas le genre de fille longue à chauffer.

– Ça mouille grave, hein, bébé Je vais baiser ma petite bourge, tu le sais…

Il s’approcha de moi et me lécha le visage, sa langue épaisse et insistante se retrouva rapidement dans ma bouche. Je sentais le goût de l’alcool et du tabac dans sa salive alors qu’il enfonçait sa langue en cherchant la mienne. Il n’y resta pas très longtemps, puis, toujours concentré sur ce quil faisait, aspira un grand coup et cracha sur ma vulve. Son crachat atterrit directement sur la naissance de mes lèvres, coulant et dégoûtant. Il le répartit habilement tout le long de ma fente en se servant de son gland comme dun pinceau. Après sêtre assuré que tout était bien humide, il se rapprocha encore de moi, ses hanches intrusives écartant mes jambes encore un peu plus, et pressa son sexe sur lentrée de mon vagin. Le gland se replia un petit peu sous cet effort, mais mes lèvres finirent par céder et sécartèrent. Son sexe sembla se ruer dans le mien, sous l’effet de cette ouverture soudaine et de sa poussée décidée. Il força un peu plus encore le passage pour faire rentrer sa bite aussi loin quil le pouvait. A chaque poussée, elle senfonçait plus, jusquà ce que le mouvement devienne entièrement fluide. Maintenant, elle glissait bien, jajustai la position de mes hanches pour lui faciliter la copulation, mes mains crispées sur le tabouret. Je sentais ses testicules contre mon cul quand il était entièrement en moi. Nous étions tous les deux hypnotisés par le mouvement de son sexe dans ma chatte, par le petit clapotis lorsquil le sortait presque entièrement pour mieux le repousser. Je mabandonnais complètement à son rythme, à ces sensations, à cette idée bête que javais eue de me laisser faire. Ses mains puissantes se crispaient à mes hanches, il me tenait, me baisait, m’avait marqué de sa salive et me possédait par son sexe.

Il continuait sur une cadence régulière, à explorer mon corps du plus profond quil pouvait, faisant coulisser son pénis sur toute la longueur. Il avait une certaine dextérité à sortir son sexe entièrement puis à le remettre dedans, sans le guider avec sa main. La brusquerie de la chose, sa soudaineté, mempêcha de penser même à jouir, toute concentrée que j’étais à ne pas crier de plaisir. Je nétais à ce moment que le réceptacle volontaire de ses coups de boutoir. Pendant qu’il me prenait, il m’ouvrit la bouche avec son pouce, y glissa rapidement sa langue, puis s’en éloigna et me cracha dedans. Je sentis sa salive emplir ma bouche. Il cracha une deuxième fois, mais il rata sa cible et j’en eu juste sous le nez. Il rassembla ce second cracha avec son pouce et le poussa dans ma bouche, puis, par un geste assez directif, me força à tout avaler. J’étais dégoûtée, mais aussi intriguée par cette emprise qu’il avait sur moi. Je sentais ses crachats passer dans ma gorge, me donnant un haut le cur, alors qu’une voix en moi murmurait « encore »…

Au bout dun moment, la cadence changea, et au lieu de me faire profiter de toute la longueur de son sexe, le poussa au plus profond de moi et appuya très fort sur mes cuisses écartées. Il pressait aussi fort quil pouvait dans des petites contractions de plus en plus désordonnées. Je levai les yeux, constatais quil regardait toujours le spectacle de ma vulve accueillante. Il avait lair très concentré. Presque frénétique. Je sentis les contractions de son membre, mais il se retira tout aussitôt et moffrit une éjaculation puissante, en deux traits bien véloces suivis de gros jets plus apaisés. Son sperme gicla jusquentre mes seins, mais il déposa lessentiel sur ma toison intime. Il était épais, très dense, dun blanc immaculé. Au fur et à mesure que mon pubis se gorgeait de son sperme, lexcédent coulait le long de mes petites lèvres encore grandes ouvertes, pour terminer sur mon maillot de bain qui nétais plus quun linge ouvert sur lequel jétais assise.

Il secoua son sexe et se lessuya sur ma cuisse avant de le remettre dans son caleçon de bain. Javais complètement oublié pendant ce court laps de temps la présence de ses amis autour, sans doute navaient-ils rien raté du spectacle. Jespérais juste quils nattendaient pas de moi que je les fasse jouir un par un. Mais manifestement, le plan était rôdé, il disparurent presque en un éclair. Je me retrouvais seule, me demandant encore ce qui sétait passé.

Puis je me rendis compte que javais les cuisses grandes ouvertes, du sperme sur la chatte et entre les seins, et mon intimité exposée au soleil. Je remis très vite mon maillot de bain, le nouant sur mes hanches, et scrutai si jamais quelquun mavait vue dans cette position.

Je les voyais partir au loin, encore excités par ce quil avait fait et ce quils avaient vu. Celui qui mavaient saillie sarrêta un instant, fit des grands gestes, puis je vis un de ses amis lui tendre ce que jidentifiai comme un billet. Alors que je sentais encore sa semence humidifier mon sexe et le goût de sa salive dans ma bouche, je comprenais que javais été lobjet dun vulgaire pari entre potes. Je me levai et traversai la plage bondée, avec du sperme entre les seins et mon maillot de bain maintenant visiblement gorgé de sa semence, pour aller me laver dans la mer.

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