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Mes vacances, Monsieur G. – Chapitre 2

Le réveil des sens - Chapitre 8



Sur le chemin qui séparait son chalet du mobil-home de mes parents, je tentais de retrouver une logique, moi, la rebelle, la forte tête, je venais de me faire engourdir le cul, de me faire maltraiter la rondelle et j’avais permis à cet homme de me parler d’une façon que je n’aurais même pas permise à mon beau-père..

Je pourrais choisir de tout dire, balancer ce porc qui m’a humilié mais non, quelque chose me poussait à obéir à son ordre, munie de mon petit matériel, j’entrais dans le mobil-home.

"Tu as vu l’heure Laura? Ou étais-tu donc passée? Me demanda mon beau-père.

— Je m’excuse Michel, je me suis endormie sur la plage.. Répondis-je dans l’urgence.

—  Mouais… Va te doucher et file dormir, demain nous nous levons tôt pour la randonnée."

J’accedais silencieusement à la salle de bain, maman dormait déjà, je mettais l’eau en route et ouvrais ma valisette.. Il y avait une lettre manuscrite avec les objets : 

"Laura, ma putain.

Tu trouveras ci-joint le matériel indispensable pour te démonter ta petite moule. Tu disposes de trois godes de tailles différentes, le dernier de 29 sur 7 devra être accepté dans son intégralité par ta chatte, je ne discuterais pas ce point.

Laura, je veux que tu te fourres durant ces 48h, que tu t’élargisses, utilise tous les moyens qu’il t’est possible d’utiliser mais je veux une chagatte écartelée, baise-toi Laura, le temps t’est compté désormais.

Monsieur G."

Ces quelques mots avaient de nouveau fait luire ma fente, je sentais des picotements dans le bas ventre, je me fouillais la culotte, je secouais mon clito frénétiquement jusqu’à ce que je jouisse comme une petite salope, épuisée, je pris ma valisette et m’ecroulais de dans mon lit.

7h. 

"Laura debout, ça fait une demi-heure qu’on tente de te réveiller..

— Michel, fous moi la paix, j’m’en tape de ta rando de merde, je reste couchée!!

— ok Laura, mais reste correcte, j’suis pas ton copain moi!!

— Allez casse toi, putain mais casse-toi…!!!!"

Mon beau-père, excédé, claqua la porte, pour ma part, j’étais désormais réveillée et seule, j’allais pouvoir obéir à ma mission, à l’ordre de Monsieur G.

Je décidais de me mettre en conditions, j’étais une pute soumise, il fallait que j’en ai l’allure, je me faisais des couettes, enfilais un t-shirt blanc court moulant sans soutien-gorge et une jupe très courte, version kilt, piquant pour l’occasion les escarpins de maman, regard dans la glace : je ressemblais à une vraie putasse, la moule pucelle prête à se faire remplir, je me sentais comme une prostituée de bas étage, une chienne docile..

Je pris le premier gode, l’apprehension, je commençais à astiquer mon bouton qui enflait sous la pression du petit gode… J’avais peur mais je partais dans des délires où j’imaginais Monsieur G me goder violemment et sans ménagement… 

Mais coupée du monde réel pour mon monde de perversité, je n’avais pas entendu que quelqu’un était entré…

"Aaaaah, voilà pourquoi tu ne voulais pas venir, ok, je comprend mieux, c’est ta mère qui ne va pas se remettre de ça!! Sa fille chérie qui ressemble à une vulgaire pute de quartier, j’te prend la main dans le sac là, bravo Laura!!!! Charmant spectacle pour un père!"

— Déjà t’es pas mon père. Repondis-je honteuse et décontenancée..

— Je t’ai élevé moi petite connasse pour voir quoi? Et pour entendre quoi? 

— Allez ta gueule Michel, ça me saoule!!

— Tu plaisantes? Ta gueule qui? Toi ta gueule Laura, maintenant ta gueule et allonge toi et écarte moi tes pattes, et tu la ferme cette fois ta putain de gueule, tu veux faire la grande à te ramoner, je vais te faire voir deux ou trois choses moi!!

— Michel, va te faire enculer, dégage!!"

Je pris une méchante gifle, mon beau-père me poussa dans le lit, il écarta mes jambes qu’il bloqua avec ses genoux, prit le gode de 18 sur 5 dans sa main droite et cracha sur ma chatte, il me malaxa la moule brutalement.. 

"Aahh je ne suis pas ton père? Tu refuses une sortie en famille pour te pilonner, je vais t’apprendre moi, les bonnes manière ma fille!!!"

Il mit le gode au bord de ma moule, le tournait, ma cavité honteuse et avide d’être remplie, mon beau-père bandait ferme dans son short, je sentais le gode qui gagnait son chemin, puis… Il força, je pris 10000 volts dans le ventre, j’avais mal, je ne sais plus..

Mon beau-père me ramonait de plus en plus vite, je ne le reconnaissais plus, mon beau-père était en train de me goder, de me violer la moule sans ménagement, il était comme fou : 

"Ahaahh, tu es bien plus salope que ta mère, je te gode ma fille, et tu vas fermer ta gueule et tu m’appelleras Papa maintenant sale pute à godes, j’te jure que je vais t’engoder ton trou moi, jouis pineuse de godes, jouis ma fille, jouis pour papa!"

Il y allait fort, il y allait vite, je sentais des choses étranges, comme si dans le bas de mon ventre tout se rétractait, comme si l’intérieur de ma chatte souillée par Papa allait exploser… Puis, en 10 secondes, je sombrais, eradiée de ma moule à ma tête, je jouissais pour de vrai, ma moule semblait vouloir garder le gode. Je repris mes esprits, honteuse, excitée, je ne sais plus trop ou j’en étais.. 

Mon beau-père me planta le gode dans la bouche, fit quelques va-et-viens puis me dit :

"Nous le savions que tu serais bonne élève Laura, mais tu es encore plus putain que ce que nous imaginions.

Je dois te visser le plug au fond de ta chatte, ma fille, laisse ce plug deux heures durant et ramone-toi ensuite avec le gros gode, déchire toi la moniche mon enfant, je me branlerais ce soir à côté de ta frigide de mère en pensant à sa fille qui a la moule remplie par un gros pilon, et le cul pluggué, je me branlerais jusqu’a jouir. À plus tard ma fille.."

Mais qu’arrivait-il? Mon beau-père, Monsieur G, j’avais été soumise comme une merde, comme une chienne, dépucelée au gode par mon beau-père et j’avais joui, oui, j’avais joui et j’aurais même aimé que Papa m’enfile son nud dans ma chatte, qu’il me bourre la fente, j’ai aimé de devoir l’appeler Papa, être humilée par mon Papa. Je ruisselais à nouveau, la chatte palpitante et demandeuse de cette énorme fausse queue… Je m’en saisis puis me rappela que je devais garder le plug dans ma moule pendant 2h… 

J’atteignais mon clito gonflé à bloc, sensible, une praline bien enflée et toute ronde, je faisais quelques pressions sur ma mini- queue, puis, entre deux doigts, je secouais ce clito de pute au rabais que j’étais devenue, je me touchais les mamelles à peines finies, je triturais mes bouts qui pointaient, j’imaginais que c’était Monsieur G qui me moulinait le clito et Papa qui me sculptait les tétines.. 

Je finis par jouir, clito en transe, je tombais, fatiguée, épuisée, sommeil lourd chargé de godes et de mots crus…

À mon réveil, mes parents étaient rentrés, je filais m’apprêter pour être présentable à table ; chemisier court noué sur le nombril, jupe courte noire et talons de maman, je sortais ainsi de la salle de bains.. 

"Mais ma Chérie, ou vas-tu comme ça?

— J’ai à faire maman, invitée à une soirée ehh oui!!!" 

— Ahhhh les jeunes! " Se désespéra Maman qui fut toujours très coincée et pas très moderne.

Je pris le dîner sur le pouce, pris le gros gode dans un sac à main et je partis vers les sanitaires du camping, je devais me défoncer et je voulais être tranquille, je décidais de me rendre dans les anciens sanitaires, ils étaient à l’abandon total, j’aurais du temps et de la tranquillité pour me baiser et élargir totalement mon trou… Je me mis dans les douches, l’endroit donnait presque le frisson mais la jeune pute que je suis ne mérite pas mieux que des sanitaires lugubres pour devenir une putain souillée.

Dans cet endroit obscur, je sortais le gode, j’avais décidé de rester debout, légèrement fléchie et les jambes bien écartées. Je ne cherchai pas à réfléchir, je mis du gel lubrifiant sur le gode et me fourra la pine en plastique dans ma chatte avide… 

Il me fallut 7mn pour que ma grosse pine explose ma chatte au complet… Je fus sortie de ma torpeur en entendant : 

"Laura, dans 10mn chez moi!!!"

Le ton sec et directif de Monsieur G!!! Ça me fit frissonner de peur, d’envie, pourquoi abrégeait-il le rendez-vous qui n’était que demain soir? Que se passait-il?

J’arrivais à son chalet, tremblante…

"Assied-toi Laura et tais-toi! Ecoute moi! Première question Laura : qui t’as dépucelé ta moulette?

-Euuh…. Euuuuh, Monsieur G, ça ne s’est pas passé comme prévu mais je vous promet que ce n’est pas ma fau..

-Ta gueule Laura, ça je le sais, ton beau-père t’a démoniché au gode petite pute? Oui ou non Laura?

— Oui Monsieur G.

— Michel était prévenu, il a désobéi et ça ne me plaît pas, je vais devoir sanctionner cela vite.

— Mais Monsieur G, vous connaissez mon beau-père? Je ne comprend pas…

— Écoute bien Laura, ton beau père est une merde, soumis à souhait, chaque année, lors de vos vacances, je lui éduque le cul, la bite, il ne touche pas à la mienne, moi je lui éduque sa prostate, son gland, je l’humilie et il est excellent élève mais il doit être corrigé par tes soins pour son initiative inacceptable. Je vais le convoquer de suite."

J’etais stupéfaite, Michel le fort, l’homme de la maison, était une pute tout aussi soumise que moi… Et il m’avait emmené dans son monde sans que je ne me rende compte..

Michel passa la porte du chalet, l’expression du visage de Monsieur G avait changé, une sévérité sans précédent :

"Michel ma fiotte soumise, tu as engodé ta fille sans mon accord? Tu vas être puni pour cette liberté que tu t’es pris. Laura, tu n’as rien fait pour empêcher ça et tu en as joui, tu seras punie tout autant! Vous êtes deux salopes et vous allez dorénavant être traités comme il se doit.

Laura, donne le gros gode à ton Papa. Michel, tu vas engoder ta fille, je veux que vous vous comportiez comme père et fille, je veux que tu corriges ta fille pour sa masturbation au gode que tu as surpris, Michel, je te veux ferme et sans pitié. Maintenant!"

Papa m’attrapa par les cheveux, me jeta sur le même canapé miteux, m’arracha le chemisier et souleva ma jupe

"Il semblerait que j’ai élevé une trainée qui se satisfait la moule sous les yeux de son père, je vais t’la bousiller moi ta chatte de petite fille, je vais t’embrocher ta boîte à queue sale putain, depuis le temps que je me paluche le zobe en pensant à tes nibards de pucelle, je vais te détruire ton trou de pute moi!!!!"

Il attrapa cet énorme gode et sans ménagement, démonta ma grotte, je sentais cette bite écarter les parois de ma chatte, mon souffle était court, j’adorais cet énorme pieu dans mon con d’à peine 17 ans, papa me formait ma petite moniche, c’était bon..

"Ouiii Papa, baise ta fille, papa, démonte moi, vas-y papa, je suis une merde soumise, papa je vais jouir, oui papa.. Ouiiii" 

Je jouissais comme une chienne, ma chatte béante et transpirante par les assauts de Papa…

"Stop! Ne rangez pas ce gode. Laura, tu vas enculer ton Papa puisque ton Papa aime se faire prendre sa boîte à bites, ton papa en a vu des bites, il en a pris dans son cul plus que sa propre femme!!

— Mais Mons….

— Ferme ta gueule sale merde de Laura, une pute se comporte comme une pute, tu fais ce que je te demande et tu fermes ta gueule, encule le, son cul en palpite déjà de se faire prendre le fion par sa fille!

— Bien Monsieur G.."

Mon père se mit en position, j’avais le gode en main..

"Paluche lui la bite un peu!".  Je prenais la bite de papa, je jouais avec son gland, faisant des petits mouvements circulaires, je sentais la queue de Papa durcir..

"Gode-le maintenant! Démonte lui la prostate, attend je viens le lubrifier un peu!!"

Monsieur G se leva, pris de l’huile de cuisine et lui en balança sur le rondelle, il lui enfonça quelques doigts en les tournant, Papa couinait comme une bonne soumise. "Gode ton papa Laura maintenant! D’un trait!!"

Je n’hésita pas. De toutes mes forces de jeune fille, j’étais en train de le mettre à fond, à deux mains, je faisais entrer et ressortir une grosse queue dans le cul de Papa, il en prenait plein le fion et il aimait ça :

"Baise ma fille, baise plus vite, baise la chatte de ton papa, baise, vas-y baise ma petite salope, hummmm."

Mais Monsieur G en avait décidé autrement,  il se leva, me poussa et fit assoir mon père, gode encore au fond du cul, ce qui lui soutira un cri énorme, il appuya sur ses épaules, papa, poussa encore un cri rauque, le releva et lui appuya de nouveau sur les épaules, ce qui fit bander dur la queue de papa.

"Regarde Laura, je vais juste tenir la queue de ton chien de Papa avec deux doigts, juste lui tenir fermement le gland et il va jouir comme un bleu en hurlant comme un gosse"

Monsieur G prit le gland de Papa avec deux doigts et de l’autre main, posée sur son épaule, il lui faisait faire de petites secousses, papa couinait comme une femelle, il suppliait Monsieur G de le branler, il tremblait, presqu’a en pleurer.. 

Je vis la bite de Papa se raidir puis sortir une dose de jus bien abondante. Monsieur G avait raison, Papa avait joui sans branle. 

Sans aucune politesse ni même la moindre courtoisie, Monsieur G dégagea Papa de son chalet, je me retrouvais seule à nouveau avec Monsieur G, il se tourna vers moi : 

"Laura, tu es désormais ouverte et dilatée, tu es officiellement ma putain, tu es la plus jeune des putains que j’ai eu, mais toi, je vais t’humilier, te souiller, tu n’as pas la moindre idée de tes capacités de chienne. 

Encore une chose Laura avant de te laisser à un sommeil réparateur, viens t’asseoir entre mes jambes que je sente ton cul sur ma queue!"

Sans dire mot, Monsieur G était assis sur son canapé, jambes écartées, je m’assied à mon tour entre ses jambes, prenant soin de placer mes fesses au contact de sa bite, il resta comme ça quelques secondes puis commença un mouvement de branle lent, je sentais son zobe enfler, il commença à me malaxer mes menus nibards, pinçant sèchement les tétines raidies en continuant sa branle dans le bas de mon dos.. Puis je sentis quelque chose de froid sur mes tétines, Monsieur G avait installé des pinces métalliques sur le bout de mes miches, douleureux et bon à la fois..

Je sentais le branle de Monsieur G dans mon dos s’intensifier, sa bite frottait mon dos rapidement pendant que maintenant, il descendait ses deux mains sur ma chatte..

"Veux tu que je branle ta moule Laura?

— Oui Monsieur G, s’il vous plaît"

Il commença à me branler ma noisette, jamais je ne m’étais masturbée le clito comme ça, il me branlait ma cerise comme un Dieu.

"Dis moi que tu es ma chose Laura!

— Je suis votre chose Monsieur G!

— Dis-moi que tu es une merde Laura et que ma merde fera tout ce que je désire?

— Oui Monsieur G, je suis votre merde, je ferais tout, salissez-moi comme une merde, je veux être votre objet, votre sac à foutre et à pisse Monsieur G. Je suis votre merde oui!

— Bonne pute Laura, te salir? Vu que tu ne me donnes aucune limite, je vais faire de toi ma chose."

Puis son branle reprit bien plus vite, il se branlait dans le bas de mon dos, j’aurais voulu qu’il me démonte le cul mais il me bousillait ma jeune moulette, mon clito et mes nichons entravés étaient gonflés, il accentua la branle de mon clito, je n’en pouvais plus, lui, il se crispa et lâcha sa purée dans mon dos, moi, je jouissais en même temps que Monsieur G arrachait les pinces de mes tétines saillantes. Il me poussa violemment au sol :

"Il est tard, rentre te laver, et dors.

Demain, une initiation spéciale t’attend, tu veux être un sac à foutre et à pisse, tu es une merde. Demain, le patron de ce camping et moi-même avons besoin d’une pute à souiller, quelques personnes auront besoin de tester à quel point tu es docile Laura, je te veux reposée et ouverte, tu prendras soin après ta douche d’installer ton plug anal et le plus gros gode dans ta petite moule, mets une culotte bien serrée pour maintenir tout ça, tu les ôtera juste avant de venir me rejoindre dans le bureau du patron, des questions Laura?

— Non Monsieur G.

— Ah oui, une dernière chose Laura, 30mn avant de nous rejoindre, tu avaleras un litre d’eau et tu n’iras pas aux toilettes, c’est compris Laura?

— Oui Monsieur G, j’ai compris.

— Alors rentre chez toi. Soit à l’heure demain. 21h Laura, 21h précises. À demain Laura."

Je rentrais, épuisée, les seins et le clito en feu, j’étais devenue sa pute, sa merde, il me tardait d’être à demain.

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