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Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 27

Mélanie, étudiante à Bordeaux - Chapitre 27



Don s’allongea devant Anita, jambes tendues ; elle se retrouva juste devant le scrotum épilé du grand Noir, aussi sortit-elle une langue timide pour lécher la peau fine enveloppant les lourds testicules. « Dieu merci, songea-t-elle, il ne sent pas le putois négligé. C’est déjà plus appétissant comme ça, et si je peux oublier un instant la verge qui taraude mes reins » Se décidant, elle leva une main pour saisir la bite de Don, la ployer et la guider vers sa bouche. Elle dut s’employer pour l’avaler à moitié et commença à la pomper vigoureusement. À cet instant, elle faillit la mordre car Freddy venait de donner un solide coup de reins qui le propulsa plus loin dans l’anus distendu.

Pressentant une nouvelle tentative de révolte, il maintenait fermement ses hanches ; Anita comprit la situation et conserva sa position offerte. Pour la "récompenser", Freddy donna une claque sèche sur le fessier tendu, suivi d’une seconde tout aussi forte. La jeune fille gémit et se tortilla, mais sans chercher vraiment à s’échapper.

Tu as l’air d’aimer les fessées, dis-moi

Tu peux continuer, Fred ; tant qu’elle suce ma queue aussi bien.

Tout le monde est d’accord ? Dans ce cas

Il commença à se mouvoir sur un rythme très lent dans le fondement de la jolie brune, tout en administrant une fessée du plat de la main. Gauche, droite, gauche Sans recul, les coups n’étaient pas très puissants ; pourtant, ils claquaient fort et les fesses prirent rapidement une coloration rouge vif. Anita choisit de se concentrer sur la colonne de chair noire qui gonflait et durcissait dans sa cavité buccale. Et qui, insensiblement, s’enfonçait toujours plus loin car Anita était régulièrement projetée en avant par les coups de boutoir de Freddy dans ses reins.

Allez, c’est bon ! commenta ledit Freddy. Je suis à fond. Comment ils disent, les Français ? « Tou la sens, ma grosse bite ? »

Elle a la bouche pleine, mon ami. Mais à voir la tête qu’elle fait, elle la sent bien.

Freddy, en bon professionnel, pilonnait l’anus d’Anita sur un tempo régulier et profond qu’il savait pouvoir tenir des heures. La sueur commençait à ruisseler sur son visage buriné et sur son torse, tombant goutte à goutte sur le dos cambré de la petite brune. Celle-ci ne protestait plus ; elle se laissait posséder sans aucune réticence, et il s’émerveillait comme toujours de voir son épais mandrin coulisser entre ses petites fesses musclées. Il accéléra un peu, pour le plaisir de l’entendre gémir ; Don lui fit un clin d’il et, d’une main sur la nuque d’Anita, l’obligea à avaler toute sa colonne d’ébène.

Surprise, elle se retrouva lèvres collées au pubis du grand Noir. Réussissant à contenir la nausée, elle saliva abondamment, en revanche ; quand il la libéra, elle laissa couler un flot de salive qui ruissela sur la bite et le scrotum de Don. Reprenant son souffle, la jeune fille lui sourit pour le remercier de l’avoir lâchée dès qu’elle avait commencé à paniquer.

Tu veux changer ? proposa Freddy.

D’accord ; j’ai envie d’essayer son petit cul.

Il est encore un peu serré, tu verras. Bien chaud, souple et accueillant.

Manifestement, Anita n’avait pas son mot à dire. Une minute plus tard, Don forçait ses reins avec son gros mandrin luisant de salive. Il avait auparavant déposé une noix de lubrifiant au centre de la rosette béante qui accueillit son membre sans difficulté excessive. Tout de suite, il commença à le défoncer à coups puissants qui arrachèrent des râles plaintifs à la jeune fille. Mais Freddy lui présenta sa verge luisante et odorante devant elle et força ses lèvres sans lui demander son avis.

Tiens, nettoie ma grosse queue, petite salope ; et avale jusqu’au bout. Lèche mieux, et pompe plus fort. Allez, Don, démolis son coul, explose-le, accélère. Je sais qu’elle aime se faire enculer : ce n’est qu’une chienne, comme Mélanie et Sandrine.

Le bassin de Don claquait de plus en plus fort contre les fesses d’Anita ; croché fermement aux hanches de sa victime, il la sodomisait à une cadence infernale. Ruisselant de sueur, il maintint son effort plusieurs minutes avant de se vider en criant. Puis il s’écarta, libérant la jeune fille et s’allongea sur le dos, la respiration sifflante. Ce que voyant, Freddy prit sa place rapidement et investit à nouveau l’anus béant de son mandrin.

Anita trouva la force de pousser un petit cri plaintif comme il s’enfonçait dans ses reins, mais elle était domptée désormais ; son ventre ruisselait des preuves de son plaisir. Se propulsant en de bestiaux coups de boutoir, il contraignit son amante à s’allonger sur le ventre. Bien cambrée, les jambes serrées, elle poussait des gémissements aigus à chaque enfoncement dans ses entrailles. Sans interrompre son entreprise de démolition anale, Freddy empoigna la chevelure brune d’Anita et la tira en arrière, obligeant la jeune fille à se cambrer douloureusement. Puis il se planta aussi loin qu’il put et éjacula des flots de semence, précipitant sa partenaire dans un orgasme dévastateur.

Les deux hommes filèrent rapidement sous la douche puis, à peine habillés, prirent congé en l’embrassant chaleureusement sur les deux joues.

Il faut qu’on file ; je reçois des amis américains cet après-midi. Merci pour tout, Anita. Dis à Arnaud que j’aurai du monde chez moi ; certains sont de vieilles connaissances pour lui, et surtout pour Mélanie. Je peux organiser une séance avec vous deux, ou toi seule. Mais là, tu vas charger.

Après une bonne douche, Anita descendit à la cuisine ; son père cuisinait alors que Sandrine dressait la table sur fond de danses hongroises. Il s’interrompit un instant pour examiner sa fille.

Alors, ça c’est bien passé ?

Euh oui, mais

La jeune fille rougissait, pas vraiment habituée à aborder des sujets scabreux avec quiconque. Même avec sa mère, elle se gardait bien d’en parler. Alors parler de sodomie et de fellation avec son père, même si c’était lui qui lui avait envoyé les deux hommes

Tu sais, nous voulons juste savoir si tu as aimé, si tu n’as pas trop souffert, intervint Sandrine.

Oui, je sais. C’est juste que j’ai des difficultés à aborder ce sujet. J’ai eu mal au début, c’est sûr ; mais ensuite j’ai apprécié. Ils ont fait attention, j’ai bien vu qu’ils étaient habitués.

Habitués ? C’est sûr ! Ce sont des queutards expérimentés, des stars internationales du porno, tous les deux ! Tu as utilisé la pommade, après ?

Oh oui ! J’avais mal partout. Elle m’a fait du bien, merci. J’y pense, Freddy m’a chargée de te dire qu’il reçoit des amis, que toi et Mélanie en connaissez certains. Il voulait faire une soirée avec Mélanie et moi. Je n’ai pas tout compris.

Ah ! Faut que je l’appelle, dans ce cas. Une fois, il avait reçu plusieurs hardeurs américains et ils avaient participé à l’éducation de Mélanie. Ce serait pas mal, en effet, que tu ailles passer quelques nuits avec eux pour travailler ta technique.

Lenoir téléphona peu après à son ami ; il écouta un long moment et rigola plusieurs fois avant de conclure :

Thomas arrive vendredi soir avec son ami, et nous sommes déjà mercredi. Que dirais-tu d’avoir Anita chez toi à 19 heures ? Et peut-être aussi Mélanie ; si elle accepte, bien sûr. Mélanie repartirait le matin, et vous auriez Anita comme vide-couilles jusqu’à vendredi matin. Vendu !

Il coupa la communication et expliqua aux deux femmes, un grand sourire aux lèvres :

Freddy reçoit huit collègues américains pour quelques jours. Avec Don et lui, ça fait dix féroces queutards pour s’occuper d’Anita. Tu en penses quoi, Sandrine ? Tu aurais envie d’y aller ?

Qu’en penses-tu ? Pour Anita, ce serait plus sympa de nous avoir avec elle, tu ne crois pas ? Au moins la première nuit. Anita ?

Euh oui, je pense répondit la jeune fille d’une toute petite voix.

Si tu ne veux pas, tu le dis ! trancha Lenoir, un peu inquiet.

Non, ce n’est pas ça Je Les choses vont un peu vite pour moi, mais je suppose que je suis d’accord ; merci, Sandrine.

Bon, les filles, on va faire quelques achats ?

Une demi-heure après, ils étaient sur le parking du Sexy Center de Mérignac. Anita examina le commerce avec méfiance, du moins au début. Une dizaine de voitures stationnaient sur le parking ; le bâtiment ressemblait à n’importe quelle supérette chic de zone commerciale. À l’intérieur, la jeune fille fut rassurée par l’ambiance : musique jazzy, éclairage soft, larges allées et rayonnages clairs. Une jolie vendeuse à la chevelure blond platine embrassa Lenoir et Sandrine sur les deux joues avant de se tourner vers Anita en souriant.

Nous venons faire quelques emplettes pour Anita que voici.

Je vous prie de m’excuser, mais vous avez bien dix-huit ans ? demanda la vendeuse, gênée.

Aussitôt, Anita lui tendit en souriant une pièce d’identité ; la vendeuse fit un large sourire après avoir vérifié la date de naissance.

Bien ; vous savez, je connais Arnaud depuis longtemps, je vous aurais fait confiance. Que souhaitez-vous essayer, Mademoiselle ?

Eh bien Je ne sais pas trop. Papa ?

Disons deux ou trois robes, quelques sous-vêtements, des chaussures. Nous verrons.

C’est ta fille ? Elle est jolie comme un cur ! Je suis ravie de vous rencontrer, Mademoiselle. Suivez-moi.

Durant l’heure qui suivit et même au-delà Anita essaya des robes et des pièces de lingerie. Si elle fut horriblement gênée la première fois en ressortant de la cabine d’essayage, par la suite elle s’enhardit. Pourtant, les robes choisies par son père et la vendeuse avaient peu de tissu et beaucoup de transparence. La jeune fille sortait de la cabine en virevoltant, consciente de sa nudité exposée ou suggérée. D’ailleurs plusieurs clients, hommes et femmes, s’étaient approchés et profitaient sans vergogne de son défilé de mode.

Au retour, Anita était excitée comme un boisseau de puces. Assise à l’arrière de la voiture, elle dépliait et repliait sans cesse ses emplettes et babillait.

Mon Dieu, cette robe Elle est si courte, si moulante Et celle-ci : un vrai appel au viol tellement elle est transparente. Et celle-là

Ma puce, je suis content que tout te plaise, car tu étais sacrément bandante dedans. Tous les hommes présents dans la boutique t’auraient baisée avec joie.

Mélanie arriva à la maison en même temps qu’eux ; elle gara son scooter, enleva son casque sous lequel ses cheveux étaient noués en chignon lâche. Lenoir lui demanda de venir dans le salon dès qu’elle serait changée. Peu après tout le monde était là, Lenoir assis dans son fauteuil et les trois femmes debout en face de lui, dans une position respectueuse : mains dans le dos, tête légèrement baissée.

Elles étaient bien dressées, se rengorgea Lenoir. Et ma fille est sur le bon chemin si elle accepte de suivre Mélanie et Sandrine.

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