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Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 36

Mélanie, étudiante à Bordeaux - Chapitre 36



Bordeaux, juillet 2015. Les premières affectations venaient de tomber : Mélanie avait obtenu un poste à Paris, de même que Kath. Elle sauta de joie et embrassa sa meilleure amie qui lui rendit ses embrassades sans entrain.

C’est génial, Kath, on se retrouve à Paris ! Faut que j’appelle Thomas, il va être fou de joie. Tu n’appelles pas Don ? taquina Mélanie, qui savait sa copine follement amoureuse du grand Black.

La petite rouquine fondit en sanglots et s’effondra dans les bras de Mél pour pleurer le visage enfoui contre son épaule. Décontenancée, la jolie blonde l’enserra gauchement et tenta de comprendre.

Ma puce, ça ne va plus avec Don ? Dis-moi tout, tu as besoin de t’épancher. Viens, on va boire un coup.

Sans attendre de réponse, elle entraîna son amie éplorée vers le plus proche bar de l’ENM, qui servait de cafétéria comme de lieu de relaxation depuis des générations d’étudiants magistrats. Mélanie choisit une place au fond de la salle, à une table assez isolée des autres. Katheleen se laissa tomber sur une chaise et enfouit son visage dans ses bras, écroulée sur la table.

Bon, il est presque 17 heures ; c’est mojitos.

Non, Mél, je ne suis pas en état…

Tu noteras que je ne t’ai pas demandé ton avis. Donc ce sera deux mojitos, demanda-t-elle à la serveuse qui lui fit un clin d’il complice.

Mél attendit que les boissons vertes soient servies et que son amie, de mauvaise grâce, ait trinqué avec elle. Puis elle se pencha, prenant une attitude de conspiratrice, et demanda :

Bon, il se passe quoi entre Don et toi ?

Il m’a larguée, voilà ce qui se passe. Il m’a juste larguée, Mél.

Merde, il était fou de toi ; j’y comprends plus rien, moi. Il t’a dit quoi ?

Pff, les conneries habituelles : je suis trop jeune pour lui, je suis trop bien pour lui, et cætera et cætera.

Au moins, ce n’est pas pour une autre fille… hasarda Mélanie.

Des filles ? Il en a tant qu’il veut ! Je te rappelle qu’il est acteur porno.

Oui, mais il doit raccrocher, il m’a dit.

Ouais ? Eh bien il m’a annoncé qu’il avait signé un contrat dans une nouvelle boîte de prod’.

Ah bon ? Quelle boîte ?

Je ne sais pas ; il n’a rien voulu me dire, juste de l’oublier.

Le soir, enfermée dans sa chambre attitrée chez Lenoir, Mélanie téléphona à Freddy. Celui-ci, grand ami de son beau-père et ancien hardeur mondialement connu, était aussi un proche de Don avec qui il avait tourné de nombreux films. Après quelques pitreries d’usage avec la jeune femme, il consentit à l’écouter.

Freddy, tu as vu Don ces jours-ci, je présume.

Eh, il était chez moi, ma jolie blonde.

Que sais-tu de sa relation avec Kath ? Il a rompu et elle pleure toutes les larmes de son corps.

Je sais, mais il m’a fait promettre de ne rien dire. Même à toi.

Comment ça, même à moi ? Freddy, arrête de dire des conneries. C’est pour ma cop’, mais c’est aussi pour lui. Il est en train de faire une grosse bêtise, non ?

C’est ce que je lui ai dit. Tu veux pas venir consoler un vieux à la libido en berne ?

Toi ? s’esclaffa Mélanie. L’étalon italien en berne ? Je veux voir ça ! Je demande à Thomas si je peux venir te voir.

Mélanie appela donc son fiancé à Paris, et lui expliqua ce qui arrivait à sa copine.

Je dois aller chez Freddy, ça te va ? Il me faut lui tirer les vers du nez pour savoir où est passé Don : il est aux abonnés absents et ne répond pas au téléphone.

D’accord, ma chérie, mais tu demandes à mon père de te mettre le gros cadenas. Pas question que le Rital prenne ton vagin.

Merci, mon amour. Je te raconterai.

La jeune fille partit à scooter chez l’ancien acteur, sonna à sa porte et entra sans attendre. Elle trouva Freddy dans la piscine, comme souvent en fin de journée. Il n’était pas seul : deux Blacks bodybuildés nageaient en discutant en anglais. Ils arrêtèrent en l’apercevant et lui adressèrent des bonjours frénétiques de la main.

Hi, Mélanie, glad to meet you !

Glad to fuck your ass again ! ajouta le second, hilare.

Hello, Tom et Jerry, ça va ?

En réalité, c’était Marc et Jerry. Mélanie les aimait bien même s’ils étaient un peu-beaucoup bourrins dans leur métier : ils étaient eux aussi hardeurs professionnels. Ils plaisantèrent à propos du surnom qu’elle leur avait donné et l’invitèrent à les rejoindre dans l’eau. Sans répondre, la jeune femme se déshabilla en ondulant, sous les encouragements des trois hommes.

Blouson moto renforcé aux épaules et aux coudes, tee-shirt rose, soutien-gorge à balconnets en dentelle blanche, bottines, jean slim, slip brésilien, socquettes blanches… Entièrement nue, la jolie blonde dansa en exhibant aux regards lubriques des trois mâles son corps parfait aux courbes voluptueuses. Freddy se déshabilla rapidement (tee-shirt et bermuda, ce fut vite réglé) ; sa virilité se dressa aussitôt, impressionnante de longueur comme d’épaisseur.

Les deux Blacks sautillaient dans la piscine en acclamant Mélanie qui plongea sans se soucier du gros cadenas traversant les tunnels de ses grandes lèvres. Sans façon, elle se jeta dans les bras musclés de Marc qui empoigna ses fesses de ses mains puissantes.

Les gars, j’aimerais rentrer à minuit, comme Cendrillon. D’ici là, je suis toute à vous. Enfin, du moins mes deux orifices disponibles.

Vous entendez, les amis ? Si on allait directement dans le baisodrome ?

Freddy venait de faire aménager une chambre dont il était très fier : un gigantesque lit rond aux draps turquoise au centre de la pièce avec un miroir de la même taille au-dessus, une télé à écran plat de deux mètres de diagonale, trois grands fauteuils et un canapé entourant un petit podium avec sa barre de pôle-dance… Marc entra en tenant Mélanie dans ses bras ; il la jeta sur le lit en riant et se rua sur elle, accompagné de son ami Jerry.

Hé, doucement avec ton démonte-pneu… Aah ! Putain, tu es si gros… et si dur, tu vas me tuer !

Sans s’embarrasser de préliminaires ni de lubrifier sa bite, Jerry avait sodomisé la jeune femme d’une poussée si puissante qu’il avait réussi à enfoncer la majeure partie de sa majestueuse queue dans le fondement gracieusement offert. Deux bons coups de reins plus tard il était fiché jusqu’aux couilles, délicieusement enserré dans un fourreau soyeux. Il ne prit pas le temps de laisser souffler sa partenaire qu’il commença à la pilonner à une cadence effrénée. Elle grimaça et gémit ; même si elle était habituée à être sodomisée, elle appréciait parfois un peu de douceur.

Salaud, tu me fais mal, va doucement… Oh !

Tais-toi un peu, Mél, lui lança Freddy. Tu adores te faire défoncer le cul. Ouvre la bouche : elle servira au moins à quelque chose.

Sans plus de manière, la jolie blonde goba le gland qu’elle pompa sans retenue, projetée en avant par Jerry qui prenait ses reins avec la grâce d’un marteau-piqueur survolté. En un instant le rostre de Freddy se trouva enfoncé jusqu’aux couilles dans la gorge offerte. Ils commencèrent à se relayer dans l’anus distendu qui ne se refermait plus entre deux assauts, faisant jouir la jeune femme plusieurs fois avant de se libérer dans sa bouche béante. Mélanie avala scrupuleusement les trois copieux éjaculats et nettoya ensuite les verges à peine débandées.

Temps morts, les amis, annonça Freddy. Passons à table ; une amie italienne a préparé des aubergines à la parmigiana. Il y a aussi de la pancetta et du salami, du gorgonzola et du pecorino !

Pour le salami, je passe mon tour… plaisanta Mélanie. Je frôle l’overdose.

Pendant le repas, pris debout dans la cuisine et accompagné d’un savoureux rouge toscan Villa d’Antinori, Freddy consentit à dévoiler ce qu’il savait de Don. Hélas, les nouvelles n’étaient ni bonnes ni précises. Don avait avoué à son ami être amoureux de la petite rouquine, mais il ne voulait pas lui causer de tort ou lui faire honte avec son passé de hardeur. C’est pourquoi il avait décidé de couper les ponts et de signer avec une société de production porno tchèque.

Mél, tu sais, Don n’a jamais voulu tourner avec ces gens parce qu’ils sont spécialisés dans la dégradation de la femme.

Fred, tu connais des films pornos qui font dans le féminisme ?

Quelques-uns ; pas beaucoup, c’est vrai. Je sais bien que c’est rarissime. Mais là, ils vont loin. Le scénario est souvent le même : une femme est sodomisée par plusieurs hommes pendant plus d’une heure, en double, en triple, souvent avec urologie. Les filles finissent complètement démolies, shootées à la coke pour résister à la douleur et tenir le coup.

Et il va faire ça, Don ? s’étonna Mélanie, ébahie. Ce n’est pas trop son style ; il adore baiser, mais il aime trop les femmes pour ce genre de truc…

Eh ! Que veux-tu que je te dise ? Il n’est plus lui-même.

Quelle merde ! Mélanie serra ses bras autour de son torse, faisant saillir sa volumineuse poitrine. Elle regarda Tom et Jerry qui bandaient fort, les yeux rivés sur elle. En soupirant, elle vint se blottir contre Freddy qui l’accueillit dans son giron et ébouriffa sa coiffure emmêlée.

Zé souis désolé, Mél. J’ai conscience que nous te faisons subir ce que cette agence tchèque inflige à ses pauvres actrices.

Non mais, ça va pas ? Ce que nous faisons ici, c’est avec mon accord plein et entier, sinon je serais repartie depuis longtemps. Je ne fais pas ça pour gagner ma vie, mais parce que j’aime être défoncée par vos grosses bites. Je doute que les actrices dont tu parles soient toutes des fans de sodomie extrême.

Pendant qu’ils parlaient, Tom et Jerry s’étaient approchés et caressaient la jeune femme dont le corps réagissait. Sa poitrine dardait ses gros mamelons roses percés d’anneaux d’acier qu’ils empoignèrent et tordirent lentement en les étirant vers le haut. Mélanie gémit mais ne tenta pas d’échapper à leurs mains, ce que voyant ils accentuèrent leur avantage.

Les gars, je vois que vous avez envie de vous amuser avec moi. Si on retournait dans la chambre pour être à l’aise ?

Vous avez entendu ? ajouta Freddy en riant. La petite demoiselle, elle a envie d’avoir une grosse bite dans lé cou.

Mélanie avait déniché un pot de lubrifiant et s’était copieusement enduit l’intérieur de son conduit anal, y plongeant trois puis quatre doigts jusqu’à la jointure du pouce. Ce que voyant, les trois hommes l’encouragèrent en masturbant leurs bites gonflées.

Allez, ma belle, fiste-toi le cul ! Fourre ta main entière dans tes fesses, petite chienne !

Yess ! And after I’ll fist you again : my hand is ready, ajouta Tom en lubrifiant sa main droite jusqu’à l’avant-bras.

À genoux sur un matelas mousse, Mélanie avait forcé le pouce à côté des autres doigts et pénétrait maintenant son anus jusqu’au poignet, entrant et sortant son poing fermé. La jeune femme gémissait, les yeux clos, et Freddy ne put résister à lui présenter sa puissante bite devant les lèvres. Comme précédemment, elle avala goulûment la colonne de chair palpitante.

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