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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 21

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. - Chapitre 21



La petite Coco sort de l’eau et s’en est suivie de la belle et grosse black.

Je n’ai pas remarqué mais Bob, le père de Coco, est sorti. Il a passé une sortie de bain. C’est sûr, il est à poil et bande ferme. Il s’assoit devant la table de jardin et m’invite à la rejoindre. Je me mets nu. Cela le fait sourire.

— Vous avez raison, on se sent plus à l’aise dans la tenue d’Adam. Dit-il en laissant choir son peignoir. Il est entièrement épilé et arbore un superbe tatouage sur ventre et terminant sur son pubis. C’est un dragon, tête vers la queue de Bob.

— On pourrait se tutoyer.

— Oui…

— Vous buvez quoi, les hommes ? Demande Coco.

— Une bière pour moi, lui répondit-il, et vous, euh, toi.

— Pareil.

Mél va pour se joindre à nous mais mon regard la rappelle à l’ordre. Elle se met en position. Interloqué, il me demande la raison de cette position. Je lui explique tout. Ma rencontre, les piercings, le tatouage et le travail fait sur sa poitrine. Il me félicite et m’envie.

Je lui explique que je suis au courant de sa relation particulière qu’il le lie avec sa fille. Je lui dis que je ne suis pas là pour critiquer, encore moins pour juger. La petite Coco ne sait plus où se mettre. Je lui demande de prendre la même position que sa copine.

— Je ne comprends pas, ou trop bien, peut-être. Je ne veux pas faire de ma fille mon esclave.

— Peut-être, mais c’est sa volonté, son désir : Me faire plaisir. Tu sais une relation de soumise à dominateur n’est pas celle qui est décrite dans les romans ou dans les films…

— Je sais, je sais tout ça.

Il fait rassoir sa fille.

— Il ne faut pas faire ça, ma chérie… Pas entre nous… Ça me rappelle des souvenirs…

— Mais quels souvenirs ? Dis-moi, papa. Je veux devenir comme la Mademoiselle Mélissa de Monsieur Jean…

— Non, ma chérie. Ta mère n’est pas morte mais elle nous a abandonnés pour aller vivre je ne sais où et je ne sais avec qui. Pardonne-moi, mon cur de ce mensonge. J’ai été lâche, mais c’était pour te protéger. Je ne suis pas le dominateur que tu rêves d’avoir. D’abord, il faut que je raconte une histoire bien triste, mais bien réelle. Avec ta maman on sortait en boîte de nuit. Tu dois t’en rappeler, tu dormais chez tes grands-parents. Bref, dans ces clubs un peu spéciaux, à caractère BDSM, je n’étais pas le dominateur dont tu rêves, j’étais le soumis de Maîtresse Gaëlle. Dit-il en ayant les yeux embrumés. Pour faire court, j’étais l’esclave sexuel de ta maman, mais uniquement dans nos sorties. À la maison on s’aimait d’un amour passionnel, fusionnel même. Et puis un jour, elle a rencontré une petite jeune nana soumise. On a essayé de l’inclure dans notre couple, mais ça n’a pas marché. J’étais trop possessif, trop amoureux pour la partager. Alors, un jour, elle nous a quittés sans un mot, enfin si, elle m’a laissé une lettre que je ferais lire. Si tu veux en savoir plus, je t’expliquerai en détail, mais pour l’instant, nous avons des invités.

Coco reste sans voix. Elle pleure et se réfugie dans les bras de son amant de père.

— Non, c’est nous qui avons un invité, lui répondis-je, tout est prêt à la maison. On vous y attend.

On est reparti, tous les trois. Coco, abasourdie par les révélations de son père, ne pipe mot.

— Et oui, c’est pas parce qu’on est bâti comme un Apollon que l’on est forcément dominateur. Regarde Pierrot, mon associé, il est totalement bi. Une bonne queue dans son cul ne l’a jamais repoussé. Je crois que ton père t’aime bien au-delà de ce que tu peux imaginer. Pour ta mère, elle a tourné sa cuti. C’est triste, mais c’est la vie.

— Et vous ?

— Je suis parfaitement hétéro.

— Vous croyez que mon père est bi ?

— Là, j’en sais rien. Il faudra que tu en discutes avec lui.

— Mais j’y connais rien moi en jeux de dominations. J’ai peur de ne pas être à la hauteur.

— Je t’apprendrai.

Mél et Coco discute tout en préparant un quatrième couvert. Le père arrive bientôt et pose un sac de sport sur une banquette. On s’installe tous les trois autour de la table de la terrasse, Mél s’affairant entre le barbecue et la cuisine. Je demande à Coco d’aller l’aider. Ce qu’elle fait en me lançant un petit sourire.

— Comme cela, tu as embauché ma fille dans une boîte à partouze ?

— Pas exactement à partouze.

— Ah, et le style est…

— Hard, je l’espère, très hard.

— Et elle y fait quoi ?

— Serveuse.

— Topless, ça, je sais déjà, elle m’a dit. Mais il y a tout, je veux dire, vous êtes équipé ?

— Oui, six salles à thèmes, trois cages, une croix de st. André dans la boite et des douches. Divers "sling" et cheval d’arçon. Tout pour le plaisir des Maîtres et de leurs esclaves.

— Vous avez un nom, une adresse ?

— Le "Marquis", pour l’adresse, demande à ta fille.

— Je ne sais pas si j’oserai.

— Quoi, être le soumis attitré de ta fille ?

— Oui, cela va me rappeler des souvenirs douloureux et …

— Et tu comptes à rester le papa modèle toute ta vie et être un frustré sexuel. Attends, j’arrive.

En traversant la cuisine, je flatte les deux culs offerts. Je m’en vais m’isoler dans ma chambre.

— Allo, Pierrot…

Je lui explique la situation et entre frères, il me dit de préparer deux assiettes de plus. Heureux, je repars vers la terrasse. Je taquine à nouveau les deux culs qui s’offrent à mes caresses et signale à Mél la venue de Pierrot et de sa fille. Elle saute de joie en me disant :

— Le plus bel anniversaire de ma vie. Merci Monsieur Jean.

Elle m’embrasse goulument et me caresse la queue, ce qui a pour effet de me la mettre au garde à vous. Je lui tape sur les mains et je lui demande de servir l’apéro. Une fois installé à table, je signale à Bob que l’on attend deux invités, ils seront bientôt là. Mél arrive avec le champagne en disant à Bob que c’est son anniversaire. Je discute avec Bob et sa fille Je leur dis qu’il faudra du temps pour effacer ces quinze années de retenues et de mensonges inutiles. Je leur souhaite de vivre pleinement leur vie, et qui sait, peut-être, reviendra le temps du bonheur. Je m’assois et bois un coup, cul-sec.

Pierrot débarque sur la terrasse, nu comme toujours, suivi d’une Gégé plus radieuse que jamais et harnachée.

— Salut, vieux frère, en me faisant la bise, et c’est le fameux Bob dont tu m’as parlé. Enchanté, moi c’est Pierrot. Le Frère de Sang de Jeannot.

Il tire sur la laisse et présente Gégé comme étant sa fille, ce qui n’est pas faux, même s’il n’est pas le géniteur, il l’a élevé comme telle. Bob n’est pas choqué, juste subjugué par la beauté de Gégé. Pierrot, pour lui prouver qu’il aime sa fille, la retourne et lui montre son cul, ses hanches. Il lui palpe les seins, les tétons et l’embrasse à pleine bouche.

— Vous avez vu vous deux, en m’adressant plus à Coco qu’à son père, ils ne sont pas beaux ?

— Si, très. Me répond timidement la petite blonde.

— Oui, tente de répondre Bob, mais je l’interromps.

— Ta bouche. Tu ne parleras que si ta Maîtresse te le demande. Compris la lopette ?

Avec l’expérience, il comprend et se tait, se lève et se met à genoux aux pieds de sa fille. Elle ne sait pas quoi dire, que faire. Je lui dis de caresser les cheveux de son père. Elle le fait comme si sa main la brûlée. Je souris en pensant que ça risque d’être excitant de former la petite.

Mél, pendant ce temps-là a été revêtir sa tenue de soubrette et nous sert à tous une coupe champagne. Bob regarde son verre et ensuite sa fille.

— RHOOO, fait-elle, je ne suis pas encore ta Maîtresse.

— Justement, dit-il, il faut que tu viennes avec moi à l’intérieur.

— Pour ?

Il lui chuchote à l’oreille. Elle s’empourpre.

— Monsieur Jean, vous ne voudriez pas venir avec nous ?

— Bien sûr, ma puce, bien sûr…

Il a pris son sac. Elle hésite à entrer dans la chambre des plaisirs, je lui dis de prendre à droite, il y a la chambre d’amis. Elle me sourit, je lui fais un petit clin d’il plein de complicité. On entre et il jette son sac sur le lit. Il l’ouvre et en sort un baudrier en cuir de bonne facture, un collier et quatre manchettes. En expert, il passe le tout avec une dextérité retrouvée. Le voilà harnaché comme au bon vieux temps. Il se met à genoux et tend une laisse à Coco.

— Si Maîtresse Coralie veut bien me prendre comme esclave, j’en serais le plus heureux des soumis.

Ne sachant que faire, Coco hésite. Je lui montre l’anneau qui est dans le dos et d’y mettre le mousqueton de la laisse. Elle le fait maladroitement, ce qui me fait pouffer de rire.

— Tu sais, Coco, de par ce geste tu acceptes de prendre ton père comme esclave ?

— Je sais, c’est pour son bonheur, Monsieur Jean.

— Plus de Monsieur, pour toi c’est Jean. Tu viens d’entrer dans le monde très fermé des Maîtresses et tu as fait le bon choix. Voyons voir ce qui reste dans son sac.

Je fouille et en sors une cravache, un plug de belle taille avec un joli strass noir et une combinaison tout en résille rouge. Elle est magnifique.

— Elle était à ta mère, je veux que tu la portes. Murmure-t-il.

J’aide Coco à l’enfiler, elle ne sait quoi dire. Je l’embrasse tendrement sur la joue.

— Tu es magnifique, Coralie, Mets lui son plug. Je suis sûr qu’il n’attend que ça.

Elle s’applique pour ne pas le blesser. Il faudra qu’elle apprenne à être moins tendre. Je pars le dernier, suivant ce couple incestueux et heureux. Oui, j’en suis sûr, j’ai ouvert une boîte de Pandore. Je mate comme un fou le corps de Coco dans sa combinaison en résille. Des ouvertures sont positionnées aux endroits stratégiques, si vous voyez ce que je veux dire. Ça devait être une sacrée salope la Maîtresse Gaëlle.

On est sur la terrasse. Mél ne dit rien sur la tenue de Coco, elle sait être très compréhensive et discrète.

— Je vous présente Maîtresse Coralie et son soumis.

Mél et Gégé posent un genou à terre. Coco rougit et ne sait plus quoi dire.

— Bon, j’ai faim, dis-je. Mél et Gégé nous servent.

Pierrot a fait mettre Gégé à genoux entre ses cuisses. Elle le lèche sur toute la longueur. Elle ne lui taille pas une pipe, juste des coups de langues bien placés pour entretenir son état d’excitation.

On passe enfin à table. On mange, on boit, on rigole. Bob est un peu gêné. Je demande à sa maitresse de lui retirer son baudrier et ses bracelets. Je lui dis que pour les cours de soumission, on verra plus tard. Il enlève tout cet attirail et embrasse sa fille. Plus détendu, Bob nous explique qu’il est le patron de petite société axée sur la pose et l’entretien de piscine. D’ailleurs il me félicite pour la beauté de la mienne et la qualité de mon eau. Après 25 ans d’expérience, il a le flair, dit-il en reniflant comme un chien. On éclate tous de rire.

— Fais-tu les abris pour piscine ? Lui demandais-je, l’air intéressé.

— Pour ici, oui, mais il faudrait soit construire un abri attenant, soit construire l’abri jusqu’à ta véranda.

— Ça va encore me couter une blinde cette histoire.

— Ça risque…

Et c’est de nouveau dans un fou rire que l’on repart. Pierrot, en filou, lance la conversation sur le monde du SM et si Bob a un carnet de Dominant ou de soumis. Bob lui répond qu’il doit avoir gardé ça.

— Pourquoi me demandes-tu ça ?

— Pour la soirée d’inauguration. Plus on est de fou…

Bob comprend et me demande quand elle aura lieu.

— Le 31 décembre.

Pierrot me coupe.

— Non, l’inauguration aura lieu le 30 novembre, la soirée de la Saint Sylvestre sera l’ouverture du "Marquis". Les travaux sont presque finis.

— Merci de me tenir au jus !

— Hé, ho, ça va… Qui est-ce qui s’est occupé des travaux et tout le toutime ?

Il est vrai que Pierrot était le plus à même à diriger l’équipe et imposer nos choix. Je lui donne mon accord, comme s’il en avait encore besoin.

Mél, Gégé et Coco s’en vont faire la vaisselle. Petit temps mort pour faire gouter à Bob mon Cognac "grand cru" de 35 ans dâge. Du velours pour les palais. On marche autour de la piscine en sirotant nos verres. On dirait trois châtelains se promenant dans ma propriété. Bob me dit :

— On a une passion commune…

— Oui, les rosiers. J’ai remarqué les vôtres…

On discute en étant assis sur les chaises du bar. Je ressers nos verres. Pierrot apprécie particulièrement ce breuvage, mais il n’en fait pas l’excès. Les trois filles réapparaissent. En sautillant, elles viennent avec nous.

— Piouf, c’est la première jolie grosse black que je vois. Superbe poitrine, une cambrure de déesse, de jolis piercings et un tatouage intéressant, intrigant.

— Ton tatouage est pas mal non plus.

— Oui, je l’ai fait faire à Tahiti.

Je vois que les yeux de Bob se perdent sur le fessier de ma Mélissa. Je lui dis qu’il peut toucher, qu’il va être surpris par la douceur de son grain de peau. Il lève la main sous le regard rieur de Mélissa.

— WAOUH, fantastique… On dirait de la soie…

Sa main remonte sur ses gros seins, puis descend sur le mont de Vénus. Mél écarte les jambes, brave petite.

— C’est aussi doux devant que derrière. Comment elle fait ?

— Épilation au laser. Simple, rapide et efficace. Mais surtout, permanent.

— Magnifique, dit-il en regardant sa fille. Je vais te payer ça, ma chérie. Coco embrasse son père. Mél, en petite vicieuse qu’elle est, caresse le sexe de Bob et le décalotte. Il a un gland digne d’un bolet ou d’un cèpe. Mél s’en mord les lèvres. Elle me regarde dans l’attente de mon approbation. Je lui fais un petit geste de la tête. Elle avale ce phallus avec gourmandise. Bob se cale au fond de sa chaise.

— Putain que c’est bon… Han….

Mél le regarde droit dans les yeux, avec son air de petite femelle en chaleur. Il pose les mains sur la tête et lui imprime le rythme et la profondeur. Je me décalotte et joue avec mon anneau. Coco vient entre mes cuisses et le lèche, puis m’avale tant bien que mal. Je la laisse faire. Elle essaie d’imiter sa voisine. Peine perdu, elle arrive à me gober que la moitié. Pas grave, j’apprécie cette caresse.

Pierrot, quant à lui, s’est éclipsé dans la salle des plaisirs en compagnie de sa fille. Elle doit être sur la machine car on l’entend gueuler. Je souris. Bob prévient Mél de son éjaculation imminente. Elle le regarde et lui sourit. Bob comprend et lui lâche tout au fond du gosier.

— La salope que tu as…. Han… Argh… Ouf, un truc de ouf.

Mélissa nettoie méticuleusement la bite de Bob et lui montre tout le sperme dans sa bouche.

— N’avale pas, partage avec cette petite lopette, il doit aimer cela.

Mélissa se relève, il bascule la tête en arrière et ouvre la bouche. Mél lui déverse la totalité de l’éjaculation et l’embrasse goulument. Coco, étonnée, a arrêté de me sucer. Je lui dis de faire pareil avec moi et de partager avec son père. Elle retourne à sa fellation. Elle s’applique et je ne tarde pas à décharger. Coco se relève et comme précédemment, va partager mon jus avec son papa. Il lui sourit. Elle l’embrasse. Mél me prend par la main et me dit :

— Viens, ils ont besoin de se retrouver…

— Oui, tu as raison. Allons voir ce que font Pierrot et Gégé.

Une fois près de la porte-fenêtre de la terrasse, on entend les insultes et les claques qui fusent. Non, Gégé n’est pas attachée sur la machine, mais sur la table. Elle est allongée sur le ventre, les jambes attachées et largement écartelées. Mon Pierrot s’acharne sur la chatte de Gégé, il est en sueur. Je lui tape sur l’épaule.

— Alors Pierrot, toujours aussi fâché avec ta fille ?

— Tu parles, Charles. C’est elle qui s’est mise dans cette position, la garce. Elle en veut toujours plus. Tu me laisses finir, j’arrive.

— VAS-Y, PRENDS-MOI COMME UNE CHIENNE…

— C’EST CE QUE JE FAIS. CONASSE…

— Piscine ?

— Oui, pourquoi pas.

Mél part en sautillant et plonge vite, suivi par son amant préféré, moi… Coco et son papounet sont repartis. Un mot sur la table.

" A lundi, Boss".

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