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Mode d'emploi d'un réveillon gâché – Chapitre 1

Mode d'emploi d'un réveillon gâché - Chapitre 1



Musique douce , ambiance tamisée. Je prépare le repas pendant que monsieur se prélasse au salon. Il est en jean et chemise. De mon côté, je porte une combi-short noire ainsi que des bas et jarretelles. Nous dînons. Nous parlons de notre futur et de notre enfant. Du chemin parcouru. Nous sommes heureux. Et puis je lui demande si je lui plais encore. Sa réponse est positive. Je suis rassurée.

Nous décidons de faire l’amour et de partir sur le trip (vraiment à ma demande pour le coup) de jouir à minuit pile.

Et là, commence une heure de masturbations en tout genre. Stoppant quand il est proche de venir et nous jouons, comme ça.

Ca fait presque trois ans que je le restreins parfois, que je planifie nos ébats pour enfanter. Ça fait trois ans qu’il assume mes caprices.

Je commence donc par des caresses par dessus le tissu. Quand il est bien dure j’ouvre sa braguette. Je commence par lui procurer une fellation : mais pendant quelques secondes seulement. Tout le reste ne sera qu’ongles glissés, souffle chaud et effleurement de mes lèvres. Son gland est ultra sollicité. Le méat coule. Je le nettoie de ma langue.

Première pause.

Il me demande de me déshabiller. J’accepte évidemment. Je fais alors tomber les bretelles de la combi. Il découvre le haut de mon body, acheté pour l’occasion. Il se touche le sexe et commence une lente masturbation. Je le giffle et je le lui interdis. Je le mets au défi de recommencer ; il n’ose pas. Il passe sa main sous un cache sein. Il le découvre. Puis il fait de même avec le second. Il caresse mon ventre. Alors qu’il veut passer le tissu de la culotte, je lui attrape les testicules. Deuxième interdiction. Je prends son sexe en main après m’être assise sur lui. Je bouge mon vagin sur sa cuisse en le masturbant doucement. Il s’intéresse à ma poitrine et ma bouche. Je sens sa grosse veine se gonfler.

Deuxième pause.

Mine de rien, deux éjaculations sont déjà empêchées. Je lui propose un verre de Patxaran (digestif local) qu’il accepte volontiers.

Il savoure sa boisson ainsi que la fellation que je lui procure en même temps, glaçon en bouche. Je prends garde à ne pas me rapprocher trop près de la sienne. Je ne veux pas gâcher mon maquillage. Pas encore du moins. Je m’applique à lui offrir une douce et lente fellation. Il pose son verre à moitié terminé. Il me tient les cheveux et veut imprimer le rythme. J’empoigne et serre son chibre. Troisième interdiction. Je finis en lui claquant le gland de mes doigts. Son sexe turgescent est sombre et recouvert de ma salive.

Troisième pause.

Je lui demande de se lever. Il obtempère. Je lui ordonne alors de me déshabiller. Pendant qu’il fait glisser le short de la combi le long de mes jambes, je lui déboutonne sa chemise. Son jean se retrouve également rapidement au sol. Je me retourne. Je me baisse et je me cambre pour finir d’enlever le tissu de mes pieds ; je ne veux pas m’y emmêler. Il en profite pour coincer son sexe entre mes fesses. Il veut des caresses, il ne va être pas déçu. Il caresse mon corps et m’embrasse dans le cou. J’ai la chair de poule. Mais je ne dois pas montrer mon visage maintenant sinon toute ma préparation tombera à l’eau. Je me ressaisie. Je lui demande de s’allonger. Son sexe est dur et bandé. Je m’assois sur son pubis. Sa queue dépasse comme si c’était la mienne. Il a une vue imprenable sur mes fesses et le shorty qui les cache. Je le branle à nouveau et recommence à onduler mon bassin sur la base de son épais pilier. Il empoigne alors ma poitrine par derrière et attrape le peu de cheveux longs qu’il me reste. Je me lève. quatrième pause.

A partir de maintenant les pauses seront plus courtes. Je lui dis :

— Si tu sens que tu vas jouir, tu me préviens. Je vais te provoquer. Et toi, tu devras résister. Et je peux te dire que tu regretteras si tu n’y arrives pas.

Il accepte le contrat. Me voilà seule détentrice de son plaisir. Je lui commande de fermer les yeux. Je prends sa queue en main. Il sourit. Je le masturbe doucement.

— Crachat ou bave. Réponds !

— Bave, répond-il.

Je me positionne, assise sur ses lèvres. J’écarte le tissu pour lui offrir mon fruit humide.

— Fais ton office.

Il le fait, et il le fait bien. Je jouis rapidement. Il savoure la chair de poule sur ma peau et la cyprine qui coule sur son menton. Il insère un doigt dans ma bouche. Erreur. Je le mords. Il souffre.

— Je te lâche si tu t’améliores.

Il est doué dans ce qu’il fait et je le lui dis souvent. Il est en terrain conquis et il le sait. Il s’affaire désormais à se surpasser. Son cunni s’avère parfait tandis que sa main libre et puissante joue avec mes fesses et me soulève aisément. Je libère son doigt d’entre mes dents puis je me retourne. Trempée de mouille et de bave je m’empale sur sa bite. Il a les yeux fermés. Mais le son qui sort de sa bouche ne laisse aucun doute sur son ressenti.

— Quelle heure est il ? Demande-t-il.

— Il reste vingt-cinq minutes. Tu vas réussir à tenir ?

— Non, il faut calmer le jeu.

Cinquième pause.

La pause ne dure pas cette fois ci. Je dépose presque mes lèvres sur le viril pilier. Et de sa base jusqu’au sommet, je souffle l’air torride qui est dans mes poumons. Le souffle chaud sur son pénis humide lui donne la chair de poule. Je redescends en lui procurant le même supplice. Puis, je remonte mais cette fois en faisant glisser le bout pointu de ma langue le long de sa veine dorsale. J’entends son souffle qui se saccade. Son poing serre le tissu du canapé. Il comprends que me toucher revient à être mis au défi. Il s’abstient. J’apprécie son intelligence et sa capacité à apprendre. Je viens embrasser son pubis, puis son nombril. Ses abdominaux ne sont pas en reste. Enfin, j’arrive sur ses tétons. À présent, mon sexe, glabre de la veille, est posé sur son gland. J’entreprends de faire coulisser celui ci entre mes lèvres, sans le faire entrer dans ma grotte d’amour. Je l’embrasse dans le cou. J’accélère le rythme. Je lui chuchote à l’oreille ma jouissance imminente. Je lui ordonne de ne pas jouir.

— Tu vas y arriver ?

Il répond oui d’un simple geste.

Je m’abandonne. Je creuse dans sa peau une dizaine de sillons sanguins. Mes ongles s’enfoncent en lui aussi profondément que la jouissance m’envahit. J’entends sa complainte. Je me retire. Je me pose à genoux sur le sol. Ma bouche à son oreille. Il a un bras qui cache ses yeux. Je lui murmure un merci. Je vois les spasmes contrôlés de son sexe prêt à exploser. Je vois l’effort incroyable qui est en branle devant moi. Quelle puissance de contrôle. Il est fort, je le lui dis. Je lui demande de se concentrer sur ma voix. Cette fois-ci, je vais l’épauler. Il reste quinze minutes. Il ne jouit pas. C’était limite. Un peu de liquide transparent s’est écoulé. Quelques gouttes. Il doit les sentir s’échouer sur son ventre. Je le félicite. Je l’avertis que la sixième pause est terminée.

— La suite sera plus difficile. Tu veux regarder ?

Il refuse. Très bien.

Je vais nettoyer tout ça. Je soulève son sexe à présent parallèle à son ventre avec mes doigts ; avec la pulpe de mes doigts ; du bout des doigts. Son sexe est à la verticale et j’exerce une pression sur son gland. Il gémit. Puis une seconde arrive et une troisième. Ma langue vient sécher son épiderme souillé du plaisir involontaire. J’aime ce goût. Tout en maintenant la pression verticale sur sa colonne de chair, je rajoute au mouvement une rotation. La même que j’utilisais plus petite pour jouer à la corde à sauter.

— Arrête !!

Je stoppe tout. Les muscles de ses jambes sont tétanisés. Il lutte. Mais je n’apprécie pas qu’il me donne un ordre. La seconde gifle de la soirée s’écrase sur son flanc veiné. Ma main vient enserrer sa gorge. Nouvelle interdiction et nouvel ordre :

— Plus de paroles ! Embrasse-moi.

Il garde les yeux fermés. Ses lèvres sont froides. Je l’enjambe et alors qu’il se bat encore pour ne pas se laisser aller, sa langue jouant encore avec la mienne, je m’empale sur toute sa longueur. Une fois, deux fois. Puis je me dégage de lui et je me relève une fois encore. Je me replace à genoux, à côté de lui.

— Tu es fort.Tiens bon, c’est bientôt fini.

Une larme perle au coins de ses yeux fermés. Il ouvre la bouche pour me murmurer de le laisser jouir. Mais je pose un doigt dessus.

— Chuuut. Pas encore, pas tout de suite. Encore cinq minutes.

J’observe son visage en plein effort, je fais courir mon regard vers son sexe. Il s’agite. Il rebondit. Ses muscles abdominaux travaillent au même rythme. Il gémit.

— Dernier effort mon amour. Si tu retiens celle là on aura réussi.

Il l’a fait. Il a réussi là où il avait toujours échoué.

La dernière pause est terminée. On passe aux choses sérieuses.

— Je ne vais plus m’arrêter mais tu devras encore et toujours te retenir. Tu veux ouvrir les yeux ?

De bas en haut, son crâne s’affole.

— Ouvre !

Il me regarde. Il me fixe et parcours mon corps. Il me caresse. Je lui accorde ces secondes de repos.

— Bien, dernière question. Haut ou bas ?

Il ne comprend pas. J’ajoute alors :

— Fais un choix sinon tu le regretteras.

— Haut !

Comme tout à l’heure je m’assois sur son torse, lui offrant la vue de mon intimité encore camouflée.

— Je ne vais pas me déshabiller. Si tu veux quelque chose, débrouille-toi pour l’avoir rapidement. Minuit arrive ! On a plus le temps je ne m’arrête plus.

Je me baisse alors sur son torse, mon bassin recule vers son visage. Son menton touche mon abricot habillé.Je pose mes mains sur ses cuisses. L’une remonte et joue avec ses testicules. Mon menton est sur son nombril. Et je fixe son sexe du regard. À quelques millimètres de me ma bouche. Il me suffit de l’ouvrir et d’avancer l’emprisonner. Le compte à rebours est lancé.

Mes lèvres effleurent son gland. Ma bouche est grande ouverte pour limiter les touches. Son épaisseur naturel ne m’aide pas. J’essaie de le prendre au maximum, millimètres par millimètres, sans le toucher. Tous sens en éveil il doit évidemment imaginer où j’en suis rien qu’au souffle chaud qui se dégage de mon action. Mais je tiens bon et je garde ma bouche ouverte. Son gland approche de la luette. Je m’arrête. Ma langue vient soulever son pénis par dessous, sa chair bute sur ma lèvre supérieure. Et, enfin je referme le piège. Puis je le déguste. Lentement. Tout doucement.

Je sens ses veines palpiter. Il va être hors de contrôle. Il soulève son bassin pour gagner en pénétration. Je pose mes dents. Le son de ma gorge, et l’intonation que je lui donne, déconseille fortement à mon homme de continuer sa manuvre. Mais c’est trop tard. Il est à la limite. Il va craquer.

Et c’est mon body qui craque le premier ! Trop concentrée sur sa respiration et les signes avant-coureurs de son éjaculation, je n’ai pas fait attention à la promenade de ses mains. Je me retrouve le cul à l’air. Le tissu déchiré en deux. Sa langue fouillant mon intimité avec ardeur. Il me goûte, il me boit. Je reprends ma douceur. Ma fellation se fait plus entreprenante. Il reste pas moins d’une minute. Il remonte ses jambes et plie ses genoux. Ses mains empoignent mes fesses. Je jouis sur son visage. Il va craquer !

Je sens sa veine dorsale explosive. Je me soulève et me mets à quatre pattes. Je tiens son sexe bien droit. C’est maintenant.

— Retiens toi. N’ejacule pas.

Il gémit. Il pleure. Quelques perles apparaissent à la sortie de son urétre. Je sens le flux remonter son sexe. Il commence à s’écouler. Le contrôle de ses spasmes est incroyable. L’abondance de sperme l’est tout autant. Il coule de plaisir. La vue doit être imprenable. Mon cul et mon puits d’amour débordant de plaisir juste au dessus de son visage. Mon ventre plein de vie devant ses yeux. Et au loin son sexe bien pris en main se purgeant de joie.

Son sperme coule à présent sur ma main. Il est brûlant. Il est blanc. Il est appétissant.

L’homme que j’aime, le père de mon enfant, le géniteur de mes désirs gémit et lutte encore. Je sais qu’il a envie de se laisser aller. Mais tel est notre plaisir. Il n’abandonnera pas. Car c’est un battant. La coulée s’est arrêtée. Mon homme pleure et rigole en même temps.

Je m’empresse d’aller récolter de ma langue ce divin nectar. J’obstrue sa vue. J’aspire, je lèche, j’avale, je nettoie. Il faut toujours nettoyer ses bêtises. J’évite au maximum de forcer sur son sexe, douloureux après tant d’efforts mais bien dur comme il se doit. Le voilà tout propre.

L’avantage de cette méthode : monsieur à éjaculer mais bande encore. Son plaisir non consommé reste intacte. Dans la fleur de l’âge, il sera d’attaque dans quelques minutes. Le temps pour moi de me retourner, de l’embrasser et de lui souhaiter une bonne année.

— Je t’appartiens à présent.

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