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Moi! Katia! 19 ans et nymphomane – Chapitre 1

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane - Chapitre 1



CHAPITRE I – DECOUVERTE DU VRAI PLAISIR.

Je m’appelle Katia et j’ai presque 19 ans. Je vis depuis 2 ans avec Jacques un homme de 20 ans de plus que moi avec qui je suis très heureuse, et je n’en ai jamais connu d’autre avant lui.

Détournement de mineur ? Non, car je suis émancipée depuis quelques mois, dès que j’ai eu 16 ans.

Oui, j’ai eu une jeunesse des plus difficiles et je ne veux pas m’attarder le dessus

Comble de malchance, j’ai été frappée d’une maladie assez grave dont je me suis sortie sans trop de séquelle. La seule marque me restant de cette maladie, rayons X obligent, est que je suis totalement imberbe. Seuls mes cheveux ont repoussés, quant au reste, c’est-à-dire mes aisselles et mon minou, pas un seul poil, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Sans vouloir me vanter, les hommes s’accordent à dire que je suis une petit canon. Enfin, enfin c’est que je les entends dire tout le temps et j’en viens à le croire en voyant leur regard lorsqu’il se pose sur mon corps.

Je suis très fine, les cheveux bruns, 2 grands yeux verts. Mon tour de poitrine est de 100 C. Oui j’ai de gros et magnifique seins qui sont fermes et dont les pointes se dressent fièrement.

Ma taille est des plus fines ce qui met d’autant plus en évidence mes seins. Je suis d’origine Malgache, donc avec la peau très mate, je suis métis quoi.

Autre particularité, je ne porte jamais de sous vêtement. Je suis toujours nue sous mes vêtements, mais ça personne ne le sait. On peut le deviner seulement lorsque je porte un pantalon moulant ou une jupe moulante, car bien sur il n’y a pas la moindre trace de culotte.

Jacques, l’homme avec qui je vis, n’est pas ce que l’on peut appeler un beau mec, mais je ne sais pas pourquoi, sans doute parce que je me sentais mal à une certaine époque et qu’il m’a beaucoup soutenue, il m’a fait craquer. Il n’empêche que je suis très amoureuse de lui et serais capable de pas mal de chose pour le rendre heureux.

Jacques a de nombreux fantasmes, et bien que je ne les partage pas tous avec lui, il y en a un qui m’excite au plus haut point, c’est de faire l’amour devant lui avec un autre homme.

Lui, n’arrête pas de m’en parler. Il en a très envie. Il veut me voir jouir dans les bras d’un autre homme que lui. D’ailleurs, lorsque nous faisons l’amour, il lui arrive de me demander d’imaginer la scène, et je peux vous assurer que j’y prends beaucoup plus de plaisir que d’habitude.

J’en ai envie, mais je ne crois pas être capable de franchir le pas. Ca reste un fantasme quoi.

Pourtant, un soir, ayant envie de l’exciter pour qu’il me fasse l’amour, je me suis habillée relativement sexy avec une belle robe noire très mini et très décolletée. Quand je suis ainsi vêtue, il comprend de suite que je suis prête à m’offrir à lui et m’entraîne dans la chambre pour profiter de mon jeune corps.

Mais ce soir là, il entre dans l’appartement avec un homme que je ne connais absolument pas.

Je suis un peu déçue, car l’amour avec Jacques, ce n’est pas pour tout de suite.

L’homme est grand, 30 ans environ, bronzé, très baraqué, très beau quoi.

Je ne suis pas très gênée par ma tenue, car même si elle est sexy et que je suis très attirante dedans, elle reste tout de même acceptable !

Il fait les présentations. L’homme est en fait un représentant de commerce dont il a fait la connaissance aujourd’hui au boulot.

Je suis un peu étonnée que Jacques soit aussi vite intime avec un homme qu’il ne connaissait pas la veille, mais bon, rien ne m’étonne de sa part.

Jacques montre le canapé à Fabien pour qu’il s’y asseye, et s’installe dans le fauteuil du salon.

Je n’ai pas le choix, je suis obligée de m’installer moi aussi dans le canapé à deux places, juste à côté de Fabien.

Jacques à l’air satisfait de la situation et se décide à se lever pour servir l’apéritif.

Je devrais me lever et lui prendre la place dans le fauteuil ou alors aller me changer pendant qu’il est dans la cuisine, mais je n’en fais rien, car l’homme serait sans doute vexé. L’ambiance se débride, mais je me demande toujours, tout en participant à la conversation, ce qu’est venu faire cet homme ici alors que Jacques ne le connaît même pas.

Tout à coup Jacques se lève et dit :

— Merde ! J’ai plus de clopes ! Reste là Fabien, j’en ai pour 5 minutes.

Jacques sort de l’appart et je me retrouve seule avec le fameux Fabien.

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens toute bizarre d’être seule avec cet homme.

Non ne parlons pas pendant un petit moment et ce silence est très gênant. Pour un représentant ça la fout mal de ne pas avoir de conversation.

C’est moi qui entame la discussion :

— Vous êtes commercial dans quel domaine ?

Fabien :

— Je vends des produits de beauté !

Il commence à m’intéresser car comme toutes les femmes j’aime bien prendre soin de mon corps et si je pouvais obtenir quelques échantillons gratuits de produits de beauté de luxe, ça m’intéresserait beaucoup.

— Ah bon ! et ça se vend bien !

— Oui ça va ! Mais en ce moment il y a un produit de folie ! Une huile pour le corps, qui donne à la peau une douceur extrême !

Ca y est c’est parti ! L’ambiance se déride. Il ouvre sa valise et sort une bouteille joliment décorée, et me dit :

— Ouvrez et sentez ! Vous allez voir, c’est délicieux ! Un nectar d’amour !

Il me fait rougir le salaud en me parlant de nectar d’amour. Ca me fait penser à des produits aphrodisiaques !

Comme je ne réponds pas, il me dit :

— Vous voulez l’essayer !

Moi, timide :

— Heu je ne sais pas ! Je crains de ne pas savoir bien l’appliquer sur mon corps !

Il a réponse à tout, car il me dit :

— Qu’à cela ne tienne ! Je vais vous en enduire moi même !

Moi un peu outrée :

— Je ne vais quand même pas me déshabiller devant vous !

Lui :

— Ne vous inquiétez pas, vous n’aurez qu’à mettre les mains sur vos seins pour les cacher pendant que j’enduis votre dos et votre buste ! Vous savez je fais ça tous les jours et ça n’est pas dans mon intérêt d’être osé avec les clientes ! Je ne vendrais plus rien ! Mettez vous devant cette grande glace pour que je puisse voir ce que je fais !

Devant un tel discours, je cède et lui fait entièrement confiance. Je me place donc devant la glace. Fabien se retourne et me dit !

— Enlevez le haut de votre robe et mettez vos mains sur vos seins ! Je ne regarde pas !

Je sens mon visage rougir de honte. Avec beaucoup d’hésitation, je fais glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Je jette un regard dans la grande glace.

Je pose les mains sur mes globes. Etant donné le volume de mes seins, mes mains cachent juste l’essentiel. Je vois aussi derrière moi, les yeux fermés, ce très beau mec qui va bientôt poser ses mains sur mon corps. C’est très heu. étrange comme situation et un brin excitant.

Fabien est patient car il attend 3 longues minutes jusqu’à ce que je me décide enfin à lui dire :

— Voilà ! Je suis prête !

Lorsqu’il ouvre ses yeux, je sens mon visage bouillir de gêne. Je n’ose pas croiser son regard et d’ailleurs, avec beaucoup de tac il n’essaie pas de me regarder. Il va travailler comme un professionnel mettant en avant la marchandise qu’il vend. Bien que je ne me sois jamais retrouver dans une telle situation devant un inconnu, son indifférence me rassure et ma gêne s’estompe.

Ses mains se posent alors sur mon visage. L’huile délicieuse s’étale sur mon visage. Ses mains sont douces, c’est vraiment très agréable et je me sens de plus en plus à mon aise.

Délicatement, il enduit tout mon visage de ce doux produit. Je me sens bien.

Ses mains glissent vers mon cou. C’est d’autant plus agréable qu’il me masse en même qu’il étale l’huile sur mes épaules.

Puis ses mains glissent sur mon dos. Je ferme les yeux car sa délicatesse est merveilleuse et j’ai envie de déguster ces moments de douceur.

Je ne me rends pas trop compte que ses mains descendent de plus en plus bas dans mon dos. Elles sont sur la chute de mes reins. Je pourrais trouver ça un peu osé, mais c’est tellement délicieux et fait si naturellement que je le laisse faire.

Il masse merveilleusement ma peau. Je me sens huileuse et c’est très agréable. Ses mains glissent sur mon dos, montent, descendent, remontent, redescendent de plus en plus bas.

Ses doigts effleurent la ceinture de ma robe qui est pourtant très basse.

Je sursaute tout à coup. Ses mains viennent de se poser carrément sur mes fesses.

Le coquin est tellement délicat que je n’ai rien senti lorsqu’il a baissé presque entièrement le zip de ma robe. Elle ne tient plus que par l’attache de la fermeture éclair et mes fesses sont nues.

Devant mon sursaut, ses mains se font aussitôt plus douces, plus délicates. Devant une telle douceur, je ne peux pas protester car j’ai trop envie que ça continue.

Alors je le laisse faire.

Ses mains s’attardent longuement sur mes fesses. Elles s’attardent tellement que je ne peux plus me convaincre que ces gestes sont innocents. Le coquin de Fabien est en train de profiter de la beauté de mon corps et fait tout pour ..m’exciter.

Puis enfin ses mains quittent mes fesses. J’ai les sens tout retourné. En massant mes fesses, Fabien m’a donné un plaisir incroyable qui me fait peur car je me sens prête à faire des folies.

Ses mains glissent alors sur mes cuisses. Je ne le vois plus dans la glace car il est accroupi derrière moi.

Alors je fais une chose que j’ai envie de faire depuis qu’il a commencé à masser mes fesses et peut être même avant.

Doucement, je fais bouger mes mains sur mes seins. Je les masse délicatement en me mordant les lèvres pour ne pas échapper de gémissement. Je sens mon sexe bouillir. Mes tétons se sont dressés, je ferme les yeux.

Fabien continue de passer de l’huile sur mes cuisses, puis sur mes mollets.

Ses mains remontant doucement sur mes cuisses, sur mes fesses. Encore une fois elles s’y attardent longuement. Je masse mes seins de plus belle. Puis ses mains remontent sur mon dos, glissent sur mes épaules.

C’est alors que je réagis. Si ces mains sont sur mes épaules, c’est qu’il est debout, et s’il est debout, il doit me voir en train de masser mes seins dans la glace en me mordant les lèvres de plaisirs.

J’arrête aussitôt. La honte s’empare de moi. J’ouvre les yeux. Effectivement, Fabien est debout et me regarde dans la glace tout en me massant les épaules. Il m’a vu c’est sûr. Il doit imaginer que j’ai envie de faire l’amour, qu’il m’a excitée.

Je suis toute rouge. Fabien quitte mon regard, faisant mine de n’avoir rien vu. Je suis soulagée.

Il remet une fois de plus de l’huile sur ses mains. Il les pose sur mon ventre et toujours aussi délicatement, il enduit mon ventre.

Ses mains descendent très bas, plus bas que le nombril, jusqu’à la ceinture de ma robe.

Partout ou il met ses mains, je ressens de l’excitation. Il va falloir que ça s’arrête sinon je vais craquer.

Puis ses mains sont à la base de mes seins. Délicatement, avec encore plus de douceur. Petit à petit, tout en continuant ses massages à la base de mes seins, je sens ses doigts qui montent petit à petit sur mes globes.

Au bout de 2 ou 3 minutes de ces douces caresses, je sens ses doigts contre ma main.

Le coquin a carrément posé ses mains sur les miennes qui s’évertuent à cacher mes tétons.

Puis, le bout de ses doigts s’insinue légèrement sous mes doigts. Je ne fais rien pour l’en empêcher. Je suis trop excitée pour ça.

Au contraire, je lâche la pression que je fais sur mes seins et laissent les doigts de Fabien passer sous les miens. Aussitôt, ses doigts glissent jusqu’à mes tétons.

Il ne paraît pas étonner qu’ils soient aussi dressés. Il ne paraît pas étonner que je sois aussi excitée. Sans doute à t-il l’habitude, il doit bien avoir beaucoup de clientes coquines.

A mon grand désarroi, ses mains se retirent de mes seins.

Ses mains se posent sur ma taille. Il me fait faire un demi-tour et je me retrouve face à lui.

Une gêne m’envahit. Je dois être rouge de honte. Mais une fantastique excitation, une merveilleuse envie de faire l’amour fait frémir mon corps.

Fabien prend la bouteille d’huile, la déverse dans une de ses mains. Puis il rejoint ses 2 mains après avoir reposé le flacon.

C’est alors qu’une chose inattendue se produit. J’aperçois Jacques tapis dans un recoin de la pièce. Il est en train de me regarder d’un air bizarre et semble tout émoustillé par la situation, mon excitation s’accroît.

Je devine à l’avance la partie de mon corps sur laquelle Fabien va passer l’huile. Alors je ne résiste pas, et avant même que ses mains se posent sur mon corps, je retire mes mains de mes seins. Je lui offre mes seins nus, mes tétons hyper excités. Je ne regarde plus Jacques car je ferme les yeux, mais je l’imagine en train de m’épier d’un air vicieux.

Fabien me rend dingue. Il masse mes seins avec une douceur et une application incroyable. Mes seins durcissent, mes tétons s’allongent encore, j’ai envie de faire l’amour, j’ai envie que Fabien me fasse l’amour. Oui Fabien ! Pas Jacques, Fabien !

C’est la première fois que cela m’arrive, jamais je n’ai eu envie de faire l’amour avec un autre homme que Jacques.

Une main s’échappe alors de mes seins alors que l’autre continue de les masser tendrement.

J’ai un doute : Fait il ça par professionnalisme, ou parce qu’il veut me faire l’amour ?

Personnellement, j’espère que ce sera la 2ème option.

Cette main libre glisse sur mon ventre, descend, descend encore avec une infinie douceur.

La main est sur mon pubis. Je retiens ma respiration. Je sens son index et son majeur se séparer. Les 2 doigts coquins glissent chacun de chaque côté de mes grandes lèvres, sans les toucher vraiment.

Mon état devient catastrophique. Le peu d’huile qu’il lui reste sur les doigts, s’étale sur cette partie si intime de mon corps. Lorsque ses doigts se retirent, je ne peux qu’échapper un gémissement de plaisir.

En effet, et ça ne peut pas un geste innocent, en se retirant, son index à effleuré mon clitoris et un plaisir merveilleux a fait frémir mon corps.

Fabien met alors ses mains sur ma taille, me soulève. Ca y est, me dis je, nous allons faire l’amour, ça va être l’extase, le nirvana. Je suis lovée contre lui, ma tête dans son cou, mes bras autour de son cou.

Je sens alors son gland se coller à ma vulve. Je gémis. Depuis quand a t-il sorti son sexe ?

Je n’en sais rien et je m’en fous.

Doucement Fabien me laisse descendre et lentement son sexe pénètre dans mon ventre, m’arrachant un long cri de plaisir.

Il laisse dans cette position quelques secondes, puis avec art et puissance, il me fait monter et descendre sur son manche, m’arrachant à chaque coup, un cri de plaisir merveilleux.

J’ouvre les yeux, et je vois Jacques en train de nous regarder. Mon excitation redouble.

Fabien marche dans la pièce. Il s’assoit sur une chaise sans que son sexe ne sorte de mon minou.

Je pose chaque pied sur un barreau de la chaise, il me prend par les reins, et doucement, il me fait monter et descendre sur son sexe. Son manche plonge profondément en moi.

C’est moi, sans m’en rendre compte, qui maintenant monte et descend sur son sexe. Je m’empale moi même sur ce manche merveilleux qui me donne un plaisir que je n’avais jamais connu jusque là.

Je gémis sans cesse sans pourtant pousser de vrais cris de plaisir. Je me retiens de crier à cause de Jacques, car même gémir comme je suis en train de la faire avec Fabien, jamais je ne l’ai fait avec Jacques. Je ne veux pas le vexer, l’humilier. Et pourtant le plaisir que je prends avec cet homme inconnu est de très loin plus merveilleux que ce que j’ai pu ressentir avec Jacques, même les fois ou j’ai pris du plaisir avec lui. Ca n’a vraiment rien à voir.

Tout à coup, je vois Fabien écarquiller les yeux en regardant par dessus mon épaule, vers le fond de la pièce.

Je comprends alors qu’il vient de voir Jacques. Je ne veux pas qu’il s’arrête, car à sa tête, je comprends qu’il n’était pas du tout au courant de ce que préparais Jacques. Il n’est pas du tout au courant qu’il fallait qu’il fasse l’amour avec moi. C’est moi et uniquement moi, en me caressant les seins, qui lui ait donné envie de faire l’amour. Il a compris de lui même que j’avais une envie folle de lui.

La situation m’excite encore plus. Pour le rassurer, je prends son visage entre mes mains, et lui roule une pelle comme jamais j’en ai roulé.

Je suis rassuré car il me reprend par les reins tout en m’embrassant et me fais monter et descendre sur son manche encore plus fort, encore plus vite.

Je gémis de plus belle, il m’ait vraiment difficile maintenant de ne pas crier. Une idée folle me vient alors. J’ai envie que Jacques en voit encore plus. J’ai envie que Jacques me voit m’abandonner totalement à Fabien.

Je me lève en extirpant le sexe de Fabien de mon minou. Je me mets de dos à lui, je remonte sur les barreaux de la chaise.

Je plie les genoux pour m’asseoir. Le gland de Fabien se colle aussitôt à ma vulve.

Fabien devait le tenir dans sa main, visant mon minou.

Je m’empale alors sur son manche, de dos à lui, et donc de face à…Jacques.

Je me cambre au maximum, je mets mes bras en arrière pour les passer autour du cou à Fabien.

Je suis complètement cambrée, ouverte, offerte à lui, à son sexe, à ses mains, et surtout au regard de Jacques.

Je commence à mon et descendre sur le manche. Fabien donne des coups de reins en même temps.

J’ai les yeux fermés à cause du plaisir fou que je ressens. Je sens alors un liquide couler sur ma poitrine, puis les mains de Fabien se placer sur mes seins.

Le coquin se met à les masser tendrement mais fermement. Je comprends alors qu’il a emmené le flacon d’huile avec lui.

Ses mains courent partout pendant que je vais et viens sur son merveilleux manche. Ses mains sur mon ventre, entre mes cuisses, remontent vers mes seins, je n’en peux plus.

J’ouvre les yeux avec beaucoup d’effort tellement le plaisir me donne envie de les laisser fermer.

J’ai envie de voir ce que fais Jacques, pendant que je me donne complètement à cet homme inconnu.

Jacques est en train de se masturber. Mon excitation est à son paroxysme.

Je ne peux plus me retenir et je me mets alors à crier. Je crie comme une folle. Je n’avais jamais crié jusque là avec Jacques.

Je le vois qui tique un peu. Il est étonné que je prenne beaucoup plus de plaisir avec Fabien qu’avec lui.

Pourtant il continue de se branler.

Moi je n’en peux et me mets à crier :

— Hummmmmmmmm ouuuuuuuuuiii ! Ohhhh Fabien c’est bon ! Oh continue ! Plus fooortttt ! Ohuuuuumm j’aiiimmme çaaaa ! Ohh ouuiiiii ! Ohhhh ouiiiiiii ! Baiseeeee moi plus foooorttt ! ohhhhh encoooooreee ! huuuuuuuuuuuummmmm ooohhhh j’ai envie de jouir avec toooooiii !

Jacques fait la gueule, mais je ne peux plus m’empêcher de crier mon plaisir à cet homme si doué, qui continue de caresser mon corps en étalant l’huile.

Je n’en peux plus, je vois du sperme gicler du sexe à Jacques.

Je pousse un long cri :

— Ooooooooooooooooooooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhh ! Je joooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuiiiiss

Ce n’est pas le fait de voir Jacques jouir qui m’a fait exploser, mais la chaleur que j’ai reçu sous les jets de spermes de Fabien qui ont envahis mon sexe.

Nous restons un petit moment dans cette position, j’ai tourné la tête vers lui, et nous nous embrassons comme des fous d’amour en nous moquant complètement de la présence de Jacques.

Fabien me susurre :

— Il faut que je parte maintenant mon cour !

Je l’embrasse de plus belle sans contester. Je me lève. Fabien se lève en remettant son sexe dans sa braguette.

Nous allons vers Jacques. Il sourit, mais il sourit un peu jaune, puis il dit :

— Katia ! Je ne veux pas que tu fasses l’amour avec un autre en mon absence. Si je suis là c’est OK !

Moi :

— Je te le promets chéri !

Jacques :

— Toi Fabien, j’aimerais autant que tu ne reviennes plus ! Tu as trop fais jouir Katia, et j’ai peur qu’elle s’attache à toi !

Fabien hoche la tête. Jacques le raccompagne jusqu’à la porte. Je cours vers lui avant qu’il ne sorte, je me jette à son cou et nous nous embrassons comme des fous !

Il sort, Jacques fait la gueule. C’est le revers de la médaille. Il se rend compte qu’il m’a amené un homme qui fait trop bien l’amour, beaucoup beaucoup mieux que lui, et de très loin ! J’ignorais que l’on pouvait prendre un tel plaisir. Je sais désormais ce qu’est l’orgasme. Je pensais qu’il n’y avait que dans les films porno que les filles criaient « je jouis etc. », je viens de m’apercevoir que ça sort en fait du fond du cour.

Pendant le reste de la soirée, Jacques est très mal à l’aise. Bonne pâte je le réconforte en le prenant dans mes bras.

— Ne t’inquiète pas mon chéri ! C’est toi que j’aime et uniquement toi, et si j’ai joui aussi fort c’est parce que tu étais là, en train de me regarder, c’est parce que nous avons réalisé notre fantasme à tous les deux ! Mais rassure toi, jamais je n’aurais fait ça si tu n’avais pas été là. Si j’ai commencé pendant que tu es allé chercher des cigarettes, c’est parce que j’ai compris que tu voulais que je reste seule avec lui ! Je t’aime trop pour te trahir et je n’ai vraiment pas envie d’aimer un autre que toi !

Jacques :

— Merci mon Amour ! Je t’avoue que j’ai eu peur ! Mais maintenant que tu me dis ça, je suis rassuré ! Et je dois t’avouer aussi, que j’ai pris un plaisir immense à te voir te donner comme ça à Fabien ! J’ai pris un pied formidable à te voir jouir si fort avec un autre homme !

Un moment de silence, puis il rajoute un peu gêné, sans doute à cause de la mauvaise réaction que je pourrais avoir:

— Et tu sais, j’ai très très envie de recommencer !

Je ne réponds pas, me love contre lui et l’embrasse à pleine bouche. Ca veut dire ce que ça veut dire.

Mais il rajoute :

— Et maintenant que je suis rassuré, je dirais à Fabien qu’il peut revenir te voir ! Mais attention, jamais quand je ne suis pas là !

Je souris de bonheur, rien qu’a l’idée que Fabien va revenir. Mais je tiendrai ma promesse, je ne ferais pas l’amour avec un autre en son absence !

Je réponds :

— D’accord mon chéri !

En résumé, je mens pas mal. Je n’ai pas joui comme une dingue parce que Jacques était là. J’ai joui parce que Fabien m’a merveilleusement fait l’amour ! Je n’ai pas commencé à faire l’amour avec Fabien parce que je savais que c’est ce que voulait Jacques. Non! J’ai commencé parce que Fabien m’a excité de manière phénoménale, et je n’ai vraiment pas pensé au fantasme de Jacques. J’avais complètement oublié Jacques. Je n’avais que Fabien dans ma tête et maintenant encore, alors que je suis lové contre Jacques, c’est à Fabien que je pense et j’ai une envie dingue de me donner encore à lui.

Mais Jacques ne sait pas ce qu’il se passe dans ma tête et c’est parfait comme ça ! Je le trompe par mes pensées. Mais n’est ce pas pire que de le tromper physiquement ?

Jacques enlève alors ma sortie de bain que j’ai passé après le départ de Fabien, et m’allonge sur le canapé.

Je me laisse faire. Que voulez vous que je dise ? Je ne vais quand même pas refuser de lui donner mon corps alors que je l’ai offert, plus que de raisonnable, à Fabien.

Jacques se déshabille.

Sans attendre il s’allonge sur moi. Sans aucun préliminaire, il me pénètre. Il se met à aller et venir en moi doucement. Il gémit et je m’étonne moi même de ne ressentir aucun plaisir.

Que dois-je faire ? Simuler ? Ce n’est pas tellement mon style.

Jacques doit bien sûr se rendre compte que je n’ai aucune sensation, alors il se met à me parler.

— Tu étais belle tu sais quand tu t’empalais sur le sexe à Fabien face à moi ! Je voyais son sexe entrer sortir de ton minou, c’était merveilleux !

Alors là, je ressens un terrible frisson dans mon corps et j’échappe un gémissement.

Jacques accélère alors ses allées et venues et continue :

— Je le revois encore en train de passer l’huile sur ton corps nu, sur tes seins, ton ventre, entre tes cuisses alors que tu te démenais, les cuisses écartées, le corps cambré, les bras derrière son cou ! Offerte, complètement offerte !

Moi :

— Huuuuuuumm..ohhh ouuiiiiii ! ohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. ! encoooooooooreee ! encooooore ! Oh vieeennns je vais jouiiiiiiiiiiiiiirrr ! Viens vieeeeeeeeeeeeeeeeeennnss ! Fabiiiiiiiiiiiieeennnnnnnnnnnn jouis dans mon ventre ! Oh Fabien ! Fabien ! Fabiiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeennnnnnnnnnnnnnnnnnnn !

Et j’explose de jouissance en recevant la liqueur de Fabien . heu pardon ! la liqueur de Jacques dans mon ventre.

Vous l’aurez compris, ce n’est pas Jacques qui m’a fait jouir, c’est..Fabien.

Jacques l’a compris aussi et me dis tristement :

— C’était si bon que ça avec lui ?

Je le regarde d’un air gêné et lui réponds :

— Oui !

Puis pour ne pas le vexer :

— Mais c’est parce que tu étais là !

Il me sourit mais je sens bien qu’il n’est pas convaincu.

Nous allons nous coucher à la fin de la soirée, sans ne plus reparler de tout ça. Jacques fait comme si de rien n’était, et moi aussi !

La journée du lendemain se passe comme d’habitude. Ca va, j’ai commencé a oublié Fabien. C’était la folie d’un soir, c’est tout.

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Vers 18h00, le téléphone sonne. C’est Jacques :

— Allo mon Amour, j’arrive avec un copain à la maison ! Prépare ce qu’il faut !

Et il raccroche. Ce n’est pas vrai ! Ca ne va pas être comme ça tous les soirs ! Puis je me dis que c’est peut être Fabien sans trop y croire.

J’en ai un peu marre des petits jeux à Jacques ! Bien sûr si c’est comme hier soir, j’y prendrais du plaisir, mais il pourrait quand même me demander mon avis avant d’emmener des mecs à la maison.

Bon puisque c’est ça, je vais la jouer un peu provocatrice.

Je mets un chemisier moulant, auquel je ne ferme que 2 boutons pour laisser un décolleté des plus ouvert, et une mini jupe ultra courte avec un zip sur le devant. Cette mini est également ultra moulante.

L’ouverture de la jupe se faisant de bas en haut, j’ai une idée coquine et souris en me disant :

— Ah tu veux jouer à ça mon coco et bien puisque c’est comme ça, je ne vais fermer le zip que de quelques cm juste au raz de mon minou.

Puis j’attends.

Au bout de quelques minutes, Jacques ouvre la porte. Je me lève du canapé et me dirige vers le hall pour accueillir mon mec et certainement mon futur amant d’un soir.

Jacques reste bouche bée en me voyant ainsi vêtue et son copain ne perd pas une miette du panorama de mon décolleté et de ma mini jupe.

— Bonsoir mon chéri ! Ta journée s’est bien passée !

— Heu oui ! oui !

Puis je vais vers son copain et lui dit :

— On va se faire la bise !

Je lui fais donc la bise, et déposant mes lèvres, juste au coin des siennes.

Il ne paraît pas vraiment surpris et pour cause. Vous verriez le mec, un vrai apollon.

Il porte un débardeur hyper moulant. Ses muscles sont saillants. Il est brun avec des yeux bleus pas possibles. Dès que je l’ai vu, un frisson de désir a parcouru mon échine.

Nous entrons dans le salon.

Avant même de nous asseoir, je dis à Jacques :

— Tiens ! Tu n’as pas besoin d’acheter de cigarettes aujourd’hui !

Il me regarde avec e plus grand étonnement et bafouille :

— Heu si si !

IL sort donc de l’appartement. Je suis enfin seule avec son pote

Je dis :

— Installez-vous, je vais nous chercher à boire !

Je vais dans la cuisine en ondulant des hanches. Je sens le regard de l’homme sur mon corps, ça m’excite.

Je reviens avec une bouteille !

Le mec est assis dans le canapé. Je lui tends un verre en me penchant bien comme il faut pour lui donner une vue imprenable de mon décolleté.

Je le sers.

Celui ci est plus coquin que Fabien.

Il me dit :

— C’est une bien jolie vue que j’ai là ! Vous avez un superbe décolleté !

Je le regarde en rougissant et dit :

— Merci !

Lui :

— Vous n’avez pas un peu de glace pour mon whisky !

Moi :

— Si bien sûr !

Je repars vers le bar, et j’en profite pendant que je lui tourne le dos, pour dégrafer un autre bouton de mon chemisier : L’avant dernier.

Je reviens vers lui pour lui servir la glace.

Ca ne lui a pas échappé :

— Ah oui ! C’est encore mieux comme ça ! J’ai l’impression que vos seins sont magnifiques ! On en mangerait !

Ce coquin m’excite de plus en plus.

Moi :

— Vous voulez une tranche de citron dans votre Whisky !

— Ah volontiers !

Et me voilà reparti vers le bar. Là je dégrafe le dernier bouton de mon chemisier, et fait un noud pas trop serré pour libérer un peu plus de ma poitrine.

Je reviens vers lui. Je me penche pour déposer la tranche de citron dans son verre.

— Ouah ! Merveilleux ! Ca donne vraiment envie de les prendre dans les mains !

Moi :

— Merci !

Lui :

— Vous n’auriez pas un peu d’eau car le whisky est un peu fort !

J’ai du mal à déglutir, car cette fois je ne vais pas y couper. Si il m’a demandé d’aller a la cuisine, c’est pour que je défasse le noud de mon chemisier. Mais je ne peux pas aller plus loin que ça. Je veux juste provoquer, sans aller plus loin, pour rendre jaloux Jacques

Alors je lui amène l’eau sans rien avoir changé de ma tenue.

Il ne paraît pas surpris.

Seulement, c’est au moment ou je me penche pour mettre de l’eau dans son verre, que je sens ses mains glisser sous les pans de mon chemisier ouverts.

Le coquin caresse lentement mes seins à la base de leur globe, sans vraiment les masser, et moi, comme une idiote, je le laisse faire en retenant mes gémissements. Ses mains montent au fur et à mesure de ses caresses et je les sens bientôt sur mes tétons. Quand il les touche, il fait « Ooohh », de l’air de dire « tu es bien excitée ma coquine ».

Le fait qu’il sache que je suis hyper excité me fait échapper un petit gémissement. Le coquin enlève alors les mains de mes seins et me dit :

— Les glaçons ont déjà fondus ! Je peux en avoir d’autres !

Je me redresse avec regret, et avant même que je fasse demi tout pour aller vers le bar, il me dit :

— J’adore les minous épilés ! C’est merveilleux !

C’est alors que je me rends compte qu’au fur et à mesure de mes pas, ma jupe est tellement moulante que le zip de la mini s’est ouvert, et mon minou est dévoilé à l’inconnu.

Une grande gêne m’envahit, je mets ma main devant le minou et m’enfuis vers le bar.

Ma gêne n’a d’égal que mon excitation. Je devrais, je voudrais redescendre le zip pour cacher mon minou, mais mon désir de caresse m’en empêche.

Je reste là un petit moment, essayant de calmer mes ardeurs.

Je me décide alors, je prends des glaçons et repart vers le canapé après avoir descendu le zip de moitié.

C’est lorsque j’arrive devant l’homme et que je lève la tête, que je manque échapper le seau a glaçons. Je suis complètement abasourdie et pour cause, LE MEC EST COMPLETEMENT A POIL.

Je deviens toute rouge, mon corps frémis de partout. Le mec est vraiment beau, encore plus beau que je ne l’imaginais. Je ne peux m’empêcher de regarder son sexe. Il est merveilleusement bien fait, bien droit (pas comme celui de Jacques) avec un gland parfait.

Pendant que je mets les glaçons dans son verre, le coquin défait le noud de mon chemisier. Je me laisse faire, mes seins jaillissent devant lui. J’ai une folle envie de ce mec.

Une fois les glaçons dans le verre, je me redresse une nouvelle fois, et alors que je m’apprête à me coller contre lui pour l’embrasser, le petit coquin me dit :

— Une dernière chose ! Vous n’auriez pas quelques olives !

Je sais qu’il se fout complètement des olives, comme il se foutait du whisky, des glaçons et de l’eau. Je sais que ce qu’il veut, c’est que je m’effeuille au fur et à mesure de mes allées et venues vers le bar.

Je suis derrière le bar. Pour jouer le jeu jusqu’au bout, je prends des olives dans le frigo, puis je retire mon chemisier déjà ouvert, je remonte le zip de ma mini, dégrafe le bouton, dernier rempart pour que le mini chute, et je me retrouve complètement nue.

C’est comme ça, le bol d’olive à la main et le visage rouge de gêne, que je marche dans le salon, vers le canapé.

Je n’ose pas croiser son regard, mais j’imagine ses yeux parcourir mon corps nu. Ca me donne la sensation que ce sont ses mains qui me caressent.

Une fois devant lui, je pose les olives sur la table, me redresse. Je remonte mes yeux vers lui.

Je croise son regard. Quelques secondes de ce face à face intense, me font bouillir.

Mon futur amant me dit :

— Viens ! Viens sur mes genoux !

Fini le vouvoiement. Doucement je fais le mètre qui me sépare de lui, je mets un genou sur le canapé, a côté d’un de ses cuisses, puis le second genou à côté de l’autre cuisse.

Je me trouve donc à califourchon sur lui.

Je m’assois et sens son sexe dur contre mes fesses. Je me love alors contre lui, et l’embrasse follement en passant mes bras autour de son cou.

Je sens ses 2 mains sur mes hanches. Pendant que je l’embrasse à pleine bouche, il soulève mes fesses. Une de ses mains s’échappe de mes hanches, alors que j’ai les fesses relevées et que je l’embrasse toujours comme une folle. Puis je sens son gland se coller à ma vulve.

Je pousse un gémissement. Il fait entrer le gland dans mon orifice intime, prend ma visage à deux mains, pour repousser doucement ma tête et pour me dire :

— Tu peux venir maintenant !

Puis il la ramène ma tête vers la sienne et je me jette sur sa bouche comme une affamée. Puis, lentement, je laisse descendre mes fesses et laisse pénétrer le beau et long sexe bien au fond de moi.

Et nous restons comme ça à nous embrasser comme des fous. Puis il se lève, je passe mes jambes autour de sa taille. Je gémis dans ses bras avec son sexe bien enfoncé dans mon ventre.

Nous marchons dans le salon ainsi unis et entrons dans la chambre.

Il se met de dos au lit délicatement il s’assoit sans sortir de moi, puis s’allonge.

Je suis allongée sur lui et toujours sans faire des mouvements d’aller et venues, nous nous embrassons comme des fous d’amour. Mon sexe brûle, je n’en peux plus, j’ai envie qu’il aille et vienne en moi. J’ai envie de sentir son sexe glisser dans mon ventre.

Il doit comprendre que je n’en peux plus car il me dit en me repoussant :

— Viens ! Mets-toi à genoux de dos à moi !

Je lui obéis. Je sens alors son sexe contre mes fesses. Je comprends et je me cambre le plus possible pour le recevoir.

IL me tient bien par les hanches. Son sexe une nouvelle fois se colle à ma vulve. Je me cambre encore plus. Doucement le sexe pénètre alors, loin, très loin dans mon ventre. Je respire fort, je gémis doucement. Mon amant se met alors à aller et venir en moi lentement. C’est merveilleux. Je lance mes bras en arrière et les passe derrière son cou. Jamais je n’ai été aussi cambrée. Dans cette position, il a tout le loisir de caresser mes seins, les masser, titiller mes tétons.

C’est d’ailleurs ce qu’il fait. Lorsque je sens ses mains se poser sur mes gros seins, un long frisson m’envahit. Ses mains se mettent à masser mes seins. Je gémis comme une folle, car il vient d’accélérer ses mouvements. Son sexe va très loin en moi, pour en sortir presqu’aussitôt.

Une de ses mains s’échappe de mes seins pour courir sur mon ventre. Ces petites caresses normalement anodines me rendent dingue. La main court toujours et descend lentement en se dirigeant droit sur mon pubis imberbe. Je sens alors un doigt sur mon clitoris, je gémis de plus en plus, mon corps est parcouru de frissons.

Je n’en peux plus, je veux le sentir plus loin en moi, je veux me donner à lui corps et âme, je veux lui appartenir. Alors je lâche son cou et je fais la chose la plus incroyable que j’aurais cru faire. Jamais je n’aurais imaginé que je puisse faire ça un jour tant j’en ai horreur.

Doucement je me penche en avant, et doucement je me laisse tomber. Je me retrouve à 4 pattes sur le lit avec mon amant bien enfoncée en moi. Oui ! Je suis en levrette comme une chienne qui va se faire prendre par son male. A 4 pattes, la position la plus humiliante pour une femme.

Mon amant me prend alors par les hanches et se met aller et venir lentement, jusqu’au plus profond de ma chatte. Jamais je n’au rais cru que l’on puisse entrer aussi profondément en moi. Il va et vient en donnant de longs coups de reins. Le gland heurte le fond de ma chatte à chaque fois, et à chaque fois, il m’arrache un petit cri de plaisir. Car oui ! Je suis en train de plaisir incroyable à me faire prendre comme ça, car c’est cela qui s’appelle se faire prendre, comme on le dit d’un animal avec sa femelle, il la prend.

Et mon amant me prend, il me prend merveilleusement bien. Je gémis comme une petite chienne en criant de plaisir chaque fois qu’il donne un coup de rein plus fort que les autres, je n’en peux plus, je lui crie mon plaisir.

— Ohhh ouuuiiii encore, enccoooooreee, plus fort ! ohhhh c’est booooooooonnn c’est boooooooooooonnnnn !

Ca excite mon amant qui se va et vient de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Tellement fort que mes bras ne peuvent plus tenir. Alors je m’écroule sur le lit, les fesses en l’air, tenues bien fermement par les mains de l’homme.

C’est encore plus humiliant. Je lui offre tout de moi, je lui offre ma chatte comme jamais je ne l’ai offerte à Jacques. Je pousse des cris stridents de plaisir sous ses merveilleux coups de reins :

— Ohhoooooooooooouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ouuuuhhh c’est bonnnnnn ! ohhhhh chériiiiiiiiiiiiii je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrrrrr ! Oooohhh fait moi joooooooooooouuiiiiiiiirrr !

Puis dans un long cri et sous les coups de boutoirs de mon amant, j’explose de jouissance, une jouissance comme jamais je n’en avais eu, même pas avec Fabien mon amant de la veille.

Je sens le sexe sortir de ma chatte, et aussitôt des jets de spermes s’écraser sur mon dos et sur mes fesses. Le cochon vient de m’humilier encore plus. Je m’écroule sur lit.

Je me redresse au bout de 2 minutes de récupération.

Mon amant n’est plus dans la chambre. Je suppose qu’il est allé boire dans le salon. Je me lève alors, et complètement nue et je vais moi aussi dans le salon.

Là je le vois en train effectivement de siroter son whisky. Il est en pleine conversation avec Jacques, qui semble faire la gueule.

Je l’avais complètement oublié, et je pense alors que j’ai fait l’amour en levrette sous ses yeux alors que je lui ai toujours dit que j’avais horreur de ça.

Mais ce qui est fait est fait. Jacques me fusille du regard.

Je baisse la tête.

Jacques me dit :

— J’ai pu constater que tu aimes beaucoup faire l’amour avec Bruno ! Tu t’es lâchée complètement !

Je souris timidement.

Jacques continue :

— Allez avoue que tu as jouis comme jamais et que c’était bien meilleur qu’avec Fabien hier soir !

Je baisse la tête et dit :

— Oui !

Bruno enchaîne :

— Vous êtes bizarre tous les deux ! J’ai jamais vu un mec se branler pendant que sa femme se faisait baiser par un autre ! Enfin, si chacun y trouve son plaisir, tant mieux pour vous, mais aussi tant mieux pour les mecs qui comme moi ont de la chance de tomber sur vous !

Voilà, nous sommes des pervers pour lui, ce qui est vrai. Sans que je m’en aperçoive, Jacques s’est branlé en me regardant me faire prendre comme une chienne, ça prouve qu’il a aimé ça.

Je me dirige alors vers le canapé et m’installe entre Jacques et Bruno en me lovant contre ce dernier. Jacques ne bronche pas. Bruno lui, se met à caresser mes seins tout en continuant de parler avec Jacques. Moi je respire très fort en portant ma main à son sexe et en le caressant. Aussitôt Bruno se met à rebander. Il dit à Jacques :

— Tu lui fais l’amour souvent à ta femme, parce que de la façon dont elle s’est comporter avec moi, de la façon dont elle s’est donnée et qu’elle a jouie, on aurait dit qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis longtemps !

Jacques rougis et dit :

— Oui !

Bruno :

— J’imagine alors que, sauf mon respect, tu ne dois pas la faire jouir souvent ! Voyons, sort ton sexe pour comparer !

Jacques défait sa braguette. Il bande le salaud.

Bruno :

— Oui je comprends un peu pourquoi ! Dis moi chérie, prend sa queue dans ta main gauche et la mienne dans la droite et dis moi laquelle tu préfères.

Je ne sais pas pourquoi, mais je lui obéis. Je prends délicatement chacun des sexes dans une main, comme si je les soupesais. Laquelle je préfère ? C’est évident, en le sexe tordu et petit de Jacques et ce merveilleux manche, il n’y a pas photo.

Au bout de quelque secondes, je lâche le sexe de Jacques, pour ne garder que celui de Bruno. Je n’ose pas regarder Jacques. J’ai fait mon choix et il ne doit pas trop apprécier.

Lentement je continue de le caresser. Ca m’excite de faire ça devant Jacques. Ca m’excite follement de me comporter comme une vraie salope.

Il y a beaucoup de tension dans la pièce, je sens Jacques très nerveux. Bruno doit le sentir aussi, car il se lève et se rhabille en disant :

— Je ne sais pas si c’était une bonne idée que je vienne ici ! Je ne veux pas briser votre couple ! Vous devriez arrêter de jouer à ça ! Vous courrez à votre perte !

Il s’en va en serrant la main à Jacques et en lui tapant amicalement sur l’épaule, puis il vient vers moi, me roule une pelle merveilleuse. Je sens sa main glisser de mon ventre à ma chatte, il enfonce ses doigts dans mon ventre, et j’échappe un gémissement de plaisir.

Toute la soirée, Jacques et moi ne disons pas un mot.

Jacques va se coucher très tôt, et je devine que ce soir il vaut mieux que je ne dorme pas avec lui, alors je me couche beaucoup plus tard dans l’autre chambre.

Lorsque je me réveille, Jacques est déjà parti. Je n’ai pas senti qu’il vienne me faire un bisou comme chaque fois qu’il part le matin. Ca va donc très mal entre nous deux. Bruno a raison : notre petit jeu va briser notre couple.

Il faut arrêter, il faut que Jacques le comprenne. Je lui en parlerais dès ce soir.

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Ce n’est que le 1er chapitre de ma longue histoire et je vais me faire un plaisir de vous raconter la suite.

Vos impressions et commentaires seront les bienvenus. Ecrivez moi à : [email protected]

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