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Moi! Katia! 19 ans et nymphomane – Chapitre 11

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane - Chapitre 11



CHAPITRE XI – QUELLE LANGUE !!!

Après ces péripéties, je referme ma robe et je me remets en route. Les talons aiguille de mes bottes font beaucoup de bruit et je pourrais être repérée facilement par un vicieux en quête de salope. Heureusement il ne se passe plus rien jusqu’à ce que j’arrive à la station de métro.

Je descends dans la gare, je passe au dessus de la barre de sécurité puisque je n’ai pas d’argent pour payer le métro et je me dirige vers l’endroit ou s’arrête le métro.

Je fais un tour sur moi même en regardant les alentours, personne si ce n’est un clochard adossé à un mur et son chien couché à côté de lui.

Je plains ce pauvre SDF a qui la Société a gâché la vie et ça me donne presque envie de pleurer.

Je me retourne vers la voie du métro, attendant avec impatience qu’une rame arrive.

Le temps me semble long. Je me retourne à nouveau et commence à faire les 100 pas dans la gare. Je pense au SDF. Je lui donnerais bien une pièce, mais je n’ai pas un rond sur moi. Je me retourne vers lui. Je suis à peine à 10 mètres de lui, et là, je reste bouche bée.

Le cochon est en train de se branler en me regardant de haut en bas.

Je me retourne prestement pour ne pas voir ça.

Ca fait un drôle d’impression de voir un homme en train de se branler pour vous. Sans doute que je l’excite dans ma tenue plus que provocante. Je ne lui en veux pas, c’est normal après tout. Ca doit faire très longtemps qu’il n’a pas fait l’amour. Moi qui voulait lui faire plaisir tout à l’heure, et qui était triste parce que je n’avais pas de pièce à lui donner, j’arrive à lui donner un peu de bonheur grâce à mon corps.

J’ai envie de m’approcher de lui pour qu’il me voit de plus près. Alors, mine de rien, pour ne pas être provocante, tout en déambulant dans la gare, je m’approche de lui. Je dois être à cinq mètres de lui environ et je me remets à faire les 100 pas. Je jette de temps en temps des coups d’oil discrets vers lui et je vois le cochon de SDF, qui continue à secouer sa queue. Je suis heureuse de lui donner du plaisir. Pourtant je suis habillée, et même si j’ai une tenue de salope, je suis heureuse qu’il me trouve belle et qu’il soit excité grâce à moi. Je lui donne du bonheur.

Mais quel bonheur peut-on donner à un homme si ce n’est un corps nu. Un corps de belle jeune fille nue, parfaite, avec des seins merveilleux, un joli petit cul et un minou imberbe. Je voudrais tant lui faire plaisir, mais je ne peux pas faire ça. Je ne peux pas lui donner plus que ce que je suis en train de lui offrir. Pourtant il n’y a personne dans cette gare. Il y a lui, il y a moi, c’est tout. Je pourrais très bien lui donner un peu plus de moi, ne serais ce que mes seins nus. Le SDF continue de se branler. Je vois bien qu’il me regarde fixement. Mes seins nus, juste mes seins, il pourrait se branler avec encore plus de plaisir. Je porte alors la main au zip de ma robe. Dois-je vraiment le faire, j’hésite. Je pourrais vraiment le faire, je n’aurais qu’à remonter le zip si quelqu’un arrive, et puis beaucoup d’hommes les ont déjà et ils ne le méritaient pas forcément, alors que lui, franchement, déjà que sa vie est loin d’être facile, je pourrais lui faire ce plaisir. Depuis n’a-t-il pas vu un corps de femme, pourquoi cette belle jeune fille de 19 ans que je suis, ne lui ferais pas oublier son malheur quelques minutes.

Alors discrètement, au moment ou je fais demi tour et ou il ne peut voir que mon dos, je fais glisser le ZIP de ma robe en cuir jusqu’au nombril. Mes seins sortent de leur cachette, la robe est bien ouverte sur mon buste. Il est temps de se retourner maintenant, j’hésite, retiens ma respiration et me retourne. Je passe devant lui, les seins dénudés. Que doit-il penser cet homme ? Que je suis la pire des salopes, ou que je suis sympa de lui faire plaisir ?

Y a-t-il beaucoup de femme qui auraient eu cette idée saugrenue de se dénudé devant un SDF pour lui donner du plaisir ? Non, pas une ? Il doit donc en conclure que je suis la pire des salopes, ça me rend toute chose.

Toujours est il que sa masturbation est devenue plus vigoureuse. Je me demande comment il fait pour ne pas jouir en se branlant aussi fort. Je vais finir pas croire que je ne lui plais pas.

Ou peut être a-t-il envie de voir plus ? C’est vrai quoi, des seins c’est bien, mais un homme a envie d’en voir plus. Le pauvre homme n’a même pas les moyens de s’acheter une revue porno, avec de belles femmes nues dessus. Je pourrais lui offrir plus, je pourrais lui offrir mon corps entier. Je pourrais marcher devant lui complètement nue, il n’y a personne dans cette gare. Quel bonheur je lui donnerais ! Ce serait beaucoup mieux que des livres pornos, puisqu’il m’aurait devant lui, nue, en chair et en os.

Sans m’en rendre compte, tout en pensant à ce pauvre homme, je le vois se branler encore plus fort.

Je m’aperçois alors que machinalement, j’ai fais glisser le zip presque jusqu’à mon pubis.

Et c’est à partir de ce moment, que je sens ma chatte bouillir. Je suis quasiment nue devant un clochard qui se branle en me regardant. Je ne peux plus me retenir. Je veux lui donner plus, c’est irrésistible. Cette queue raide qui va et vient dans sa main me rend dingue. Ce n’est plus qu’à lui que je veux donner du plaisir, mais à moi aussi. Je suis prise à mon propre piège. Je suis trop salope pour résister, aussi je descends encore le zip, puis le lâche. Les pans sont entièrement séparés. Je lui livre mon corps nu. Sa main s’active encore plus et sa queue est de plus en plus raide. J’ai envie de l’exciter encore plus, aussi, je retire complètement ma robe. Voilà, je suis vraiment nue avec mes cuissardes. Nue et merveilleusement excitée. Le SDF se branle de plus en plus fort. Je ne me cache plus maintenant, je n’ai plus que des regards furtifs sur sa queue. Je suis à 5 mètres de lui, et je le regarde, ou plutôt je regarde sa main aller et venir sur son manche de chair.

Du plaisir, lui donner du plaisir. C’est ça que je voulais, lui donner encore plus de plaisir. Du plaisir qu’il n’a pas eu depuis longtemps et qu’il n’aura certainement plus jamais. Cette bite me rend folle. Le SDF ne serait pas sale, et si nous étions ailleurs que dans une station de métro je sûre que. je lui ferais une merveilleuse pipe. Je le pomperais jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. J’avalerais sa sève, je nettoierais son manche avec ma bouche, je lui lècherais les couilles. Qui me dit qu’il est sale d’abord ?

Je regarde ce manche branlé par cette main. Je ne peux pas résister. Il faut que je vois ça de plus près. Il faut que je sois à quelques cm de ce spectacle.

J’avance, nue, vers le SDF. En quelques secondes je suis devant lui. Il continue de se branler, mais avec encore plus de virulence.

Je m’agenouille. Sa queue et sa main sont à quelques cm seulement. Ca me rend dingue. C’est irrésistible. J’approche mon visage. Je sens sa queue heurter ma joue.

Je m’aperçois alors que l’homme ne se branle plus. Sa queue est tout contre mon visage. Je me mets à caresser le manche avec mes joues et avec mes cheveux.

C’est alors que je sens quelque chose sur mes seins. Ce quelque chose, c’est la langue du chien. Je me redresse toujours à genoux et repousse le chien. Mais qu’est ce qui lui prend à ce con de clébard.

Le chien s’éloigne et je me remets dans la même position, caressant le manche et le gland avec mes joues. Le SDF se laisse faire. Je ne veux pas le sucer car sa bite sent mauvais, mais juste caresser sa queue avec mes joues. Ca a l’air de plus plaire plus que tout, car sa queue bat la mesure contre ma joue. Je suis terriblement excitée, ah si seulement sa queue était propre.

J’ai la chatte en feu, l’anus brûlant. Je sens le téton de mon sein droit hyper dressé. Pourquoi le droit ? Je réagis alors. Le chien est revenu et s’est remis à me lécher le sein.

Je le repousse encore et continue mon supplice délicieux sur la queue de l’homme. Je sens à nouveau la langue sur mon sein.

La langue lèche mes tétons c’est pour ça qu’ils sont si allongés. Je repousse le chien à nouveau, mais avec moins de virulence. Pourquoi mon téton est si allongé. Pourquoi mon sein est il si dur. Pourquoi mon téton est si . excité. La langue du chien revient, je le repousse tellement timidement que le chien ne s’en va même pas et continue de me lécher le téton. Je continue de frotter mon visage sur la queue du SDF. Et ce sein auquel on procure de si douce caresse. Et ce téton dressé, presque douloureux à qui. le chien donne tant de plaisir.

Je pousse malgré moi un gémissement. Ce coquin de chien continu encore et encore, c’est bon, terriblement bon. Mon corps frissonne. Je suis à doigts de faire une bêtise. Non ! Il ne faut pas.

Ce gland que je continue de caresser avec mon visage, je l’approche de plus en plus de mes lèvres. L’odeur est terrible, mais ce chien me donne trop de plaisir pour résister, je n’en peux plus. Mes lèvres effleurent le gland, j’ai un sursaut, fait une petite roulade sur le côté et je me retrouve assise en tailleur, donc les cuisses largement écartées, à côté du SDF, le dos contre le mur reprenant mes esprits aussi vite que je peux. J’ai failli prendre le sexe sale et malodorant dans ma bouche, j’étais à deux doigts de le faire. Tout ça a cause de qui, à cause de chien qui me léchait si bien le sein.

Je respire très fort en fermant les yeux. Tout à coup je sens à nouveau la langue du chien sur mon autre sein. Mon téton s’allonge automatiquement. Je repousse la tête du chien, mais je n’ai plus de force et le plaisir est trop fort. Le cochon promène alors sa langue sur toute ma poitrine, allant d’un sein à l’autre, m’arrachant des cris de plaisirs. Je n’ai plus la force de le repousser, c’est trop merveilleux.

Il me lèche et me lèche encore. Mes tétons n’ont jamais été aussi longs. Je gémis de plus en plus, je me laisse faire, je ne résiste plus du tout. J’ai une envie complètement folle, j’ai envie que le chien me fasse jouir avec sa langue. Le pire c’est qu’il n’est pas loin d’y arriver.

J’ai gardé les yeux fermés pour déguster ce plaisir avec encore plus d’ardeur.

Tout à coup, je ressens l’odeur terrible du SDF, l’odeur de son manche. Je sens son manche sur ma joue, la caressant doucement.

J’ouvre les yeux. Il est là, debout, les jambes écartées. Son sexe est contre mon visage. Il fait rouler son gland contre mes joues et je bouge sensuellement mon visage pour l’aider à lui caresser la queue.

Le salaud de clébard est toujours là à me lécher les seins. Ca me rend dingue. Je mouille comme une folle. Et ce sexe qui roule sur mes joues de plus en plus près de mes lèvres. Le chien, sans doute gêné dans sa léchouille par la présence de son maître, fait glisser sa langue sur mon ventre. Je frissonne de plus belle. La queue a failli se coller à ma bouche. Heureusement que j’ai eu le réflexe de tourner légèrement ma tête sinon je n’aurais plus eu qu’a ouvrir la bouche pour qu’elle entre dedans.

Je pose alors mes mains sur les fesses du SDF pour que son sexe pour bien lui faire comprendre que j’aime ce qu’il me fait. J’aime ce manche qui caresse ma joue, j’aime ce gland qui s’approche bien trop près de mes lèvres.

Comme je ne m’intéresse plus au chien tellement je suis concentré sur le gland de son maître, celui ci me rappelle sa présence.

Je sens quelque chose de froid sur ma chatte. Quelque chose qui renifle. Je comprends alors que le clébard à coller sa truffe a ma chatte et la sent.

Je lâche d’une main une fesse de mon SDF et la porte précipitamment à ma chatte.

Voilà, celle ci est devenue inaccessible pour le chien. Le clébard se met alors à lécher ma main. J’ai eu chaud, à quelques secondes près le chien me léchait la chatte.

Je me re-concentre alors sur le sexe du SDF qui continue de se promener sur mon visage. Le chien continue de lécher entre mes cuisses à côté de ma main. Comme j’ai les cuisses bien écartées, il profite bien de cet endroit pour le moins intime même si ce n’est pas mon minou qu’il lèche.

Le sexe du SDF m’excite tant que je laisse le chien faire courir sa langue sur ma peau. De temps à temps je suis obligée d’augmenter la pression de ma main sur ma chatte car la langue arrive à s’insinuer sous mes doigts et effleure mes grandes lèvres. A chaque fois j’ai un frisson. Le SDF lui, continue de frotter son gland sur mon visage. Je suis dans un état lamentable. Je suis prise à mon propre jeu. Je voulais exciter le SDF, mais c’est moi qui suis terriblement excitée. Tellement excitée que je ne bouge plus la tête et que je laisse le gland se promener à sa guise sur mon visage. Il faut absolument que je repousse le chien. Ses léchouilles sont intenables et de sentir sa langue si près de ma chatte me rend folle.

Le SDF fait désormais aller son gland au coin de mes lèvres, puis un peu plus au centre. Je ne bouge toujours pas la tête.

Le SDF colle son gland au beau milieu de mes lèvres. Je ne le repousse toujours pas. Le gland va et vient sur toute la surface de ma bouche. Je le laisse faire. Je le laisse jouer avec mes lèvres.

Tout à coup j’ai un sursaut de plaisir. Je m’aperçois alors que j’ai 2 de mes doigts enfoncés dans ma chatte. Je me rends compte aussi que ce sursaut, n’est pas dû seulement à mes doigts, mais surtout au fait que la langue du chien parvient a se frayer un chemin à cause de mes caresses et qu’elle parvient facilement à lécher mes grandes lèvres. Je comprends alors que le plaisir que ce chien donnait à mes seins tout à l’heure, il est à 2 doigts de le procurer à ma chatte. Je devrais arrêter de me caresser et coller bien fort ma main contre ma chatte, mais je ne peux pas, c’est plus fort que moi.

Je ne peux pas d’autant plus que le SDF fait une légère pression avec son gland sur mes lèvres, car maintenant, son gland ne s’éloigne plus de ma bouche. Sans doute pense t-il que je vais craquer et que je vais ouvrir la bouche de moi même pour qu’il introduise son sexe dedans. Il peut toujours courir.

Pourtant j’adore les glissements de ce gland sur mes lèvres. Et ce connard de batard qui arrive de mieux en mieux à s’approcher de ma chatte.

Je gonfle mes lèvres comme si je voulais faire un bisou, pour que le gland profite bien de toute la surface de mes lèvres.

Huuuuuuuuuuuuuuuummm ! J’ai un spasme de plaisir, la langue du chien vient a effleuré mon clitoris. Un spasme de plaisir incroyable vient de secouer mon corps. C’est à ce moment là que je me dis que le plaisir qu’a donné cette langue a mes seins, n’est rien, rien du tout par rapport a celui qu’elle me donnerait si elle me léchait la chatte.

Le gland du SDF est toujours sur mes lèvres à la différence près que ma bouche s’est légèrement entrouverte a cause de mon spasme.

Plutôt que de réagir et de repousser le SDF, je passe doucement la langue entre mes lèvres et je frissonne. Je frissonne car je viens de toucher le gland du clochard avec ma langue.

Je ne peux pas résister à ce contact. Je retire la main de ma chatte, je la pose sur la fesse de mon SDF.

C’est alors qu’un plaisir phénoménal fait frémir mon corps de partout. Le chien a profité de ce que j’enlève ma main pour la poser sur la fesse du SDF, pour se mettre à me lécher le minou. Sa langue claque sur mon clitoris à toute vitesse. Ma position en tailleur, lui permet de lécher ma chatte dans tous ses recoins. Je me mets alors à lécher le gland du SDF en ondulant des reins sous les léchouilles du clébard. C’est incroyable, merveilleux, je suis secouée de spasmes, à 2 doigts d’exploser de jouissance. J’essaie d’ouvrir mes cuisses encore plus pour mieux sentir la langue laper ma chatte. Je mouille de partout et plus je mouille plus le chien s’excite sur ma chatte. Je deviens dingue, j’oublie la puanteur du sexe contre mes lèvres, j’ouvre un peu la bouche, j’exerce une pression sur les fesses du SDF pour l’attirer vers moi. Le gland pénètre entre mes lèvres j’ouvre la bouche, le gland s’enfonce encore un peu plus. Le chien me rend dingue. Sa langue va de plus en plus vite, j’ai l’impression que mon clitoris va littéralement exploser. J’attire encore le SDF en tirant ses fesses vers moi, et je ne me retiens plus. Je gobe le sexe du SDF jusqu’au plus profond de ma gorge et me mets à lui faire une pipe incroyable. Je pousse des petits cris étouffés, je vais jouir. Le chien va me faire jouir. Je m’excite alors comme une dingue sur la queue du SDF. Il ne peut plus se retenir, sa sève explose au plus profond de ma gorge. J’aspire de toutes mes forces pour vider complètement ses couilles. Il ne peut plus supporter la virulence de ma pipe, puisqu’il vient de jouir. Il sort de ma bouche. Les yeux mi clos et gémissant comme une chienne, je le regarde dans les yeux et j’avale toute la sève que j’ai dans la bouche.

— Hummmmmmmmm ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Je viens de jouir comme une folle. Jamais je n’ai jouis aussi fort, et il faut que ce soit un chien qui me donne ce plaisir fou.

Je réagis alors, me dégoûte, je viens de jouir grâce a un chien. Je dois devenir folle, c’est pas possible.

Je me dégage alors vite fait, car le chien est toujours en train de me lécher, et me retourne. Erreur, grosse erreur que je viens de faire, car je n’ai plus de force. En me retournant pour échapper au chien, je me retrouve à 4 pattes. Le chien en profite pour me lécher de plus belle. Il me lèche à toute vitesse, j’avance à 4 pattes, mais le chien me suit, je suis trop faible et je n’arrive pas à me relever. Je me mets alors à gémir malgré moi. Toujours malgré moi j’arrête d’avance à 4 pattes. Encore malgré moi, je me cambre au maximum, écarte mes cuisses en grand et je me mets pousser des petits cris de plaisir. La langue du chien me lèche de plus en plus vite de plus en plus fort. J’imagine le SDF en train de me regarder prendre mon pied avec son chien. J’ai honte, je me dégoûte, mais je ne peux pas résister au plaisir fou qui continue de monter en moi.

Je n’en peux plus, je deviens folle, complètement folle. Je pousse un cri strident qui résonne dans toute la gare et des spasmes merveilleux envahissent mon corps. Je viens de jouir pour la 2éme fois en quelques secondes grâce au chien du SDF. Je me lève alors comme une folle, prend ma robe en cuir et part en courant dans la gare sans même la remettre.

J’arrête alors de courir au bout de 30 secondes. Le chien ne m’a pas suivi. Je me mets dans un recoin et repasse ma robe.

Je me mets à pleurer, à pleurer de honte. Je me dégoûte, je me fais peur. Je me fais peur car je suis prête à faire n’importe quoi pour jouir. Je ne peux pas résister au plaisir d’ou qu’il vienne, j’ai peur.

Toujours en pleurant, je me dirige vers la sortie de la gare. Je ne pense pas que l’on m’ait vu, ça me rassure un peu.

Je suis enfin dans la rue. Il fait nuit noire. La rue n’est quasiment pas éclairée. Je marche lentement, complètement dépitée. Je pense encore au chien alors que j’étais en levrette, en train de me lécher. Et là je frémis de peur encore un peu plus. J’ai encore plus peur, car je me demande, dans l’état de folle excitation que j’étais, que réaction j’aurais eu si le clébard était monté sur moi et avait essayé de me prendre comme si j’étais une chienne.

Je re-pleure, je me fais peur.

Je marche dans la rue toujours lentement lorsque j’entends :

— Mademoiselle attendez !

J’accélère alors le pas, je n’ai plus, du tout, envie de baiser.

— Attendez Mademoiselle ! Je ne vais pas vous faire de mal ! Vous avez perdu quelque chose !

La voix de l’homme qui m’a interpellé n’est pas agressive, pas vicieuse. Je suis sûre que cet homme est honnête.

Je m’arrête alors et laisse l’homme s’approcher de moi.

Il est essoufflé. Il a du courir pour me rattraper.

Il l’air effectivement très gentil. Il doit avoir une trentaine d’année et n’a vraiment pas l’air d’un pervers. Il n’est pas vraiment beau, mais il se dégage un charme de lui qui ne me laisserait pas indifférente en temps normal, mais là, avec ce que je viens de subir volontairement, avec l’humiliation a laquelle je me prêtée, je n’ai vraiment pas envie de me faire baiser tellement j’ai honte de moi.

S’il ne faisait pas si noir, l’homme verrait la façon dont je deviens rouge comme une pivoine. Je deviens rouge de honte car l’homme me tend mon sac à main et me dis :

— Vous avez oublié votre sac à côté du SDF !

Il m’a vu. Il m’a vu à quatre pattes en train de me faire lécher par le chien et jouir comme une dingue grâce à sa langue.

Je suis humiliée, écarlate de honte. Dire que j’étais observé par quelqu’un pendant que je suçais le SDF et comble de tout, pendant que le chien me léchait et me faisait jouir à 2 reprises. Dire que j’étais observé par un homme, et que c’est homme il est devant moi avec mon sac à main.

Je n’ose pas le regarder, heureusement qu’il fait très sombre il aura ainsi beaucoup de mal a reconnaître mon visage si par hasard je devais le rencontrer à nouveau.

Il me donne mon sac à main. Je le prends, et aussitôt, les larmes coulent sur mes joues.

J’ai honte, honte de ce que je suis devenue en quelques jours. Je me rends compte que je suis une véritable nymphomane et que je suis capable de tout pour le plaisir sexuel.

Je pleure, je me hais, j’aimerais tellement redevenir comme avant, une jeune fille sage et aimante. Jacques ne mérite vraiment pas ça.

L’homme compatit :

— Allons, ne pleurez pas ! Je ne veux pas vous voir pleurer, vous êtes si jolie !

Et en même temps il essuie les larmes avec son index, comme si il les cueillait.

Ca fait du bien, c’est rassurant. Ca fait longtemps que l’on n’a pas été gentil comme ça avec moi. J’apprécie beaucoup

Encore pleine de larmes, je lui souris. Il répond à mon sourire.

Il me dit :

— Vous vous voulez que je vous ramène chez vous ? ma voiture est juste là !

Je me renfrogne légèrement. Il s’en aperçoit et me dit en souriant gentiment :

— Rassurez vous, je ne fais que vous déposer devant votre porte ou alors où vous voudrez si vous ne voulez pas que je sache ou vous habitez. Et bien sûr dans la voiture je ne tenterais rien du tout ! Vous pouvez me faire confiance !

Je souris et hoche de la tête en signe d’approbation.

Nous faisons les quelques mètres qui séparent de sa voiture. Sa voiture est toute simple, pas de BMW ou de MERCEDES rutilante, non ! Une voiture simple et ça me plaît, ça me rassure.

Durant le chemin qui me sépare de l’appart à Virginie, car bien sûr par sécurité je n’ai pas donné mon adresse perso, nous discutons de tout et de rien, c’est sympa. Je vais beaucoup mieux, et pour une fois, je ne pense pas du tout au sexe en présence d’un homme. Ca me donne l’impression de redevenir normale. J’ai oublié ma tristesse, ma honte, l’homme me fait rire, ça me fait du bien, beaucoup de bien. Nous sommes à une cinquantaine de mètres de chez Virginie et je lui dis :

— C’est là ! Au niveau de la voiture bleue !

J’ai confiance en lui alors je lui ai montré exactement l’immeuble de Virginie !

L’homme s’arrête au bord du trottoir. Un silence de quelques secondes, comme une hésitation, comme une envie de ne pas se séparer encore. Alors je lui dis :

— Vous voulez boire un café chez moi ?

L’homme me sourit et dit :

— Oh ! je ne veux pas vous déranger ! Vous devez être fatiguée !

Moi :

— Ca me ferait plaisir !

L’homme arrête le moteur de la voiture. Nous descendons et entrons dans l’immeuble. Nous prenons l’ascenseur. Un drôle de climat s’installe. Nous ne disons pas un mot, nous n’osons même pas nous regarder.

Nous entrons dans l’appart de Virginie. Je lui dis :

— Asseyez-vous dans le canapé, je vais préparer le café.

L’homme s’exécute et je vais dans la cuisine chercher les tasses. Je reviens dans le salon.

L’homme est tout rouge. Rouge de honte et je ne comprends pas pourquoi. Je pose les tasses. L’homme me regarde d’un air un peu honteux. Je ne comprends pas ce qui se passe.

Puis il dit :

— J’ai envie de vous demander quelque chose, mais je n’ose pas !

Moi, sincère :

— Mais si ! Allez-y !

Lui :

— Oui mais je ne sais pas comment vous allez le prendre !

Moi, intriguée, et en souriant :

— Mais si ! Je vous assure ! Je ne le prendrais pas mal !

Quelques secondes s’écoulent, il devient écarlate de honte et dit :

— J’ai envie de vous voir nue !

Puis aussitôt il se ravise :

— Non ! excusez-moi ! Je suis idiot ! oubliez ce que je viens de dire !

Moi je me sens toute bizarre et je rougis aussi. Pas de honte mais de timidité. Pour lui montrer que je ne lui en veux pas je lui souris timidement et repars dans la cuisine chercher le café.

L’homme veut me voir nue. C’est normal après tout. Je suis belle et bien faîte, c’est normal que les hommes veuillent me voir nue.

J’attrape la cafetière et reviens vers le salon.

L’homme est toujours assis dans le canapé. Il a l’air très en colère après lui même. Je pose la cafetière sur la table du salon.

Il me regarde et dit :

— Excusez-moi encore ! Mais vous êtes si belle !

Et moi de lui répondre :

— Déshabillez-moi ! J’ai envie d’être nue pour vous !

L’homme me regarde avec étonnement, comme si l’impossible venait de se réaliser.

Je me tiens debout devant la table du salon, alors il se lève.

Il fait le tour de la table et s’approche de moi timidement. Je ne sais pas pourquoi mais je suis toute intimidée.

L’homme est juste devant moi. Il reste là quelques secondes. Nous nous regardons avec un regard aussi intimidé l’un que l’autre.

Puis sa main bouge, elle tremble, lentement elle se lève et s’approche du zip de ma robe. Je retiens ma respiration. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Pourquoi suis je intimidé comme ça. Sans doute parce que l’homme l’est aussi, il me transmet son angoisse. Il a pris le zip entre son pouce et son index. Sa main tremble, mon corps frémit. Le zip descend doucement, lentement très lentement. J’ai du mal à avaler ma salive. Ca me fait drôle de me faire déshabiller. La main de l’homme tremble de plus en plus et pourtant le zip continue sa course le long de mon buste. Il est au niveau de ma taille. J’avale à nouveau avec difficulté. Le zip descend encore, les pans se séparent de plus en plus, je ne sens plus le cuir sur mes seins, sans doute sont ils dénudés.

Le zip est maintenant sur mon pubis. As t’il vu tout a l’heure que j’étais imberbe du minou ? Vas t’il aimé ça ?

Le zip descend encore. La progression s’arrête. L’homme doit reprendre sa respiration. Sa main tremble de plus en plus. Le zip reprend sa course, je ferme les yeux. Je sais que maintenant il ne s’arrêtera plus et que ma robe s’ouvrira. Un cm, 2 cm, un frisson parcours mon corps, la robe s’est ouverte.

Je sens alors les pans se séparer, la robe glisser sur mes épaules puis plus rien. Je ne sens plus rien sur moi. Je ne sens plus le cuir de la robe. J’ai entendu un petit bruit. Un bruit de vêtement qui tombe au sol. Je suis nue ! Nue pour lui et je me sens bien !

J’ouvre alors les yeux. L’homme me regarde d’un air admiratif. Il semble ébahi par ma beauté. Il n’a pas un regard vicieux, loin de là, il a un regard d’enfant qui découvre son jouet de Noël.

Je le trouve beau maintenant. Il est tellement correct, gentil timide, que ça lui donne un charme incroyable.

Je me love contre lui en passant mes bras autour de son cou et lui dit :

— J’ai envie de dormir contre vous !

Il fait alors une chose merveilleuse, il me porte dans ses bras comme un marié porte sa tendre épouse, marche vers le lit, et m’y dépose délicatement, comme un objet précieux.

Il s’allonge à côté de moi, je me love tendrement contre lui, il me prend dans ses bras et nous nous endormons comme ça, sans un baiser, sans faire l’amour. Je suis heureuse et il a l’air aussi heureux.

Quand je me réveille, il est à côté de moi et me regarde tendrement. Depuis combien de temps me regarde t-il comme ça. Je lui souris tendrement, il répond à mon sourire, et je craque. J’approche mon visage du sien et dépose un baiser sur ses lèvres.

Comme je ne sais pas trop quoi dire, je pose des questions banales :

— Comment vous appelez vous !

Lui :

— Mon prénom est Bruno et vous ?

— Moi c’est Katia ?

Puis pour continuer dans les questions banales :

— Vous faîtes quoi comme métier ?

Lui :

— Je dirige une société de vente par correspondance sur internet !

— Et ça marche bien ?

Lui :

— Au début oui ! Mais maintenant il y a trop de concurrence sur le marché et les affaires ne vont pas très bien ! De toute façon il n’y a que le sexe qui marche sur internet ! Mon associé voudrait créer un site érotique, mais je ne suis pas chaud pour faire ça !

Moi :

— Ah bon ! Et pourquoi ?

Lui :

— Parce qu’on profite des jeunes filles pour les exhiber devant des millions de personnes ! C’est un manque de respect !

Ce mec est vraiment très bien, trop bien. Je dis :

— Oui mais si la fille est d’accord, il n’y a pas de respect qui entre en compte !

— C’est vrai ! Mais encore faut il pour cela trouver une fille qui veuille bien poser nue devant des millions de personnes et en plus il faut que ce soit une très très belle femme pour que ça fonctionne !

— Vous me trouvez belle Bruno ?

— Extraordinaire belle !

Puis je dis :

— Vous voulez un café ?

Lui :

— D’accord, mais avant je vais aller chercher quelques croissants !

Je lui souris en disant :

— C’est une merveilleuse idée ! Comme ça nous pourrons prendre un bon petit déjeuner ensemble !

Puis je repense à ce que j’ai fait hier soir. Je repense au fait qu’il m’ait vu !

Je me rembruni et au moment ou il va franchir la porte pour sortir je lui demande :

— Bruno ! Vous avez vu ce que j’ai fait hier soir avant que vous me rameniez mon sac ?

Il me sourit et dit :

— Ca n’a aucune importance ! Je ne porte aucun jugement la dessus !

Maintenant je sais qu’il m’a vu, je devrais avoir honte mais sa réponse me rassure et je dis :

— Merci !

Il me sourit gentiment, et sans répondre il sort de l’appartement !

Je ne sais pas pourquoi mais je suis toute timide face à cet homme si gentil, aussi je préfère ne pas rester nue, pas respect sans doute.

Je prends dans la penderie à Virginie une jolie nuisette noire, très courte et légèrement transparente. Je l’attache avec le seul noud situé plus bas que mon nombril, et prépare le petit déjeuner.

Je suis toute heureuse, je me sens bien. Pour la première fois depuis longtemps, je me sens bien avec un homme sans penser au sexe.

La seule chose qui restera en moi c’est que désormais je n’ai plus peur du tout de me montrer nue devant quelque homme que ce soit, que je le connaisse ou pas.

On frappe à la porte de l’appartement. Je me précipite vers la porte J’ouvre. Bruno échappe la poche de croissants.

Je souris car je sais que c’est de me voir dans cette tenue qui a provoqué ça.

Il reste encore sous l’enchantement et me dit :

— Qu’est ce que tu es belle !

Je rougis et un long frisson parcours mon corps. Cette simple phrase avec ce tutoiement me fait un drôle d’effet.

Il entre enfin. Je passe devant lui pour qu’il ait tout le loisir d’admirer mon dos, mes reins cambrés et mes fesses.

Je vais vers la table ou j’ai disposé le nécessaire pour le petit déjeuner, je m’assois.

Bruno est resté au milieu de la pièce et me regarde en rougissant comme une pivoine.

Je souris, me lève et vais vers lui.

Je dépose un baiser sur sa joue et lui dit en le tutoyant moi aussi :

— Tu as quelque chose à me demander ? Tu rougis tout le temps quand tu veux me demander quelque chose d’un peu osé ! Que veux-tu Bruno !

Il racle sa gorge et dit timidement :

— J’ai envie de te prendre en photo comme ça !

Moi, sans rechigner :

— D’accord !

Je vais alors vers un mur du salon. Je m’adosse contre celui ci. Relève une cuisse, la plie et colle mon pied sur le mur. La nuisette déjà très courte arrive au ras de mon minou.

Bruno prend alors son téléphone portable et le porte à son oil. Sa main tremble légèrement, puis « clic », un flash et la petite Katia est dans la boite.

Ca me fait un drôle d’effet, un délicieux effet. J’écarte alors légèrement les pans de la nuisette, juste au niveau de mes tétons, que je laisse tout de même cachés.

Bruno qui a enlevé son portable de l’oil comprend que je veux lui offrir une nouvelle photo, plus érotique.

Il porte à nouveau son appareil à son oil ! Nouveau flash, Katia dans la boîte !

Je ne sais pas pourquoi, mais ça me fait vraiment de délicieuse sensation.

Je défais le noud de la nuisette et la lâche, tout en tenant les pans pour ne pas que mes tétons soient exhibés les pans.

Bruno fait une nouvelle fois crépiter le flash.

La situation commence à sérieusement m’exciter.

Bruno n’enlève plus le portable de son oil, car il sait qu’il va en avoir plus.

J’écarte alors un pan de la nuisette, et mon son droit jaillit : Flash !

Je ne peux pas m’empêcher de dévoiler alors mon sein gauche : Flash !

Je quitte alors ma position. Je me mets à quatre pattes en remontant la nuisette. J’ai les fesses et les cuisses nues, mais comme je suis de profil à Bruno, il se contente de photographier toutes les courbes de mon corps. Mes reins sont cambrés, mes beaux seins pendent au dessous de mon buste. Les flashs crépitent. Bruno semble prendre un plaisir fou à me prendre en photo pendant mon striptease sensuel.

Je me couche alors sur le côté, les seins entièrement dénudés, en maintenant bien un pan de ma nuisette sur une cuisse. Je retire la manche droite. Le côté droit de mon corps est nu, de l’épaule a la jambe, totalement nu. Je n’ai plus que le pan gauche de la nuisette sur ma cuisse gauche et sur mon minou, car j’ai décidé de ne pas lui laisser le loisir de le prendre en photo. Ca a plus de charme comme ça. Il me flashe à tout va.

En prenant bien soin de ne toujours pas dévoiler mon intimité, je m’assois en tailleur. J’ai les cuisses bien écartées. Le pan gauche de ma nuisette cache mon minou, tout le reste de mon corps est nu. Je suis terriblement excitée par la situation. Les flashs crépitent de plus en plus. Bruno prend un plaisir fou à me photographier. Je passe alors ma main droite sous le tissu de ma robe et la pose sur mon minou.

Puis lentement, pour bien lui laisser le temps de prendre en photo chaque mouvement, je dégage la robe de ma cuisse gauche.

Ca y est ! Je suis nue ! Entièrement nue avec juste ma main pour cacher mon minou.

Bruno me flashe de plus en plus. J’ai chaud, mon minou brûle. J’ai l’impression que les flashes me touchent. A chacun d’eux, je ressens comme de l’électricité. Doucement je replie les doigts un à un pour qu’a la fin il n’en reste plus qu’un seul. Il ne reste plus que ce doigt là pour cacher juste la fente de mon minou. Et ce doigt, j’ai une envie folle de le faire pénétrer dans ma chatte.

Mais Bruno dit d’une voix étrange, presque étranglée :

— Stop Katia ! Arrêtons-nous là !

Il a raison, il ne vaut mieux pas aller plus loin. Je passe les bras dans les manches de la nuisette, puis en tenant bien les pans, je me lève. Et lui demande

— Tu as trouvé ça comment ?

Il me répond :

— Merveilleux ! Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi beau !

Moi :

— Montre !

Il m’indique comment faire défiler les photos sur le portable et me donne l’appareil.

Les photos sont magnifiques, je me trouve belle.

Je le regarde en souriant et je le vois tout rouge, tout honteux. Il est vraiment rigolo quand il fait le timide, très attendrissant.

Je continue de faire défiler les photos, et là, j’affiche un immense sourire.

Je le regarde et lui dit :

— Sacré cochon va !

Il ne sait plus ou se mettre. Je viens de tomber sur des gros plans. Des gros plans sur me seins et surtout des gros plans sur la main cachant mon minou. Il a tellement agrandi le zoom, que sur une photo, on voit même mes grandes lèvres entre lesquelles s’était légèrement insinué mon doigt.

Je lui rends l’appareil, passe mes mains autour de son cou, puis dépose un tendre baiser sur ses lèvres.

Je l’entends me dire :

— J’ai envie de toi !

Moi :

— Je sais, mais pas encore, je te respecte et tu me respectes trop !

Je dépose un nouveau baiser sur ses lèvres. Il me dit alors :

— Je peux te demander une dernière chose ?

Moi :

— Tu sais très bien que oui !

Lui :

— Tu veux bien m’accompagner à mon travail pour voir comment fonctionnent les affaires sur internet ?

Moi :

— Oh oui ! ce serait super chouette !

Puis en rougissant il me dit :

— Et puis tu feras connaissance avec mon associé comme ça !

Je souris en pensant aux projets de son associé sur un site internet érotique.

Je souris et ne réponds pas à sa question et demande :

— Tu crois que je peux venir habillée comme ça ? C’est pas trop provoquant ?

Lui :

— Mais bien sûr ! T’inquiète pas ! Tu es sexy mais pas provocante !

Moi :

— Ma robe n’est pas trop transparente ?

— Non elle est très bien comme ça ! On devine mais on ne voit pas !

Nous nous décidons à enfin prendre notre petit déjeuner. J’avale tout comme un ogre tellement j’ai faim. Nous discutons de tout et de rien. Il m’explique comment fonctionne un site internet. Je ne comprends pas la moitié des trucs, mais ça fait rien, je suis bien avec lui.

Une fois le petit déjeuner terminé il me dit :

— On y va ?

Moi :

— On y va !

Et nous voilà partit.

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Ce n’est que le 10éme chapitre de ma longue histoire et je vais me faire un plaisir de vous raconter la suite.

Vos impressions et commentaires seront les bienvenus à : [email protected]

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