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Mon assistante, Isabelle – Chapitre 4

Mon assistante, Isabelle - Chapitre 4



Nous restâmes lun contre lautre un long moment et, avant que je ne bouge:

« Tu as soif ?

— De toi, oui !

— Non, sérieusement, parce que moi oui

— Dis moi où cest jy vais.

— Dans le frigo amène la bouteille deau, sil te plaît.»

Jen profitai pour vite aller mettre un peignoir. Il me retrouva à lentrée de la salle de bain, me tendit la bouteille deau et, tandis que je buvais, défit la ceinture de mon peignoir, effleura la peau de mon ventre puis soupesa mes seins.

Vince me déshabilla entièrement, dabord mon peignoir, puis mon soutien gorge, ses pouces caressant mes pointes tendues. Puis, sagenouillant devant moi, il me prit une jambe, retira mon bas, puis lautre.

Il se dirigea vers la douche, fit couler leau et régla la température. Jobservai son corps. Il était bel homme et il devait faire du sport au vu de la forme de ses fesses. Je penchais pour du hand. Il se retourna, me prit par la main et mentraîna sous la pomme de douche. Sa bouche entreprit dexplorer mon corps, ma peau.

Il releva mes bras, déposant de doux baisers sur le creux de ma paume, dans le poignet, remontant jusquà la naissance de mon cou, mes seins, sa langue jouant sur mes tétons alors quil tenait toujours mes bras. Leau coulait sur ses cheveux, sa salive se mélangeait à leau.

Tout mon corps ondulait sous ses baisers. Il lâcha mes bras et ses doigts parcoururent ma peau. De très légers effleurements qui mélectrisaient. Il descendit sur le haut de mes cuisses. Attente insoutenable. Je voulais sa langue et ses doigts mais il faisait durer lattente, monter le désir en moi.

Ses pouces remontaient à lintérieur de mes cuisses, sarrêtaient juste avant de toucher mon intimité, puis caressaient ma croupe, son souffle si près de mon sexe. De ses deux mains, il pinça doucement mes lèvres en appuyant sur mon clitoris. Ses yeux croisèrent les miens mi-clos. Je ne pouvais plus réprimer mes gémissements.

Enfin, sa langue se fit inquisitrice. Il limmisça le long de mes lèvres gorgées de mouille puis écarta celles-ci et prit le temps dobserver. Sa langue était chaude et très experte. Il concentra son attention sur mon bouton, son appendice se faisant tour à tour très doux ou au contraire dardait sur mon clito.

Mon bassin bascula en avant, offrant à ses douces caresses lentrée de mon vagin. Il souleva ma jambe et la posa sur le banc de la douche. Sa langue visita mon puits ressortait pour me lécher la fente.

Il introduisit ses doigts en moi tout en continuant daspirer mon bouton. Mes mains se resserrèrent sur ses cheveux. Il entrait et sortait. essayant à chaque fois daller plus en moi.

Je sentais monter la jouissance, enserrer mon bas ventre et électriser mes reins. Mes gémissements se transformèrent en un râle rauque. Son pouce remplaça sa langue sur mon clitoris. Ses yeux ne quittaient plus les miens. Il voulait me voir jouir encore

« Je veux ta queue !! » les mots étaient sortis comme prononcés par une autre.

« Non, attends encore un peu. » me répondit mon nouvel amant dans un sourire.

Il se releva en couvrant ma peau de baisers. Ses caresses se firent plus appuyées. Ses doigts pincèrent mes tétons, marrachant un soupir. Il coupa leau et enroula son bassin autour dune serviette qui ne cachait rien de son excitation. Avec une seconde, il entreprit de me sécher. Je menroulai ensuite dans cette serviette trop petite qui laissait deviner la naissance de mes fesses.

Comme je me dirigeais vers le salon, il marrêta et mentraîna dans la chambre face à la salle de bain. Je remarquai son tatouage dans le dos.

Il me retira la serviette, me coucha sur le lit et sétendit sur moi. Son sexe battait contre le mien. Je le voulais tellement fort. Je voulais quil me baise, purement et simplement.

Mais il déposa un baiser sur mes lèvres. Mes mains découvraient sa peau, ses muscles, ses fesses, les siennes descendirent le long de mon corps. Il souleva son bassin puis, de son gland, commença à caresser ma fente. Il sintroduisit ensuite en moi.

J’avais limpression que son membre était encore plus gros et plus long que dans lascenseur. Il nen finissait pas de coulisser en moi, centimètre par centimètre. Jessayais donduler pour le faire entrer plus vite mais plus jessayais daccélérer plus il ralentissait.

Une fois au fond de moi, Vince commença de lents allers-retours, peau contre peau, lèvres contre lèvres, nos souffles et nos soupirs se mêlant. Je me laissai guider par mon amant délicat, apprenant à connaitre son corps. Il avait des bras bien dessinés, un dos musclé mais fin.

Ses reins sarrêtèrent un instant, puis il sortit son membre totalement pour le rentrer dun seul coup. Il recommença à plusieurs reprises, augmentant lintensité de mes gémissements.

Je navais plus aucune notion du temps ou de l’espace. Javais limpression quil était plusieurs. Je sentais ses mains me caresser partout à la fois. Alors que je relevais mes jambes sur son bassin, Vince men saisit une, lappuya sur son épaule et passa la sienne par-dessus mon autre jambe.

Je sentais à présent sa queue butée contre ma matrice. Cette position me fit jouir presque immédiatement. Je ne pouvais plus retenir mes cris. Il me pilonna encore et encore, une de ses mains pétrissant ma poitrine.

Me faisant pivoter encore un peu, Vince se trouva derrière moi, en levrette. Je lui tendis ma croupe. Ses mains mempoignèrent les hanches fortement et il me fit coulisser sur son sexe, la tête écrasée dans les coussins. Je mordis ma main de plaisir. Sentir ses couilles taper mon clitoris allait me faire exploser encore une fois. Mes jambes se crispèrent dorgasmes. Il resta au fond de moi sans bouger.

Puis il reprit ses lents allers-retours, ses mains caressant mon dos, des épaules aux fesses. Je me hissai sur mes avant-bras et mempalai profondément sur sa queue, accélérant le rythme de nos ébats.

Je me pris alors une claque sur la croupe qui me surprit autant quelle mexcita.

« Chhhhhht, doucement. Profite. Promis, je te baiserai après. Tu las dit on a tout notre temps »

Puis il appuya mes épaules contre le coussin et continua à me faire lamour comme il lavait décidé, me faisant jouir de sa langueur et de sa douceur. Il empoigna mes fesses à pleine main. Le feu de sa main était encore présent sur ma peau.

Jenserrai son sexe par les spasmes de mon vagin, ce qui le fit grogner plus fort. Je recommençai alors encore et encore. Je voulais quil jouisse en moi et de moi comme il mavait fait jouir déjà tellement de fois.

Je le sentis se mettre à genoux tout en tenant fort mon bassin. Son rythme devint effréné. Mes seins ballotaient de tout côté. Je magrippai au coussin jusquà sentir le flot de jouissance menvahir. Il se retira précipitamment et gicla de chauds et longs jets sur ma croupe frissonnante.

Nous nous écroulâmes alors tous les deux, moi sur le ventre et lui encore à moitié sur mes jambes. Il caressa mon dos, recueillit de sa semence et me la proposa. Je lui léchai le doigt comme sil sétait agi de son sexe.

« Ça va ? » demanda-t-il doucement.

En guise de réponse je lui souris et vins me coller à lui. Lalcool et la jouissance eurent raison de moi. Je mendormis contre mon nouvel et tendre amant.

Je ne sus combien de temps je métais assoupie mais Vince ny était plus. Je métirai, encore frissonnante au souvenir des mes orgasmes. Je pensai intérieurement:

« Quel beau parleur! Oui, je te baiserai après. Tu parles ! »

Jenfilais mon peignoir pour aller prendre à boire. Chaque pas me rappelait la longue et lente pénétration de son sexe en moi.

En arrivant dans le salon, je fus étonnée de le voir à la cuisine portant simplement son boxer, le nez dans mon frigo.

« Eh ! La belle au bois dormant, tu nas rien à manger ici. Jai faim et je dois reprendre des forces.

— Tu naimes pas les yaourts ? » le taquinai-je.

« Tu veux des ufs brouillés ?

— Des ufs, ou un uf ? »

Je le regardai, perplexe. Merde, luf ! Il était resté dans la salle de bain !

« Moi, je nen prendrai pas. Toi, fais comme tu veux » dis-je lair de ne pas avoir compris.

Je sortis une poêle, trois ufs, et maffairai à sustenter mon amant affamé. Je nous servis ensuite deux verres deau fraiche.

« Quest ce qui ta fait changer à ce point? Dis-moi.

— Comment ça? À quel niveau ?

— Caro, ça commence à faire un moment quon se connait. Je nai jamais caché mon attirance pour toi. Alors, pourquoi ce soir ? »

— Je ne sais pas, lalcool peut-être. mentis-je.

— Non, cest autre chose. Tu es plus animale, plus à fleur de peau quavant.

— Est-ce vraiment si important ?

Jai juste envie et besoin de prendre mon pied, cest tout ! Ne va pas te mettre martel en tête.

— Je pensais plutôt à te mettre autre chose et ailleurs » me dit il en se collant dans mon dos, les mains sur mes seins.

— Je croyais que tu avais faim »

Je servis les ufs sur une assiette, me retournai en lui tendant lassiette et une fourchette et maccroupis devant lui.

« Mange. Ça va être froid et je naime pas le gâchis. »

Je sortis son sexe à peine bandé, le caressai doucement, le soulevai pour prendre ses couilles en bouche, lune après lautre. Je mis ses "ah" et ses "oh" dapprobation sur le compte de mes caresses, nétant pas une grande cuisinière. Sa queue se redressa dans ma main. Dun grand coup de langue, jhumidifiai sa hampe de salive et le branlai tout en continuant de lui lécher les burnes. Sa queue était comme je lavais remarqué plus tôt. De bonne taille et, à présent, parfaitement droite.

« On ne peut même plus manger en paix. Tout se perd.

— Désolée, je voulais juste têtre agréable. »

Il me sourit, me releva par le menton, caressa mes fesses sous le satin du peignoir. Je me sentais déjà fondre quand, dans un souffle, il me dit :

« Prête pour ta séance de baise?»

Je me liquéfiai à ces mots. Ses doigts commencèrent à se rapprocher de mon sexe. Ma mouille coulait déjà de mes lèvres entrouvertes.

« Oui, prends-moi »

Vince me pencha alors le buste en avant sur la table de la salle à manger. De son pied, il écarta mes jambes et vérifia lhumidité de ma chatte. Il saccroupit derrière moi, écartant mes lèvres et mes fesses. Il plongea sa langue de mon sexe jusqu’à mon anus, insérant à peine celle-ci. Je me cambrai et tendis ma croupe le plus possible.

« Hmm, tu es dégoulinante, même pas besoin de te préparer. »

Il se redressa. Son gland étala mon jus de ma fente jusquà mon illet.

« Non, sil te plait.

— Chhhhhhhht fais-moi confiance »

Ben non. Plus sûre de vouloir lui faire confiance, plus sûre de vouloir ma séance de baise.

Jétais là sur la table, les seins écrasés sur la vitre, les jambes écartelées, ruisselante denvie et tremblante dappréhension. Il continua ses allers et venues et menconna violemment. Je lâchai un cri de surprise autant que de plaisir. Ses coups de reins étaient forts et rapprochés. Son bas-ventre tapait contre mon anus détrempé et cela mexcitait.

Il navait plus rien à voir avec lamant tendre et délicat de tout à lheure. Sa bestialité me comblait et je me laissais aller à crier mon plaisir, ce qui sembla lui donner plus dardeur encore. Vince me retourna, bascula mes fesses au bord de la table et releva haut mes jambes.

Son regard se fit plus sombre. Il attrapa mes seins et martyrisa mes pointes durcies, les malmenant pour mon plus grand plaisir. Je ne me reconnaissais pas. Il me défonça durant de longues minutes à un rythme soutenu. Je sentis les muscles de mes cuisses se tétaniser. Il me souleva de la table. Je maccrochai à lui tandis quil me remplissait de son membre.

Puis il sassit sur une chaise. Je lui tournais le dos et mempalai seule sur lui. Agrippant ma taille, il me fit monter et descendre sur son sexe.

« Cest ça que tu voulais ? Dis-le moi!

— Oui, cest ça.

— Tu voulais quoi ?

— Je voulais que tu me baises ! »

Plus il me laminait plus je voulais sa queue profondément en moi. Ses doigts se posèrent sur mon clito et me branlèrent délicieusement. Je nen pouvais plus. Mes muscles me brûlaient mais je le voulais encore et encore.

Il me souleva à nouveau et mentraîna jusquau canapé. Il me bascula sur le dossier, le cul en lair et la tête sur lassise. Il se positionna derrière moi et promena son gland de ma fente à mon trou. Je commençais à trouver cela agréable mais son sexe se logea à nouveau dans mon vagin tandis que son pouce me massait lanus.

Il appuya légèrement la pulpe de celui-ci et sintroduisit doucement. Ne sentant que peu de résistance, il lâcha un filet de bave entre mes fesses puis enfila un doigt quil fit glisser très lentement. Étrange contraste de vitesse et de force entre son sexe et son doigt.

Un autre filet de bave descendit le long de ma raie. Un second doigt senfouit en moi. Je jouis de cette pénétration. Ses doigts accélèrent la vitesse et me branlèrent à la même vitesse que sa queue. Je mordis ma lèvre pour ne pas crier mais je ne pouvais étouffer les sons gutturaux que jémettais.

« Tu en veux plus ?

— Oui, je te veux tout ! »

Il sembla hésiter un instant puis je sentis son gland à lentrée de mon illet. Il pressa doucement. Une sensation de brûlure intense envahit mon fondement. Vince sarrêta puis reprit sa lente progression en me chuchotant à loreille de me caresser pour aider à oublier la douleur.

Les poils de son pubis touchaient mon cul. Il était donc totalement en moi. La sensation de brûlure passa et je commençai à sentir le plaisir revenir dans mes reins. Il me sodomisa doucement, guettant mon plaisir, puis accentua ses va et vient.

Je me branlai aussi fort que je pouvais, la mouille suintante à la naissance des cuisses. Lorgasme me prit dun coup. Mon corps fut pris de tremblements. Un râle rauque séchappa de ma gorge. Je sentis alors Vince se cambrer au fond de mon cul et gicler en moi profondément

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