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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. – Chapitre 12

Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. - Chapitre 12



Beau-papa

Chapitre 12

Vous vous souvenez ?

PS : Cette histoire date de quelques années. Quelle n’a pas été ma surprise quand mon gynéco a dû prendre un successeur et que je suis tombée sur Claude ! Son physique s’était bien amélioré. Le jeune homme que j’avais connu s’était bien étoffé.

J’ai eu droit à une visite médicale très « poussée » et je me demande si là aussi, il n’y avait pas eu du changement. Les souvenirs sont si trompeurs… Mais quand il a voulu me sodomiser, je n’ai pas pu l’accepter. Il va falloir que je m’entraîne avant mon prochain rendez-vous pour renouveler l’exploit réalisé chez Monsieur Paul…

Ce n’est qu’une impression, sa queue n’est pas plus grosse que tout à l’heure, pourtant… Elle vibre toute seule. Son gland est déformé par le frein qui a de la peine à le retenir. Je suis à nouveau subjuguée par les grosses boules serrées à la base de cette barre immense. Sans y réfléchir, ma main comme un aimant attiré par un tube de métal guide mes doigts sur la hampe ferrugineuse.

Doucement, je le caresse à nouveau de haut en bas glissant même sur ses grosses couilles. Je continue à le branler lentement, il écarte ses jambes et me fait remarquer:

Elle est toute dure, tu ne vas pas la laisser comme ça non ? Tu veux ma grosse queue dans ta chatte baveuse ?

Suite.

Il pose ses mains sur la peau nue de ma taille, écarte mes jambes pour offrir à sa vue la profondeur de mon sexe béant. Je regarde cet énorme gourdin qui s’approche de mon vagin, que je vais recevoir au plus profond de mes entrailles. Je le désire tant.

Sans se presser, Claude dirige d’une main son braquemart vers les grandes lèvres de ma chatte pendant que son autre main masse ma poitrine, ses doigts frottent mon petit bouton rose, me faisant trembler d’extase. Maintenant, c’est son gland qui excite mon petit bouton.

Il pousse et je sens son gland commencer à me pénétrer, je me cambre à sa rencontre, mais une fois les petites lèvres franchies, il stoppe sa progression avant de se retirer.

Je grogne de frustration et me cambre encore plus pour rechercher le contact. Il frotte son gland violacé tout le long de ma fente plusieurs fois avant de me pénétrer de nouveau jusqu’aux petites lèvres.

Je gémis d’impatience, c’est ce qu’il attend pour continuer sa pénétration. Il replonge alors son énorme phallus un peu plus loin. Je ressens comme dans mes souvenirs, la grosseur de son appendice qui malgré mon abondante lubrification rencontre quelques difficultés.

Il suspend sa pénétration. Mon ventre s’embrase, ma cyprine coule à flots, mon vagin est distendu par ce pénis hors-norme. Je fais jouer mes muscles intimes pour pouvoir l’accepter en moi.

Par rapport au commun des mortels, la verge de Claude est vraiment monstrueuse, mais j’aime ça.

Je me tortille pour qu’il accélère la pénétration. Il pousse doucement. Centimètre par centimètre, je le reçois en moi.

Son sexe est presque entièrement à l’intérieur de ma chatte. Je me tords de plaisir, il se retire alors complètement puis renfonce d’un coup sec son chibre sur toute sa longueur sous mes cris de plaisir.

Les mains solidement fixées à mes hanches, il me pilonne. Je l’accompagne, m’ouvrant à lui, voulant que son manche de pioche entre en entier dans ma chatte, me transperçant, espérant qu’il puisse aller encore plus loin au fond de mon sexe.

Je ne sens plus que cet énorme marteau-pilon qui augmente la cadence, me pénétrant encore et encore…

Au bout d’une éternité, je sens monter le plaisir, un plaisir lui aussi énorme, mes muscles se contractent et enserrent ce sexe monstrueux au va-et-vient incessant qui me donne tant de plaisir. Sous les coups de ce membre, mes lèvres grasses de ma liqueur s’ouvrent, s’écartent pour qu’il me pénètre au plus profond de moi, jusqu’au fond du vagin.

Mes muqueuses sont envahies, écartelées, mon clitoris gonflé frotte et s’excite sur cette grosse teub, mon vagin est rempli, bousculé, malmené, plein de cette virilité dure. Je crie, mais de plaisir bien qu’il me martyrise l’utérus, cognant délicieusement en s’enfonçant tout au fond.

Je regarde incrédule ce sexe démesuré qui s’active en moi, qui va-et-vient dans mon intimité, je suis baisée comme jamais, mon bassin va à sa rencontre comme s’il était possible qu’il aille encore plus loin. Je jouis, je jouis fort, puissamment de cette hampe qui continue de me pilonner sans ménagement…

Claude m’embrasse fougueusement, me prodiguant de nouveaux coups de queue. Bordel, je ne sais plus où je suis. Il me pilonne la chatte à un rythme régulier et soutenu, tel un acteur porno infatigable. Je mouille comme pas permis pendant qu’il continue de me culbuter la chatte à grands coups de queue tout en me léchant les seins. Etre dans les bras de cet étalon me met dans un drôle d’état.

Oh oui ! baise-moi ! Oui, baise-moi fort ! Encore, ne t’arrête pas !

Claude me libère et va s’étendre sur le divan, les jambes au sol, la verge couchée sur son ventre.

Je prends le relais sur sa grosse bite, je lui fais face, le dos bien droit et les fesses bien cambrées, à « dada » sur sa bite de poney, m’explosant la chatte dessus totalement à ma guise.

Quelle sensation exquise ! Divine ! Sa grosse queue correspond parfaitement aux besoins de ma chatte en chaleur, la remplissant parfaitement. Lorsque je me retire trop loin, ma chatte reste dilatée. La queue et les bourses de Claude brillent de ma mouille.

Une mouille que j’ai plaisir à goûter en reprenant en bouche ce chibre bien dilaté que j’attrape à deux mains en relevant mon popotin. J’ajoute un peu de salive dessus pour faire bonne mesure et commence à lécher de haut en bas.

Sa queue a bon goût, un vrai délice. Il prend ma tête entre ses mains et plonge dans ma gorge, me tirant des larmes quand je m’étouffe avec sa queue. Son chibre bien au fond de ma gorge, je pétris ses belles grosses boules bien lisses et lourdes de sperme.

Il a une bite vraiment incroyable. Je le suce avec application, jouant avec ses couilles, mes lèvres épousent sa grosse queue, ma salive coule le long du manche, le rendant brillant.

Il a ses mains dans mes cheveux et je l’entends marmonner :

Tu es vraiment bonne ! Putain que t’es bonne !

Je croyais qu’il allait exploser, ny tenant plus, mais il me rejette en arrière, me retourne pour être face à mon cul. Il me place face à la table basse sur laquelle j’appuie mes avant-bras. J’ai les jambes serrées, mais il trouve sans difficulté le chemin pour m’embrocher à nouveau par-derrière. Le chemin est étroit, il va-et-vient doucement. Je peux sentir chaque centimètre de sa queue en moi, car je serre tout, les cuisses, ma grotte. Il pousse de plus en plus fort, sentant que je me contracte sur sa bite.

Je couine plus fort en protestant pour sa manière un peu cavalière, mais il n’en a cure.

Ses mains sur mes hanches, il fait varier la cadence, j’accompagne ses coups de bite par des coups de ma croupe. Il me force à écarter les jambes, une de ses mains contourne sa bite en action pour me titiller le clito qu’il roule entre deux doigts.

Je pousse de petits cris quand je me mets à jouir, à exploser. Mon corps luit de ma sueur, j’ai chaud et pourtant je frissonne de plaisir:

Ha ! Oh ! Han ! Arrête… Je n’en peux plus ! Ta belle grosse queue me fait tellement mouiller.

Mais il continue de me pilonner, ses coups sont puissants. J’ai l’impression qu’il va déchirer ma chatte. Sa bite est si grosse qu’elle me fait mal, mais c’est la meilleure douleur que je n’ai jamais ressentie alors, je m’empale à nouveau dessus.

Ses coups de queue et mes mouvements de bassin me font exploser de plaisir. J’arrive à me caresser le clito, restant un moment immobile, sa queue au fond de moi.

Je réalise qu’il n’a toujours pas joui. Ça, c’est un étalon !!!

A suivre…

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