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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. – Chapitre 7

Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. - Chapitre 7



Ingrid succède aux deux Apollons pour me préparer à la surprise.

Ils se relaient sur moi pendant une trentaine de minutes, me baisant à tour de rôle dans différentes positions. Nos corps luisent de notre sueur, Pierre est allongé sur le dos, je le chevauche. Il me colle soudain contre lui et m’écarte largement les fesses.

Un liquide froid coule dans ma raie. Je me doute un peu de ce qui va suivre. Serait-ce la surprise annoncée par Monsieur Paul ? Ma première double pénétration ?

Suite :

Ben prend bien soin de lubrifier mon petit trou. Je ne suis plus que leur esclave sexuelle acceptant tout de leur part.

Monsieur Paul s’est levé et s’approche de moi pour me rassurer :

— Ben va te sodomiser ma petite Lucie mais la lotion dont il t’a tartiné a un effet légèrement anesthésique… Tu vas crier de plaisir mais tu n’auras pratiquement pas mal, j’adore voir sa grosse queue enculer les petites femmes blanches !

Je suis effrayée quand je sens le gland de Ben se poser sur ma rosette et essayer de forcer le passage. J’essaie de me détendre, ne voulant pas contracter mon sphincter au moment fatidique.

Une douleur forte mais très courte me rassure au moment où je ressens la progression dans mes entrailles de son pieu de chair s’enfonçant en moi. Je hurle comme une folle mais Pierre me tient solidement plaquée sur sa poitrine, sa verge compressée dans mon vagin par l’intrus qui continue sa lente progression.

Je sens les deux mandrins s’activer en moi, Ben donne le tempo en ressortant puis replongeant dans mon anus, m’arrachant à chaque fois de petits cris de douleur qui heureusement s’atténue. Une fois qu’ils ont trouvé le rythme, ils se déchaînent alors, ne se préoccupant plus de moi. Je ne suis plus qu’un pantin pour assouvir leur libido.

Après une quinzaine de minutes de baise effrénée, je suis complètement épuisée mais on dirait qu’eux aussi.

Ben est le premier à abdiquer dans une dernière poussée et se vide au fond de mes fesses en grognant et en me traitant de noms que je n’ose pas écrire. Pierre le suit peu après et je sens sa lance cracher sa semence au fond de mon vagin.

Sans même se préoccuper de moi, ils m’abandonnent et quittent la pièce après avoir récupéré leurs fringues. Moi, je suis complètement écroulée sur le lit, leurs spermes s’écoulent de mes deux orifices et se rejoignent pour finir sur les draps.

Je croyais avoir atteint le point d’orgue de cette après-midi de débauche mais je remarque le jeune homme se lever, sa main gauche a pris la place de celle de Monsieur Paul sur la poche de son jean mais je discerne mal car il est de trois-quarts dos.

Il se dirige vers la porte, disparaît un instant avant d’introduire dans la chambre une femme, elle a tout au plus vingt-cinq ans et est extrêmement belle. Sa chevelure noire mi-longue encadre un visage ovale pourvu d’un petit nez, de deux yeux sombres en forme d’amande et de lèvres sensuelles.

Elle est complètement nue, de petits seins orgueilleux, une taille fine, un ventre plat qui n’a jamais enfanté. Elle se dirige vers moi avec un plateau garni de divers accessoires.

Monsieur Paul reprend la parole :

— Vous avez besoin de récupérer un peu ma chère, Ingrid va être aux petits soins pour vous !

Elle me fait étendre et commence le massage de ma jambe gauche, approchant sa main de mon sexe puis vient le tour de ma jambe droite. Sa main passe bien plus vite près de mon sexe. Elle me masse du haut de la fesse à la pointe des orteils, mon corps se détend, je sens ses mains fermes et assurées me malaxer. Ma chatte est littéralement trempée mais je ne bouge pas. Elle s’enhardit et glisse son pouce le long de ma raie, caresse mon anus et l’engouffre dans ma vulve.

La pénétration de son doigt me provoque une décharge dans tout le corps, elle continue à me doigter avec son pouce tout en me massant le clitoris. Tout mon corps est excité par la sensation d’huile chaude que cette main pleine d’assurance utilise pour me masser lentement mais tellement pleinement. Je sens que j’en veux plus, j’ose à peine onduler du bassin tellement ses gestes m’affolent quand elle ralentit le mouvement.

Puis elle recommence des mouvements cette fois circulaires qui viennent titiller mon petit bourgeon. L’effet de surprise est total, mon corps commence à m’envoyer des ondes de plaisir se rapprochant de la jouissance. Ma chatte est trempée, Ingrid plonge deux doigts de son autre main à l’intérieur de mon sexe et avec la délicatesse dont seule une femme peut faire preuve, elle soulève mon petit capuchon et s’attaque t directement à mon bourgeon pendant que ses doigts vont et viennent en moi.

Je ne peux empêcher mon bassin d’onduler, mon corps ne m’obéit plus et lui donne l’approbation pour remplacer ses doigts par sa langue sur mon bouton de rose qui n’en finit plus de me faire onduler de plaisir.

Le contact de sa bouche sur ma chatte est absolument délicieux et sublime. La douceur de sa bouche n’a d’égal que son agilité. Jamais je n’aurais imaginé atteindre une telle volupté avec une femme. Ses doigts s’affairent maintenant sur mon point G, je perds aussitôt le contrôle et, ne réprimant plus mes râles, je jouis avec une grande intensité.

Mon clitoris est tout gonflé d’excitation ! Elle retire légèrement ses doigts plongés en moi et m’embrasse tendrement dans la nuque. D’un geste ferme elle écarte mes jambes et sa main en cône entre comme dans du beurre dans ma chatte. Je me cambre sous l’assaut. Elle me laboure, de plus en plus vite.

Mon corps tout entier se prépare à jouir encore. Sa parfaite connaissance des plaisirs de la femme m’enivre. Je me sens si bien entre ses mains. La décharge intense me vrille le corps. Mon orgasme est silencieux mais d’autant plus intense. Mon vagin se contracte de manière totalement incontrôlée sur son poing. Elle ne bouge pas tout le temps de ma jouissance.

Lorsque mon orgasme est terminé, elle retire son poing de ma chatte et commence à me masser les grandes lèvres avec le plat de sa main dans des mouvements lents et circulaires. Quelle merveilleuse sensation pour se remettre d’un fisting et d’un énorme orgasme.

Elle m’enduit ensuite le ventre et les seins de lubrifiant parfumé, les caresse, les presse, les roule. Mes tétons se dressent entre ses doigts quand elle appuie fortement dessus.

De ses deux mains elle relève ensuite mes seins pour les frotter l’un contre l’autre, les gestes empreints de sensualité et de tendresse.

Elle finit par un soixante-neuf pour que je puisse moi aussi lui donner du plaisir, je découvre alors son sexe où de grandes lèvres pendent, telles les ailes d’un papillon.

Pendant de longues minutes, nous nous rendons coup pour coup pour atteindre une jouissance commune.

C’est dans cette position que Jean me découvre quelques minutes plus tard. Monsieur Paul lui raconte à quel point il est satisfait de moi et qu’il serait très heureux si jamais j’acceptais de revenir plus tard. Mais ce qu’il annonce juste après m’interloque :

— Jean, tu es revenu juste à temps pour voir la surprise que je t’avais promise ! Ingrid, bande les yeux de Lucie et va chercher la surprise.

Je me retrouve avec un bandeau sur les yeux, j’entends Ingrid revenir avec une autre personne.

— Lucie, je tai fait découvrir le plaisir avec deux hommes, avec une femme. Maintenant toi et Ingrid allez vous occuper d’un seul homme, et vous verrez que vous ne serez pas trop de deux ! Découvre déjà son corps avec tes mains !

Ingrid pose mes mains sur les hanches de l’inconnu, il a un bassin assez étroit, de petites fesses, un ventre plat sans musculature excessive, des cuisses fines. Mais quand Ingrid force mes mains à saisir sa verge, je découvre un organe gonflé ressemblant à s’y méprendre à celui de Ben mais qui pend encore entre ses cuisses.

— Prends-le en bouche ! M’encourage Ingrid en le redressant à lhorizontale.

Je sens ce sexe tout près de mon visage, je me penche et l’embrasse, puis ouvrant largement la bouche, j’en avale le gland, suçant, pompant cette verge magnifique. Ingrid m’encourage de sa voix douce.

Ma bouche ouverte en grand enfourne ce pénis entre mes lèvres. Je commence à astiquer le sexe de cet inconnu comme si j’étais possédée, gobant le gland lisse et volumineux, malaxant en même temps les bourses lourdes et pendantes.

Mais plus je m’applique, plus je sens croître et grossir ce pal, je dois reculer mon visage de son bas-ventre contrainte et forcée car son organe atteint une taille considérable, je peux même poser mes deux mains sur la hampe sans pour cela arrêter de la sucer. Quel chibre !!!

— Retire-lui son bandeau Ingrid !

A suivre…

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