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Mon bel inconnu… – Chapitre 2

Aurélie la campagnarde - Chapitre 1



Trois mois et demi s’étaient écoulés depuis le premier contact entre mon épouse et Alain, son big boss.

J’avais continué à être contacté sur le forum, il faut dire que ma femme est vraiment magnifique.

Evelyne semblait nager dans une plénitude complète depuis qu’elle avait appris qu’elle serait mère.

Je n’arrêtais pas de repenser à ce qui s’était passé et rien que l’idée de savoir que la semence d’un autre avait fécondé ma femme me faisait bander dur.

Je voulais à tout prix recommencer une expérience alternative et je ne cessais de confirmer à Evelyne combien j’avais aimé ce qui s’était passé il y a 3 mois et demi.

Elle, avait avoué qu’elle ne pensait pas que les choses auraient été si loin mais reconnaissait néanmoins que l’expérience fût aussi très excitante pour elle.

Elle avait adoré l’idée du bandeau et de ne pas voir la personne.

Ma chérie me demandait souvent de décrire un petit peu son bel inconnu mais je refusais adroitement d’y répondre. Si elle savait…

Au boulot, les choses s’étaient calmées d’après elle, son chef moins harcelant envers elle.

Il faut dire qu’Alain devait être satisfait de son oeuvre et d’avoir évacué la somme de ses frustrations sexuelles sur et dans la petite secrétaire qui se refusait à lui, cet homme de pouvoir !

J’avais donc progressivement remis l’idée sur le tapis et suggéré à Evelyne que je pourrais peut-être créer une autre situation qui serait aussi bien bandante qu’excitante pour elle.

Elle demanda alors :

 » Mais je pourrai choisir et voir la personne alors ?  »

 » Et tu lui demandes de mettre un préservatif s’il te plaît !  »

Et moi de lui répondre :

 » Ecoute, laisse moi gérer tout çà sinon ce n’est plus une surprise et c’est de ne pas savoir qui est stimulant pour toi, n’est-ce pas ?  »

 » Oui, tu as raison, tu me connais si bien !  »  » D’ailleurs, tu sais que je n’aime que les jeunes hommes blancs européens, les beaux bruns ténébreux, et c’est encore mieux s’il a les yeux bleus !  »

 » En effet ma chérie, je sais quel type d’homme tu aimes…  »

Sans le savoir, elle venait de provoquer chez moi l’effet inverse…

Mon choix final fût donc de sélectionner deux black sur le forum et de les recontacter par la messagerie.

L’un s’appelait Yacine, 32 ans, de corpulence normale. Pas très beau à prime abord avec ses cicatrices un peu partout, mais qui semblait être plutôt musclé. Il est vrai qu’il s’était présenté comme lutteur professionnel.

L’autre s’appelait Ramell, 65 ans, bedonnant et aux dents mal entretenues. Ouvrier africain à la retraite dont les mains indiquaient clairement qu’il avait bien été usé jusqu’à la corde par son emploi.

Tant Yacine s’était montré assez indifférent, bien qu’intéressé par la perspective d’une bonne baise avec une superbe femme blanche de son âge, Ramell n’avait cessé de me relancer en envoyant des photos de son sexe sous tous les angles. Seule chose qu’il avait de bien pour lui, soyons honnête.

Il n’arretait pas d’insulter ma femme dans ses messages, on sentait qu’il avait une forte attirance pour Evelyne, femme complètement inaccessible en temps normal pour quelqu’un comme lui.

J’en avais bien sûr profité pour lui demander une petite contribution financière.

Bon, çà serait à des années-lumières de ce que j’avais reçu d’Alain, mais tout de même, çà ne se refusait pas.

Le rendez-vous fût donc pris, mais cette fois-ci nous serions en déplacement chez Ramell.

Quelques jours s’écoulèrent et, alors que nous arrivions à proximité de son domicile, je stoppai la voiture et demandai a ma femme de se mettre le bandeau.

Elle sourit et dit :

 » Je ne sais pas où on va mais tout ce mystère m’excite !  »

 » Encore un peu de patience, ma puce  »  » Je me permets de te rappeler que si à quelques moments que ce soit tu triches et essaie de regarder et enlever ton bandeau, j arrête tout dans la seconde, on rentre direct et je serai très très vexé sur toi  »

 » Oui, oui, oh la la ne t inquiète pas je te fais confiance, rabats-joie !  »

 » Non mais je préfère être clair et sans ambiguïté. Je ne rigole pas avec çà  »

Petit moment de flottement suite à mon annonce mais heureusement nous n’étions plus très loin et déjà je garai ma voiture devant la maison de Ramell.

Il nous attendait devant la porte, visiblement impatient de voir ma femme en chair et en os.

Lorsqu’il la vit et ne put retenir un  » Putain, elle est vraiment bonne !  »

Heureusement ni Ramell ni même Yacine d’ailleurs n’avait d’accent africain prononcé, j’avais demandé aux personnes de me laisser un message vocal sur mon téléphone afin de m’en assurer.

Il aurait été dommage d’éveiller les soupçons de ma femme sur ce détail.

Je dis alors à Ramell pour lui faire comprendre que je cherchais Yacine :

 » En retard ?  »

 » J’sais pas. Mais moi j’attends pas.  »  » Allez v’nez, rentrez !  »

La petite maison de Ramell était en désordre, c’était clairement un bon vieux célibataire de toujours qui n’avait jamais vécu en couple. Le confort était très minimaliste, pas de fioritures, pas vraiment de déco.

Ramell était pressé de passer aux choses sérieuses car il emballait le pas nous dirigeant vers sa chambre à coucher et tirait Evelyne par la main pour la guider sans qu’elle se cogne.

 » Vas y cochonne, viens c’est par ici.  »

Evelyne attrapait des couleurs, l’excitation montant de plus en plus.

Les manières et la rudesse des paroles de Ramell semblait lui faire un certain effet.

Elle n’avait jamais été traitée de cette façon.

Ramell alluma la lumière et la chambre se révéla encore pire que les autres pièces : un simple matelas à même le sol avec un drap d’hygiène douteuse, une simple ampoule économique en guise de lumière et deux meubles IKEA pour table de nuit et armoire à vêtements. Certains se contentent vraiment du strict minimum…

Ramell m’avait prévenu qu’il la traiterait avec grossièreté, je lui avais cependant dit de ne pas la frapper avec violence gratuite, et il avait acquiescé en disant  » J’suis pas violent t ’inquiète j’vais bien m’en occuper de ta salope « .

Ramell s’adressa à mon épouse :

 » Vazy désape toi complètement, montre moi ce que t’as !  »

Evelyne s’exécuta et commença à enlever ses vêtements, littéralement dominée par le ton injonctif de Ramell qui visiblement était ravi de voir qu’Evelyne lui obéissait au doigt et à lil.

Lorsqu’elle se retrouva avec juste sa petite culotte en dentelle, il lui dit :

 » T’as de gros nibards, j’aime çà  »

L’expression de surprise se marqua sur la bouche de ma femme.

Ramell enchaîna directement et lui lécha les mamelons lesquels étaient déjà durs d’excitation.

Il prit sa grosse main caleuse et lui arracha d’un coup sec sa petite culotte en disant :

 » J’tavais dit de tout enlever, si t’écoute pas tu vas morfler  »  » Laisse toi faire maintenant  »

Il s’était accroupi et la fit rapidement basculer sur le matelas.

Mon épouse était là, nue avec le bandeau sur les yeux sur le matelas douteux de Ramell.

 » Vas y touche toi, j’me prépare pour toi, cochonne  »

Evelyne commença alors à se stimuler doucement le clitoris avec sa jolie main manucurée.

Pendant ce temps Ramell se déshabillait et laissa apparaître un sourire lubrique illuminé de jolis chicots quand il se rendu compte de la candeur naturelle de ma femme et de sa propreté irréprochable. On aurait dit un gamin qui allait goûter à son premier sucre d’orge de sa vie.

Ramell, enleva précipitamment son slip et sa verge était là, grosse et bien tendue, laissant apparaître de grosses veines ainsi qu’un gland volumineux assez nervuré.

Je lui tendis alors un préservatif en m’adressant à ma chérie :

 » Il met un préservatif comme tu l’as souhaité, ma puce  »

Ramell semblait contrarié mais il connaissait mes conditions, il s’exécuta donc et l’enfila sur son gros membre noir en érection.

Il n’en pouvait plus et était frustré du préservatif alors il s’adressa à ma femme :

 » Connasse, t’acceptes que j’enlève cette merde n’est-ce pas ? Tu veux pas me fâcher hein ?  »

Ma femme surprise par ces paroles mais dominée totalement par les propos et les manières de Ramell lui répondit comme une écolière à son maître de classe :

 » Non… enfin oui…vous faîtes ce que vous voulez de moi monsieur… »

Ramell me regarda et me dit :

 » Tu vois, faut la dresser cette chienne. Elle aime çà.  »

Il ôta d’un coup sec le préservatif, le balança au bout de la chambre et ramena directement son gros gland sur le clitoris de mon épouse et commença à se frotter dessus.

 » Les sensations sont bien meilleures comme çà, hein mignonne ?  » s’adressa t-il à ma femme

Elle ne répondait rien, elle était déjà en pleine excitation à faire des petits gémissements et semblait hypnotisée par la voix de Ramell.

Le gros black décalotta son gland et le mit contre l’entrée du sexe de ma femme.

Accroupi et penché vers ma femme, il lui saisit ses gros seins de ses mains et la tira vers lui de manière bestiale ce qui le fit s’enfoncer jusqu’à la garde dans le vagin d’Evelyne qui gémit de plus belle.

Fantastique vision que de voir ce vieux gros black dégueulasse entrain de la pénétrer.

Il se coucha sur elle et lui mit progressivement tout son poids sur le corps.

Evelyne sentit que la corpulence de l’homme était quand même conséquente et elle pensa que l’homme n’était peut-être pas aussi beau qu’elle l’avait imaginé…

Elle eut un mouvement instinctif de mains pour essayer de le repousser mais Ramell la rappela directement à l’ordre de sa grosse voix inquisitrice :

 » Laisse toi faire bonasse, je vais te baiser jusqu’à l’os. Mets tes bras au dessus de ta tête ! Tout de suite !  »

L’effet fut immédiat, elle mit ses bras en position et Ramell se saisit de chacun de ses poignets pour la maintenir en position de soumission complète.

Evelyne était là, recouverte du corps de Ramell qui commençait à doucement explorer les secrets de l’intimité de ma femme et lui ramoner la chatte.

Il approcha son visage de celui de ma chérie et lui donna d’un air pervers de gros coups de langue sur le cou et la joue. Après lui avoir laissé intentionnelement pas mal de bave sur le visage, il s’attaqua aux tétons de mon épouse.

 » T’es vraiment faite pour le plaisir toi, salope.  »

Il se mit à accélérer la cadence de ses coups de rein , sortant presque intégralement sa bite et la remettant directement dans la cavité divine d’Evelyne.

Je dis alors à Ramell, un peu inquiet pour elle :

 » Pour rappel, elle a ’notre’ enfant dans le ventre  »

 » T’inquiète, moi dans ma culture baiser une femme enceinte et lui donner son sperme c’est considéré comme un renforcement de l’enfant à venir. Tous les hommes peuvent baiser la femme enceinte d’un autre. C’est même recommandé  » dit-il en arborant en large sourire de chicots jaunes et noirs.

Drôle de culture. Il reprit son va et vient démoniaque.

Evelyne déclencha un orgasme, la soumission à cet étranger physiquement repoussant étant le principal motif de celui-ci.

Ramell transpirait comme un buf et une odeur âcre flottait déjà dans la chambre.

Il dégoulinait littéralement sur ma femme, il n’était clairement pas habitué à de tels efforts mais chaque parcelle de lui voulait donner tout ce qu’il avait pour le canon qu’il avait en face de lui.

Il n’aurait probablement plus jamais une telle occasion.

Elle était là, magnifique et irréprochable devant lui de sa jeunesse, de sa fraîcheur et de sa douceur.

Lui, ouvrier fatigué et brisé par un travail physique d’une carrière complète, pouvait enfin se laisser aller à profiter de la vie.

Ramell sentait le plaisir monter en lui, et il se forçait à essayer de se réprimer pour faire durer le plus longtemps possible mais cela devenait de plus en plus difficile.

Son sexe gonflait de plus belle en elle, alors que ses grosses couilles noires poilues venaient taper contre Evelyne à intervalles réguliers. Les picotements de la délivrance à venir montèrent dans son gland jusqu’à ce qu’il arriva au point de non retour masculin et ne puisse plus rien retenir.

Il donna alors un dernier coup de rein puissant pour loger sa queue au fond de ma femme et, écrasant ses couilles contre l’entrée de sa chatte, se mit à trembler et éjaculer son foutre en elle.

Tous les deux gémirent en même temps et Evelyne .

Je photographiais tout ce que je pouvais de la saillie de ma femme.

Il couvrait une bonne partie du corps de mon épouse et semblait ne plus jamais vouloir bouger.

Au bout d’un moment, Ramell finit par se dégager d’elle et sortit lentement sa grosse queue noire de ma femme et la posa fièrement sur son ventre, essuyant le sperme résiduel sur elle. Je me demandais comment elle avait pu accueillir un tel engin.

De ce côté là, la nature avait été généreuse avec lui.

La porte de la chambre fit alors un grincement et Yacine apparut.

Qu’allait-il encore se passer ?

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