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Mon écart puni – Chapitre 4

Mon écart puni - Chapitre 4



Merci d’avoir lu les trois précédents chapitres et merci d’avoir patienté pour la suite. Pour celui-ci, ce n’est pas madame qui va l’écrire mais monsieur. Un court résumé pour vous remettre dans l’histoire. J’ai surpris ma femme au lit avec deux hommes venus travailler pour nous. Après un chantage au divorce, j’ai obtenu qu’elle soit ma soumise et depuis, j’abuse d’elle et de son corps. Et maintenant, la suite.

Nous sommes vendredi et depuis hier soir, ma femme a opéré un changement de comportement en ne résistant plus à sa condition de femme soumise.

Cela c’est confirmé ce matin car aujourd’hui, je ne travaille pas et ma femme est quand même venue me sucer comme elle doit le faire chaque matin. Après une bonne mise en forme buccale, je suis passé derrière elle et lui ai enfoncé mon pieu, lubrifié par sa salive, dans sa chatte baveuse. Je l’ai pilonné sans ménagement et à chaque fois qu’elle allait jouir, je me retirais, la laissant à la limite de l’orgasme. Une fois la pression retombée, je retournais en elle, faisant remonter la pression à son paroxysme en lui bourrant son minou puis je me retirais à nouveau brusquement pour l’empêcher d’atteindre la jouissance. Sentant ma jouissance proche, j’ai enfoncé ma queue dans son cul jusqu’à jouir dedans. Une fois les couilles bien vident, je lui ai fait nettoyer ma bite puis, elle est allée se préparer.

Juste avant qu’elle ne parte, je lui ai inséré le rosebud non sans lui avoir doigté la chatte avec deux doigts pour maintenir son état de manque orgasmique. Après son départ, j’ai passé une bonne partie de la journée sur internet avec l’intention de nous concocter un week-end de débauche où je voulais faire prendre ma femme par plusieurs hommes.

Après plusieurs annonces déposées sur divers sites coquins et site gratuit, j’ai obtenu moult réponse de tout style. Un premier tri fait, j’ai pris contact avec certain pour les sonder et j’ai vite compris que la tâche serait plus compliquée que prévu. Après bien des efforts, je dois reconnaître mon échec car impossible de trouver ce que je voulais. J’ai bien trouvé quelques hommes pour la baiser mais impossible de faire coïncider les horaires et j’ai renoncé, pour le moment, à voir ma femme se faire prendre par plusieurs hommes. Je me console en disant que ce soir, je vais revoir la vendeuse du sex-shop et je pense que la soirée va être chaude.

J’entends la voiture. Elle arrive enfin. Je suis nu devant un porno, la bite gonflée, à me branler doucement pour ne pas jouir car je veux jouir dans sa bouche. J’ai volontairement monté le son et mis une scène où, une salope se fait prendre en double. La porte s’ouvre, je tourne la tête et je vois son regard passer de la télé à ma bite et vis-versa.

— Tu tombes bien! Ramène ton gros cul et vide-moi les couilles avec ta bouche!

En venant vers moi, elle ôte sa tunique et son soutien-gorge puis, s’agenouille, ses gros nibards à l’air, et engouffre ma bite dans sa bouche. Tout en me suçant, elle remonte sa jupe découvrant ainsi son gros cul. Il ne me faut pas longtemps pour jouir dans sa bouche et elle avale tout mon jus. Toujours avec ma bite dans la bouche, je lui attrape comme je peux les mamelles que je malaxe brutalement sans oublier de tirer sur les bouts déjà bien tendus. À plusieurs reprises, je l’empêche de reculer la tête en appuyant dessus pour enfoncer ma bite encore en berne. Je martyrise ses nibards et doucement ma bite retrouve sa vaillance. Quand ma bite est à nouveau bien tendue, je délaisse ses gros lolos pour poser mes mains de part et d’autre de la tête. Je lui baise la bouche, l’obligeant à faire de nombreuses gorges profondes allant jusqu’à la limite du vomissement. Elle bave à mort, ma bite et mes couilles sont imbibées de salive et de pré sperme, son visage est luisant de ce mélange séminal qui s’écoule sur sa généreuse poitrine.

Je suis déchaîné et la traite vraiment comme un simple objet sexuel. Je la repousse et la fais tomber sur le cul, je me lève d’un bond et viens me placer sur elle en mettant ma bite entre ses gros nibards. Je ressers ses nichons pour emprisonner ma bite et me fais une branlette espagnole. D’une main, je choppe ses deux tétons afin de garder ma bite au chaud entre ses globes mammaires et avec ma main libre, je l’attrape par les cheveux et tire sa tête vers le bout de ma queue et ainsi l’obliger à pomper le gland. Je reste ainsi un moment puis je descends entre ses cuisses. Je retire sa jupe, pose ma bite sur sa chatte qui baille et dégouline, mais frotte seulement ma tige entre ses lèvres et cognant son bouton d’amour tout gonflé. Avec la main, je saisis mon chibre, le descends et quand mes doigts butent sur le bijou anal, je le retire et le remplace par ma queue. Je l’encule d’un coup sec et puissant, enfonçant ma bite entièrement dans son fondement. Elle hurle, gigote et quand mes couilles touchent ses fesses, je lâche ses hanches pour frapper ses nibards.

La douleur de la pénétration brutale dissipée, j’appuie sur ses cuisses pour bien l’ouvrir et commence mon va-et-vient dans son cul. Je m’active et l’encule de plus en plus fort jusqu’à la faire jouir. Ma jouissance arrive aussi et je me retire brusquement. Le premier jet atterrit sur son ventre et ses seins et les autres finissent dans sa bouche. Après m’avoir nettoyé la bite, je l’abandonne parterre, cuisses ouvertes, cul béant, poitrine rouge et luisante, et le visage maculé de bave et de liquide séminal. Je vais prendre une douche et je la retrouve attendant son tour. À son tour, elle se douche pour enlever tout ce qu’elle a sur elle et finit par un bon bain chaud. Pendant ce temps, je remets de l’ordre, afin que la maison soit présentable lors de la venue de la vendeuse.

19h30, la sonnette retentit. J’ouvre et s’est bien notre vendeuse. En la voyant, ma bite se tend instantanément. Je la fais entrer et elle me tape la bise. Habillé d’un manteau afin de cacher une jupe courte qui cache à peine ses fesses, des bas-résilles dont la dentelle est parfaitement visible et les pieds dans des talons aiguilles vertigineux. Le haut est en tulle noir et pas de soutien-gorge. Moi, j’ai un polo et un pantalon légèrement moulant qui ne cache rien de mon érection. Victoire est en nuisette sexy, bas et talons aiguilles. Elle paraît fade à coté de la vendeuse. Je m’occupe des deux grosses valises tandis que, la vendeuse se dirige vers ma femme et l’embrasse directe sur la bouche. Le baiser est profond, car j’aperçois la langue de la vendeuse fouiller la bouche de Victoire.

Ma femme se laisse faire et répond au baiser de la vendeuse quand celle-ci se met à lui peloter sans vergogne ces gros nibards. Je monte les valises sur la table sans quitter des yeux les deux femmes et ce que je vois me fait triquer à fond. Leur combat buccal cesse. Ma femme a un sein à l’air avec le téton tendu et je peux voir les tétons de notre vendeuse tout aussi tendus quand elle retire son manteau qu’elle tend à ma femme avant de se diriger vers moi.

— Je me prénomme Laura, je suis venue faire démonstration de nos produits.

— Enchanté Laura. Moi c’est Nicolas et ma femme, Victoire.

— J’aurais besoin d’utiliser votre femme pour ma démonstration.

— Aucun problème.

Elle ouvre les valises et je découvre des godes, pinces, vibros, tenues sexy et bien d’autres choses.

— Vous voulez commencer par quoi? Accessoires, jouets ou lingeries!

— La lingerie!

— Approche et enlève-moi ça, en désignant la nuisette.

Ma femme enlève sa nuisette et je peux voir ces seins gonflés aux bouts tendus. Elle essaie différents modèles et à chaque nouvelle tenue, Laura s’applique à lisser, repositionner, placer la tenue en caressant ma femme la où je vois bien que cela lui fait du bien. Je regarde en donnant mon avis, mais laisse faire Laura qui semble avoir les choses bien en main. Nous finissons en gardant un top en vinyle qui s’ouvre sur le devant avec la jupe qui va avec, plusieurs nuisettes ultra sexy et transparente, des tops transparents aussi et mon préféré, un bustier en cuir avec les seins nus.

— Maintenant, passons aux accessoires et jouets.

— Un moment Laura, je vous prie. Cette séance m’a bien chauffé et j’ai besoin que ma chienne vienne me sucer. Vicky, viens me vider les couilles!

Ma femme s’avance, se positionne à quatre pattes devant moi et extrait mon chibre de mon pantalon. Elle lèche le bout puis engouffre ma bite et me suce.

— Que c’est bon!

Je cherche du regard Laura et la trouve assise, les cuisses ouvertes. Elle nous regarde et doucement je remarque sa main qui descend pour finir sur son minou lisse. Elle se caresse doucement la chatte et bien que ma femme me suce à ce moment, j’espère pouvoir enfoncer ma bite dans cette belle chatte. Vicky s’active sur ma bite tandis que Laura se branle énergiquement. Je sens mon plaisir venir et je jouis dans la bouche de ma femme qui avale tout et nettoie ma bite. Laura, de son coté, ne m’a pas vu jouir, car elle a deux doigts dans sa chatte et a les yeux fermés. Ma bite propre, je vois là une bonne l’occasion de réaliser un fantasme. J’attrape ma chienne par les cheveux, tire dessus et la regarde en lui disant:

— Va lécher la chatte de Laura salope!

À ce moment, Laura ouvre les yeux, me regarde, puis regarde Victoire toujours à quatre pattes. J’accompagne ma femme en la tenant par les cheveux et lui colle la bouche sur la chatte de Laura. Laura prend le relais en lui attrapant à son tour les cheveux et en forçant le contact avec sa chatte.

— Lèche-moi salope! Lèche ma chatte et fais-moi jouir!

Ma femme sort sa langue et commence à lécher la chatte de Laura. D’où je suis, je peux voir ma femme dandiner du cul et Laura a penché la tête en arrière. Petit à petit, Laura se met à couiner sous les coups de langue de ma femme et de voir ce spectacle me fait bander de nouveau. Ma bite est gonflée à bloc et j’ai une forte envie de la planter dans le cul de ma salope. Je m’approche de ma femme et en chemin, j’entends Laura jouir. J’attrape un préservatif posé sur la table, coiffe ma queue et écarte violemment ma femme. Sans la laisser reprendre ses esprits, j’enfonce ma bite d’un coup dans la chatte ouverte et baveuse de Laura. Quand elle comprend, je suis bien au fond de son minou et je commence déjà à la limer. Je remonte son top pour saisir ses nichons et coincer ses tétons entre mes doigts. Je la baise sans ménagement et arrive à la faire jouir.

C’est là que je regarde ma femme au sol, la mine déconfite, elle me regarde enfoncer ma bite dans une autre chatte que la sienne. Je continue à besogner Laura et elle jouie une nouvelle fois et je sens ma jouissance arriver aussi. Je me retire, ôte ma capote et j’éjacule sur le mont de Laura. J’attrape ma femme par les cheveux, lui fourre ma bite dans la bouche puis, une fois ma queue nette, je lui fais lécher mon jus que j’ai rependu sur le mont de Laura. Elle nettoie tout sans en laisser une goutte. Laura retrouve ses esprits et enchaîne.

— Après cet entracte, passons aux choses sérieuses. Toi -(désignant Victoire) – allonge-toi sur la table et ouvre tes cuisses…

Toujours parterre, Victoire se lève et s’installe comme demande tandis que Laura s’est mise à l’aise en retirant sa jupe et son top en tulle. Désormais juste en bas et talons, elle fouille dans une valise et en extrait un gros gode.

— Ce gode est une parfaite imitation d’un sexe. Il mesure vingt-cinq centimètres de long pour une pénétration de vingt-deux centimètres. Son diamètre est de presque sept centimètres. Sa base, en forme de couilles, permet de le coller sur les surfaces lisses grâce à sa ventouse. Il est doux et idéal pour les femmes qui aiment être bien remplies. Utilisation en anal ou vaginal.

Il est recommandé d’utiliser un lubrifiant à base d’eau mais pour notre démonstration se sera inutile car le mannequin a sa chatte qui dégouline de mouille qui est un lubrifiant naturel. J’ai un rictus

J’écoute Laura religieusement et là, je regarde ma femme qui à la chatte trempée. Laura pose le gros gode sur les lèvres de Victoire, frotte un peu et présente ce faux chibre devant son trou à bite. Elle pousse en écartant les lèvres et sans forcer, Laura enfonce le gode dans la chatte de ma femme. De voir la chatte de ma femme engloutir la totalité du gode me fait triquer. Laura ressort le gode et le ré-enfonce faisant vibrer Victoire. Je m’approche et me colle à Laura. Je luis pelote les fesses tandis qu’elle défonce la chatte de ma femme. Ma femme jouit très fortement et Laura se retourne vers moi.

— Je pense que ce gode lui convient. J’ai le même modèle avec un diamètre plus important.

Elle fouille est sort un gode énorme.

— Voilà, c’est le même modèle, mais celui-ci fait huit virgule cinq en diamètre pour vingt-huit de longueur.

Ma femme, jambes toujours écartées, avec le gros gode enfoncé en elle, patiente. Quand Laura retire le gode, la chatte de ma femme reste ouverte comme si elle attendait d’être à nouveau comblé. Une main sur la fesse de Laura, je la colle à moi, mon autre main saisit un sein que je pelote sans égard et je l’embrasse en enfonçant ma langue. Laura ne bouge pas, elle tient le gros gode qui coule de miel et j’ai ma bite qui frappe son bas-ventre. Je romps le baiser et lui dit :

— Enfonce-lui ce modèle, j’ai l’impression qu’elle n’attend que ça!

Laura se dégage un peu, prend le deuxième gros gode et le positionne devant le trou béant de ma femme. Elle pousse mais malgré la jouissance de ma femme et que sa chatte à déjà reçu un beau morceau, ce nouveau gode coince et il faut forcer. Je regarde la chatte de ma femme essayer d’avaler ce gros morceau en me collant de nouveau à Laura. Je caresse ses fesses puis les frappe violemment en l’interpelant.

— Vas-y force! Enfonce-moi ce gode dans ce trou à bite!

Laura accentue la pression et à force de persuasion et de patience, mélangeant douceur et force, la chatte de ma femme avale ce gode de huit centimètres et demi de diamètre. Victoire souffle, gémit, bouge mais, Laura finit par enfoncer la quasi-totalité du gode.

— Je t’avais dit que ça rentrerait! Défonce-lui la chatte maintenant!

Laura saisit la base du gode à deux mains et le remonte puis le ré-enfonce. Je bande à mort, Victoire hurle et désormais, je doigte le cul de Laura. Après plusieurs orgasmes, ma femme jouit comme jamais et s’évanouit à moitié. Je fais retirer le gode et là, je vois une chatte béante, rouge, gonflée. Il faut maintenant la finir et j’ordonne à Laura de lui enfoncer la main dans la chatte.

— Fiste-moi cette grosse salope!

Laura enfonce trois, puis quatre doigts dans la cramouille de ma femme. Elle fait quelques allers-retours puis lui enfonce entièrement la main dans la chatte. Toujours derrière Laura, a lui peloter le cul, j’ai mes doigts qui force sa rondelle tandis que j’exulte de voir une main dans la chatte de ma femme.

— Vas-y, défonce-lui la chatte et fait la jouir comme une putain!

Laura s’active et ma femme gémit, jouit, jouit encore pour finir en apothéose dans un orgasme d’une puissance phénoménale qui l’a fait éjaculer puis, s’évanouir. Avec maintenant trois doigts dans le cul de Laura, il est tant ce laissé souffler ma femme et de s’occuper de Laura. Je vérifie que ma femme va bien puis, j’oblige Laura à se pencher afin qu’elle se retrouve près de la chatte de ma femme. Je la positionne bien, puis je présente ma queue à sa rondelle. Je saisis ses hanches et l’encule l’obligeant à coller sa bouche sur le minou de Victoire. Je la sodomise sans ménagement tandis qu’elle lèche plus ou moins la chatte défoncée de Victoire. J’arrive in-extremis à faire jouir Laura du cul avant de jouir à mon tour et s’’est à ce moment que Victoire émerge.

Nous aidons Victoire à se relever, puis nous prenons une petite pause. Durant ce laps de temps, j’ignore ma femme pour rester collé à Laura que je pelote sans vergogne. Malgré la soumission de ma femme en réponse à mon chantage suite à son infidélité, je dois reconnaître que baiser une autre femme devant la mienne m’excite au plus haut point tout en savourant ma vengeance.

— Aller, on y retourne! Laura sortait moi le matériel BDSM et particulièrement ce qui concerne la poitrine. Je veux voir les mamelles de ma chienne ligotées et travaillées. J’oubliais, attaché lui les mains dans le dos!

Laura fait ce que je viens de dire et menotte ma femme les mains dans le dos.

Ensuite, elle me présente ce qu’elle a emmené.

— Pour s’occuper de la poitrine, je peux vous proposer ceci. J’ai diverses cordes pour faire du bondage, des pinces à tétons avec divers poids pour bien les étirer. Ces pinces peuvent servir aussi pour les lèvres. J’ai aussi une roulette à dent, une cravache électrique et pour finir j’ai des aiguilles stériles.

— Vous m’intéressez! Viens ici sale chienne! À genoux, mains dans le dos et cambre-toi pour faire ressortir tes grosses mamelles. Laura, ligoté moi ces pis et n’hésiter pas à bien serrer à la base, je veux voir du nibard gonflé.

Victoire et Laura s’exécutent. J’ai pris l’ascendant sur Laura et je compte bien en profiter. Laura a ligoté les seins de ma femme et ceux-ci ressortent superbement bien. Je les caresse, enfonce mes doigts pour découvrir une poitrine tendue et extrêmement ferme. Je me tourne vers Laura, pose mes mains sur ses seins et l’embrasse de nouveau et la pelotant fermement. Je l’oblige à se mettre à genoux puis lui bonde les seins comme ceux de ma chienne de femme.

Il n’y a pas photo, Laura a de plus petits seins. Je prends alors une chaîne avec des pinces. Je pose une pince sur le téton droit de ma femme et l’autre, je la pose sur le téton gauche de Laura et vis-versa. Mes deux soumises sont désormais reliées et j’ajoute sur les chaînes des poids afin d’étirer autant que faire ce peut les tétons. Les seins sont rouges, les tétons écarlates et allongés. Je saisis une cravache et larde de coups le cul de ma chienne puis le cul de Laura. Quand les fessiers sont bien rouges, je frappe les nichons jusqu’à en décrocher les pinces. Laura semble habituer, car elle bronche à peine tandis que Victoire a les yeux humides, mais reste digne comme pour prouver qu’elle est aussi forte que Laura. Comme je bande dur, je pousse en avant Laura et l’encule d’un coup sec et profond. Je la sodomise un moment puis ma laisse sur le sol. Ma bite toujours bandée, je vais vers ma femme. J’attrape ses cheveux et fourre ma queue dans sa bouche puis, lui baise la bouche. Ayant déjà pas mal éjaculé ce soir, je ne viens pas et me retire afin de terminer en beauté.

Je disparais un moment pour revenir avec un gant de toilette. Je nettoie le visage de ma femme, son cou et sa poitrine. Ensuite, j’applique un désinfectant sur sa poitrine puis, sur mes mains. Elle me regarde terrorisé mais, ne dit rien. Je prends les aiguilles, ouvre le paquet précautionneusement et attrape la première aiguille. Quand je me retourne, je suis dans un état indescriptible mélangé de peur, d’excitation. J’approche l’aiguille du sein de ma femme sans la quitter des yeux et je vois qu’elle marmonne. D’un coup ferme, j’enfonce l’aiguille dans le sein et Victoire hurle. D’avoir enfoncé cette aiguille m’a mis dans un état second. Je bande comme jamais et j’attrape vite fait une autre aiguille que j’enfonce aussitôt dans l’autre sein. Je continu et enfoncer deux aiguilles de plus dans chaque sein. Je n’ai qu’une envie, s’est d’enculer ma femme avec ma queue gonflée à bloc mais, je veux aussi finir se que j’ai commencé. Je prends une aiguille, attrape un téton et tire pour l’allonger puis, je le transperce avec l’aiguille. Ma femme pleure, hurle, me supplie d’arrêter mais, ne se dérobe pas quand j’attrape son deuxième téton que je perfore aussi.

Je la regarde…

Elle est à genoux, les seins comprimés à la base par une corde avec des aiguilles plantées. Depuis un moment, je ne voyais que ma femme et je retrouve Laura derrière moi, allongée sur le sol, jambes grandes ouvertes entrain de se goder en nous regardant. Je retire les aiguilles, désinfecte de nouveau puis défait la corde libérant les seins.

Elle s’écroule sur le sol et se met en position ftale…

Je passe derrière elle, écarte ses fesses et enfonce ma queue dans son cul. Je l’encule sans ménagement jusqu’à lui remplir le fondement puis, l’abandonne au sol. Je rejoins Laura et l’aide à jouir. Je l’accompagne à la salle de bain où elle prend une douche. Après cette bonne douche, Laura fait ces comptes et je règle les achats.

Elle se rhabille et je l’accompagne à la porte. Avant qu’elle ne sorte, je l’embrasse et la pelote une dernière fois puis, elle s’en va.

Je rejoins ma femme et l’aide à se relever et la mets dans un bon bain.

Nous allons nous coucher et nous endormons rapidement.

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