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Mon fils, cet étalon. – Chapitre 13

Mon fils, cet étalon. - Chapitre 13



Coco se penche vers moi pour me dire :

La vache, il est bien monté l’Alfrédo.

Oui, et sa fille n’en revient pas.

Je regarde Eva qui effectivement mange des yeux le sexe de son père bouche ouverte. Jéjé, pas discret pour un sou, se penche pour mieux voir et là, catastrophe. Alfrédo se retourne et aperçoit mon fiston. Il s’ensuit une conversation plus que houleuse entre Vana et son mari qui finissent par nous rejoindre. Personne ne pipe mot et nous avons tous resserré les ceintures de nos peignoirs. Vana dit à son mari :

Voilà, je te présente mes sexothérapeutes…

M’man, s’te plaît…

Je ne parlais pas de toi, mais de Coco et de Christ… Tu connais ta fille et son mec. Bien, j’ai baisé avec les deux… Et avec les deux autres aussi et j’ai pris mon pied. C’est cela que j’essaie de t’expliquer depuis presque quinze jours. Tu t’étonnais de mon retour de forme, et bien voilà.

Alfrédo, ébahi par cette révélation, s’est assis. Il nous observe, nous scrute. Sa fille s’est réfugiée dans les bras de mon fiston qui bande de la situation et ouvre le seul rempart de sa nudité.

Putain, quelle matraque ! sexclame Alfrédo. Je comprends mieux pourquoi… Tu as dû la sentir passer…

Oui, et je ne compte pas en rester là. Es-tu prêt à baiser ta fille au lieu de fantasmer dessus. Hier je t’ai entendu prononcer son prénom à plusieurs reprises.

Chérie, c’est ma fille…

Et c’est une femme pleine de vie et d’envie. Crois-moi.

Eva s’agenouille entre les cuisses de son père les yeux pleins de larmes et se saisit des pans de son peignoir. Elle n’a pas peur la petite. Elle suce l’éperon paternel qui sous l’effet de la langue incestueuse se raidit. Elle lèche son père avec l’envie de le faire jouir au plus vite. Elle gobe la queue de son papa avec ferveur, comme une étudiante pendant son oral de rattrapage. Elle lui fait gorge profonde sur gorge profonde, cela en devient obscène. La maman d’Eva est heureuse, elle s’agenouille également entre les cuisses puissantes de son mec et c’est une pipe à deux bouches qui démarre. Coco n’y tient plus, elle a pris le membre de mon fils en bouche et elle y va la salope. Elle lui mange presque en totalité. Entre la table basse et les banquettes, c’est une orgie qui se déroule. Bon, je vais danser, vu que personne ne semble s’occuper de mon abricot.

Sur la piste, c’est plus calme qu’un peu plus haut. J’ai défait mon unique vêtement et me dandine au rythme de la musique. Julien me regarde avec envie, mais il est coincé au bar. Dommage mon coco. Un petit jeune avec sa gonzesse me tournent autour. Ils sont charmants et n’osent me toucher. Je fais le premier pas en saisissant la petite par les hanches. Ravie de mon initiative, elle se love contre moi. Son ami se colle dans mon dos. Ils ne sont pas nus, mais habillés d’un simple string pour elle, d’un boxer hypermoulant pour lui.

Cela fait dix minutes que l’on danse ainsi. Je décide d’emmener ce joli petit couple vers le sauna. Hésitante au début, elle se laisse entraîner devant son copain. Il nous suit et vu l’état de sa queue, on va se régaler. Je prends une cabine simple et pousse la petite sur la paroi en bois. Elle n’attendait que ça. Je lui bouffe la bouche, la langue. Le petit jeune s’est collé à moi et me palpe les seins.

Je me mets accroupie et j’emboîte mes deux nouveaux amants. Je suce et j’aspire leur jus d’amour par-dessous. Hummm, qu’ils sont délicieux, un régal ! Je m’installe sur une banquette en pin et j’écarte mes guiboles à m’en faire mal. Ils sont là, devant moi, ne sachant que faire. J’ôte le ridicule bout de tissus à la belle. Sa chatte n’est pas entièrement épilée. Ses lèvres sont cachées par une fine couche de poil blond. Lui, il a enlevé son boxer. Je suis un peu déçu, mais je ne fais rien paraître. Je l’embouche à fond et invite sa copine à venir lui lécher les roustons. Elle lui gobe couille après couille. J’arrête ma fellation, il va partir trop vite. Jambes toujours grandes ouvertes, j’attire le petit minet à me prendre, je mets son amie à califourchon sur mon visage. Humm, une petite chatte presque vierge et une petite bite pour me ramoner, l’extase. Il y va fort et j’aime cela. Elle a un goût délicieux, je lui mange sa cramouille, elle aime ça et le fait entendre.

Trop pressé, le jeunot jouit à grands flots, il m’inonde la matrice.

Après s’être dit à plus tard, peut-être, je passe par les douches et vais rejoindre l’orgie. C’est une véritable tournante, les filles changeant de partenaire. Elles sont comme folles. Eva qui se fait monter par son papa, Coco par mon fils et… Julien qui ramone Vana. Si, si, Juju a rejoint mes amis. Il me voit et tapote sur la banquette. Jéjé me regarde avec envie et il demande à Coco de se relever. Il vient pour me pendre, je vais me faire sauter par mon fils.

Il m’embrasse tendrement tout en frottant son énorme phallus sur mes lèvres intimes. Il regarde son pieu écarter mes lèvres. D’une poussée lente, longue et continue, je l’ai en moi jusqu’à la garde.

Mon jus va être pour toi ce soir. Pour toi ma maman chérie.

Ses paroles me vont droit au cur et je lui souris. Il commence lentement, amoureusement. Je pose mes talons sur ses reins pour qu’il ne m’échappe pas. Eva est coincée en levrette entre son père et sa mère. Elle couine, la petite. Il faut dire qu’Alfrédo y va de bon cur. La bouche collée sur le con maternel, elle ahane. Coco se fait enculer par un Julien survolté.

Mon Jéjé, après m’avoir copieusement retapissé l’intérieur de mon vagin, m’entraîne aux douches. Il me lave tendrement, on est vite rejoint par Alfrédo.

Super les sexothérapeutes… dit-il en rigolant. Qui aurait cru que j’avais deux belles petites salopes sous mon toit. Elles m’ont vidé, lessivé…

Une mère attentionnée à son mâle et une fille cherchant que le bonheur de son papa.

Oui et au leur. Depuis que je fantasme sur ma petite Eva… Désolé Jérôme, tu es un chic type, mais il va falloir partager.

Je crois que le partage est entamé, lui répond-il en sortant du local. Je ne me permettrais pas de vous voler votre fille.

Brave petit.

Il ne s’est pas aperçu que je me suis accroupie devant son chibre. Il réagit quand il sent mes lèvres le gober. Au début molle, elle reprend vite toute sa vigueur. Comme prévu, il est aux anges. De la salive coule de la commissure de mes lèvres tellement il est gros. Bien plus que mon fils, mais beaucoup, beaucoup moins long. Il râle en prenant appui d’un bras sur le mur. Je n’arrive pas à le prendre à fond, il est tellement volumineux que j’ai peur de le blesser avec mes dents.

Tu es aussi cochonne que les autres, dit-il en me regardant. J’ai envie de toi depuis la première fois que je t’ai vue.

Je le regarde tout en le suçant. Je me relève et me mets dos à lui, les bras tendus sur le mur. Il positionne son gland à l’entrée de ma chatte et comme un rustre, il me la met à fond d’une seule poussée.

Vu ce que tu as pris avec ton fiston, la mienne rentre comme dans du beurre.

Je ne lui réponds pas. Il m’astique comme un fou. Ses mains calleuses me triturent les nichons, les tétons. Il m’embrasse dans le cou. Je tourne la tête et l’embrasse. Il beugle, le bougre. Je joue avec mes muscles vaginaux, c’en est trop pour lui et dans un cri étouffé par mon baiser, il décharge une petite quantité de nectar.

Désolé, ma belle, mais ma femme et ma fille m’ont vidé. Mais c’était trop bon. Tu es une putain de bon coup.

Merci, très cher, on remettra ça une autre fois. Quand tu auras refait le plein et je t’offrirais mon cul.

Sans un mot, il repend une douche et m’aide à prendre la mienne.

On se suit dans le couloir, je sens son regard sur mes formes. Je dandine du cul, il me met une fessée. Jen rigole en accélérant le pas.

Les autres sont en train de discuter autour d’une énième bouteille de champagne. Je m’assois à côté de Coralie. Il est bientôt temps de partir, mais Jéjé ne l’entend pas de cette oreille et Eva non plus. Le bon Alfrédo laisse sa voiture à sa fille et d’un commun accord, nous les ramènerons chez eux.

Sur la route du retour, il y a un conciliabule entre Vana et son époux. Ils chuchotent et rigolent. Vana nous invite chez eux pour attendre le retour des enfants, ce que l’on accepte avec joie.

Chez eux, ça sent le luxe. Tout y est décoré avec goût et on félicite Vana qui rougit. Elle éclaire sa terrasse, son immense terrasse. On voit que son mec est dans le bâtiment. Un préau en dur et des bacs en guise de muret font tout le charme de cette villa méditerranéenne. Une immense piscine éclairée finalise le tout. Alfrédo, qui nous avait abandonnés pour aller chercher une bouteille de champagne, revient dans le plus simple appareil.

Eh bien, mon chéri, tu te lâches ?

Vous m’avez vu à poil toute la soirée, et puis ici je suis chez moi.

Tu as raison, lui répond Vana en se mettant nue.

Elle est suivie de très près par Coralie et moi. La bite de son mari est flasque, on ny touchera plus de la soirée. Vana nous invite à rentrer, il commence à faire frais. C’est dans leur salon que l’on poursuit notre conversation sur le futur mariage de mon grand et de la petite. On arrête une date, ce sera en juin de l’année prochaine.

On entend une voiture se garer et des portes claquer.

P’pa, ta voiture est là. Bon, vous vous rhabillez et on y va, on est mort.

Ils n’en diront pas plus. On rentre chez Coco.

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