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Mon fils, cet étalon. – Chapitre 16

Mon fils, cet étalon. - Chapitre 16



Le mardi fut pour moi une journée sans fin. Mon chef de bureau me trouva épuisée et m’ordonna de prendre quelques jours de vacances et de lui revenir en forme. C’est vrai, il y a bien longtemps que je n’ai pas pris de jours de congé et c’est sans scrupule que je prends trois semaines.

Coco, toute guillerette à cette annonce, me dit qu’elle va faire de même dès demain. Je téléphone à ma mère pour lui annoncer la bonne nouvelle. Elle me dit que si je pouvais passer, ils n’arrivent pas à faire fonctionner le jacuzzi.

Le lendemain donc, j’arrive chez mes parents. Ma mère est seule, mon père étant parti faire le tour de la résidence. Je montre à ma maman le fonctionnement de l’ensemble du garage. Éclairage, douches à jets et bien évidemment celui du jacuzzi. Mon père va être heureux de pouvoir s’y prélasser.

Nous sommes en train de boire un café quand mon père rentre de sa petite balade.

Bonjour ma fille… Tu n’es pas avec ta copine ?

Jean ! (Et ma mère c’est Elodie).

Bien quoi, je m’étonne. C’est tout.

Non, elle travaille et va essayer de prendre des vacances, tout comme moi…

A la bonne heure, tu vas pouvoir accompagner ta mère au magasin, il n’y a plus rien dans le congèle et dans le frigo.

M’man, on a qu’à y aller de suite…

Je me prépare et on y va.

On fait le plein et c’est le cas de le dire. Deux caddys bien remplis qui ont du mal à rentrer dans le coffre de l’Audi Q5 de coco. On rentre toutes joyeuses chez mes parents, l’auto de Pierre, une grosse Mercedes est stationnée devant chez eux. À mon sourire, ma mère devine qui c’est. Coralie sort et me saute dans les bras. Mon père nous regarde affectueusement. Ma mère le houspille et lui demande de venir l’aider. Évidemment, Coco et moi allons les aider. Coralie est ravissante dans sa robe d’été jaune, elle lui arrive à mi-cuisses. Je remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, la coquine.

Ma mère nous concocte une excellente ratatouille et mon père s’est mis au barbecue. Le rouge coule à flots, le repas est divin. J’aide ma mère à débarrasser et je lui explique le fonctionnement du lave-vaisselle. Mon père s’en va dans ce qui est désormais son jacuzzi. On l’entend dire que c’est la première fois qu’il entre dans un de ces bidules. Je le suis et le lui mets en marche. Les bulles et les jets lui font un bien fou. Il est en slip, je lui dis que l’on se sent encore mieux nu. Pourquoi lui ai-je dit cela ? Il me sourit et il se relève, je me sauve.

On est dans le salon avec ma mère en train de boire un petit thé. Coco propose que nous allions à la plage. Je m’étrangle, je lui demande où elle veut nous emmener.

Je suis d’accord, dit ma mère, il y a longtemps que je n’y suis pas allée…

Elle part préparer ses affaires. Coco me regarde avec un air que je lui connais bien, de vicieuse lubrique.

Il est hors de question que l’on aille à la plage naturiste.

Je suis sûr que ta môman apprécierait.

Qu’est-ce que j’apprécierai ? dit ma mère en revenant, habillée d’un simple paréo quasiment transparent.

Je reste scotchée devant une telle beauté. Pour ses 61 ans, elle reste belle. Après tout, c’est sa maman la plus belle du monde, non ?

Rien, votre fille ne veut pas vous emmener où l’on a l’habitude d’aller.

COCO !

Et c’est où cet endroit mystérieux ?

Une plage naturiste…

Hihihi, allez, ma grande fille, on y va. Ça me rappellera mes jeunes années. Tu sais que je suis marseillaise et qu’à l’époque, ça débutait. Mes copines et moi y allions régulièrement pour y faire la connaissance des hommes et de notre corps. RRRR, j’en ai des frissons rien que d’en parler.

C’est donc avec une mère enjouée, une Coco heureuse d’avoir réussi son coup que l’on se retrouve toutes les trois à poil au même endroit où on a commis nos forfaitures. Je n’ose pas regarder ma mère, pourtant elle avait un corps parfait. Elle a les seins encore arrogants, placés bien haut. Ses fesses sont bien rondes et fermes. Son ventre est plat, il me semble même avoir distingué des abdos. Ferait-elle du sport ? Non, me dit-elle, c’est du fait qu’elle a aidé mon père dans son boulot. Seules les rides entre ses seins trahissent la lourdeur des années.

Après s’être baignée, on a discuté un long moment. Coco, la coquine, me met de l’huile solaire en insistant sur mes fesses, puis passe au corps maternel. Ma mère et moi, étant allongées sur le ventre, on se regarde, on se sourit. D’un coup, je vois le visage de maman se figer et se faire plus souriant. Sa bouche s’entrouvre. Coralie est passée maître dans l’art du massage érotique. Elle est en train de masser les fesses de ma mère en passant ses pouces sur l’anus. Ma mère me mime ces mots : " j’aime".

Je suis honteuse, je tourne le regard. Ma mère étend son bras dans mon dos. Une onde de choc, un arc électrique part du bas de mon dos jusqu’à ma nuque. Je retourne mon regard vers Coco et ma mère. Elle est à califourchon sur les fesses de maman et lui lèche son dos.

Hummm, je retrouve ma jeunesse, j’ai l’impression que c’est une de mes copines de l’époque.

J’adore votre grain de peau, et vos fesses sont si fermes. Un régal à masser.

Merci, Coralie, je sais pourquoi Christine vous aime, vous êtes douée.

M’man…

Quoi, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Tu sais que ton père ne me touche presque plus, pourtant, avec ce qu’il a dans le pantalon, il a de quoi avoir peur.

Tout se bouscule dans ma tête. Des visions de mon père en train de forniquer avec ma mère et d’autres couples dans notre salon quand j’étais petite. Images furtives de ma mère accroupie devant des sexes d’hommes. Ces images me reviennent comme un mauvais souvenir, un cauchemar. Ma propre mère, mon gentil papa étaient-ils échangistes ? Je me mets sur mes avant-bras.

Et pourquoi il ne te touche plus ?

L’envie, la fatigue, la vieillesse. L’une est partie trop tôt, les autres sont arrivées. Bien trop vite à mon goût. Je vais t’avouer une chose, ma petite, j’avais des amants avant que l’on vienne te rejoindre…

Des amants ? Et papa est au courant ?

Oui, des petits jeunes fougueux, des petites pucelles qui avaient envie de découvrir les plaisirs saphiques. Eh oui, ton père est au courant… Il a participé… Quelques fois.

Coco continue son massage qui est de plus en plus "hot". Ma mère a écarté les cuisses et se laisse caresser la moule. Je suis sans voix.

Ton père est monté comme un âne, poursuit-elle, mais cela fait bien un mois que je n’y ai pas goûté.

Ma pauvre Elodie, dit Coco avant de déposer un baiser dans le cou de ma mère.

Elle ferme les yeux. Son visage est radieux. Fais chier.

On est de retour chez mes parents. Je ne les regarde plus de la même façon. Ce couple, si gentil, si prévenant à mon égard avait aussi des pulsions. Incroyable, moi qui les avais toujours imaginés amoureux l’un de l’autre, je les redécouvrais. Les images de leurs… Partouzes chez nous me reviennent, plus précises. Je devais avoir sept ou huit ans quand je suis descendue aux toilettes. Mes parents, accompagnés de deux couples, étaient en train de s’adonner à une danse très spéciale. Dans toute l’innocence due à mon jeune âge, je n’y ai pas prêté plus de curiosité. Et la fois où je vis ma mère sucer mon père dans la cabane du jardin, je m’étais dit qu’elle devait regarder s’il ne s’était pas blessé. Je les avais laissés à leur inspection.

Mon papa est en train de prendre sa douche dans le garage. Prétextant une envie pressante, je me dirige dans le couloir, la porte est ouverte. Mon père, nu comme un vers, me tourne le dos. Le morceau de viande qui pend entre ses cuisses est la réplique exacte de celui de Jérôme. Choquée, je m’enferme dans les toilettes et me masturbe en pensant à mon Jéjé, à mon papa.

La douche s’est arrêtée. Je fonce rejoindre Coralie et ma maman. Il faut que l’on parte.

Dans la voiture, Coralie me demande :

Elle est aussi grosse que celle de ton fils ?

Elle m’avoue qu’elle a tout vu depuis sa place.

Pfffttt… Oui.

Une fois à la maison, sans penser à rien, je me suis mise nue et je me suis allongée sur un transat. Coco a plongé et m’invite à la rejoindre. Mes jambes ont de la peine à me porter, mais l’effet de me sentir portée par l’eau me fait le plus grand bien. Coralie me prend dans ses bras et m’embrasse.

Ta mère m’a demandé l’adresse de mon esthéticienne…

Et ?

Je le lui ai donné.

J’imagine ma mère, si prude à mes yeux, forniquer avec de jeunes étalons et se faire lécher le minou par des jeunes filles. Toutes ces images se bousculent dans mon petit crâne. Mon portable sonne.

Christine ?

Oui maman…

Peux-tu mettre le haut-parleur, je veux que ta chérie m’entende.

C’est fait.

Ton père et moi, on a eu une longue discussion sur ce qu’il s’est passé cet après-midi.

Et ?

Bien, c’est un peu gênant de parler de ça avec toi…

Ne dis rien, alors… lui répondis-je d’un ton courroucé.

Ton père m’a fait l’amour comme un dieu, on s’est retrouvé…

J’en suis heureuse pour vous, lui dit Coco, venez samedi chez nous. Il y a une énorme piscine.

Je lui fais non de la tête, qu’il y a mon fils.

Et puis chez nous, c’est comme à la plage, on vit nu.

Ah, OK, pas de soucis, lui répond ma mère avant de raccrocher. J’annonce cela à Jean et samedi, on sera là.

T’es conne ou quoi, tu crois que mon fils va se mettre à poil devant ses grands-parents ?

Mais oui, mais oui. Il suffit qu’ils n’arrivent pas trop tôt.

Les enfants sont de retour de leur sortie avec des potes. Ils nous annoncent qu’ils sont en avance sur le programme, qu’ils sont en vacances.

La semaine se passe calmement, trop calmement. Coco a annoncé aux deux petits la venue des grands-parents ce samedi. Un peu choqué, au début, Jéjé n’est pas trop à l’aise quant au fait de se montrer nu devant son papi et sa mamie. Coco le rassure. Il n’aura qu’à se cacher dans la piscine. Eva est plus sereine. De voir Elodie nue ne la choque pas plus que cela. Bref, tout ce p’tit monde semble rassuré, il n’y a que moi qui cogite à cette rencontre, je réagis comme si c’était des étrangers, mais ce sont mes parents. Quoi de plus naturel de se montrer à poil devant ses géniteurs. Je comprends l’embarras de Jéjé lors de notre première fois.

Samedi matin, ça y est, c’est le jour fatidique. Jéjé et Eva sont dans la piscine. Je suis habillée d’un simple paréo, je suis nue. Coco a opté pour la même tenue que moi. La clochette retentit. Je vais ouvrir. La première à entrer est ma mère. Elle est en robe très, très courte, de style beatnik. Mon père est en marcel fleuri et short long. Ils me font la bise. Je les accompagne dans l’immense villa, mon père siffle.

Et bé, on ne s’embête pas !

Bonjour Jean, je vous ferais visiter plus tard, dit Coralie en nous rejoignant. Bonjour Elodie…

Mon père regarde le corps sublime de mon amoureuse. Ma mère lui met un gentil coup de coude dans les côtes. Il souffle et demande :

Où est mon p’tit-fils ?

Dans la piscine, avec Eva.

On sort sur la terrasse et à la vue de la piscine, mes parents sont subjugués. Heureusement, Jéjé a tondu la pelouse, nettoyé les abords.

C’est magnifique, dit mon père, et regarde le bar au milieu. Je crois rêver !

C’est somptueux, poursuit ma mère, on est au paradis, Coralie, et décoré avec goût. Ma fille a de la chance.

Un énorme plouf, mon père vient de plonger pour rejoindre son petit fils. Ils s’étreignent comme un grand-père le ferait à son petit-fils.

Mais vous êtes nus ?

Oui, lui répond mon fils timidement.

A qu’à cela ne tienne !

Il se contorsionne et nous jette son short.

Le voilà à poil, Hihihihi, nous dit maman.

Et nous ? poursuit Coralie.

A poil ! sexclame ma mère.

On se met nue et on rejoint mon père qui prend dans ses bras ma mère. Ils sont heureux, cela fait bien longtemps que je ne les avais vus dans un tel état… D’excitation. Jamais, si j’y réfléchis bien. Ils jouent comme deux ados, Jéjé et Eva les ayant rejoints. Coralie m’a coincée contre le mur et m’embrasse goulûment. Mon père fait la planche et l’anaconda qu’il a entre les jambes ne passe pas inaperçu. Il a le sexe épilé, même son gros paquet y est passé, sacré maman. Coralie nous invite à prendre l’apéro autour de son bar, c’est avec joie que Jéjé et Eva vont nous servir.

Ils sortent tous les deux, Eva la première. Mes parents la regardent. Avec ses formes, ses gros seins, son gros cul, ils ne la quittent pas des yeux. Ils ne remarquent même pas Jéjé qui sort également de l’eau. Sa bite est en demi-érection, mais il fait vite pour passer le tunnel le séparant du bar. Ma mère, cette désormais coquine de mère, n’a d’yeux que pour les fesses d’Eva. C’est normal, elle se dandine à la vue de tous. Mon fiston n’est pas insensible aux frôlements de son cul sur sa bite. Il bande. Mon père nous dit qu’il sort, il ne veut pas ressembler, par l’effet de l’eau, à un vieux rabougri. Son sexe est en pleine érection, première fois que je vois le sexe de mon père dans un tel état, enfin, pas la première fois, mais d’aussi près. Ma mère le suit. Elle est passée par les mains expertes de notre esthéticienne. Elle a l’abricot tout lisse, un régal me suis-je mis tout de suite à penser. Je m’imagine en 69 avec ma propre mère et me régaler de son jus.

Mon père s’est installé à table, ma mère à ses côtés. Elle lui caresse son mât de cocagne du revers de la main. Mon père est en joie d’avoir retrouvé sa coquine de femme. Coralie s’est assise à côté de moi et me caresse délicatement le sexe.

On n’est pas bien ici, dit-elle en direction de mes parents.

Formidablement bien, lui répond mon père en prenant la main de ma mère et la forçant à le branler.

Forcer est un bien grand mot, elle branle mon père en lui souriant. Coco me force l’entrée de mon coquillage et vient m’embrasser. Eva a revêtu son petit tablier blanc et pose sur la table des petits-fours. Elle s’en retourne, mais elle est bloquée par les mains de son Jéjé. Elle se cambre et mon fils l’embroche sans autre forme de procès. Mon père, ce pervers de père, fait mettre ma mère sur son chibre.

Elles en veulent, fais-toi plaisir fiston.

Je suis outrée par les paroles de mon père. Coralie a glissé sous la table et s’est mise à quatre pattes. Elle se régale de la chatte de ma maman. Je reste là, figée par ces accouplements, mais je mouille comme la fontaine de trévise. J’ai la chatte de ma copine à portée de bouche, si je puis dire. Comme un automate, j’ai d’envie d’aller la brouter. Inconsciemment, je me retrouve accroupie derrière la croupe de mon amie. Son sexe baveux est un régal. Régal de courte durée, elle me tire par un bras et me voilà devant les sexes de mes parents. Lisse comme à la naissance, le chibre de papa rentre et ressort du sexe de ma mère. Je jette aux orties tous mes préjugés et gobe les énormes couilles de mon père l’une après l’autre. Coralie se délecte de la mouille de maman et de la hampe de Papa.

À l’étage du dessus, ça change de position. Eva est allongée sur le dos à même la table, mon fils la prenant fermement en la tenant par les hanches. Ma mère embrasse la petite tandis que mon père redouble de vigueur. C’est un cauchemar ou plutôt un doux rêve que je vis. Toutes les phéromones sont de sortie. Ça claque, ça mouille et ça me plaît. Coco m’a laissée seule. Elle s’est relevée et embrasse mon paternel. Ma mère m’inonde ma petite gueule d’enfant sage de ses sécrétions, elle est fontaine.

Depuis combien de temps sommes-nous en train de forniquer, je nen sais rien et je m’en contrefous. Mon père jouit le premier et je me régale du mélange qui sort de la chatte maternelle. Jéjé arrive et inonde la petite. Personne ne parle, la petite fête va-t-elle s’éteindre là.

Piouf, vous m’avez surpris mes donzelles, quel pied ! sexclame mon père.

Oui, chéri, depuis le temps… Ouf, sacrée partie de baise, surenchérit ma mère.

Les deux petits n’en reviennent pas de ce qu’il vient de se passer et plongent à l’eau, vite rejoints par ma Coralie. Je me relève et vois mes parents, ma mère assise à califourchon sur un genou de mon papa, en train de s’embrasser. Ma mère me tire pour que je prenne la même position et c’est à trois que l’on termine ce premier acte, en s’embrassant.

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