Histoires de sexe mobiles Histoires gays Premières histoires de sexe

Mon fils m'a fait cocu. – Chapitre 4

Mon fils m'a fait cocu. - Chapitre 4



Le lendemain, j’annonce à tous mon intention de me rendre pendant une semaine pour un congrès technique pour mon entreprise, j’annonce que contrairement à l’habitude, cette fois, je ne prends pas maman, mais je vais avec ma secrétaire, car j’ai des papiers à préparer, vu que je fais une intervention.

J’observe mon fils discrètement, il passe du visage renfrogné à un épanoui, avec des yeux malicieux.

– Alors, j’aurai ma petite maman que pour moi. Chouette.

Que répondre à ça, si ce n’est que je mets à bander en pensant tout ce qu’ils vont faire pendant ce temps. Je vais au bureau en annonçant à la secrétaire mes intentions et si elle peut m’accompagner à ce congrès et qu’on part demain.

– C’est un peu brusque, mais je vais m’arranger. Je dois faire des réservations ?

– Oui, demandez deux chambres avec porte communicante svp. Vous trouverez toute la documentation ici lui dis.je en lui tendant une enveloppe avec les informations du congrès, mais au préalable 4 jours à Rhodes pour préparer le dossier dans un cadre agréable.

Le soir, je rentre à la maison et là, j’ai franchement l’impression que je dérange un peu.

– Mais papa, on pensait que tu étais parti.

– C’est demain matin que je pars. Je ne vous dérange pas trop ?

– Tu exagères, on se câlinait juste un peu, me répond-il, rouge comme une écrevisse.

Pour me faire regretter de partir, Marie-Claude se démène comme une bacchante, elle me fait réviser l’entier du Kamasutra, je sens que dans l’avion qui va nous emmener à Rhodes, je vais dormir.

En arrivant à l’aéroport, je vois que Marisette qui est là, toute pimpante, avec les documents, avec une figure un peu étonnée.

– Bonjour comment vas-tu ? Es-tu prête pour ces vacances sur le dos de la boîte ?

– Ah je comprends mieux que les billets pour Munich fassent un détour par Rhodes.

– En avant.

Comme prévu, même si Marisette pense qu’il est indispensable de me faire la conversation, je l’affranchis rapidement que madame, qui n’est pas invitée et suspicieuse, a voulu que je parte avec les bourses à plat et que je compte sur le trajet pour récupérer un peu.

Le vol s’est bien passé et mon sommeil réparateur, on commence les vacances par une séance courte de travail, contrôler que ma présentation sera bien ordonnée pour dans 4 jours. Ensuite nous allons, bras dessus – bras dessous au restaurant en tenue estivale, Mariette a mis un très joli short et un boléro soulignant sa taille avantageusement, il me semble que le soutien-gorge a été oublié. Moi, c’est le bermuda large et la chemise hawaïenne.

Pendant tout le repas, Marisette est charmante pour ne pas dire dragueuse, je sens qu’elle n’a pas envie de laisser passer l’occasion de se faire son boss, espérant une bonne augmentation à la clé.

Pas contrariant, je me laisse faire, même quand sa main aux doigts manucurés se pose sur mon bermuda, à la façon de souligner une bonne blague, devant mon manque de mauvaise réaction, elle commence à étendre son exploration, jusqu’à arriver à l’endroit crucial. Je bande bien et la cure préventive de Marie-Claude me semble inefficace. Je pense qu’il faudra répéter la médication.

Marisette vient se mettre à côté de moi pour plus de facilité dans son approche libidineuse du mâle :

– Le dessert, tu prévois de le prendre ici ou dans la chambre ?

– Cela dépend ce que tu as envisagé comme dessert.

– Ici, cela pourrait être un dessert à base de glace, dans la chambre, une belle figue brûlante arrosée à la cyprine.

– Ça, c’est pour le dessert qui m’attend, mais pour toi, qu’as-tu prévu ?

– Comme le fond de l’air frémit, je ne prévois pas un dessert glacé, mais aussi un brûlant, comme un bâton de berger fourré de sauce pruneaux, quoiqu’une belle banane royale1 me semblerait tout à fait convenable, pour autant qu’on ne me la splite pas.  

– Garçon, l’addition rapidement, j’ai une urgence, surtout que Marisette continuait son massage discrètement sous la table.

Nous remontons dans nos quartiers et les vêtements volent dans la chambre et je réclame tout de suite mon dessert, vu qu’au niveau du slip, c’est déjà bien tendu.

Marisette m’apparaît dans sa nudité intégrale, j’ai les yeux qui palpitent, pourquoi ai-je attendu si longtemps pour lui offrir des vacances communes, elle est parfaite, de jolis nichons en poire, un ventre plat, un charmant buisson cachant ce que je désire découvrir rapidement.

On se jette sur le lit et je vois qu’elle a un regard fixe sur ma bite. Malicieusement je lui dis :

– Tu en as peur ?, pas de problème elle ne va pas te manger.

– Elle non, mais c’est moi qui vais la bouffer jusqu’à ce qu’elle me jette son jus.

– Moi qui pensais que je pouvais avoir aussi mon dessert.

– La nuit sera longue, laisse-moi tirer le premier jus et pour te refaire je te donnerai mon dessert.

– Cependant, avant j’aimerais bien adorer tes très jolis seins qui m’appellent. On pourrait les appeler les poires belle Marisette.

C’est ainsi qu’après avoir échangé nos salives, je plonge vers sa jolie poitrine et comme un nouveau né, tout de suite, je prends les bourgeons dans ma bouche et biberonne comme un fou.

– Tu ne vas pas réussir à me tirer du lait, mais c’est très agréable.

– Il faut dire que si tu faisais la même chose de mon trayon, ce serait plutôt de la crème.

Sur ce, elle se dégage de ma bouche vorace et à son tour, la sienne absorbe un bon bout de mon vit et commence la traite, (pas des blanches, ni des noires, cela fait un peu musique, des noires et des blanches) mais de la banane et à force elle réussit à faire transpirer mon bâton de berger, enfin transpirer, c’est bien pire. Elle est encore pire que Marie-Claude, plus affamée. Je ne résiste pas si longtemps à ce traitement barbare et alors qu’elle me presse les joyeuses, je déverse dans son gosier le trop plein de mes coucougnettes.

Une fois ma prostate vidangée, que dis-je purgée, légèrement fatigué, je verse à côté de Marisette, c’est clair qu’elle n’a pas eu son compte et reste un peu frustrée de ne pas avoir eu son orgasme.

Elle se met aussi sur de dos et me dit :

– Alors maintenant tu peux déguster ton dessert.

Je me mets à plat ventre dans le prolongement de son tronc et la lippe avantageuse, je m’avance à l’encontre de ce sexe surmonté d’un ticket des CFF2, une mouille abondante suinte de sa fente, un peu visqueuse, de couleur blanchâtre. Cela me surprit d’abord, cela ressemble à des pertes blanches, mais dans mon esprit, il y eut un retour dans le passé, je me revoyais comment j’ai léché à perte de langue, les culottes entartées de maman. Combien de litres de sperme j’ai pas dépensé en respirant ces délicatesses. Cela avait exactement la même odeur, tout de suite, j’ai lapé ce fleuve de crème sexuelle. Cela n’a pas tardé, le souvenir des slips maternelles m’a tout de suite excité pas possible.

Je dois dire que mon action avait des résultats et Marisette agitait son bassin de plus en plus fort et appuyait sa vulve sur mes lèvres de plus en plus violemment.

– Quand tu auras fini, prend ma culotte pour essuyer, je la réserve pour mon neveu. Je sais qu’il en est très friand.

– Tu ne baises quand même pas avec ?

– Non, mais je l’ai déjà vu, sans qu’il me voie, le nez collé dans un de mes slips et se machinant férocement. Mais il est un peu trop jeune pour que je puisse le baiser, j’attends avec impatience sa majorité.

– Il aura de la chance d’avoir une tante bien au courant. Je n’ai pas eu cette opportunité, juste les culottes de maman, mais le reste en autodidacte.

– Pauvre chéri, tu ne veux pas changer de nom pour un moment et t’appeler Boris, du nom de mon neveu.

– C’est un jeu ?

– Oui, mais il faudrait recommencer dès le début ou on pourrait le jouer demain.

– Continuons comme des adultes ce soir, il sera temps demain d’assouvir nos fantasmes.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire