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Mon initiation intensive au libertinage. – Chapitre 1

Mon initiation intensive au libertinage. - Chapitre 1



Avant toute chose, s’agissant de ma première histoire publiée ici, je me permets un petit préambule…

Je m’appelle donc Orlane, j’ai 24 ans, je vis en Bretagne, près de Brest… je suis en couple depuis trois ans avec Mathieu, 43 ans… J’ai terminé mes études et je travaille comme commerciale depuis quelques mois…

Je pense pouvoir dire, sans fausse modestie, que je suis une jolie fille…. Grande brune aux cheveux longs, mince, les yeux bleus, des formes là où il faut je pense ! J’ai toujours eu beaucoup de succès auprès des hommes, mais étant de nature très réservée, je n’ai eu que très peu de vraies histoires avant de rencontrer mon chéri actuel… J’ai toujours été, avant de le connaitre, dans l’incapacité de "franchir le pas", pétrifiée que j’étais devant les hommes qui me courtisaient…

C’est mon homme qui a su me rassurer, me donner d’avantage confiance en moi, et aussi m’initier aux plaisirs amoureux. Beaucoup de mes copines se sont étonnées lorsque nous nous sommes rencontrés… une fille de 21 ans à l’époque avec un homme de 40, voilà qui ne les a pas laissées indifférentes !

Depuis que nous sommes ensemble, il a transformé l’ado que j’étais, en jean et baskets, en une jeune femme féminine, toujours un peu réservée sans doute, mais coquine et libertine assumée !

Je m’amuse depuis pas mal de temps à écrire des histoires que je ne partage qu’avec mon homme… C’est lui qui m’a encouragée à les partager sur ce site…

Je vais donc, dans un souci de respect chronologique, m’efforcer de vous raconter le plus fidèlement, ma première aventure réellement libertine !

Nous étions ensemble depuis bientôt six mois avec Mathieu, j’avais 21 ans, et j’étais au sommet du bonheur. Nous nous entendions à merveille, j’étais folle amoureuse. Il était prévenant, tendre, passionné…

Au lit, nos ébats duraient des heures… Il m’avait parfaitement comprise. Sa tendresse coutumière se transformait ponctuellement en une fermeté qui me chamboulait ! Ses étreintes allaient des plus douces caresses aux plus directives contraintes… J’étais sa chose, son objet de plaisir, et cette condition me ravissait !

Par ailleurs, en quelques mois, il m’avait aidé à revoir intégralement ma garde robe et je ne portais plus, pour son plaisir et les miens, que tes tenues féminines et généralement sexy…

Il m’avait avoué son plaisir de me voir observée par les hommes, de me sentir convoitée par eux. Il en était fier et excité ! Nous nous amusions parfois à nous promener dans des lieux publics dans le seul but de me montrer aux autres, et d’être observée, matée !

Ce jeu a continué, il est devenu de plus en plus présent… nous nous amusions beaucoup et j’avoue que c’était très émoustillant pour moi de me balader, habillée comme une petite coquine, devant tout le monde… j’adorais les yeux des hommes sur moi… même si j’avais du mal soutenir leurs regards ! Je jouais, j’étudiais mes mouvements pour être la plus allumeuse possible !

Nous en sommes venus de plus en plus à pratiquer ce jeu lorsque nous faisions l’amour. Mathieu a commencé par suggérer la présence d’un deuxième homme pour s’occuper de moi… c’était un pur fantasme a ce moment là… Puis il s’est mis a simuler cette présence avec mon gode, me faisant le sucer pendant qu’il me pénétrait avec le sextoy, ou encore insérant le jouet dans mon vagin alors qu’il me prenait par derrière… ça devenait terriblement excitant !

Il en était arrivé a me faire reconnaitre, a plusieurs reprises, que je désirais vraiment cette deuxième queue et qu’elle était devenue l’objet de tout mes fantasmes !

Un soir de novembre, il m’avait demandé de réserver une soirée pour nous rendre à un repas organisé par une relation de travail. Je savais à quel point il appréciait ce genre d’occasion… Généralement, ses relations de travail étaient des hommes relativement mûrs et il était le seul a pouvoir exhiber devant eux une jolie jeunette comme moi !

Comme souvent en pareille situation, il avait voulu "jouer à la poupée" comme je m’amusais à lui dire ! Concrètement, j’étais sa poupée et il me préparait ! Il choisissait ma tenue, mon maquillage… il me modelait a sa guise, et je dois bien reconnaitre que j’aimais beaucoup ça !

C’est donc lui qui, en début de soirée, qui se mit à superviser ma préparation… et il n’avait pas lésiné !

Sortie de la douche, et après une épilation soigneuse et intégrale, je trouvais la tenue qu’il m’avait choisie, disposée sur le lit…

Une jolie jupe noire portefeuille à mi cuisse, un bustier blanc un peu pigeonnant, épaules nues, lacet sur le devant, une petite veste courte noire cintrée, des bas couleur chair légèrement brillants, et des bottes à talons hauts et fins, argentés, de 12 cm… évidement, aucun sous vêtements ! Le coquin !

Coté, bijoux, il m’avait choisi des boucles d’oreilles pendantes plutôt longues, un joli collier, deux bracelets argentés, et mon piercing de nombril se retrouva avec un joli petit pendentif de la même teinte. Je devais garder mes cheveux détaché et il me demanda un maquillage assez appuyé, avec notamment un rouge a lèvres longue tenue très rouge, rimmel et eues liner très noir, fard à paupières violet et un peu brillant… ongles vernis… Un peu chargé à mon goût, mais bon…

Je me retrouvais donc face à lui, apprêtée comme il l’avait demandé…. La satisfaction se lisait sur son visage… Mais contrairement à son habitude dans une situation qui l’excitait, il ne se montra pas trop entreprenant et se contenta de m’embrasser amoureusement… comme s’il ne voulait pas abimer le tableau qu’il venait de composer.

Je ne pouvais m’empêcher de penser que ça faisait quand même un peu "trop" pour ce genre de soirée, mais je ne voulais pas le décevoir…

Après quelques dizaines de minutes de route, à parler de tout et de rien, nous sommes arrivés devant le portail d’une villa dans un quartier manifestement de grand standing… quelques mots à l’interphone et la grille s’ouvra sur un très grand jardin parfaitement entretenu. La villa semblait immense et de grande classe. Mathieu m’offrit son bras et nous nous sommes dirigés vers l’entrée.

Sur mes talons et si courte vêtue, je me sentais un peu garce j’avoue !

L’accueil fut chaleureux ! Et c’est peu dire… visiblement, le maitre des lieux, un homme jovial d’une soixantaine d’années peut être, ne semblait pas insensible du tout a mon aspect ! J’ai eu droit à deux bises sans aucune hésitation ! Deux autres messieurs se trouvaient au salon… l’un d’eux devait avoir la cinquantaine, et le dernier devait être beaucoup plus jeune, une petite trentaine je pense.

J’ai vite été troublée par leurs compliments et par le fait de me retrouver seule femme, dans cette tenue, au milieu de ces messieurs… Montée sur mes 12cm de talons, j’étais plus grande que deux d’entre eux… seul le gars le plus jeune et mon homme étaient plus grands que moi.

Nous nous sommes installés au salon…. C’étai immense et très beau…

Je me suis retrouvée assise sur un grand canapé blanc en cuir, si bas que, en m’asseyant, j’ai eu un mal fou a faire en sorte que personne ne se retrouve avec une vue plongeante sur mon entre jambe ! Fauteuil bas, hauts talons et jupe courte, le résultat est garanti ! Mon homme s’est installé à coté de moi… Et nous avons commencé a trinquer, au champagne, s’il vous plait !

Les conversations se sont vite orientées sur leur travail… j’ai compris que ces gens étaient des clients de la société ou travaille mon chéri… J’avais quand même droit a des regards appuyés de ces messieurs, ca qui flattait incontestablement mon égo !

Après deux coupes de champagne, l’atmosphère était assurément détendue… et moi, je commençais à percevoir une légère ébriété. Un troisième verre trouva sa place devant moi… Mon homme se leva, puis, faisant le tour du canapé, posa ses mains sur moi pour me débarrasser de ma veste courte… c’est vrais qu’il faisait chaud ! Je l’aidais à me retirer ce vêtement superflu et me retrouvais en bustier, les épaules nues et la poitrine on ne peut mieux mise en valeur !

A ce stade, aussi surprenant que cela puisse paraitre, je n’avais même pas compris son manège !

Puis, mon chéri est sorti sur la terrasse pour fumer, accompagné du propriétaire des lieux, dont j’avais appris qu’il s’appelait Pierre et qu’il avait 62 ans… Le second, Jacques, 54 ans, et le plus jeune, David, 32 ans restaient avec moi au salon… le club des non fumeurs !

Jacques en profita pour venir s’assoir a coté de moi… et, sous le prétexte légitime que les conversations professionnelles devaient m’ennuyer, il décréta que nous allions corriger cela. J’étais un peu surprise par sa proximité et son côté tactile. Dès le début de notre petite conversation, ses mains s’était posée sur mon bras et l’effleurait doucement alors qu’il me parlait. J’ai eu quelques frissons. David, lui, s’intéressait visiblement à notre discussion mais était resté dans le fauteuil face à moi.

Il me demanda se que je faisais dans la vie, depuis combien de temps nous étions en couple… Son regard était troublant. J’ai toujours été très sensible aux regards ! Dans nos échanges, il me dit à plusieurs reprises que Mathieu avait beaucoup de chance, que jétais très belle, splendide…

Alors qu’il me caressait toujours doucement le bras en parlant, je senti l’extrémité des doigts de l’autre main se promener sur mon genou. Ce fut comme une décharge en moi… je prenait conscience soudainement que la seule envie de cette homme était de me sauter. C’était vraiment une étrange sensation ! Comme je n’avais pas réagis, l’extrémité des doigts était devenu la main entière… elle était posée sur mon genou et bougeait doucement, entre mon genou et le début de ma cuisse…

Je levais les yeux pour m’assurer que personne ne regardait ce petit manège. J’en avais oublié David, face à moi, qui souriait en lorgnant mes jambes et très certainement une partie de mes cuisses sous ma jupe. Instinctivement, je resserrais les cuisses…

Les fumeurs rentrèrent et Jacques déclara à Mathieu qu’il avait profité de son absence pour lui voler sa place et profiter de moi… Ils se mirent à rire et chacun se réinstalla… Sa place étant occupée, Mathieu pris un siège un peu plus loin… Sa présence me rassura largement.

Les discussions reprirent comme avant, seul Jacques restait centré sur moi. Un autre verre fut servi et j’avais conscience d’avoir un peu abusé.

Jacques repris son approche sans sembler un instant perturbé par la présence des autres. Et j’avoue qu’a ce moment là, mon homme étant présent (et le champagne aidant), j’en étais franchement amusée.

A un moment donné, sous le prétexte (sans doute faux) que j’avais un petit quelque chose collé à la commissure des lèvres, il approcha sa main de mon visage, caressa ma joue et écarta une mèche de cheveux, puis avec son pouce il fit mine de retirer quelque chose et me caressa la bouche longuement. J’étais troublée et je sentais mon coeur battre à toute allure. Pendant qu’il me touchait les lèvres, je senti soudainement sa seconde main se poser sur ma jambe. Il me regardait dans les yeux, sans dévier… je me surpris à soutenir son regard. Sa main remonta doucement et s’engagea sous ma jupe. Je pense avoir écarté un peu mes jambes à ce moment là. J’ai senti sa main dépasser la dentelle de mon bas et caresser la peau nue de ma cuisse. Puis, alors que je ne maitrisais plus rien, ses doigts vinrent caresser mon pubis tout lisse, puis glissèrent le long de ma chatte… en une seconde, alors que je sentait une sorte de panique me gagner, une sorte de peur d’être surprise en flagrant délit, ses doigts s’enfoncèrent simultanément dans ma bouche et dans mon sexe.

Je ne pu réprimer un cris dont j’eu l’impression qu’il provoqua instantanément le silence et braqua tout les regards vers moi. A ce moment là, je me suis retrouvée en pleine confusion. Les trois hommes, dont mon chéri, me regardaient en souriant, pas spécialement surpris. Moi, j’étais là, assise sur ce canapé, le bassin un peu en avant, avec la main de Jacques sous ma jupe et, les autres ne le voyaient pas, ses doigts en moi ! Il glissa au sol et pris place entre mes jambes. Ma jupe était alors suffisamment relevée pour laisser apparaitre la dentelle de mes bas. Il écarta un peu plus mes cuisses et son bras commença a marquer de lents mes très visibles aller retours qui ne laissaient pas de doute sur ce qu’il était en train de faire. Je regardais Mathieu, me sentant complètement perdue dans cette situation. La délectation que je voyais dans ses yeux m’apaisa et je me laissais aller à ces caresses qui devenaient très agréables.

Pierre, le propriétaire des lieux est venu s’assoir à coté de moi. Nous nous sommes regardé alors que Jacques me fouillait et que ma respiration était déjà rapide et bruyante. Il me regardait avec attention, comme pour évaluer mon degré d’aise. Puis il se mit à me toucher à son tour… Les épaules, le cou… il passa une main derrière ma nuque et m’approcha de lui. Il m’embrassa à pleine bouche, sans détour, langoureusement. Je restais passive. Sa main se posa sur mes seins et je senti que mon bustier avait été un peu délacé sur le devant… juste assez pour lui permettre d’empaumer complètement mon sein. Il se mit à le malaxer tout en m’embrassant… Mes cuisses étaient alors largement ouvertes et ma jupe relevée sur mon ventre laissait ma chatte apparente aux yeux de tous. La bouche de Jacques s’associa très vite à ses doigts entre mes cuisses et les deux hommes s’affairaient alors pour mon plus grand plaisir, ma laissant entièrement abandonnée à leurs volontés.

Quelques minutes à ce régime suffirent à faire monter le plaisir en moi. La langue de Jacques et ses caresses devinrent vite positivement insoutenables ! La chaleur dans mon ventre s’intensifia. Me sentir ainsi exposée et caressée par toutes ces mains et toutes ces bouches renforçait encore en moi se sentiment de devenir l’objet de plaisir des hommes… Pierre arrêta un instant son baiser et se mis a me pincer un peu le bout des seins qui pointaient terriblement.

Il me glissa quelques mots crus à l’oreille: "on va s’occuper de toi, petite pute, tu va voir…" Et là, en un instant, ce fut l’explosion ! Ses mots avaient eu l’effet d’un détonateur. Je sentis tout mon bas ventre se contracter plus durement que jamais et presque instantanément, partir dans un tourbillon de saccades qui m’échappaient complètement et qui en étaient presque douloureuses tellement elles me semblaient puissantes. Mon coeur battait à tout rompre. Je sentis mon vagin s’inonder de mes sécrétions… Je ne pu m’empêcher de hurler mon plaisir !

En reprenant doucement mes esprits, je me suis rendue compte que je pleurais, et que les quatre coquins me regardaient avec un certain attendrissement.

Jacques, qui s’était relevé, me pris par la main et m’aida à me lever à mon tour. Je titubais après tant d’émotions. Je me retrouvais donc debout, face à lui, les seins partiellement libérés de mon bustier, les mamelons durcis pointant sous les yeux de tous … il me fit tourner, comme pour m’admirer, me montrer… Il me demanda, de façon un peu directive, de me mettre a genou. Je lui obéissais sans hésitation et me retrouvais a genou sur l’épais tapis du salon, a deux mètres devant Mathieu. Ils me regardaient tous en silence. Une musique douce, que je n’avait pas remarqué jusque là, parvint à mes oreilles.

Jacques s’était assis. C’est David, le plus jeune, qui se leva et s’approcha de moi… Il ne m’avait pas encore touchée. Les trois autres regardaient en buvant leur coupe de champagne. David me caressa d’abord les épaules, puis il passa sa main dans mes cheveux. Il était grand et franchement carré. Sa douceur était presque surprenante. Il se planta devant moi et retira doucement sa chemise… je le regardais. Il ôta ensuite ses chaussures et s’approcha encore plus de moi pour déboucler sa ceinture et baisser lentement son pantalon. Il n’avait rien dessous et sa queue se dressa aussitôt… un très bel engin je dois dire !

Je me retrouvais alors a genou avec ce mec baraqué, nu devant moi et en pleine érection ! Je regardais Mathieu qui ne me quittait pas des yeux.

David saisit son sexe et l’approcha de mon visage… il le fit glisser sur ma joue, puis le posa contre mes lèvres. Naturellement, j’entrouvrais la bouche et commençais à le parcourir avec ma langue. Il était énorme, chaud, doux… Très vite, il entra dans ma bouche et je m’appliquais à le flatter le mieux possible. Petit à petit, j’ai senti qu’il prenait l’initiative et que c’était lui qui, de plus en plus, guidait le mouvement. Je gardais mes mains appuyées sur ses hanches afin de calmer un peu la cadence qu’il commençait à m’imposer. Je senti alors l’un d’eux se glisser derrière moi… Ce devait être Jacques. Il saisi doucement mes bras et les tiras en arrière, jusqu’a me les amener dans le dos. Il garda sa main fermée sur mes poignets pour que je ne bouge pas. David avait le champ libre et maitrisait maintenant entièrement les choses. Il me saisit les cheveux avec fermeté et guida les aller retour de sa queue dans ma bouche. Jacques, tout en me maintenant les bras, glissa sa main sur ma chatte et se mit à me caresser avec beaucoup d’efficacité.

Maintenue de la sorte, tripotée pendant que cet homme me "baisait la bouche", je me sentais utilisée et salope comme jamais. Il venait de plus en plus profond dans ma bouche. A quelques reprises, il pressa sur ma tête au point que, très brièvement, mes lèvres venaient toucher son pubis, toute sa bite étant alors en moi… j’en eu des hauts le coeur terribles… des larmes coulaient sur mes joues… soudainement, alors que je ne m’y attendais pas, je reçu une formidable éjaculation au fond de la gorge accompagnée de ses râles tonitruants. Manquant de m’en étouffer, j’avalais laborieusement ce que je pouvais, tout en sentant ma bouche s’inonder de sa semence. Son sperme s’échappa d’entre mes lèvres et je senti le surplus couler sur ma poitrine. Il sorti son sexe et fit profiter mon visage des dernières saccades.

J’ouvrais les yeux et regardais Mathieu qui était levé et prenait des photos de moi. Je sentais mon visage couvert de ce liquide chaud, ma bouche était imprégnée du gout de cet homme. Sur mes seins s’étalait le sperme tombé de ma bouche. Ma jupe noire, elle aussi, avait reçu sa part et se retrouvait maculée. Les deux autres regardaient, entièrement dévêtus, en érection.

Jacques s’approcha, et me pris par la main une nouvelle fois pour m’aider a me lever… Sans attendre, il m’attira vers le milieu du salon ou les verres avaient été retirés de la table basse. Il m’y fit assoir. Pierre vint à coté de moi, puis appuya sur mes épaules pour que je m’y allonge. Je me retrouvais donc étendue à plat dos sur cette table basse, les pieds au sol et les cuisses écartées, les seins a l’air. Mathieu me photographiait encore. Puis Pierre, tout en caressant mon visage, ramena méthodiquement le sperme qui s’y trouvait vers ma bouche…J’ouvrais la bouche sans y être invitée pour le recevoir… Il poussa avec ses doigts pour qu’il glisse entre mes lèvres tout en me demandant de ne pas l’avaler et de le garder en bouche…

Jacques lui vint se placer entre mes jambes. Il saisit mes chevilles et éleva mes jambes, largement écartées, doucement au dessus de moi. Dans cette position, complètement offerte, avec une vue imprenable sur mes bottes de coquine, je me sentais réellement asservie, digne d’une actrice porno.

Sa bite pressait sur ma vulve. En un coup de bassin, il s’enfonça en moi. N’ayant d’autre choix pour pouvoir crier, j’avalais une partie du sperme qui demeurait dans ma bouche, laissant l’excédant couler de nouveau sur mes joues.

Il se mit à me baiser avec vigueur sous les yeux des autres et sous l’objectif de mon homme. Pierre s’approcha et glissa sa queue dans ma bouche. Jamais je n’avais sucé la queue d’un homme de cet âge… Tout en se faisant sucer, il se mit à me caresser le clitoris. David, lui, s’approcha aussi et me caressait les seins tout en retrouvant une belle érection. Quelques instant après, j’étais en train de les sucer tout deux en alternance.

Alors que je m’efforçais de m’occuper d’eux correctement, Jacques sorti de moi et lâcha mes jambes. Je parvenais a garder ma position en retenant moi même mes jambes repliées au dessus de moi. Deux doigts s’enfoncèrent dans mon anus. Puis trois je crois. Ce ne fut pas trop difficile car Mathieu adorait mon cul et s’en occupait souvent.

Bien sûr, après m’avoir préparée, c’est sa queue que Jacques présentait. Il me pénétra doucement mais, comme toujours dans ces cas là, je ne pu m’empêcher de gémir bruyamment. Il repris mes chevilles, hissa très haut mes jambes, et se mit a me sodomiser, doucement d’abord, puis de plus en plus fort et profondément. Je ne parvenais plus à sucer les autres. J’en étais réduite a me tenir aux bords de la table sur la quelle j’étais allongée, pour ne pas glisser.

Après quelques temps à ce rythme, Jacques s’interrompit et David vint prendre position entre mes jambes. J’eu un instant de frayeur lorsque je compris qu’il voulait utiliser la même voie… il était beaucoup plus imposant que Jacques. Mais, en homme résolu, il ne me consulta pas et sa queue se mis a pressé sur mon petit trou. Il entra. Un peu, puis d’avantage. J’avoue qu’il me faisait un peu mal. Je me sentais distendue. J’avais l’impression que mes viscères remontaient en moi ! Pierre se mis à me masturber doucement. Quelques doigts dans mon vagin, la paume de la main sur mon clitoris. C’était terriblement bon !

David lui en était à une cadence élevée. Il allait et venait dans mon cul fort et profond. Son bassin claquait sur mes fesses. Je savais qu’il entrait en moi de toute sa longueur. Sous ses coups de boutoir associés aux caresses de Pierre, je senti de nouveau le plaisir monter en moi. Ma chatte était gonflée démesurément. Je hurlais alors que de nouvelles contractions saccadées éclataient en moi… Tout mon corps se retrouva agité de spasmes alors que David continuait à taper si fort, mes seins ballottants au rythme rapide de ses coups de reins. Un flot d’une abondance hors du commun jaillit de ma chatte. Il était chaud et se répandit sous moi et sur mes cuisses…David se mit à respirer fort. Jacques s’approcha de moi… Il se branlait doucement. Il me dit à l’oreille que David "Allait me remplir le cul comme une petite salope…" Je retrouvait a peine mes esprits de mon orgasme précédent, et hop, c’était reparti ! Simplement avec ses mots. Un nouvel orgasme explosa au moment précis au David se mit a jouir…. Je sentis son sperme gicler dans mon cul… chaud et abondant… J’ouvrais les yeux alors que David s’était immobilisé en moi… Jacques se masturbait au dessus de mon visage… Il me demanda de le regarder… et il éjacula… le premier jet frappa ma joue, puis j’en reçu sur le front, le nez, les lèvres ! Il y en avait partout. Épais, chaud… Et presque pas dans la bouche !

David était sorti de moi et je sentais mon anus durement éprouvé par cet exercice. J’allais me relever lorsque Pierre s’approcha et, m’accompagnant par les gestes, m’installa à quatre pattes sur la table basse. Il se plaça derrière moi et m’enfila sans mal. Il me saisi par les hanches et se mit a me travailler. Mes seins bougeaient au rythme de ses pénétrations, tout comme mes boucles d’oreilles pendantes qui marquaient la cadence. Mathieu s’installa juste devant moi, à quelques centimètres de mon visage. Il souriait. Je sentais le sperme qui me coulait du visage.

Pierre partit dans un flot verbal ininterrompu… il me dit que j’étais une petite pute, qu’il allait me remplir la chatte, m’engrosser… je regardais Mathieu dans les yeux… je me sentais profondément humiliée… Pierre me saisi par les cheveux et tira ma tête en arrière… Il voulait me défoncer et il le disait. Je sentais de nouveau le plaisir gagner du terrain. Les mots crus et la soumission totale dans laquelle je me trouvais en était la clé. L’orgasme éclata. Différent des autres. Je criais moins fort peut être mais j’éclatais en sanglots. Des vrais. Une sensation étrange de plaisir teinté de douleur. Pierre éjacula dans mon vagin longuement en s’immobilisant, mais en continuant de me parler. Il me disait que j’étais bonne, que j’étais une salope… Mathieu me regardait pleurer, à quatre pattes devant lui, avec la queue de ce mec dans ma chatte en train de se vider, couverte du sperme des autres.

Il me fallu plusieurs minutes pour interrompre mes sanglots. Ils étaient incontrôlables. Je n’avait pu faire comprendre que très péniblement à Mathieu que tout allait très très bien !

Alors que j’avais retrouvé mes esprits, on m’aida à me relever, à m’éponger un peu, et Mathieu me sera dans ses bras, me couvrant de baisers et me disant à loisir qu’il m’aimait…

Je passais les minutes qui suivirent sous la douche et c’est en peignoir, avec quelques douleurs inavouables, que je rejoignais mes coquins qui avaient préparé un buffet conséquent !

De cette soirée là, vous l’imaginez bien, notre vie de couple ne fut plus jamais la même !

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