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Mon Inititation – Chapitre 1

Mon Inititation - Chapitre 1



Agé aujourd’hui de 47 ans, j’écris cette histoire qui m’est arrivée au tout début des années 80. Bon élève, je venais d’avoir mon Bac à l’âge de 17 ans et dans la foulée j’avais passé un concours pour intégrer une École Parisienne où je souhaitais faire mes études. Reçu à l’écrit, il me restait à préparer l’oral, qui traitait principalement d’économie et de culture générale. Mes parents avaient un couple d’amis proches , Dany et Simon, qui ne pouvaient avoir d’enfant et qui me considéraient comme une sorte de neveu ou de filleul. Dany, était Prof d’université et sitôt les résultats de mes examens connus elle proposé à mes parents de m’emmener avec son mari dans leur maison du Sud Ouest pour m’aider à préparer mon Oral. J’acceptais avec joie car j’avais vu des photos de leur maison et sa jolie piscine et surtout j’adorais la compagnie de ces gens sympas, gais et cultivés.

Dany passait tout l’été dans le Sud Ouest tandis que Simon, Consultant, partageait son temps entre le boulot et des séjours de 4 ou 5 jours dans sa maison.

Début juillet nous sommes donc arrivés tous les 3 dans cette belle maison ancienne, à l’écart d’une petite ville et j’avais 15 jours pour préparer mon épreuve.

Dany et Simon étaient un peu plus âgés que mes parents et j’avais toujours trouvé beaucoup de charme à Dany, qui était une grande femme blonde, d’un peu plus de 40 ans, mince, fine et toujours bien habillée et maquillée.Je n’avais jamais passé de vacances avec eux et le week end de notre arrivée fut un moment d’installation où Simon s’occupa de la piscine tandis que Dany se consacra à la maison et au ravitaillement. Je donnais un petit coup de main mais je consacrais beaucoup de temps à travailler.

J’ai tout de même été surpris de constater la totale décontraction des mes amis : ils étaient tous les deux en maillot de bain du matin au soir et par la fenêtre de ma chambre j’avais pu constater que DAny étais assez fréquemment seins nus dans le jardin ou sur le bord de la piscine. Elle ne se cachait d’ailleurs pas lorsque je prenais quelques minutes pour profiter du soleil sur un transat.

Je lui trouvais des seins magnifiques, pas trop gros, encore fermes, avec des très jolis tétons et des auréoles de couleur claire.

Le lundi Simon devait repartir pour ses affaires jusqu’à la fin de la semaine. De son côté, Dany m’avait donné un programme de révision sur l’économie générale tout en me disant de faire des pauses pour profiter du soleil, du jardin et de la piscine.

Le mardi, vers 16 heures, je m’étais octroyé un peu de détente et j’étais allongé sur un transat après un petit bain. Dany était partie déjeuner avec une amie et elle me trouva au soleil à son retour. Après s’être changée elle me rejoignit à la piscine seulement vêtue d’un slip de bain jaune qui mettait en valeur des jolies cuisses fuselées. Allongé sur le dos, je la regardais s’approcher, les yeux fixés sur ses seins qui balançaient au rythme de ses pas. En arrivant elle s’adressa à moi :

— Attention Marc, tu es tout blanc et en plein soleil, tu risques d’attraper un beau coup de soleil. Si tu veux, je vais te mettre de la crème solaire.

J’acceptais avec plaisir car je commençais à sentir ma peau me chauffer un peu. Elle s’approcha de moi et, me demandant de me pousser un peu, elle s’assit sur le bord de mon transat. Faisant couler de la crème solaire sur mon dos elle commença à me masser dune très agréable manière.

— Ho mais c’est bête dit elle, tu aurais pu venir avec une petite amie, la maison est grande, j’ai complètement oublié de te le proposer. Tu as bien une petite amie en ce moment ?

Un peu gêné, je lui répondit que non. En fait mes expériences féminines s’étaient limitées à quelques baisers échangés avec 2 petites copines dans les 12 derniers mois, sans rien de sérieux.

Après mon dos, elle enduit mes cuisses et mes mollets de crème avant de me demander de me retourner.

Me mettant sur le dos, je pouvais la contempler, sa peau touchant la mienne.

— Vraiment, tu n’as pas de petite amie ? Pourtant tu es plutôt mignon…mais sans doute que tu travailles trop…et surtout tu es trop timide, je te l’ai déjà dit.

Je bredouillais des propos un peu confus sur la timidité et le temps passé à préparer le Bac.

Elle enduisait alors de crème mon torse et ses gestes étaient pour moi une très agréable caresse d’autant qu’elle passait beaucoup de temps sur ma poitrine et mes tétons que j’avais très sensibles.

— Ainsi donc tu es encore puceau alors ?

Je sursautais de l’entendre me questionner aussi franchement la vue de son corps tout prés de moi, ses mains sur ma poitrine commencèrent à me donner un début d’érection. Abandonnant mon ventre, elle dirigea ses mains vers mes cuisses et au passage elle effleura mon maillot ce qui accentua encore mon trouble. Ses mains remontaient de mon genou au haut de ma cuisse et à chaque mouvement elle effleurait mon maillot. A ma grande honte, mon érection s’amplifia. Elle termina ma seconde cuisse de la même manière.

— Tu as donc plein de choses à apprendre alors ajouta t elle

Rougissant, je ne savais que faire mais je sentais que mon sexe était devenu tendu à l’extrême et elle ne pouvait l’ignorer.

Après avoir terminé de me protéger du soleil elle remonta sa main le long de ma jambe tout en me regardant droit dans les yeux et cette fois sa main caressa franchement mon sexe écrasé par le maillot. Tout en me regardant, elle glissa ses doigts par le haut de mon maillot pour en faire sortir ma queue.

— Pas très longue dit elle mais assez large.

J’avais le souffle court quand elle commença a faire aller et venir sa main sur ma bite tendue. Sa main encore pleine de crème, elle referma entièrement ses doigts sur mon membre et elle le pressa pour augmenter le rythme de son va et vient. Je sentais mon sexe se tendre encore sous cette caresse mais je n’osais toucher son corps. Je mourrai d’envie de tendre ma main vers sa peau laiteuse, et surtout vers ses seins qui étaient si prés de moi.

Elle continua son lent mouvement, en serrant encore un peu et à ma grande honte je sentis un plaisir brutal monter en moi. Incapable de me contrôler un long jet de sperme jaillit jusqu’à ma poitrine, puis un autre sur mon ventre. Écarlate je laissais échapper un gémissement lorsque les dernières gouttes de sperme tombèrent sur les poils de mon pubis.

— Hé bien, en effet, tu as plein de choses à apprendre mon pauvre chéri

Et elle retira sa main avant de se lever et d’aller se plonger dans la piscine.

Totalement perturbé je ne savais quoi penser, partagé entre le plaisir de cette caresse, le désir d’aller plus loin sans trop savoir ce que Dany avait derrière la tête. Honteux tout de même je me levai et rentrai à la maison pour reprendre mes études.

Vers 19H30 Dany m’appelait pour l’aider à préparer le dîner. En arrivant au rez de chaussée, je la vis habillée d’une nuisette noire, en dentelles et satin, qui lui arrivait à peine à mi-cuisses. Je ne l’avais pas encore vue dans une telle tenue. L’air de rien elle me demanda de dresser la table sur la terrasse puis nous avons dîné en tête à tête tandis que je la dévorais du regard. Il était évident qu’elle ne portais pas de soutien gorge sous sa nuisette et je doutais fort qu’elle portât une culotte. Nous avons débarrassé la table et rangé tous les deux tout en parlant de choses et d’autre.

— Révise le chapitre sur la théorie de la valeur ce soir et je t’interroge demain me dit elle. moi je vais regarder une émission à la télévision.

La mort dans l’âme,e je rejoignis ma chambre, prit une douche avant d’enfiler un caleçon et un tee shirt. Allongé sur mon lit je tentais de me concentrer sur mon livre d’économie.

Plus tard dans la soirée, je l’entendis monter et regagner sa chambre qui était assez proche de la mienne. Tout en lisant je ne pouvais m’empêcher de caresser mon sexe en repensant aux évènements de l’après midi. J’allais éteindre la lumière quand j’entendis frapper à ma porte. Sans que j’ai le temps de répondre, Dany ouvrait la porte. Elle était sur le seuil de ma chambre, toujours avec sa nuisette, mais avec les jambes gainées de noir et perchée sur des mules à hauts talons.

— Viens, finalement on va commencer les révisions ce soir, prend ton livre.

Tournant les talons elle rejoignit sa chambre.

Je me levais précipitamment, le sexe encore tendu sous mon caleçon, le livre à la main et j’entrais dans sa chambre.

— Viens là dit elle en me désignant la place à ses côtés sur le grand lit simplement recouvert d’un drap.

Je m’installai à ses côtés et je remarquai que le placard qui faisait face au lit avait des portes recouvertes d’un miroir.

Dany était sur le dos, la tête relevée, les genoux repliées en hauteur. Grâce au miroir je pouvais constater qu’elle avait enfilé des bas auto-fixants et qu’elle ne portait pas de culotte. Je devinais une légère toison blonde dévoilée par la nuisette remontée sur son ventre plat.

— ALors, parle moi de la création de valeur dit elle en me prenant mon livre des mains.

J’essayais d’aligner quelques mots puis quelques idées, mais je ne pouvais détacher mes yeux du spectacle qu’elle m’offrait. D’autant plus qu’au bout de quelques minutes, je la vis écarter encore ses cuisses de quelques centimètres et promener doucement 3 doigts sur sa toison pubienne.

Mes propos deviennent totalement incohérents et mon sexe était dressé fièrement sous mon caleçon.

Retirant ses lunettes et posant le livre sur son chevet elle se tourna alors vers moi.

— Je crois que nous allons changer de matière me dit elle

Glissant sur le côté elle fit passer sa jambe entre mes cuisses et elle approcha sa bouche de la mienne. Tremblant d’excitation et fier de savoir embrasser je voulus précipiter mes lèvres contre les siennes. Mais sa bouche se refusa à mon baiser et elle commença un jeu terriblement délicieux : elle effleurait mes lèvres avec les siennes, puis sa langue léchait ma lèvre supérieure, puis l’autre, et tandis que je tirais la langue pour tenter de l’embrasser elle se contentait de me lécher d’un habile coup de langue avant de recommencer à suçoter ma bouche. Sa bouche aspirait ma mienne pour la repousser aussitôt, puis elle mordillait ma langue, dans un recommencement que je souhaitais éternel.

Enfin elle posa sa bouche sur la mienne et nos langues purent se caresser longuement. Elle avait glissé sa main sous mon tee shirt et elle caressait en même temps mon ventre et ma poitrine. Puis sa main descendit dans mon caleçon à la recherche de ma verge.

— Tu vas bien te tenir cette fois me dit elle en riant

Je sentis ses doigts sur mon gland, puis sa main qui empoignait mon sexe tendu.

— Assied toi me dit elle

Se redressant a son tour elle cessa ses caresses pour me retirer mon tee shirt puis mon caleçon. A genoux, elle passa derrière moi et je sentis sa bouche sur mon cou, ma nuque, ses petits baisers, sa langue qui descendait de long de ma colonne vertébrale. Et ses mains qui jouaient avec mes tétons avant de glisser sur mon ventre pour caresser ma bite, puis qui revenaient encore à ma poitrine. Je me concentrais pour retenir mon plaisir, je me sentais envahit de désir.

Repassant devant moi elle s’installa a califourchon sur mes cuisses, mon gland contre le nylon de ses bas.

-Retire ma nuisette

Avec plaisir je lui retirai son vêtement pour dévoiler ses seins dont les tétons me semblaient plus durs que tout à l’heure.

— Caresse moi m’ordonna t elle

Et elle prit mes main qu’elle posa dans son cou. Je commençais à la caresser, faisant glisser mes doigts de son cou vers sa poitrine, prenant enfin ses seins dan mes mains, les caressant, effleurant les tétons, les prenant à pleine main, puis les faisant tourner.

— Suce moi les seins

Elle pencha son buste en arrière en s’accrochant à mes épaules pour faire saillir sa poitrine. Ma bouche lécha un sein, puis l’autre, lentement, profitant de ce qu’elle m’offrait. Je m’intéressais alors à ses tétons, en les aspirant, les caressant de ma langue, les suçant presque en les mordillant. Elle frottait son bas ventre contre ma queue ce qui augmentait encore mon désir.

Nous passâmes ainsi de longues minutes en alternant les caresses et les baisers. Puis elle se recula.

— Allonge toi je vais te sucer

Je me laissai glisser sur le dos, les cuisses bien ouvertes.

A 4 pattes, Dany saisit mon sexe dans sa bouche et immédiatement elle l’enfonça profondément provoquant chez moi un gémissement de plaisir.

— Regarde dans le miroir me dit elle

Ouvrant les yeux, je vis ses cuisses bien ouvertes, son dos cambré, son sexe de blonde offert à mon regard de manière totalement impudique avec ses grandes lèvres béantes. Prenant mes couilles dans sa main, elle caressa mon gland avec sa bouche, elle l’aspira, avant d’enfoncer encore mon sexe en totalité dans sa gorge. Je crus que j’allais défaillir car elle continuait ses caresses. Mon sexe se tendit mais elle ralentit ses mouvements. Sa main gauche s’était glissée sur son sexe et elle se caressait tout en me suçant. Je la voyais jouer avec son clitoris puis enfoncer 2 doigts dans sa chatte avant de recommencer à caresser sa fente. Je savais que je ne pourrais pas tenir longtemps sous sa caresse même en tentant de retenir mon plaisir. Elle le sentit et elle accéléra soudain le glissement de mon sexe dans sa bouche. Avec des gémissements de plaisir je me sentis exploser au fond sa gorge. Elle reçut tout mon sperme dans sa bouche et avant que je puisse m’en rendre compte elle colla ses lèvres contre les miennes en me disant :

— On partage !

Sa langue s’enfonça dans ma bouche et je sentis un mélange de foutre et de salive. Surpris j’avalais mon propre sperme sans me poser de question et elle fit de même en souriant.

— Tu vas me lécher dit elle. Et elle vint se positionner au dessus de mon visage.

Elle commença par frotter son sexe humide sur ma bouche et mon nez puis elle se fit plus précise et positionnant sa fente sur ma bouche. Elle fit alors bouger son bassin au gré de ses envies : tantôt je léchais sa chatte dans toute sa langueur, tantôt elle me demandait de me concentrer sur son clitoris. enfin, elle me demanda de faire aller et venir ma langue dans son sexe, de plus en plus vite. Elle gémissait sous ma caresse, jouant en même temps avec ses tétons. Cette caresse dura si longtemps que ma langue en devint douloureuse car je cherchais à enfoncer ma langue toujours plus profondément dans son vagin.

Son plaisir arriva et je sentis mon visage se tremper encore davantage : elle se frottait contre moi, de plus en plus vite en criant de plaisir.

Se retirant, elle vint a nouveau m’embrasser.

— Pas mal pour une première fois dit elle

— Branle toi ajouta t elle en ouvrant le tiroir de sa table de chevet.

J’obéis sans comprendre et la vis sortir une petite corde blanche. Il fallut peu de temps à mon sexe pour retrouver la raideur voulue.

Avec la cordelette elle entoura alors fermement mes couilles puis la base de ma verge avec un noeud bien serré.

— Comme ça tu vas bander plus longtemps me dit elle

Elle se positionna alors au dessus de moi et fit entrer mon sexe en elle : elle s’empala d’un seul coup sur ma bite

— Caresse mes seins dit elle en commençant son mouvement de va et vient.

Je posais mes mains sur ses seins tandis qu’elle accélérait un peu le mouvement de ses hanches.

— Pince mes tétons

Je pris ses tétons entre mes doigts et je les serrais, puis je relâchais la pression avant de recommencer.

— Oui c’est bon tu baises bien

Elle accéléra encore un peu faisant presque ressortir mon sexe de sa chatte a chaque mouvement avant de se laisser retomber brutalement.

Je sentis très vite un fort plaisir monter en moi mais avec ce lien autour de ma queue et de mes bourses je me rendis compte que je ne pourrais pas jouir et mon désir finit par devenir douloureux. mais Dany n’en avait cure et elle continuait ses va et vient en fonction de son seul plaisir. Allant encore plus vite, je sentis que sa jouissance était proche et c’est avec de longs gémissements et des petits cris qu’elle atteint son second orgasme.

D’une main experte, elle dénoua mon lien tout en restant positionnée sur ma bite ce qui me permit de lâcher mon plaisir au fond de son vagin.

Elle se retira et elle vint s’allonger a côté de moi. Nous étions en sueur et elle revint sur moi pour m’embrasser. Plus hardi, j’en profitais pour la caresser à nouveau avec mes mains.

— Allez pour une première leçon, c’est un bon début. Va te reposer, demain on révise l’éco…..et tu as encore des choses à apprendre sur d’autres sujets.

Je regagnais ma chambre après un léger baiser.

Ces vacances- révisions commençaient plutôt bien ….

Une suite…?

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