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Mon Oncle Salvatore – Chapitre 2

Mon Oncle Salvatore - Chapitre 2



Chapitre 2 : Tonton, superbe amant.

Ce n’est que progressivement que mon oncle m’a dévoilé son côté pervers et dominateur. Au début de ma relation sexuelle avec lui, il s’est employé à me rendre accro au sexe, à son sexe, en me faisant jouir le plus possible et en m’excitant par des caresses osées alors qu’il y avait des personnes pas loin de nous.

Le lendemain soir, je repensais à la nuit précédente en me caressant doucement et je me demandais s’il avait encore envie de me baiser ou si je devais aller le rejoindre dans sa chambre pour le provoquer.

Je ne me pose pas la question longtemps car mon oncle entre dans ma chambre, complétement nu.

— Laura, regarde dans quel état je suis quand je pense à toi.

Je vois très bien ce qu’il veut en regardant son sexe en pleine érection. Au moins 18 cm, d’un fort diamètre et dure comme la pierre. Je ne peux m’empêcher de sourire avec convoitise.

— Je vois Tonton. T’as un grosgros problème. Et que vas-tu faire

En lui disant ça, je retire ma main qui est sur ma chatte et j’écarte mes cuisses largement.

— Petite salope ! Je vais enfoncer ma bite tout au fond de ta chatte, te baiser dans ton putain de con jusqu’à ce que je décharge une énorme charge de sperme incestueux au plus profond de ton corps.

En appuie sur les oreillers, les jambes écartées et avec  la raideur de sa bite sous mes yeux, le feu de mon envie dans le bas de mon corps, je sais que je n’attends que ça. J’ouvre encore plus grand mes cuisses et je lui tends les bras en roucoulant.

— Oui, oui, c’est là que tu dois être, baise moi Tonton. Tu m’as rendu femme, alors montre-moi comment être heureuse et avoir du plaisir. Embrasse-moi Tonton, embrasse-moi comme un amant. Fais-moi jouir !

Mon cur bat à 100 à l’heure, nos lèvres se sont réunis, sa langue glisse dans ma bouche, câline la mienne. Nos bouches avides soudées et ma langue qui tourbillonne avec passion dans la sienne fait vibrer sa bite. Il se décolle de mes lèvres et descend plus bas. Doucement il glisse ses doigts sur le bord de mes lèvres vaginales et je sens le jus de mon désir qui commence à couler de ma chatte encore peu ouverte. Il se recule et il me demande.

— Viens t’asseoir sur mon visage, et regarde-toi dans le miroir pendant que je te lèche, te bouffe et me régale de ta chatte si jeune, presque inviolée.

Coquin le tonton.  Je lui souris, m’accroupis sur son visage, et approche mon pubis près de sa bouche en écartant mes grande lèvres du bout de mes doigts. Je sens mon bouton d’amour qui sort de sa conque et mon oncle grogne.

— Putain que t’es belle ! T’es une chaude Laura ! Je sens la chaleur de ton sexe qui chauffe mon visage. Ton parfum, chaud et musqué, remplit mes sens, et je suis presque étourdi par le désir devant cette humide rosée qui perle sur ce bourgeon de fleur.

 Il sait y faire mon oncle. Il a dû en séduire des jeunes filles avec ses belles paroles !

Il fait courir un doigt le long du sentier rose de mon sexe et je commence à haleter quand il m’attire sur sa bouche. Sa langue glisse entre mes grandes lèvres, écarte doucement mes petites lèvres encore serrées et il me lèche de haut en bas, en goûtant le flux riche de mon jus de jeune fille.

–  Oh mon dieu, Tonton ! C’est merveilleux, lèche bien ta nièce adorée, tu me fais du bien!

Mes gémissements et halètements augmentent au fur et à mesure qu’il caresse mon sexe qui s’entrouvre de plus en plus. Sa langue tourne à plusieurs reprises autour de mon clitoris, jusqu’à ce qu’il sorte entièrement de sa cachette, bien dur, rose foncé, tremblant sous sa langue.

Dans le miroir je regarde mon reflet, mes mains comme des ventouses sur mes seins, les pressant et tirant doucement sur mes mamelons boursouflés, grumeleux, pinçant en gémissant de joie mes tétons durs et érigés, envoyant des ondes de plaisir tout droit au centre de mon ventre.

–  AAaahhhh… ouiiiii Tonton c’est trop bon, t’arrêtes pas. Lèches-moi, comme ça. Vas-y plus fort, continues, bouffes-moi, dévores-moi, je suis à toi, Tonton ! Elle est bonne ma chatte, hein?

Il continue de lécher mon clitoris, sa langue glisse dessus et dessous de ce bouton de plaisir.

— OUIIIII…Juste là, oh mon dieu, je vais…. vas-y, encore…..vas-y, oui, ouiiiii… ouiiiiiiiiii…, AAaahhhh… je jouiiiiiiiieeee!

Je pousse un long hurlement de plaisir et ma chatte exprime sa jouissance en envoyant dans sa bouche, un jus chaud qui jailli de son ouverture. J’ondule des hanches et au summum de mon plaisir, j’inonde son visage de ma cyprine. Les yeux plein d’étoiles, je glisse doucement le long de son corps.

Quelques minutes plus tard j’émerge.

— C’était incroyable, Tonton, inimaginable et tellement fort !

Je tremble encore quand ma main saisit sa bite, un peu molle à mon goût.

— Maintenant tu vas me baiser Tonton !

Je grimpe sur lui et je frotte ma chatte sur sa queue couchée sur son bas ventre.

— Huuummm, ça fait du bien, n’est-ce pas Tonton ? Je vais te faire bander toute la nuit !

D’une petite voix enfantine je lui demande.

— Tu aimes me voir sur toi, Tonton

 – Te voir ainsi est un enchantement, ma puce. J’ai un ange au-dessus de moi. Un ange un peu pervers mais c’est comme ça que je les aime.

— Regarde, mes seins semblent plus gros comme ça, n’est-ce pas, lorsque je me penche vers l’avant.

Il attrape mes seins qui pendent et il les pétrit à pleine mains ce qui me fait sourire de bonheur et bouger mon corps un peu plus  sur le sien.

Mes tétons sont outrageusement gonflés entre ses doigts et il me tire dessus à la limite de la douleur. Quand j’ halète et gémis, il tire encore plus fort, étirant mes deux seins en poire vers lui.

— Aaaahh, doucement ! Ooooohhhh, tu vas me les agrandir Tonton ! Mais j’aime ça ! Et je sens quelque chose de dur entre mes cuisses !

Mon tonton a retrouvé une belle érection et me dit.

— Vite ma puce ! Mets-la en toi !

Quand sa belle queue se retrouve dans mon sexe trempé, je sens toute suite que sa bite est en complète érection pour ma grande joie malgré la petite douleur  qu’elle provoque en distendant mon vagin.

–  Oooohhhh, mon dieu ! T’as vraiment une grosse bite Tonton !

Mais je suis fière de pouvoir absorber une si belle queue en étant sur lui. C’est  comme si j’avais mâté un étalon pour le chevaucher à ma guise.

J’attaque un petit trot sur sa queue dressée et je gémis entre les allers retours.

— Je te sens encore mieux comme ça. J’ai presque l’impression que tu vas me fendre en deux !

Mon plaisir augmente rapidement, je gémis de plus en plus fort, je pousse même des cris lorsque son gland frappe trop fort mon utérus ou qu’il pince violemment mes tétons.

Je  commence à me mouvoir dans tous les sens, sauvagement, sur son éperon de chair.

Mon orgasme éclate,  ma chatte se contracte compulsivement sur sa queue et je plante mes ongles dans ses épaules lorsqu’il mord un de mes tétons.

Sa bite plantée en moi, je me calme tout doucement. Je caresse sa fourrure de poils sur sa poitrine et je lui demande.

— As-tu jouis, Tonton

— Non, mon bébé d’amour. Je vais te prendre d’une autre façon

Il retire son sexe de ma chatte dégoulinante de jus et il me met à genoux.

Ses mains écartent mes fesses pour regarder ma chatte ouverte bordée de sa légère toison de poils brun bouclés et brillant de cyprine,  mais ce n’est pas ma chatte qui l’intéresse. C’est le petit trou au-dessus, bordé de légers poils de la même nuance.

— Tonton !

Je n’ai pu m’empêcher de crier quand son doigt sonde délicatement mon anus.

— Tonton tu ne vas pas la mettre dans mon cul ! Elle est beaucoup trop grosse !

Je n’avais pas prévu qu’il me fasse une telle chose, mais je sais que certain homme adore enculer leur femme ou amante. Ça leur donne un sentiment de puissance et de soumission de la femme.

— Je crois bien ma puce. Tu ne devrais pas avoir de si belles fesses et  un trou du cul si mignon qui donne envie de le défoncer.

— Dis-moi, Tonton tu sodomises toute les filles que tu baises ?

— Bien sur ma petite salope. Et toi aussi tu vas l’avoir dans ton adorable petit trou.

— Mon petit trou est bien trop petit pour ta grosse bite. Tu vas me faire mal !

J’en frémis rien que d’y penser.

— Tu pourrais être surprise, bébé. Le corps d’une femme a des ressources incroyables. Je suis sûr que tu vas adorer ça !

— Ouais ! Pour l’instant je préfère sentir ta queue dans ma chatte ! Baise-moi encore !

Il s’enfonce d’un seul coup au fond de ma chatte étroite, mais maintenant, rodée aux dimensions de sa queue, elle accepte facilement cette intrusion.

— AAaahhh, ouiiiii, tonton. Baise-moi avec ta grosse bite, baise-moi fort !

Il ne peut résister à une telle invitation de la part d’une jeune fille, sa propre nièce,  qui utilise maintenant des mots crus pour s’exprimer.

 Il commence à me baiser savamment, puissamment, et je l’accompagne en poussant mon cul en arrière pour le claquer contre son pubis et ses couilles qui se balancent. Avec mes gémissements, on peut aussi entendre des sons bien reconnaissables de deux corps humides dans une sauvage  copulation.

Il s’agrippe à mes seins qui pendent et gigotent et je regarde dans la glace de l’armoire mon corps rondouillard se faire monter comme une chienne en chaleur.

Cette vision est presque effrayante. Je vois un corps d’homme mur, assez fort, agrippé comme un animal sur une jeune fille, qui, en grognant et haletant, pilonne ma groupe à la peau si fragile.

Mais lui n’a sûrement aucun remord de baiser sa jeune nièce. Bien au contraire. La vision de mon cul le rend encore plus fou. Il me baise et entre dans mon sexe en feu comme un marteau-piqueur, sa bite frappant le fond de ma chatte à chaque poussée.

J’ai un nouvel orgasme et je crie mon plaisir comme une folle avant de m’écrouler sur le lit libérant du même coup sa bite au bord de l’explosion.

Je me retourne et crie.

— Jute-moi dessus, Tonton ! Sur mon visage ! Arrose-moi, tonton.

«  J’ai vu ça dans un film porno »

Il paraît un peu surpris mais il se met à genoux à côté de ma figure. Je prends sa bite au nud écarlate à pleine main.

— Gicle-moi dessus ! Je veux voir gicler ton sperme ! Et vise bien !

Je n’en reviens pas de me comporter de cette façon !

— Alors prend ça, salope !

Il grogne de plaisir et prenant ma tête dans mes mains il va donner satisfaction à cette femelle en chaleur que je suis devenue entre ses mains.

-Regarde ta bite tonton, quand tu vas jouir ! Regarde ton sperme qui va frapper mon visage. Tu vas adorer, tonton !

Il fait ce que je lui demande, ma main va chercher ses couilles pour les serrer et augmenter la pression. Je les sens gonfler et se durcir avant qu’il n’ouvre les vannes. Il pousse un cri de jouissance et un énorme jet de sperme jailli de sa bite et vient s’écraser sur mes joues

— OUIIII, TONTON. Encore encoreArrose-moi comme une pute !

Je crie et je suis en plein délire.

Il frotte vigoureusement le bout de sa bite sur ma langue tendue, et presque comme si sa bite obéissait à mes ordres, le corps traversé par des spasmes de jouissance, il gicle sans arrêt comme un fusil à répétition.

Jet après jet, son sperme arrose mon visage, mon nez, ma bouche, mon front, pour me noyer de foutre.

Lorsque je rouvre mes yeux, je vois tout le plaisir qu’il a eu à m’inonder de sperme.

— WAOUH ! Qu’est-ce que tu m’as mis !

 Dis-je en m’exclamant et en écartant de mes yeux le sperme qui coule.

Je  saute du lit et me dirige vers le miroir pour voir mon minois paré de sa crème de beauté.

-La vache ! Quel volume t’a craché Tonton ! Incroyable.

Je ressaute sur le lit et me jette dans ses bras pour l’embrasser avant d’ajouter.

— Tonton je veux vivre avec toi ! Tu es le meilleur tonton du monde ! Il va falloir que tu continues de t’occuper de moi. Je t’aime, mon Tonton d’amour.

 Qu’est-ce que on peut être bête à 18 ans, quand on tombe sur un homme viril qui sait bien baiser et faire jouir une petite pucelle.

Phantome (et Laura)

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