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Mon PDG – Chapitre 2

Mon PDG - Chapitre 2



Depuis 6 mois nous sommes amants. La PDG de ma société, Yvette a pris goût à la sodomie. Je ne lencule pas toujours, elle ne sait pas demander. Un soir je lui offre un gode, oh, tout simple, pour en avoir de plus complet, cest simple, elle peut en acheter dans un magasin de mode réputé bien achalandé pour ce genre de produit. Nous venons de faire un 69, nous avons joui presque ensemble. Mon sperme est parti dans son estomac. Elle voudrait, comme chaque fois que je la caresse pour faire tomber son désir. Quand je lui donne le gode, elle est satisfaite, enfin elle pourra se branler devant moi ou seule. Elle nhésite pas un seul instant. Pour mieux voir je suis assis en tailleur, la bite en berne, à hauteur de ses cuisses. Je regarde ce vagin où je mets normalement ma semence, ce clitoris que je viens de sucer. Je contemple la huitième merveille du monde: son sexe. Elle suce le gode comme elle me suçait tout à lheure.

Enfin elle se décide, elle le tient à pleine main son futur amant. Yvette le passe dabord sur son clitoris, quelle frôle à peine avant de venir sur son entrée secrète. Très lentement elle se pénètre. Elle na pas eu besoin de mode demploi. Elle entre le gode au plus profond de son ventre. Elle le laisse un moment en soupirant comme quand cest ma queue qui est en elle.

Elle regarde létat de ma bite: elle commence à bander lentement. Cest le moment quelle choisit pour se baiser devant moi. Sa main commence à aller plus vite: elle ferme les yeux pour profiter de sa caresse. Elle ne peut pas voir létat de ma queue: je bande maintenant comme un âne. Puis elle jouit dun seul coup, sans prévenir. Pour une fois je peux voir les spasmes de sa jouissance autour dune bite. Cest impressionnant de voir les contractions. Yvette enlève le gode pour se mettre en levrette.

— Je vais me baiser, encule moi en même temps, pour voir ce que ça fait.

— Tu veux une double pénétration?

— Oui, encule moi.

Je nai plus rien à dire, elle a envie de ma bite dans son anus, je ne vais pas la décevoir puisque jaime la sodomiser.

Elle est dans la bonne position, elle mouille son rectum avec sa cyprine, Je lenfile rapidement. Quand mon pubis est contre ses fesses, dun seul coup elle entre le gode dans son puits. Je le sens moi-même: elle commence à gémir bruyamment à croire quelle va jouir immédiatement. Celui qui devrait jouir vite est bibi: son cul est plus étroit que dhabitude.

Elle agite le gode à une vitesse supersonique. Jarrive à passer ma main sur son clitoris, comme quand je lencule simplement. Il est dehors: je le caresse doucement pour son propre plaisir. Elle a un orgasme inhabituel. Je reste dans son cul: elle continue à se baiser. Je sens monter dans mon ventre larrivée de lorgasme. Je nai pas le temps de le lui dire que je décharge tout mon sperme dans ses boyaux. Ma jouissance entraîne la sienne. Elle seffondre sur le lit.

Cette fois cest terminé: elle membrasse profondément , nos langues échangent un dernier léchoulli.

Le lendemain au bureau, nous ne nous connaissons que comme de vieux camarades de classes. Si les autres savaient ce que nous avons fait la nuit dernière

Comme tout le jours avant de partir, elle me passe un coup de fil: elle veut sortir plus tôt pour une fois. Plus tôt pour elle, la PDG cest 17 heures.

Je lattends dans un bar à quelques centaines de mètres du bureau.

— Vite jai des achats à faire, accompagne moi.

— Où veux tu aller ?

— Tu verras bien.

Je comprends enfin en entrant dans un magasin de vêtements chics. Nous allons au sous sol à la recherche daccessoires sexuels. Le choix est si vaste que nous ne pouvons nous décider. Comme la plupart des objets sont pour des femmes, une vendeuse nous dirige.

Excités nous la suivons, surtout que la fille est sexy, semble-t-il sans dessous. Sa robe souvre sur ses seins assez souvent: je vois le moment où Yvette va lui sauter dessus, elle si convenable. Létonnant est que la vendeuse sait faire larticle pour ce quelle vend. Elle mime surtout les gestes pour se servir dun gode ou de boules de geisha. Je commence même à bander, Yvette sen aperçoit, la vendeuse aussi certainement quand elle nous propose doccuper une des cabines « dessayage » pour tester un gode rabbit et un chapelet anal.

Dans la cabine Yvette est nue, elle peut se coucher sur une sorte de lit bas où je pourrai prendre place aussi. Je préfère rester debout, même pour me branler, ce qui ne tarde pas. Yvette écarte les jambes, elle est toute mouillée. Elle demande mon aide pour entrer le chapelet. Lentement jentre le début qui se compose dun petite bille qui entre dans lanus facilement en écartant à peine le cul. Il y a huit billes. La plus grosse est presque comme ma bite. Je suis obligé de forcer un peu pour la faire entrer. Jentre mon doigt dans le cul pour bien pousser la dernière. Yvette qui gémissait pousse un grand « han » quand elle jouit.

Je suppose que la serveuse a du entendre son plaisir. Yvette me demande de lui mettre ma queue dans la bouche. Elle garde les mains libres: elle en profite pour me prendre à pleine main en me masturbant. Je vois ses yeux regarder ma pine. Elle la prend dans la bouche. Je ne sais si sa façon de me lécher la bite est en rapport avec ce quelle a dans le cul, elle manque me faire jouir deux ou trois fois.

Jarrive à me retenir, je suis occupé à autre chose, je sors les billes une après lautre. Ce nest pas une opération très simple. Je tire le cordon lentement en regardant bien son cul. Je vois dabord son anus souvrir lentement pour faire apparaître un peu de plastique. Je tire toujours pour que je vois le rectum souvrir complètement. Il se referme très vite quand la bille est dehors. Yvette jouit encore. Je continu jusquà la dernière. Elle a joui à chaque fois. En guise dencouragement je ne peux mempêcher de lui embrasser le cul.

Cest dit, elle prendra ce chapelet. Elle prend les boules de geisha pour les introduire dans sa gaine. Je suis aux première loge pour voir entrer cet instrument: elle sourit quand elle les a en elle. Elle se lève, prend ma bite pour me branler. Elle me prend dans la bouche juste au moment où mon sperme sortait. Ainsi le sol ne contient aucun trace de moi. Elle se rhabille, nous payons ce que nous devons: le chapelet, les boule et un rabbit.

En rentrant chez nous, les boules de geisha font leurs uvres. Yvette est obligée de sarrêter pour sappuyer contre moi, les jambes à peine ouverte pour jouir. Je la tiens par la taille, en la serrant contre moi. Elle pose une main sur un sein pour le caresser.

Heureusement que tout est prêt à la maison. Yvette fonce se mettre nue, revient vers moi en tenant le gode, membrasse pour me remercier. Nous sommes corps à corps, elle a vite fait de me déshabiller. Si elle prend ma bite cest simplement pour en calculer la grosseur. Assise sur la divan, elle sort les boules de geisha. A chaque sortie elle serre ses lèvre pour ne pas crier son plaisir.

— Mets moi le chapelet dans le cul.

— Jaurai bien aimé tenculer avant.

— Nous avons le temps pour ça, encule moi avec les billes.

Je recommence la pénétration: elle nen jouit pas encore: ce sera à la sortie. Jai poussé la dernière pour quelle soit bien en profondeur dans ses boyaux.

Elle pose le gode sur son puits. Il me tarde de voir comment ça fonctionne. Il est bien mis puisquelle arrive à mettre en route le vibreur qui fait tourner les billes qui lui caresse lentrée de son vagin, une languette est sur le clitoris et lautre sur le cul. Rien dautre ne peut venir déranger ce plaisir. Pour me faire patienter elle me suce encore.

Je regarde avec une excitation pas possible ce machin qui la fait jouir plusieurs fois consécutives. A chaque orgasme elle moublie dans la bouche. Finalement je sors ma queue pour me branler devant elle comme elle aime: chacun se donne du plaisir devant lautre. Cest excitant est sacrément bon. Elle pousse un dernier cri, comme si elle allait mourir. Cest bien la petite mort, elle reste la tête en arrière, perdue dans son plaisir.

Je la laisse tranquille un instant: elle a joui certainement une dizaine de fois depuis la première fois dans le magasin. Quand elle reprend complètement conscience, elle na pas oublié le chapelet. Je pensais les enlever. Elle passe sa main dans lécartement des ses jambes, attrape le cordon. Delle-même elle sort très lentement les billes qui la font toujours autant jouir.

— Maintenant finissons par une sodomie, jai besoin de ta queue.

— Je voudrai tenculer quand tu as les boules de geisha.

Pas contrariante, aujourdhui tournée vers le plaisir elle remet les boules dans son ventre. En levrette elle moffre ses fesses et son trou. Son cul est mouillé comme jamais: elle est très excitée. Ma queue entre plus que facilement. Son cul est pourtant plus étroit à cause des boules. Elle ne gémit pas, elle geint, elle trouve le moyen de se branler alors que tout est occupé dans son entre jambe.

Son orgasme est extraordinaire et pour elle et pour moi: son anus se ferme presque complètement pendant ses spasmes. Je jouis péniblement: elle jouit aussi avant de sécrouler de fatigue. Elle reste sur le ventre immobile. Je lui enlève les boules de geisha. Elle sendort comme un enfant. Je la couvre dun simple plaid.

Je la laisse pour moccuper de tout autre chose, quand je reviens deux heures plus tard, elle est partie pour la nuit.

Le lendemain samedi, cest moi qui vais faire les quelques courses: elle se repose. Laprès midi elle est en pleine forme. Elle a envie de moi.

Nous baisons comme dhabitude, si on peut parler dhabitude entre nous. Elle repense à lemployée du magasin:

— Je passerais bien une ou deux heures avec elle

— Avec moi?

— Non seulement entre filles, je ne lai jamais fait, ça doit être bon.

Quelques jours lus tard elle téléphone pour me dire quelle ne rentre pas de la nuit: elle est avec la fille. Promis, juré, elle me racontera tout;

Je passe une mauvaise nuit, la savoir entre des bras féminin me donne la trique. Je bande comme un adolescent. Je me branle plusieurs fois. Le lendemain nous ne nous revoyons quau bureau: pas question daborder ce problème: elle me parait reposée.

Enfin le soir à la maison, nous sommes vite au lit:

— Je lai rencontré au magasin, je lui ai demandé si nous pouvions faire lamour ensemble. Elle en a ri pour accepter. Nous étions chez elle quand nous nous sommes embrasées. Sa langue était salée. Elle a descendu sa bouche dans mon cou. Elle a commencé à me déshabiller. Sa bouche suivait: elle a embrassé mes deux seins, les a sucé avant que sa langue vienne dans mon nombril. Cétait très excitant. Je mouillais déjà beaucoup quand elle ma mise nue. Je ne savais plus quoi faire, elle la fait pour moi. Nue elle aussi, je pouvais voir tout son corps sacrément sexy. Jai pu rendre quelques caresses sur les seins. Elle était plus rapide que moi pour venir sur ma chatte. Elle ma branlé, moins bien que toi, jai quand même jouit, surtout parce que cétait une fille qui me masturbait. Jai pu moi aussi la branler: jai fait comme pour moi. Elle na pas résisté.

Dans sa chambre nous nous sommes mises en 69 directement. Je pensais que ça viendrait plus tard. Elle savait tout, même que cétait le bon moment. J étais sous elle: je sentais ses seins sur moi, sa langue est vite venue sur mon bouton. Quest-ce quelle suce bien, beaucoup mieux que toi. Elle a enfoncé sa langue dans mon con. Elle my a fait tellement de bien que jai joui. Je lai faite jouir aussi de la même façon. Je lai surprise en entrant un doigt dans son cul. Quand jai commencé les va et vient elle a joui. Alors elle ma mis un doigt aussi. Elle la remplacé par sa langue: la vache ma faite jouir avec.

Nous nous sommes endormies bien serrées. Elle sest réveillée la première: elle ma embrassée pour continuer à me faire lamour. Cette fois elle ma laissée sur le dos, elle ma branlée encore avant denfoncer deux doigts dans le con. Elle les a fait aller et venir comme si cétait une bite. Même si cétait bien moins bien que ta queue elle ma faire jouir. Je le lui ai rendu sans me gêner. Je savais quil fallait que je parte pour aller travailler.

Et me voilà, apprentie lesbienne, bien que jai voulu faire une expérience, positive, mais sans lendemain. Je préfère baiser avec toi quavec une autre femme. Si tu avais été là, peut être que jaurais accepter de recommencer.

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