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Mon père – Chapitre 1

Mon père - Chapitre 1



mon père!!Dabord, quelques présentations. Je me prénomme Alexia et je viens tout juste davoir 18 ans. Depuis mes 14 ans, je vis avec mon père, cest un choix que jai fait, car le juge aux affaires familiales mavait laissé la possibilité de vivre soit avec mon père, soit avec ma mère. Et même si je mentendais bien avec ma mère, ce qui est toujours le cas dailleurs, jai préféré vivre avec lui.

Il faut dire que quand javais 14 ans, javais un béguin sévère pour mon petit papa. Souvent, les petites framboises qui me servaient de seins, durcissaient lorsque, par hasard, ou pas par hasard du tout, japercevais un bout de son corps. Oh, rien de bien méchant hein, sauf peut-être une fois où jai aperçu, pendant quelques secondes seulement, son sexe alors quil sortait de la salle de bains.

Il faut dire aussi que mon père na jamais laissé paraître un quelconque désir pour moi.

Cétait à cette époque un très bel homme et il lest toujours, même si je le taquine parfois avec ses poignées quon dit "damour".

Pendant ces quatre années, je nai cessé de fantasmer sur son corps, sur le fait que ma fleur lui serait offerte un beau jour.

Oh, je faisais tout pour quil me remarque, enfin pour quil me remarque en tant que femme, en tant que femelle. Je laissais toujours ouverte la porte de la salle de bains pendant que je prenais ma douche, je sortais toujours complètement à poil. Lété je dormais nue au-dessus de mes draps. Je me collais à lui dès que je le pouvais, le soir, en regardant la télé, ou je masseyais à califourchon sur lui au petit déjeuner.

Jamais, jamais, je nai senti la moindre érection grossir contre mon petit sexe dans ces moments-là.

Il ne me considérait pas comme une femme à prendre, mais juste comme sa fille ce qui, après tout, était tout à fait normal, non ?

De son côté, mon père ne multipliait pas les aventures, quelles soient amoureuses ou quelles soient sentimentales. Je voyais des filles de temps en temps passer à la maison, mais il était rare quelles restent bien longtemps. Il en a fréquenté une pendant trois-quatre mois, et ce fut donc, la recordwoman de lhistoire.

Mon corps a beaucoup changé pendant ces quatre années.

Mes seins ont pris beaucoup de volume, pour atteindre, vers mes 17 ans, un bon 90C. Mon corps sest élancé, me laissant des belles fesses bien rebondies et une cambrure, aux dires de mes copines, de déesse. Jai appris par moi-même à me raser complètement le minou. Mes aisselles étaient aussi régulièrement épilées, tout comme mes jambes. Jétais totalement lisse.

Jai pris également de plus en plus soin de mon apparence vestimentaire, préférant les jupettes légèrement plissées aux longues jupes droites, préférant les strings et les tangas aux culottes en coton, même pendant mes périodes de règles, préférant les tops moulants aux hauts flottants ou vaporeux. Bon, allez, inutile de faire ma modeste : je suis vraiment devenue une belle fille, très sexy et très courtisée, au collège, puis au lycée cest lannée du bac, cette année.

Malheureusement, le regard de mon papa na pas changé au fil des années.

Javais beau laissé sécher mes strings et, parfois, mes bas, en plein milieu du dressing, rien ny faisait. Il passait devant sans faire la moindre remarque sur le fait que je portais des dessous sexy, sans même me dire de faire attention avec les garçons, et patati et patata.

Mon père nétait pas réceptif du tout à mon sex-appeal.

Je décidai donc de pousser le jeu un peu plus loin et de tenter une ultime attaque. Un petit piège de ma façon en somme. Ce que femme veut

Doù cette phrase du début.

Un vendredi soir, habillée en tenue de sortie cest-à-dire chez moi : top hyper moulant noir, insolemment décolleté, sans soutif évidemment, sinon où serait lintérêt, jupe très courte et évasée, noire elle aussi, chaussures à talons très hauts, dim-up résille noirs, et string ficelle je mapproche de mon papounet et lui dis :

« Papa, papa, il faut que je te demande un service ! »

Mon papa, qui me tournait le dos, affairé à je ne sais quoi, se retourne brusquement et là, pour la première fois depuis 4 ans, je vois dans son regard quelque chose de légèrement différent de dhabitude. Pas un franc désir, pas encore, mais un intérêt Oui, cest ça, un intérêt autre que celui tiré de nos relations père-fille.

« Oui ma chérie, quy a-t-il ?

Ben, cest un peu gênant, en fait, je sais pas trop comment te demander ça !

Ma chérie, parle-moi franchement, je tai déjà grondée ou engueulée ?

Non, mais, cest un peu spécial, quoi, je nose pas trop

OK, je ferme les yeux, ou je me retourne si tu préfères, oui ?

Daccord, voilà cest ça, retourne-toi, ce sera plus facile pour moi ! »

Et mon père se retourne.

« Alors, bébé ?

Bon, je me lance, voilà, ce soir, plus tard, je dois rencontrer un type que jai connu sur internet, jai jamais fait ce genre de rendez-vous et euh, je voulais savoir si tu, euh

Si je suis daccord ?

Non, non, pas ça, si tu ne voulais pas me servir de cobaye ? »

Et là, mon père éclate de rire. Bon, en même temps, ça ne me vexe pas et jéclate de rire à mon tour.

Après avoir bien ri tous les deux, mon père me demande :

Mais cest une blague, non ?

Ben non, je nai jamais dragué de mec moi, dhabitude, cest eux qui me draguent, mais là, apparemment, mon charme nagit pas !

.. Je lai déjà rencontré une fois et pffff, rien, jai tout essayé, lui mettre pratiquement les seins devant les yeux, passer ma langue sur mes lèvres de façon coquine, lui faire comprendre que je navais pas mis de culotte, lui

Quoi ? Tu ne mets pas de culotte quand tu vas à des rendez-vous comme ça ???

Ben, je nen mets jamais, de culotte, moi !

QUOI ???

Ben nan, je mets des strings, des tangas, des boxers !

Ah mais, tes conne, toi, jte jure !

Ouais je sais, mais ça ne règle pas mon problème de ce soir tout ça !

Mais tu veux vraiment que je te serve de "cobaye", comme tu dis ?

.. Euh, tu as mis une culotte au moins, aujourdhui ? »

Et là, évidemment, je saute sur loccasion, soulève ma jupette avant quil nait le temps de dire quoi que ce soit et lui demande de se retourner pour vérifier, ce quil fait.

Mais pendant quil se retournait, moi aussi je me suis retournée et cest la vision de la ficelle entre mes deux belles fesses quil peut observer en ce moment. Je me suis, bien sûr, légèrement cambrée, comme on fait quand on veut montrer ses fesses à son avantage.

Je ne lentends plus du tout, alors je tourne la tête, la jupe toujours relevée :

« Alors tu vois ? Content ? Ta fille nest pas une dévergondée !

Euh, oui, oui, effectivement, tu as mis quelque chose, une culotte cest vite dit, mais quelque chose, oui !

Rhoooo, mon papounet, faut vivre avec son temps ! »

Et je lui saute autour du cou, comme quand jétais plus petite.

« Alors, cest daccord ? Dis oui, dis oui, dis oui, dis oui.. ! Tout en lui faisant des tas de bisous sur les joues, le plus près possible des lèvres.

Boooon, OK, OK ! Me répondit-il, en riant.

Ouaiiiiiiiiiiis !!!!! Ça, cest moi.

Bon, ben comment on procède, dis-moi ?

Ben, on va commencer comme ça : on fait comme si on dînait tous les deux, dans un resto romantique, après, on danse quelques slows et ça devrait le faire réagir !

OK, laisse-moi un petit quart dheure, alors ! »

Et il se lève pour monter dans sa chambre. Jentends des bruits deau et le voilà qui me revient, effectivement un quart dheure plus tard. Ouaouh ! Il sest fait beau, mon papa, il joue son rôle à fond ! Costume sombre, chemise blanche dont les trois boutons du haut son défaits, hummm, oh le bel homme que voilà ! Et cest dailleurs ce que je lui dis ; incroyable ! Je réussis à faire rougir non : rosir mon papa !!!

On sassied à table, lun en face de lautre et on fait comme si. On papote, on discute comme si on se connaissait peu, les petites questions et réponses dusage, quoi

À un moment, je lui dis que je sais lire dans les lignes de la main et je lui demande donc de poser la sienne devant moi, paume vers le haut.

Et cest de manière très sensuelle que je suis, avec mon ongle, les lignes à lintérieur de sa main. Je le sens frissonner. Et oh ! Je surprends un regard entre mes seins ! Il faut dire que cétait difficile de les louper, vu la façon dont jétais penchée sur la table. Evidemment, je fais semblant de navoir rien vu, mais intérieurement, je me dis que cest déjà un premier pas.

Ma lecture des lignes de sa main se transforme peu à peu en véritable caresse, qui remonte le long de son bras. Jutilise ma voix la plus profonde, la plus sexy, celle qui mavait permis dobtenir un petit job dété à lassistance téléphonique dune compagnie de téléphones mobiles.

« Bon, bon, cest un peu bizarre, là !

Mais papa, joue le jeu, sinon comment je saurai, moi, si je peux plaire et exciter un homme ?

OK,OK, pardon, en même temps, cest pas parce que tu ne vas pas exciter ton père que cest exclu pour ce gars-là, hein ?

Bon, allez, on passe à la danse, alors !

.. Epreuve réussie pour le grattage de main ?

Épreuve réussie, ma chérie, cest très, troublant !

Excitant ?

Si tu veux : excitant ! »

Et nous nous levons tous les deux ; je mets un vieux slow de Scorpions : « still loving you », je sais quil dure assez longtemps, celui-là. Et en plus, je laime bien.

Je prends mon père par la main pour aller au centre du salon, puis je me serre contre lui. Mes mains sont autour de son cou. Les siennes sont sagement posées autour de ma taille. Et nous tournons lentement sur nous-mêmes.

Je me sens emplie délectricité, mon petit minou frissonne et mouille. Mon dos commence à se couvrir dune fine pellicule de sueur.

Je suis très excitée.

Bien sûr, mon père na pas compris que ce rendez-vous était un mensonge éhonté.

Tout en tournant, je me frotte à lui, me pliant sur mes jambes puis les dépliant.

Je sens que lui aussi commence à avoir un peu chaud. Je trouve ça si sexy de voir sa chemise shumidifier sur le devant et un peu de sueur perler sur le haut de son front.

A-t-il chaud à cause de ce que je lui fais subir ou est-ce simplement la chaleur de la pièce ?

Pour en avoir le cur net, je pousse un gros soupir en me serrant plus fort contre mon papa, puis je pose ma tête sur son épaule. Je sais que mes seins volumineux sécrasent contre son torse puissant. Leur pointe me fait mal, tellement jai envie.

Jaimerais quil se recule, quil membrasse, quil me roule une grosse pelle en me caressant partout, quil soulève ma jupette et me caresse les fesses Mais il ne fait rien de tout ça. Il tourne et ne me repousse pas, cest déjà ça.

Il va donc falloir que je brusque un peu les choses si je veux que ça progresse ! Moi, du haut de mes 18 ans !

Alors, je lui envoie du poison dans les oreilles.

« Oh, caresse-moi, Florent !

Hein ?

Joue le jeuuu, papa, pffffff !!!! Florent, cest le nom du mec que je dois voir ce soir !

Mais

Pas de mais, allez hop ! Je suis ta fille, tu veux mon bonheur et pi cest tout !

OK, OK, me dit-il, en riant aux éclats, reprenons alors !

Oh, caresse-moi, Florent ! »

Et les mains de mon papa partent à la recherche de mon corps(.molose)

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