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mon premier cul – Chapitre 4

mon premier cul - Chapitre 4



Depuis laffaire du cactus, maman ne me parle quasi plus. Une gêne palpable nous saisit chaque fois que nous sommes en présence lun de lautre. Evidement , Jocelyne la très vite remarqué et n a pas attendu longtemps pour me le faire savoir.

— Quest ce qui sest passé avec maman ? vous vous regardez comme chien et chat depuis deux semaines !

— Rien, il ne sest rien passé. On sest un peu pris la tête cest tout

— Ne me prends pas pour une idiote, je ne suis pas aveugle

— Occupe-toi de tes affaires et laisse moi tranquille !

— Je te laisserai quand tu mauras tout dit et pas avant !

Je nai jamais pu résister à ma sur. Aussi loin que je me souvienne, elle a toujours su me tirer les vers du nez soit par le chantage, soit par des menaces, ou au contraire des promesses. Mais là, je ne peux vraiment pas lui avouer que jai éjaculé sur le ventre de maman en lui tripotant le cul et la chatte.

— Tu naurais pas encore piqué une culotte sale dans le bac à lessive au moins ?

— Qui ta parlé de ça ?

— Maman bien sur ! elle ma tout raconté quand elle ta obligé à laver nos culottes en restant cul nu. Tu étais super chou dailleurs ce jour là avec ton cul à lair et ton petit zizi qui pendait entre tes cuisses .

— Si tu as le malheur den parler à qui que ce soit

— Oh oh ! Le bébé se révolte ? Tu oublies ce qui test arrivé pendant que tu frottais si bien nos culottes ? Je pourrais aider ton petit cul à sen rappeler

— Cétait donc bien toi qui ma frappé. Javais un doute mais tu viens de me lôter

— Alors si tu ne veux pas que toutes mes copines apprennent cet épisode, tu vas me dire ce quil se passe et pas plus tard que tout de suite.

Une fois de plus je ne peux résister plus longtemps. La tète basse, je bredouille, javale la moitié de mes mots mais Jocelyne fini par comprendre le coup du cactus et ce qui sen est suivi. Quand jose lever les yeux vers elle, je suis interloqué par son attitude. Ma sur se mord la lèvre inférieure et sa main droite ségare entre ses cuisses. Moi-même, malgré ou à cause de ma honte, je me sens tout excité. Mon sexe me fait mal à force de vouloir se redresser dans un slip qui ne lui laisse pas la place. Après un long silence gêné, ma sur se décide à quitter ma chambre pour rejoindre la sienne. Je lentend fermer sa porte ainsi que le grincement du sommier quand elle se jette sur son lit. Elle doit avoir besoin de se soulager tout comme moi jai lenvie irrésistible de libérer mon zizi de son carcan de tissu. A peine suis-je cul nu que lidée me vient daller contrôler par le trou de la serrure si mon intuition est bonne. Sans bruit je mapproche et magenouille devant la porte de Jocelyne. Le lit est juste dans laxe et par le minuscule trou je vois juste une main frottant énergiquement un entre-cuisses dénudé. Mon érection nen est que plus imposante et je commence à me masturber lentement.

— Entre plutôt que de te gâcher les yeux à mespionner

Jétais convaincu de navoir fait le moindre bruit. Comment sait- elle que je suis derrière sa porte ? A toutes jambes je regagne ma chambre. Je cherche mon slip que jai jeté quelques minutes avant. Il a du glisser sous mon lit . A 4 pattes je tâtonne frénétiquement, mais elle a été plus rapide que moi. Avant que jai le temps de me rendre un peu plus décent, une claque vigoureuse sans être violente me brûle le cul.

— Désolée, ais cétait trop tentant, je ne peux pas résister quand je vois un beau petit cul ainsi tendu !

La honte mempêche de répondre. Jen ai les larmes aux yeux. Dune main je me frotte la fesse, de lautre je fais le maximum pour masquer mon zizi qui na pas diminué dun millimètre.

— Allons petit frère tu ne vas pas pleurer comme un bébé quand même ?

— .

— Tu as honte parce que jai vu ton cul tout nu ?

— .

— Je lai déjà vu , rappelle-toi. Et il y a un instant cest toi qui voulait voir le mien. Moins que ce soit autre chose que tu tentais de voir par la serrure de ma chambre ?

— Je.ne regardais pas

— Menteur ! Le soleil traverse cette serrure et quand ,subitement , il a été masqué ; jai bien compris que ce ne pouvait être que toi, vu que nous sommes seuls dans la maison.

— Je te jure, je nai rien vu

Dun coup, Jocelyne relève sa jupe sous laquelle aucune culotte ne masque une toison luxuriante. Jen ai les bras qui me tombent, ou du moins jen oublie de cacher mon érection.

— Voilà ! maintenant tu as vu. Et que faisais-tu en mépiant ?

— Heu. Comme toi.

— Ce serait plus simple de le faire tout les deux sans porte entre nous !Viens tasseoir sur ton lit

Ma sur me prend le bras et me pousse sur mon lit. Avant de sasseoir elle dégrafe sa jupe quelle laisse tomber sur le parquet.

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