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Mon salaud de gendre me révèle à moi-même – Chapitre 4

Mon salaud de gendre me révèle à moi-même - Chapitre 4



Marie… Marie… eh oh……

Cette voix semble proche et en même temps je ne parviens pas à voir qui m’appelle et d’où elle vient exactement. Elle continue, Marie, Marie. Cela me semble des heures. Moi, je suis dans la classe devant des élèves que je ne connais pas, vêtue de mon pyjama et tenant dans les mains un bocal de confiture et un couteau de cuisine. Soudain, je tremble et je traverse le mur de la classe comme un fantôme. « Oh Marie ! Je m’en vais ! »

J’ouvre les yeux précipitamment; un rêve dénué de sens, mais une voix bien réelle, celle de mon mari qui se tient debout près de moi, le bras sur mon épaule.

Chérie, excuse-moi de te réveiller; j’ai oublié de te dire que j’allais faire du vélo avec des copains ce matin, je cherche mes mitaines, tu ne sais pas où elles sont ?

Tes quoi ?

Mes gants de vélo d’été, les courts ! Je ne sais pas où ils sont.

Pfouu, dans un carton sur la première étagère au garage. Quelle heure est-il ? Tu ne travailles pas ?

Il est 7 heures et on est samedi. Je rentre vers midi, à tout.

Mauvais réveil, je suis en vacances, c’est vrai; mais psychologiquement, être réveillée à 7 heures un samedi, c’est dur ! Je me tourne légèrement et referme les yeux. Dans ce demi-sommeil qui s’offre à moi, j’entends le garage se fermer, puis le calme plat, le silence profond, je dors à nouveau. Quand je rouvre les paupières, j’ai l’impression d’avoir refait une nuit complète. Un coup d’il à mon téléphone, 8h15; cette petite heure en plus a suffi à ce que je me lève en forme.

J’enfile un short et un tee-shirt par-dessus mon ensemble pyjama, et je sors de la chambre. Machinalement, je jette un coup d’il vers la chambre de ma fille, la porte est close. Je me dirige vers l’escalier et mon pied s’avance de la première marche quand un bruit inhabituel surprend ma vigilance. Un petit « oui » prononcé dans un souffle, comme arraché à quelqu’un hors d’haleine. J’hésite à entamer ma descente, je reste là, le pied au-dessus du vide, l’oreille tendue et alerte, prête à décrypter le moindre son. Rien, je pose enfin mon pied et m’apprête à lui joindre son comparse quand un « … Oh, bébé » vient jusqu’à moi. La voix est masculine, rauque, pas de doute, c’est celle de Jordan.

Je me mords mes lèvres, je me souviens d’hier soir; mes genoux sur le carrelage froid, ma tête heurtant le mur, les grands coups de reins qui propulsaient toujours un peu plus loin sa marchandise en moi et la bave que je n’arrive pas à réguler ni avaler…

Je me raffermis avec mon sacro-saint rôle de mère : je dois m’assurer qu’il la traite bien. Alors, je rebrousse chemin, et à pas de velours, glisse presque sur le parquet pour approcher sans bruit de la porte de ma fille. Pas de bruit, pas de gémissements, pas de draps que l’on froisse ni de lit qui craque. Bon sang, mais que font-ils là-dedans ? Je ne suis pas assez téméraire pour entrouvrir la porte, pourtant j’en meurs d’envie. Je colle l’oreille à la porte, c’est le maximum que je peux faire. J’essaye d’apaiser ma respiration pour ne pas entendre mon cur battre dans mes oreilles et enfin j’entends des bruits de succions d’abord, une sorte de « teu… teu… » comme lorsqu’un enfant fait claquer sa sucette en la sortant de sa bouche tout en la serrant entre ses lèvres.

Dans ma tête, toutes les images qui peuvent expliquer ce bruit défilent : il suce ses jolis seins, à moins que ce soit elle qui aspire les siens, son torse fort est si attrayant. Ou alors…c’est son sexe qu’elle le fait sortir de sa bouche à grand renfort de bruit scabreux. Ma fille ! Si jeune; faire ça ? J’en ai froid dans le dos et…chaud partout ailleurs. J’avoue, l’image m’excite, la température monte dans mon bas-ventre. Les bruits de succion cessent, et très vite, ce sont des « Oh, oui, oh… » qui les remplacent. J’ai l’image de mon bébé qui s’emploie à lustrer ce membre énorme de la bouche large et pulpeuse que la nature lui a donné. Cela m’excite encore plus, et sans décoller l’oreille, j’appuie mon épaule contre la porte pour plus de stabilité et je passe ma main sous mon short, caressant ma cuisse de mes quatre doigts…et mon minou avec le pouce. Un frisson monte du creux de mes fesses jusqu’à la base de mon crâne. Soudain, à nouveau, le bruit de succion.

Plus fort, plus bref, il claque dans le silence.

La voix de ma fille se fait entendre : « Alors, ça te plaît ? » Pas de réponse orale, sans doute est-elle marquée sur son visage ou dans la raideur de sa queue. « Tu crois que ta mère suce aussi bien que toi ? »…Eclat de rire général, enfin, sauf moi; je suis stupéfaite autant par la question que par les rires qui ont suivi, en particulier, ceux de ma fille. « Ma mère, impossible; déjà qu’elle nous a eus avec le Saint-Esprit ! » La garce ! « Ou alors, vraiment du bout des lèvres, pour avoir la paix…une fois par an, le 31 décembre, quand elle a bu deux verres et qu’elle est bourrée ! »

C’est donc comme cela que ma fille me voit. Une sainte dont elle raille la frigidité. Comment lui donner tort ? Elle est si proche de la vérité. Je chasse ma colère et mon indignation pour reprendre une écoute attentive plusieurs secondes sans pouvoir ne rien distinguer, puis, enfin, c’est elle qui gémit; d’abord timidement, comme une enfant fiévreuse, puis avec plus de vigueur, ce sont des « ah… ah… ah » qu’elle laisse échapper à une cadence de métronome. J’imagine l’épaisse et longue verge de Jordan qui retrousse les lèvres de son minou et bute dans le fond de sa matrice. Je me déteste à ce moment-là, et en même temps, mon pouce a trouvé le chemin jusqu’à mon bouton qu’il masse au rythme des gémissements de ma progéniture.

Baise-moi, baise-moi…ces mots si durs associés au visage si doux de mon enfant, je n’aurais jamais pu croire qu’ils m’ouvriraient la voie vers un plaisir solitaire jusqu’ici trop peu pratiqué. J’ai, à présent, glissé entièrement ma main dans mes dessous; mes lèvres écartées entre mon index et mon annulaire, c’est mon majeur qui s’active sur mon bout de chair rosée, le trimbalant dans tous les sens à un rythme effréné avec des pressions plus ou moins marquées en fonction de l’intensité des cris de ma fille qui, là, à quelques mètres derrière la porte, doit chevaucher celui qui, hier encore, baisait ma bouche; à moins qu’elle ne soit allongée sur le dos, les jambes sur ses épaules, et que lui, de ses reins musclés, la pilonne sans retenue comme il pilonnait ma gorge hier soir.

Je suis à deux doigts de m’arracher les cris d’une autojouissance dont je me suis longtemps privée. Je fuis dans ma chambre, en ferme la porte et m’accroupis sur le lit, enfonçant ma tête autant que possible dans l’oreiller. Je baisse mon short et ma culotte de pyjama sur mes cuisses, mon cul ouvert et tourné vers le plafond. En gémissant allègrement dans l’oreiller, je reprends ma besogne, deux doigts enserrent mon clitoris qui me paraît plus dur qu’il ne l’a jamais été.

Jamais de toute ma vie je ne me suis retrouvée ainsi, à genoux sur un lit, les fesses à l’air, la main sous le ventre, les doigts accrochés à mon bouton ! Et à présent, je laisse glisser mes doigts vers ma fente que je sens dégouliner. Je laisse y pénétrer un doigt, puis très vite le second, à la découverte de cette grotte que je connais si peu. Une phalange, puis deux, ils sont là où ils veulent être, ils massent le plafond de cette grotte avec délectation. Je crie dans mon oreiller alors que mes doigts prennent la marée. Mon pouce regagne mon clitoris, jaloux d’avoir été abandonné, et c’est l’explosion.

Dans ma vie, je sais avoir simulé souvent, joui aussi, quand mon mari s’attardait plus longuement sur mon bouton. Mais j’étais loin du compte en fait. L’orgasme, le vrai, le torrent divin destructeur, je viens de me le donner, et il me laisse sans voix, sans force, sans pudeur.

Ma fille m’a traitée de none alors qu’elle suçait son mec comme une petite salope puis qu’elle s’est fait prendre, Dieu sait comment. Et pourquoi moi, ne pourrais-je pas à mon tour profiter des légèretés de la vie ?

Aujourd’hui, sans prendre de risques, mais sans louper la moindre occasion, Jordan va devoir comprendre que s’il veut jouer avec « maman », il va devoir donner plus que des coups de reins dans ma bouche…

Le calme revenu dans ma poitrine, ma tête et mon bas-ventre, je reprends mes activités habituelles. Douche, habillage, liste de courses. Les jeunes n’ont pas pointé le bout de leur nez, je file au marché.

Déambulant dans les allées, j’échafaude ce qui sera mon « plan d’attaque » si l’occasion se présente. Je sais à présent quoi dire et quoi faire, il suffit maintenant d’être attentive à chacun pour pouvoir le mettre en action sans éveiller le moindre soupçon.

Retour à la maison, il est midi. Mon mari est rentré, a pris sa douche, et regarde la télé sur le canapé avec ma fille.

On va manger, où est Jordan ?

Il est là-haut. Il est allé prendre sa douche juste après Papa, je pense qu’il doit avoir fini.

OK. Et bien, mettez la table tous les deux, j’ai acheté un poulet rôti et des pommes de terre pour midi. Je monte me changer et on mange.

Jordan est seul là-haut, je ne dois pas le rater. Je l’entends siffloter dans la salle de bain, je me dépêche de me changer et je me poste dans le couloir. Il sort, torse nu, en boxer, me lâchant un simple « salut » dans un regard furtif. Il s’éloigne vers la chambre, j’inspire et prends mon courage à deux mains :

Viens ici toi, lui dis-je, en chuchotant, mais avec autorité.

Il se retourne et me fait face. Je m’approche de lui en soutenant son regard sans trembler, bien que je sente ma mâchoire se crisper un peu.

Alors comme ça, je ne sais pas faire de fellation moi ?

Hein…? Il feint de ne pas comprendre.

Ma main droite se pose sur son caleçon, à l’endroit précis de sa bosse

Et là, je donne toujours l’impression d’être une sainte ou une none ?

Hey ! Ils sont juste là en bas !

Comment ça ? Le « grand » Jordan aurait-il peur ?

Hum…j’ai peur de rien moi.

Sans le lâcher des yeux (il ne me lâche pas non plus), je masse son sexe que je sens s’épaissir sous mes doigts. Il envoie sa main sur mon sein, je l’enlève avec force.

Tu me touches si je t’y ai invité !

…OK.

Sa queue durcit encore, je la sors du caleçon, elle est belle et déjà dure, mais pas à son maximum. Je l’attrape à pleine main et la branle frénétiquement. Jordan passe sa langue sur ses lèvres, je sens qu’il aime cela. Il pose ses mains sur ses hanches et bascule son bassin vers moi comme pour m’inciter à le masturber encore plus énergiquement. J’essaye d’accélérer encore, et sa queue est, à présent, la plus dure, et la plus gonflée que je puisse imaginer.

C’est le moment que je choisis pour m’arrêter subitement.

Va t’habiller, on passe à table.

Quoi ? Tu vas me laisser comme ça ?

Tu m’as bien laissé à genoux sur le carrelage toi. Chacun son tour. Dépêche-toi de descendre, et je te tiens au courant pour la suite.

Et la suite, j’allais l’organiser de main de maître, me découvrant un certain talent dans la manigance et le complot ! Et les manipulations que j’allais mettre en place me procurèrent, il est vrai, une certaine montée d’adrénaline et un stress « plaisant » que je ne connaissais pas.

Pour le moment, j’ai les jambes en coton, le cur qui bat à tout rompre, et je m’efforce de retrouver mon calme avant de descendre.

Le repas est terminé, les jeunes sont montés regarder un film dans la chambre, mon mari, sur le canapé, regarde un reportage sportif et ne devrait pas tarder à s’assoupir. Dans la salle à manger, je bois un thé en réfléchissant au meilleur moyen de me retrouver seule avec Jordan.

J’envisage plusieurs solutions, comme demander à ma fille et mon mari de partir. Mais pour quel motif ? Rien qui tienne la route. Et faire quelque chose dans la maison en présence de tout le monde, beaucoup trop risqué. C’est nous qui devrions partir. Mais pour aller où ?

J’y suis ! Ma sur est partie quelques jours en congés, j’ai les clés de son appart. Je n’ai qu’à prétexter y aller pour arroser les plantes, et faire un brin de ménage avant son retour et le tour est joué. Mon mari n’aime pas les plantes et n’aime pas ma sur. Aucune chance qu’il décide de venir avec moi. Il me suffira de parvenir à dire à Jordan, où, et à quelle heure. A lui de se trouver une raison de partir et laisser ma fille à la maison. Je suis un génie du crime ! Maintenant, place à l’action.

Mon mari fait une sieste, je monte à l’étage. Je frappe à la porte de ma fille et la réponse est immédiate, me donnant l’autorisation de rentrer. Je l’informe que je pars chez sa tante et que je rentrerai en début de soirée. Un regard vers Jordan, il m’adresse subtilement un clin d’il, je pense qu’il a compris.

Quelques minutes après mon départ, je reçois un SMS : « je serais là dans une heure ». Un ouf de soulagement, mais également une montée de stress; s’il vient, je ne pourrais pas reculer.

J’arrive chez ma sur et je profite du temps que j’ai devant moi pour effectivement arroser les plantes et ranger un peu, histoire de ne pas me faire griller. Jordan ne tardera pas, je file à la salle de bain, je me regarde, ma foi, pas trop mal. Le seul hic, j’ai mis des sous-vêtements on ne peut plus basiques, soutif et culotte noire. Si je veux lui faire voir que je ne suis pas une sainte, il va falloir que je me dépanne chez ma sur. Dieu merci, sa commode est pleine, et le choix, varié. Je garde le soutif, car aucun n’est à ma taille, en revanche, je choisis un string en tulle noir complètement transparent. Un peu serré, j’avoue, je ne passerai pas une journée avec, mais il fera le job pour cette occasion. Pas question, non plus, de remettre mon bermuda et mon débardeur; j’opte pour une petite robe estivale dénichée dans le placard de ma sur, bleu, au-dessus des genoux avec des boutons devant, sur toute la longueur.

Je prends soin de laisser les deux boutons les plus hauts ouverts, afin de ne pas me donner un air trop étriqué.

Je suis prête et j’attends non sans une légère (voire plus) appréhension.

Enfin, on sonne à la porte. Nerveuse, les mains moites et tremblantes, je vais ouvrir. Il me suit dans l’appartement, ma gorge est nouée et mon souffle est court. Je me tourne vers lui et il rompt le silence :

Waouh ! Ca change du bermuda de touriste allemande !

Toujours très fin, tes compliments…

Alors, vous m’avez fait venir pour quoi ?

Je…je me le demande encore.

Finalement, il te plaît mon petit jeu… (Javale péniblement ma salive)

Il…il faut croire ;

Ses mains se posent alors sur mon torse, à l’endroit laissé visible par les boutons ouverts, puis elles remontent sur ma gorge, la contournent et saisissent ma nuque. J’aime cette sensation de puissance qui m’étreint. Je me détends alors qu’il recommence ce circuit deux ou trois fois. Il descend ses mains vers mes seins, et est obligé de défaire les deux boutons suivants pour libérer l’accès. Il palpe mes deux masses simultanément, les presse, les soupèse, puis il se concentre sur un, le fait de passer par-dessus l’étoffe, le libérant avec lourdeur. Il frôle mon aréole, et s’arrête sur mon téton. Il le pince, le froisse, l’étire. Il me fait mal, mais c’est le genre de mal qui procure de bonnes sensations, une douleur exquise. Son regard ne lâche pas le mien, je ne veux pas baisser les yeux. A chacune de mes petites grimaces d’infime douleur, il accentue sa pression. Sur un pincement plus fort que les précédents, je sursaute et pousse un petit cri.

Il s’empresse de jeter sa bouche à la conquête de mon téton meurtri.

Sa langue humide et suave fait disparaître la douleur. Il me suce le sein avec tendresse, cela m’électrise. Je presse sa tête contre moi, je caresse ses cheveux finement rasés comme une mère le ferait avec son garçon triste. Mais ce garçon-là n’est pas triste, et il lèche mon téton raide de plaisir avec délice.

Je veux le sentir me désirer, j’envoie ma main vers sa braguette. Son membre est déjà bandé, très bandé même. Je peine à le libérer, alors il m’aide un peu. Je me retrouve avec son gourdin dans les mains comme ce matin à l’agiter follement. Dans mon champ de vision périphérique, je vois notre image qui se reflète dans une armoire vitrée. Je nous observe et je ne me reconnais pas. Ce visage déformé par l’envie et l’excitation, je ne me le connaissais pas. Mais voir le reflet de cette femme à qui l’on suce divinement le sein m’excite encore davantage. J’attire Jordan tout contre moi, son sexe que je n’ai pas lâché se colle à mon ventre. Alors qu’il pince mon téton entre ses dents, ma main libre passe dans son dos, s’insinue sous son tee-shirt et glisse dans son caleçon. Je palpe ses fesses dures, musclées et imberbes. Excitation à son comble, la foudre frappe mon bas-ventre, mes jambes en tremblent, le string s’humidifie.

D’une main, je me débrouille pour faire tomber son bermuda à ses pieds; et je fais rouler son boxer jusqu’à mi-cuisse.

Je reprends mes palpations sur ses fesses, et je relâche mon étreinte sur son manche afin de déboutonner un à un les boutons de ma robe que Jordan finit de m’ôter en la faisant glisser sèchement par mes épaules. Je reprends son sexe en main et je l’incline vers mon intimité, écrasant son gland contre ma fente humide. Cette caresse de chair et de tulle m’arrache de longs gémissements alors que je sens ruisseler mon jus intime.

Jordan, lui aussi, est de plus en plus excité. Il tire fort sur mon soutien-gorge et le baisse entièrement sous ma poitrine. Il presse mes deux seins, les embrasse, les suce, les mord, les gratifiant d’une palette de caresses et de baisers qu’ils n’avaient jamais connus. Quelques secondes, puis il cesse ses attouchements, et retire ma main de sa queue. Il finit de retirer son boxer et enlève son tee-shirt. Bon sang, quel corps il a ce gamin ! Il s’assoit alors sur le canapé et m’invite à venir m’asseoir sur lui. En faisant les quelques pas qui me séparent de lui, je retire mon soutif devenu inutile et je m’apprête à également enlever le string. « Non, garde-le, tu m’excites comme cela ». Comme il voudra, je m’approche de ses genoux que j’enjambe à présent pour m’asseoir sur ses cuisses, son sexe encore raide placé entre les miennes.

Tu avais envie de te frotter, alors vas-y, frotte-toi.

J’entame alors une déambulation sensuelle, assise au-dessus de lui, son gland servant d’axe de rotation pour mon minou trempé. De mes lèvres à mon clitoris, de mon clitoris à mes lèvres, toute ma vulve s’adonne à cette masturbation sur membre. Je gémis sans retenue en activant mes hanches, soutenues par les mains du jeune amant, impassible, immobile, mais la queue dure, et à cet instant de plaisir égoïste, que sa queue soit dure est tout ce qui m’importe.

Tu aimes ça, te frotter comme une chienne ? Hein ? En fait, c’est ce que tu es, une grosse chienne. Une petite salope de maman qui a besoin d’une bite dure pour se frotter…

Ses propos m’excitent, mais j’en ai honte aussi. Je réfugie ma tête dans son cou pour ne pas avoir à soutenir son regard, et je continue ma danse autour de son sceptre. Il continue ses élucubrations. Des « salopes » et des « chiennes » en veux-tu, en voilà. Je l’entends, mais je ne l’écoute plus. J’ai autant envie de le gifler que d’activer encore plus ma masturbation sur son sexe. Je choisis la deuxième option et je me frotte plus fort, plus vite, plus loin. Une alternance de gémissements et de cris s’échappe de ma gorge sans que je puisse les contrôler. Je sens un feu intérieur me brûler, une vague de plaisir me submerger jusqu’au choc électrique qui me désarticule comme une poupée de chiffon. Je m’écroule dans le canapé, couchée sur mon épaule, les fesses tournées vers la pièce. Je ne me préoccupe pas de Jordan, je ne pense qu’à moi, à ces émotions, et sensations dingues qui m’ont envahi; passez-moi l’expression, mais quel putain de lâcher-prise !

Jordan pose sa main sur ma hanche, je frissonne, ma peau est hypersensible.

J’ai envie de lui crier « Dégage !! », mais je suis bien trop à l’ouest pour le faire. Prostrée, les yeux clos, je l’entends se lever et disparaître. Des bruits de placards que l’on ouvre, du verre qui s’entrechoque, et Jordan revient près de moi.

Tiens, bois ça Maman.

Je me redresse péniblement, il me tend un verre et s’assoit près de moi avec un autre verre à la main.

Je n’ai pas l’habitude de boire Jordan.

Non, mais aujourd’hui c’est la fête.

Ah bon ? Et que fêtons-nous ?

L’égalité ! Hier, je me suis servi de toi pour jouir, aujourd’hui c’est toi. On est à égalité, balle au centre.

Je ne trouve rien à lui répondre, sa répartie m’étonnera toujours. Il insiste pour trinquer et je trempe donc mes lèvres, que je retire aussitôt. C’est fort, cela brûle et cela pue. Jordan s’empare de mon verre et le dépose au pied du canapé avec le sien. Son buste s’approche du mien et sans que j’aie le temps de réaliser, sa bouche se dépose sur la mienne. Pour la toute première fois depuis le début du « jeu », Jordan m’embrasse avec tendresse et sensualité. Ses lèvres se font maîtresses des miennes, je me laisse guider. Il les embrasse, les aspire; puis sa langue chatouille la mienne. J’ai 15 ans et je découvre les baisers…enfin, c’est l’effet que cela me fait. Puis il passe à ma gorge, puis mon cou, je frissonne à nouveau. Sa bouche explore à présent mon oreille et les papillons dans mon ventre refont surface. Je me tortille sur le canapé. Tout en suçant mon oreille, il me glisse : « J’en ai pas fini avec toi. »

Alors qu’il continue avec mon oreille, il commence à caresser mon dos et le haut de mes fesses, langoureusement, avec délicatesse.

Du coin de l’il, je vois son énorme sceptre reprendre de la vigueur et s’élever vers le plafond. Je veux lui faire voir que je peux m’en occuper comme une grande et qu’il ne sera pas déçu.

Je pousse alors son dos contre le dossier du canapé, et j’incline mon buste vers son bassin. Je dois avouer ne pas avoir sucé beaucoup dans ma vie. Alors, pour ne pas paraître maladroite et empruntée, je ferme les yeux et fais confiance à mon instinct et mes sensations. Et quelles sensations ! Ma bouche est pleine de son sexe. Je prends le temps de le goûter, d’apprécier la texture de son gland de satin sur ma langue. Une fois accommodée à sa dimension et son goût, j’entame mes va-et-vient, le faisant pénétrer au plus profond de ma gorge, puis le relâchant entièrement avant de le faire disparaître à nouveau. Mes lèvres, ma langue, mon palet, tout est mis en jeu dans cet exercice auquel je prends goût seconde après seconde. Soudain, alors que je suis hyperconcentrée sur ma fellation, je sens une main glisser sur mes cotes, puis mes hanches, à la recherche de mes fesses.

Je décale mon bassin pour les décoller du canapé et aussitôt, je sens ses doigts qui prennent la mesure de toute ma masse charnue.

Shlackk, c’est le bruit qui, associé à une douleur vive, me fait lever la tête et regarder Jordan dans les yeux, comme pour lui demander une explication. Pas le temps de lui adresser le moindre mot qu’à nouveau un « Shlackk » retentit et me soutire un petit cri. Sa main gauche restée libre se pose sur ma tête et la dirige vers son sexe dur et luisant de ma salive. Je recommence à le sucer alors qu’il caresse ma fesse comme pour faire passer la douleur. A nouveau, une claque retentit, je serre sa queue entre mes dents, sa main sur ma tête s’immobilise. Il caresse ma fesse et je recommence à sucer. L’opération se répète, trois, quatre fois. La fesse me brûle, mais mon petit minou tout autant. Toujours appliquée à le lustrer, je remue mon bassin pour que le frottement de mes cuisses charnues sur mon entrejambe me donne le plaisir que mon sexe réclame. Les doigts de Jordan glissent vers mon pli interfessier et s’immiscent sous l’étroite bande du string. Ses doigts sont à présent tout proches de mon petit trou.

Et c’est bien cela qu’il cherchait. Très vite, un doigt se met à tourner autour, décrivant des cercles de plus en plus petits, jusqu’à venir « en plein dans le mille » et titiller cet orifice quasi jamais exploré. Une salve de mouille se répand dans le mince tissu strié qui recouvre mon minou. L’idée de me faire prendre par-derrière me terrorise, une peur irrationnelle d’avoir très mal, et en même temps l’imaginer m’excite diablement. Et c’est plutôt l’excitation que le langage non verbal de mon corps a dû exprimer, car Jordan accentue ses caresses sur mon étoile, il cherche à forcer légèrement l’entrée, il s’en éloigne, puis y revient. Il lâche ma tête et sa queue toujours plantée dans ma bouche, il se penche vers mon cul. Sa main gauche écarte mes fesses le plus largement possible; sa main droite, je suppose qu’il la porte à sa bouche, car ses doigts reviennent sur mon petit trou dégoulinant de salive.

Je sens mon anus se détendre, les tissus se relâchent un peu, j’essaye de contrôler ma contraction pour me relâcher au maximum.

Sa main droite, l’inquisitrice, est à double emploi. Ses doigts repoussent mon autre fesse le plus à l’extérieur de sorte que d’un côté comme de l’autre, je me retrouve totalement ouverte et offerte. Son majeur humide plonge alors en piquet vers mon anus et se faufile entre mes dernières fibres de tissu résistantes. Une phalange entière est à présent en moi et la douleur est très largement maîtrisable, au contraire de mon excitation grandissante. Son doigt danse en moi, tourne, plonge, ressort. Millimètres après millimètres, mes sphincters s’habituent, et s’accommodent de la présence de ce doigt curieux. J’ai envie de lui dire, de lui demander de…m’enculer. Mais je suis trop honteuse, je ne m’en sens pas le courage. Et pourtant je suis là à me faire triturer le derrière avec en prime un sexe énorme que je pompe avec application. Qu’est-ce qui pourrait me faire plus honte ? Néanmoins, le feu en moi est trop intense.

Mes deux mains agrippées à sa bite que j’embrasse, j’ose parler : « Prends-moi Jordan, prends-moi, j’en peux plus… ».

Moi, la coincée, la timide, la frigide…j’ai le cran de lui demander de me prendre ! Alors oui bien sûr j’aurais voulu lui demander de me sodomiser, mais je n’ai pas pu. Mais pour l’heure, tout ce qui compte est qu’il vienne en moi, me prenne avec fougue. Je veux le sentir bander en moi, râler, rugir, cogner et jouir.

Je vais te baiser maman, je vais te baiser comme une chienne.

Jordan se lève et me tire par le bras pour que je me lève aussi. Face à lui, dans l’attente, il dégage une telle puissance et une telle énergie sexuelle que je ne peux que me soumettre à tout ce qu’il voudra. De ses deux mains, il craque les côtés du string qui n’est plus qu’un malheureux lambeau qui tombe à mes pieds. Il me prend par les hanches, puis sous les fesses, et déployant sa force, il me soulève du sol. Mes jambes s’enroulent autour de sa taille et de ses biceps hypercontractés, il dirige mon con sur le haut de son sexe raide. Excitée et mouillée comme je le suis, une motte de beurre aurait présenté plus de résistance que moi. Je glisse le long de sa queue qui remplit toute la largeur de mon vagin. Deux centimètres, puis trois, puis quatre, et je hurle. La douleur est légère, le plaisir est intense. Je continue de glisser jusqu’à sa base. Je me sens pleine, comblée dans tous les sens du terme. Tous les muscles de son corps sont à l’uvre : bras, cuisses, abdos…

Tous s’activent pour me faire monter et descendre le long de ce membre écarteleur.

La position est excitante, mais s’avère vite inconfortable pour lui et pour moi. Il me garde empalée sur son pieu, mais se déplace de quelques mètres, en direction de la table du salon. Il m’y dépose, ou plutôt me jette; les fesses, juste au bord. Sa main se pose sur ma gorge, il lèche furtivement ma bouche puis plaque mon dos sur la table.

Il embrasse mes seins tendus et mon ventre. Peu habituée à de telles joutes, je ne sais pas quoi faire de mes jambes désarticulées, je cherche à prendre appui sur une chaise, puis cherche à les écarter. Inutile, Jordan se saisit d’elles sous mes genoux et monte mes mollets sur ses épaules. Sa queue qui m’avait quitté retrouve rapidement le chemin de ma grotte. Il s’enfonce à nouveau, en moi, au plus profond qu’il puisse aller là où il est d’ailleurs, le seul à être allé, sa queue dépassant allègrement celle de mon mari en longueur, épaisseur et…vigueur. Je découvre ce que c’est qu’être baisée comme une chienne.

Jordan m’assène les coups de bassin, et donc de bite, les plus forts, rapides et secs, que je puisse imaginer. Ses allers-retours dans mon ventre se comptent par dizaines, sans qu’il montre le moindre signe de fatigue. Pour ma part, je halète, je sue, je crie…Jamais on ne m’a pris avec une telle puissance. Sa régularité et la rigidité intacte de son membre font monter en moi un plaisir intense que je ne peux contrôler et encore moins réprimer. Je jouis bruyamment, m’étouffant moi-même de mes mains pour ne pas ameuter tout le voisinage. Le clapotis de ses cuisses et de ses couilles qui frappent mes fesses est de plus en plus intense, signe que je dégouline littéralement sur mon cul.

J’ai mal aux cuisses, aux hanches, au dos…mais je veux qu’il continue à me baiser de la sorte jusqu’à la fin des temps.

Jordan est rouge, transpire, râle. Ses muscles sont de plus en plus crispés, enfin il donne des signes de rupture.

Arrghh…Je veux jouir sur tes seins !

Non, non, jouis en moi, remplis-moi, Jordan, remplis-moi.

Il se retire brutalement et me relève tout aussi sèchement. Sa puissante main gauche posée sur mon épaule me précipite à genoux sur le sol face à lui. Sa main droite branle son sexe à toute vitesse et enfin il éructe. De violentes giclées se répandent sur mon torse, ma gorge et mon menton.

Humiliée, mais comblée, je regarde mon jeune amant, qui, soulagé de sa pulsion quasi incestueuse, ne me semble plus être qu’un grand enfant un peu bêta. Face à moi, sa virilité décroissante, il semble aussi décontenancé que moi. « Viens, approche, » lui dis-je en tendant mes mains vers lui. Il s’exécute et mes bras l’enserrent au niveau de ses cuisses. Son sexe un peu ramolli se colle à mes joues. Le mélange d’odeurs de sa queue, mon jus et son sperme est aussi fort qu’enivrant.

J’embrasse délicatement son membre déclinant, je suis bouleversé, j’ai presque envie de le remercier, mais je m’en abstiens.

Je dois partir Marie.

Il se décolle de moi et se rhabille à la hâte alors que je me relève en prenant garde de ne pas laisser tomber sa semence partout. Le temps que j’aille à la cuisine pour essuyer le plus gros avec du sopalin, il est déjà prêt à franchir la porte.

Jordan…

Quoi ?

Je…je…enfin, je…Rentre bien.

T’inquiète. Je passe le reste du week-end chez mes parents, on se verra dans la semaine, salut.

La porte se ferme et je suis paumée. Qu’est-ce que j’ai voulu lui dire ? Merci ? Je t’aime ? C’était bon ?… Ma foi, je n’en sais rien.

Il est temps pour moi de tout remettre en ordre, à commencer par moi-même. Je ne sais pas quand nous nous reverrons, mais…j’ai déjà hâte…

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