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mon véritable amant – Chapitre 2

mon véritable amant - Chapitre 2



Enfin il la convaincue, sa femme veut bien baiser en trio une fois, seulement une fois pour juger des résultats: elle est délicate pour les plaisirs. Mon amant a tenu parole: ce soir nous baiserons avec sa femme. Jen suis toute chose, il me semble que je vais me faire mettre mieux que les autres fois avec sa bite dans le cul et la langue de sa femme sur mon bouton. Il y a plusieurs semaines que je nai pas fais lamour avec une fille: ça me manque. Nous devons nous retrouver au même hôtel que les autres fois, la même chambre bien meublée, son grand lit, trop grand pour deux personnes qui saiment. Normalement il commence à me lécher quand je suis encore debout, il me couche pour me sucer en 69. Je prend sa bite comme un bonbon. Je lèche son gland, javale le plus possible sa bite, je mets deux doigts dans son cul , comme il me fait. Il arrête quand il sent que je jouis. Il vient sur moi, mécrase un peu, met sa bite dans la chatte, sans que je laide, alors que jaimerai tant le guider. Il réussit toujours à me la mettre comme jaime. Je jouis de deux façon, dabord mentalement en le sachant au fond de mon ventre et ensuite mécaniquement quand il arrive à mettre mes terminaisons nerveuses à point pour un orgasme que je ne retiens surtout pas. Je jouis deux ou trois fois grâce à sa bite dans le ventre. Enfin il me retourne sur le ventre, il écarte bien mes fesses, entre facilement dans mon cul. Dès quil met son gland je jouis, encore quand il est à fond que je sens ses poils sur mes fesses et enfin quand il me branle le bouton.

Je saurai ce soir sil baise sa femme après mavoir baisée, et comment. Je compte les heures puis les minutes. Je suis dans la chambre encore un peu habillée. Je porte toujours mon jean et mon t-shirt bien serré. Dans le fauteuil je suis les cuisses écartées; ma main est sur ma chatte: je mouille déjà.

Enfin entre une femme de 35 ans à peut près, grande, châtain clair, court vêtue, talons plat dans ses ballerines, sans apprêt: elle est nature. Elle me plaît bien, je me lève pour me présenter:

— Je suis Fab, la maîtresse de votre mari.

— Je sais il ma parlé de vous. Je mappelle Jeanne, je suis là à sa demande et par curiosité: je nai jamais fais lamour à trois. Jaimerai essayer. Vous êtes bien comme il vous a décrit: vous lui plaisez, vous me plaisez.

— Merci, il mavait dit que vous étiez belle, il a menti vous êtes mieux que belle. Vous me plaisez aussi pour faire lamour. Vous verrez, cest facile à faire et on jouit plus de fois quavec une bite. Sauf que Paul a une bonne bite pour s’envoyer en lair.

Cest tout juste si je ne lembrasse pas sur la bouche, jattends quand même quil soit là. Paul enfin entre sans se presser, il devait avoir des doutes sur laccueil que nous aurions les deux femmes quil baise en ce moment. Nous ne nous sommes pas choisies, nous nous plaisons pas mal. Je ny tiens plus je la prends dans mes bras. Nous sommes enlacées. Nous loublions totalement. Nos bouches sembrassent nos langues font ce que font toutes les langues des futures amants ou amantes.

Je sens que je fonds dans ses bras: ça doit venir de la famille puisque je suis toute molle dans le bras de son mari. Elle ma dit quelle navait jamais fait lamour avec une autre, jai peine à la croire quand elle me caresse les fesses, quelle pose son pubis sur ma cuisse pour se masturber un peu: ce que jai fait avec son époux notre première fois. Je pousse ma cuisse contre elle. Sa robe ample cache la moitié de ses trésors. Je voudrai les connaître aussi. Je crois savoir quelle ne porte pas de culotte. Je commence à passer ma main sur sa poitrine, elle enlève mes main, ouvre sa robe, la laisse tomber: elle est nue dessous. Paul vint derrière moi, il est contre moi: je sens sa bite bandée entre mes fesses. Je ne sais plus de quoi jai envie de son sexe ou de celui de sa femme. Jai une simple envie: jouir.

Paul sait menlever le t-shirt, mes seins sont libres. Il défait la ceinture du jean, il lenlève en même temps que le léger string. Je me trouve aussi nue que Jeanne. Même si son mari est là, nous ne résistons pas à lappel du corps féminin. Nous tombons ensemble sur le lit, nos lèvres toujours unies. Nous nous caressons partout, jusquà venir sur les chattes. Je crois me souvenir que cest elle qui commence à fouiller mon sexe. Je me souviens avoir sursauté quand sa main a touché, effleuré mon clitoris. Elle na rien fait dextraordinaire. Jai mouillé encore plus, sa main ne sest pas contenté de mon bouton, elle est entré dans mon puits. Ses doigts réunis en trois me semblaient être la bite de son mari qui nous regardait en bandant simplement. A mon tour jai commencé à la branler. Jétais mal placée, sur le coté droit. Je suis malhabile de la main gauche, alors je me suis retournée. Javais la tête au pied. Je ne voulais, au début que la branler, elle a mal compris, elle est venue sur moi, a pris ma chatte dans sa bouche. Sa langue sy est mise aussi. Javais son clitoris à porté: je lai sucé. Si je savais ce que cétait quun cunnilingus avec une fille, pour elle cétait sa première fois. Je lai faite jouir facilement. Quel goût remarquable mi salé, mi sucré avec un peu darrière goût de musc et sa texture à peine poisseuse.

Sans attendre plus, le pauvre Paul mourant denvie dun trou quelconque vient sur nous. Je vois sa bite venir sur le cul de sa femme. Je le mouille bien et je regarde très excitée ce qui se passe à quelque centimètres de mon visage. Je prends la bite pour la guider une fois au moins dans un cul. Jaurai pu tout aussi bien la faire venir dans ma bouche. Lexcitation de ce que je vois memmène directement à un bel orgasme. Jeanne heureusement narrête pas ses léchages, elle les accentue au contraire. Cest bien connu pour une fille, plus elle jouit, plus elle en a envie et plus elle jouit vite. Cest mon cas.

Maintenant que je vois que la bite de Paul dégorge son venin je pense quil va se calmer.

Il me donne la bite tout juste sortie du cul de sa femme: elle porte encore des traces de sperme. Je les enlève. Il bande encore plus fort.

Il se mets sur le dos, sur le lit, prend sa femme sur la bouche, la lèche partout dans sa chatte: elle ronronne. Il me fait venir sur lui, jécarte les cuisses pour lenjamber. Je me pose pour quil me la rentre dans le sexe. En me laissant tomber, je sens le plaisir venir doucement, je remonte pour retomber encore. Devant moi Jeanne a besoin que je la pelote. Nous nous caressons les seins, particulièrement les tétons. Puis, juste avant de jouir encore nous nous embrassons. Elle embrasse bien mieux que son mari. Nous ne sommes reliées que par nos lèvres nous sentons quand même les orgasmes de lautres.

Comme dans le Cid, la lutte cessa faute de combattant. Je ne pensais jamais jouir autant avec Jeanne. Cest elle qui me propose de venir chez elle quand jai envie de baiser, elle voudrait bien ne baiser quavec moi seules toutes les deux, comme des lesbiennes. Paul ne dit rien, il est dépassé: par contre il me demande de venir chez lui pour des trios chaque fois quil baise sa femme; presque tous les soirs.

Je sais ce nest pas normal, il faut dire que sa femme a pris goût à ma chatte comme jai aimé la sienne, et que ni lune ni lautre ne pourrions nous passer de sa queue. Nous formons maintenant un ménage à trois

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