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Morgane, ma patronne – Chapitre 6

Morgane, ma patronne - Chapitre 6



Elle cambre son dos et pousse son cul sur ma bouche. J’ouvre ma bouche et j’ai envie de mordre cette chair si douce mais c’est ma langue qui apprécie cette peau de pêche. À la limite de sa raie des fesses je mords délicatement sa peau puis ma langue passe entre ses fesses, pour suivre la minuscule bande de tissu enfouie entre elles. Je fais pareil avec sa fesse gauche, je lèche cette chair tendre, je l’aspire dans ma bouche en la suçant et je la mords doucement

Je grignote son cul quelques instants, le pressant sur moi avec mes mains sur ses hanches.

Morgane gémit doucement et pousse son cul encore plus sur moi. Ma langue qui glisse dans la raie de ses fesses provoque une contraction de ses muscles fessiers et un doux roucoulement sort de sa bouche. J’entends les glaçons tinter dans le verre lorsqu’elle le vide dans sa bouche et elle se penche pour le poser par terre. Elle me sourit et je me relève avec elle.

— Tourne toi.

Tout sourire, elle se tourne vers moi et je l’embrasse passionnément. Je suis obligé de tirer sa tête par ses cheveux pour décoller sa bouche de la mienne. Mes mains sur ses épaules je lui dis

— Maintenant, mon esclave va faire quelque chose pour son Maître. Un de mes fantasmes que j’ai rêvé de faire avec ma patronne.

— Tout ce que vous voulez, Maître, répond-elle,

— Je veux que tu te mettes à genoux et que tu me tailles une pipe devant cette fenêtre, de sorte que toute la ville puisse voir la femme la plus belle et la plus sexy du monde, sucer ma bite.

Elle expire profondément et prend mon visage à deux mains pour me rouler un patin ou sa langue tourbillonne sauvagement dans ma bouche, repoussant ma propre langue. Je presse ma langue sur la sienne jusqu’à ce qu’elle se calme et qu’elle l’aspire dans sa bouche pour lui faire une sorte de fellation avant de retirer ses lèvres des miennes.

— Je veux jouer mon rôle de Maître, mais sans aller trop loin. Son baiser me fait comprendre que je reste sur le bon côté de la ligne à ne pas franchir et ce qu’elle me dit me met encore plus à l’aise.

— Bien sûr, je vais le faire, Maître. Je ferais n’importe quoi pour vous.

Elle prononce ses mots avec douceur, docilement, mais avec une lueur malicieuse dans ses yeux.

Elle se laisse tomber lentement sur ses genoux, en glissant ses mains sur ma poitrine. Ma bite palpite dans mon pantalon et elle est bien tendue.

Elle le dégrafe et le dos de ses doigts frottent mon sexe quand elle tire lentement la fermeture éclair vers le bas. Je gémis un peu tellement je suis impatient qu’elle me touche et elle me sourit en entendant mon gémissement.

Elle écarte les pans ouverts de mon pantalon et admire mon érection qui repousse outrageusement mon slip en avant, déjà taché par mon désir.

Morgane sourit à cette vue puis elle le descend sur mes genoux et approche sa bouche de cette tache humide. Même à travers mon slip, sa bouche est chaude lorsqu’elle mord la bosse formée par le bout de mon sexe et du pré-sperme marque plus nettement la forme de mon gland.

— Baisse mon slip, esclave.

Me regardant en souriant, soumise et obéissante, elle accroche ses doigts sur la ceinture élastique de mon slip et le tire vers le bas. Ma bite fièrement érigée devant sa figure, elle la saisit à sa base et ses yeux dans les miens, elle pousse doucement mon gland sur ses lèvres pour les humecter de mon liquide pré-éjaculatoire. Elle lèche ses lèvres parfumées par mon pré-sperme puis elle fait tourbillonner sa langue sur la pointe de ma bite, pour me taquiner, avant de pousser la pointe de sa langue dans mon méat.

J’ai presque mes genoux qui tremblent sous cette caresse qu’elle répète plusieurs fois avant de tourner légèrement la tête sur le côté de ma bite pour passer sa langue sur la partie basse de ma queue.

Regardant dehors, je réalise que si quelqu’un regardait vers notre fenêtre, il aurait une vue parfaite du travail de sa langue le long de ma queue. Je me demande si elle pense à la même chose car elle semble offrir son talent à un voyeur invisible, quelque part dehors.

Sa lèvre supérieure masse le haut de mon sexe à chaque fois qu’elle passe sa langue sur le bas de ma bite et ses yeux ne quittent pas les miens un seul instant.

Ma bite est trempée de sa salive et elle la caresse d’une main.

— Parfait, Morgane, tu es douée.

Elle me sourit de nouveau, puis elle tourne sa tête pour regarder par-delà la fenêtre. Ma main dans ses cheveux bouclés, je peux deviner à quoi elle pense pendant que la sienne branle doucement mon sexe. On peut voir des fenêtres éclairées dans les bâtiments qui nous font face et les phares des voitures dans les rues en dessous. Je lui dis.

— Je suis sûr que des hommes nous nous regardent et chacun d’eux souhaiteraient être à ma place en ce moment.

Mon fantasme la fait sourire et immédiatement elle baisse sa tête sur ma queue pour la mettre entièrement dans sa bouche. Elle commence à sucer ma bite en la serrant toujours fermement avec sa main. Je gémis longuement en me disant que j’ai une chance merveilleuse d’avoir Morgane, la femme que je désire le plus au monde, experte en fellation, qui suce avec enthousiasme ma queue terriblement dure.

En m’entendant gémir, elle commence à tourner sa main dans un sens et fait pivoter sa tête dans la direction opposée à chaque montée et descente de sa tête. C’est incroyablement bon et en quelques secondes, je commence à sentir mon sperme bouillonner dans mes couilles. Je ne peux pas la laisser continuer, car quelques coups de plus et j’explose dans sa bouche.

Il est trop tôt pour ça.

Je prends sa tête dans mes mains et je la repousse loin de moi. Lorsque ma bite sort de sa bouche, elle fait un bruit de siphonage et mon gland reste relié à ses lèvres par un filet de salive mélangé au pré sperme qui suinte de mon méat.

— Arrête ! Tu vas me faire jouir ma belle.

— Oh, ouiii, Maître. Je veux vous faire jouir et que toute la ville le voit !

— Oui tu vas réussir à me faire jouir, petite salope. Mais pas tout de suite. Suis-moi !

C’est particulièrement excitant de jouer aux exhibitionnismes, mais j’ai envie d’autre chose.

Arrivés sur le lit je lui caresse la joue, et je passe mon pouce sur ses lèvres si douces.

— Ta bouche est si incroyablement bonne, Morgane, mais je veux plus.

Elle écarte ses lèvres et elle commence à sucer mon pouce comme si c’était ma bite, en la massant de sa langue perverse.

— Je ne veux pas seulement sentir ta bouche, je veux que tu me fasses une gorge profonde.

Ses yeux s’écarquillent mais elle continue de sucer mon pouce. Son regard exprime deux sentiments, humiliation et luxure, me montrant qu’elle veut à la fois me faire plaisir pour se livrer à mon fantasme, mais aussi un peu effrayée à la perspective d’avoir ma grosse queue si loin dans sa bouche. Je retire mon pouce de sa bouche et elle me sourit.

— Je vais le faire… pour vous, mon Maître,

Dit-elle avec sincérité, en insistant sur les mots « pour vous ».

Cela signifie qu’elle fait ça juste pour moi et je vais chérir ce cadeau.

— Merci, murmurais-je en embrassant doucement ses lèvres.

C’est elle qui détache ses lèvres des miennes pour s’allonger sur le dos et laisser sa tête pendre au bout du lit en dessous de moi.

— Je suis prête pour une gorge profonde, Maître.

Rien que de l’entendre dire ça d’une manière sexy et provoquante, ma bite se gonfle encore plus tellement son empressement à me faire plaisir est follement excitant.

Je me place juste au-dessus de sa tête, mes couilles qui pendent au-dessus de son front et forçant ma bite vers le bas, je presse mon gland contre ses lèvres.

Elle ouvre sa bouche légèrement, laissant mon gland glisser entre ses lèvres. Puis elle ouvre plus largement sa bouche et je pousse ma bite dedans, doucement, profondément, glissant sur sa langue qui masse agréablement le dessous de mon sexe.

Elle respire par le nez, et bien que ma queue ne soit qu’à mi-chemin dans sa bouche, je sens qu’elle va probablement lutter contre cette intrusion lorsqu’elle atteindra sa gorge.

Je mets ma main sous sa tête qui pend pour l’aider et la maintenir en place lorsque je pousse ma bite plus profondément dans sa bouche. Elle gémit assez fortement mais sa plainte s’estompe instantanément lorsque mon gland rencontre sa première résistance à l’arrière de la gorge et qu’elle doit combattre les affres d’un reflux nauséeux.

Immédiatement, elle s’agrippe à ma taille pour que je ne pousse pas plus loin ma queue. Je me détends et je laisse mon sexe où il est car je ne veux pas lui faire mal, malgré le plaisir que j’éprouve de sentir ma bite enveloppée par sa chaude bouche. J’ai encore 3 centimètres hors de sa bouche et je me demande si elle sera en mesure de les avaler.

Avec ma main libre je presse ses seins et je pince les tétons tous durs de cette femme, ma patronne, incroyablement sexy, affalée sur le lit sous moi, ma bite enfoncée dans sa gorge. Lorsqu’elle recommence à gémir quand je pétris ses seins et roule ses tétons entre mes doigts, je me décide d’essayer d’aller plus profondément dans sa gorge.

Je pousse légèrement mon sexe contre le fond de sa gorge. Au début, Morgane me tient à distance avec ses mains sur ma taille pour que je ne pousse pas ma bite trop vite, mais elle arrive à se détendre et je sens le bout de mon sexe glisser plus loin.

Sa respiration se stabilise et au lieu de me repousser, ses mains sur mon cul m’attirent pour aller plus loin.

Je la laisse me tirer à son rythme en serrant ses seins dans mes mains et nous poussons tous deux un long gémissement quand mon gland passe la résistance de sa gorge et que ma bite, au maximum de son érection, est entièrement avalée par sa bouche.

Avec mes deux mains je maintiens sa tête et elle gémit encore en maintenant mon gland dans son larynx. Son gémissement provoque dans sa gorge des vibrations qui se répercutent tout le long de mon sexe.

Je lâche sa tête en grognant de plaisir pour pincer ses tétons puis je caresse son corps, son ventre et je repousse sa jarretière et son string car le plaisir que ressent ma queue dans sa bouche, me donne envie de bouffer sa chatte dépourvue de poils aujourd’hui.

Je me penche sur son corps, et ma bite sort un peu de sa gorge. Elle prend une bouffée d’air quand mon sexe libère sa gorge et que mes deux mains caressent son pubis et que mes doigts s’insèrent dans la fente de son sexe.

Elle gémit et je renfonce ma bite profondément dans sa gorge, atténuant le faible son guttural qu’elle émet lorsque mes couilles s’écrasent sur son nez.

Je me retire à moitié et je replonge dans sa gorge, et je recommence… je baise sa bouche… profondément.

Sa chatte est trempée et son jus coule jusqu’à son trou du cul. Avec mes doigts humides je masse son pubis et j’écarte ses lèvres intimes pour respirer cette moiteur enivrante et son arôme qui bouleverse tous mes sens.

Ma bite ressort légèrement de sa gorge quand je me penche pour lécher ses deux grandes lèvres et goûter la douceur de son fluide que je récolte sur ma langue. Elle gémit longuement pendant que je la lèche et de nouveau je ressens des sensations incroyables sur ma bite. Je pousse mon sexe dans sa gorge et elle est réduite au silence par mon gland qui la fait déglutir en massant le bout de ma queue.

Même sa langue et sa bouche semblent aspirer mon sexe et instinctivement, je me retire pour la laisser respirer.

Je tends le cou pour la regarder à l’envers et m’assurer qu’elle va bien. La bouche ouverte et mon gland sur ses lèvres, un filet de salive coule sur sa joue.

Je sens qu’elle reprend mes fesses dans ses mains pour me refaire une gorge profonde pour me montrer sa volonté et son désir de me donner un tel plaisir, même si c’est difficile, physiquement, pour elle. Je laisse ma bite disparaître dans sa bouche et glisser dans sa gorge et je replonge ma tête dans son entre-cuisses.

Plusieurs fois je lui donne de longs coups de langue à plat sur toute sa vulve, en commençant par le bas et en terminant par son clito tout en poussant ma langue dans son vagin.

Elle crie et grogne comme elle peut avec ma bite dans sa gorge, et je ne sais pas si c’est ma langue et ma bouche qui la rend folle, mais elle serre fortement mes fesses avec ses mains. Chaque fois que j’effleure son clitoris de ma langue, elle griffe mon cul pour me faire savoir qu’elle aime ça.

Je suis impressionné par Morgane dans sa position de soumise et reconnaissant de jouer ce rôle, mais il ne faut pas trop que j’abuse de mon rôle de Maître.

Je lui donne un dernier coup de langue sur sa chatte avant de m’écarter d’elle et je retire lentement ma bite de sa gorge. Elle est recouverte de sa salive qui coule sur ses joues et lorsque mon gland émerge de ses lèvres, un long filet de salive, probablement mélangé avec mon pré-sperme, relie sa lèvre inférieure à la pointe de ma bite. Vision perverse mais incroyablement érotique de voir sa salive qui coule sur son visage.

Mais je vois aussi des larmes dans ses yeux et je comprends que cela a dû être dûr pour elle de me faire une gorge profonde, juste pour me donner du plaisir en réalisant mon fantasme.

Je prends sa tête dans mes deux mains pour la soutenir et je lui dis.

— C’était sublime, Morgane. Tu es incroyablement sexy et perverse en même temps.

J’embrasse ses lèvres, chaudes et humides et je passe ma main sur sa joue pour nettoyer les traces de salive.

— Mon Maître a aimé ?

— Ooohh, ouiiii ! C’était d’une intensité si forte que je n’oublierai pas de sitôt cette fellation.

Je l’embrasse encore avec passion, puis soutenant ses épaules, je l’aide à l’allonger sur le lit pour qu’elle se détende. Deux minutes après, elle me sourit et me demande.

— Et maintenant, Maître ?

— Je vais te le dire, petite salope…

Le mot ne la choque pas, ça même l’air de l’amuser à la petite lueur dans ses yeux.

— Maintenant je vais dévorer ta chatte, je vais te baiser et tu vas jouir pour moi et seulement quand je te l’ordonnerais.

Elle se repousse vers la tête de lit en souriant et je rampe sur le lit pour caresser ses chevilles, ses jambes et ses cuisses. Je retire son string rouge resté sur un de ses mollets. Elle me regarde comme une petite fille inquiète, l’index de sa main droite posé sur le bord de sa lèvre inférieure, sa langue léchant le bout de son doigt, ce qui la rend encore plus désirable.

Son string est humide, trempé par son jus de chatte.

C’est très excitant et je vais réaffirmer mon rôle en tant que Maître.

— T’es vraiment une belle salope ! Ton slip est trempé !

— Je sais, Maître, je suis désolée, vous m’excitez tellement que je ne peux pas contrôler ma chatte et elle s’humidifie toute seule… je sens bien que ça coule…

— J’espère que ce string si sexy et délicat ne sera pas abîmé ! Regarde.

Je lui mets son string devant son visage pour lui faire voir à quel point elle mouille et qu’elle sente le parfum énivrant qui s’en dégage. Elle baisse ses yeux pour voir son slip trempé et ses narines palpitent quand le bouquet de sa cyprine chaude frappe son nez.

— Je pense que ce n’est pas trop grave, Maître.

— Vraiment ? Vous en êtes sure ?

— Mon Dieu, oui… Maître.

Mes doigts dans l’entrejambe trempé de son string, je pousse le tissu entre ses lèvres et je lui dis.

— Sale cochonne, nettoie-moi ça !

Au moment où elle ouvre sa bouche pour passer sa langue sur son string, je plonge entre ses suisses pour lécher sa chatte comme elle lèche son slip comme si elle léchait en même temps sa propre chatte. En gémissant, elle retire mes doigts qui tiennent son string pour les mettre dans sa bouche avec son slip pour les sucer avec.

C’est très érotique, pervers, et je me demande s’il y a quoi que ce soit que cette femme refuserait de faire pour me donner du plaisir.

Après quelques minutes à bouffer sa chatte chaude et toujours aussi humide, j’ai besoin de respirer. Je retire ma tête d’entre ses cuisses et mes doigts de sa bouche.

Morgane a son string dans sa bouche et elle continue de le sucer. Un petit bout de l’arrière du string pend au coin de sa bouche et d’un doigt je tire doucement dessus en lui disant.

— As-tu idée à quel point tu fais salope en faisant ça ?

— C’est de votre faute, Maître. Vous faites ressortir mon côté pervers et vous me transformez en catin… en putain… en salope… pour vous satisfaire… Maître.

Cette femme, que je respecte plus que toute autre, est volontairement mon esclave sexuelle. Elle me permet de satisfaire mes fantasmes les plus profonds. Pas seulement, car elle va au-devant de tous mes caprices avec empressement et zèle.

Mais si ce jeu érotique nous a apporté un mutuel plaisir, j’ai envie de l’aimer, ou de la baiser, en explorant les innombrables possibilités que la sensualité, voir la perversité, de Morgane, peut nous apporter pour notre jouissance commune.

A suivre

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