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Morgane, ma patronne – Chapitre 8

Morgane, ma patronne - Chapitre 8



Avec ma main droite, je guide ma queue devant sa chatte qui s’est un peu refermée, et lentement, tout en douceur, je m’enfonce dans sa grotte d’amour.

Morgane cesse de respirer pendant que mon gland écarte ses chairs, glisse dans son vagin trempé et ses yeux, qui n’ont pas quitté les miens, me demandent de la prendre complètement. Au plus profond de son sexe, nous gémissons tous les deux quand nos corps sont enfin réunis. Je pousse mon corps le plus que je peux pour maintenir ma bite à l’intérieur de son sexe et passant mes bras autour d’elle, je l’attire contre moi pour lui murmurer dans l’oreille.

— Dieu… que j’ai rêvé de cet instant…

— Ooohhh, Alex… je te sens merveilleusement

Je la couvre de baisers, du lobe de son oreille jusqu’en bas de son cou, effleurant de ma langue les zones sensibles de sa peau pour l’exciter encore plus.

Je recule ma bite lentement pour ne laisser que mon gland au bord de ses nymphes et je la replonge tout aussi lentement dans son vagin qui palpite. Après avoir répété ces lentes pénétrations, je commence à accélérer mes va-et-vient. Saisissant ses hanches pour bien la maintenir, je la fourre de plus en plus vite et Morgane bouge ses hanches dans un mouvement circulaire en rythme avec mes coups de bite.

Nos corps sont parfaitement synchronisés dans une parfaite harmonie sexuelle. Je la maintiens contre moi et je gémis.

— Putain, Morgane, mon sexe est au paradis !

— Huuummm, moi aussi… je te sens bien… si bien… tu sens ma chatte qui presse ta bite…

Je tire le plus possible sur ses hanches, enfonçant mes doigts dans son cul pour replonger ma bite le plus profondément dans son sexe.

— Oooohh, ouiiiii ! Elle est si chaude, si serrée.

J’ondule des hanches et Morgane me suit en m’attirant par le cou pour m’embraser en poussant sa langue dans ma bouche pour la tourner autour de la mienne, mimant le mouvement de nos sexes. Je fais de même sans jamais briser le rythme de ma bite dans sa chatte.

Après ce baiser plein de passion, Morgane me demande.

— Ma chatte est assez chaude et assez étroite pour toi ?

— Putain ! ouiiii, elle est merveilleuse.

— Tu n’as pas envie d’autre chose… encore plus étroit…

Je me redresse et glisse mes mains de ses hanches vers son cul. Je serre ses fesses dans mes deux mains et je les écarte.

Morgane, un sourire pervers sur ses lèvres, me regarde comme si elle pouvait lire mes pensées. Je pose mon doigt sur sa corolle fripée et je fais de petits cercles autour de son trou du cul, en appuyant doucement contre sa chair douce, sensible, encore humide de mes caresses préliminaires.

— Je me demande… si ton petit trou du cul est aussi chaud et serré que ta petite chatte…

En lui disant ça, je pousse le bout de mon doigt dans son anus qui se contracte immédiatement pour le serrer fermement. Je ralentis les mouvements de ma bite dans sa chatte pour la faire réagir et c’est elle qui remue ses hanches pour se baiser plus vivement sur ma queue et sans quitter mes yeux un seul instant.

Puis elle me dit.

— Mon maître veut-il s’en assurer ?

Je recule doucement et ma bite sort de sa chatte. Je lui claque ses fesses et lui dis.

— Mets-toi à quatre pattes, comme une chienne. Je vais vérifier ça !

Morgane me sourit et se met rapidement dans cette position pour me présenter son cul de déesse.

J’embrasse et je lèche son dos jusqu’à ce que ma langue trouve son anus pour tourner autour avant de remettre mon pouce dans son trou du cul pour l’ouvrir un peu plus. Puis ma langue remplace mon doigt et Morgane laisse tomber son visage sur le lit en poussant un gémissement.

Je bouffe son cul pendant plusieurs minutes tout en doigtant sa chatte. Une fois qu’il est dégoulinant de salive et de mouille ramenée de sa chatte, je me positionne bien derrière elle et je pose mon gland sur sa corolle luisante.

— Tu veux que je contrôle si ton trou du cul est plus étroit que ta chatte ?

— Oh mon Dieu, oui, faites-le, Maître.

— Pour faire quoi ? Dis-le-moi… ma salope.

— Pour baiser mon cul, Maître. Vérifiez s’il est assez serré et à votre goût, il est à vous, je vous l’offre.

— Il est pour moi ? Juste pour moi ?

— Oooohh oui, putain ! Il est tout à vous. Enculez-moi, Maître ! Je ne suis qu’une chienne !

En l’entendant me dire son trou du cul est tout à moi et que je peux l’enculer comme une chienne en chaleur, je pousse ma queue vers son trou du cul en appuyant avec mon pouce sur mon gland pour le guider dedans.

Elle pousse un cri quand son anus s’ouvre sous la pression de ma bite et il se resserre immédiatement derrière mon gland qui a disparu dans son petit cul. Je fais une pause avant de le pousser plus profondément, sachant qu’elle a sûrement besoin d’un moment pour s’habituer à sa taille.

J’embrasse doucement l’arrière de son cou sans trop bouger ma queue et elle répond à mes baisers en gémissant avant de me dire.

— Allez Maître… enculez-moi. Je veux votre bite au fond de mon cul.

Je pousse doucement ma bite et c’est moi qui gémis quand elle s’enfonce lentement dans ses entrailles. Son sphincter serre fermement mon sexe.

Je relâche ses fesses que je tiens encore écartées, pour qu’elles se resserrent sur le reste de ma queue, et qu’elles amortissent mon coup de reins final.

Je mets mes mains sur ses hanches et je la tire en même temps vers moi pour enterrer ma bite dans son cul aussi profondément qu’elle peut aller.

— AAAaaahhhhhh… putaiiiinnnn !

Morgane a bloqué sa respiration car elle ne pensait sûrement pas avoir quelque chose d’aussi grand que ma bite dans son cul. Je reste immobile pour qu’elle ne souffre pas et ce n’est pas facile quand on sent de quelle façon son petit trou du cul tout chaud et satiné enserre ma bite.

Après avoir repris sa respiration, elle pose une de ses mains sur ma hanche pour me faire comprendre que je peux continuer.

Un dernier coup de reins et ma bite disparaît entièrement et mes couilles frappent sa vulve.

Cette fois, elle gémit béatement, son cul bien rempli, qu’elle remue un peu en se cambrant pour bien me prendre en grognant.

— Enculez- moi bien, Maître.

J’attrape une poignée de ses cheveux pour la garder avec son dos cambré et je glisse ma bite lentement en arrière avant de retomber sur elle, lentement mais avec détermination. Elle gémit bruyamment mais ce n’est pas de douleur. Son trou du cul s’est ajusté à la taille de mon sexe et elle commence à apprécier la sodomie.

J’augmente lentement le rythme de mes va-et-vient dans son petit trou étroit jusqu’à ce que je l’encule violemment et qu’elle crie.

— Aaaahhh, ouiiiii ! Ouiiii ! Plus fort ! Ouiiiiiii !

J’accompagne ses cris de mes gémissements bestiaux car je suis entrain d’enculer ma patronne. Cette femme exigeante, presque froide qui veut toujours avoir le contrôle et être respectée et qui me faisait fantasmer il n’y a pas si longtemps que ça.

Elle vient de m’offrir l’endroit le plus tabou de son intimité, volontairement et, je crois, avec amour.

Après plusieurs minutes d’une baise débridée, bestiale, je ralentis mes coups de bite, relâche ses cheveux et elle détend son dos. J’embrasse le haut de son dos et son cou en bougeant doucement dans son cul qui ondule sur ma queue.

Ma main droite passe sous elle, caresse son ventre et glisse vers son sexe. Lorsque mes doigts massent ses lèvres trempées et s’enfoncent dans sa chatte, elle gémit.

— Huuuummmmmm, ouiiiiiiiiiii… enfonce-toi partout…

Elle tend son bras en arrière pour attirer ma tête vers le bas de son cou et je l’embrasse en écartant bien ses lèvres intimes pour saisir son bouton d’amour et faire de petits cercles autour en continuant de bouger doucement dans son cul.

Avec ma main gauche, j’attrape sa hanche et je la tire plus près de moi pour enfoncer ma bite le plus loin possible.

Son trou du cul est une véritable merveille. Très étroit, enserrant ma queue d’une façon incroyable et son anus palpite sans arrêt sur ma verge au comble du bonheur.

Ses entrailles presque brûlantes et satinées, massent toute ma bite qui va-et-vient dans son cul et ses muscles anaux qui se contractent sur mon sexe à chaque poussée ne vont pas tarder à me faire jouir.

— Putain, Morgane, ton cul est tellement bon que je ne vais pas tenir encore bien longtemps !

— Tiens bon, chéri ! Reste encore dans mon cul. N’éjacule pas… c’est merveilleux, continue de m’enculer… ouiiiiiiiii, que c’est boooonnnn.

Ce n’est pas facile de se calmer quand on est dans un cul si chaud, si doux et si étroit.

— Jouis avec moi, Morgane.

— Continue de me doigter, oooohh, ouiiiiii, comme ça.

Je triture plus son clito que je le caresse, trop occupé à retenir mon orgasme que je sens venir avec le bouillonnement de mon sperme qui voudrait s’échapper de mes couilles.

— Putain ! Moi, je suis au bord ! Mes couilles vont éclater !

Elle enfouit son visage dans les oreillers et hurle presque.

— Ne t’arrête pas ! Plus fort ! Encore ! Encore !

Mes doigts roulent frénétiquement autour de son clitoris. Son bourgeon est très gros et dur et je le pince pratiquement entre mes doigts comme si c’était le bouton qui commande nos orgasmes.

Morgane enfonce son cul sur ma bite prête à éclater et après un instant atrocement long, c’est comme si quelque chose explosait à l’intérieur d’elle. Sa chatte et son cul se contractent avant que son corps soit balayé par des vagues de plaisir.

Elle pousse un cri sauvage.

— Ahhhhhhhhhhgggrrrreeeeee… ouiiiiiiiii… maintenant ! Jouis avec moi !

Je l’encule rapidement trois fois de suite et avec ma bite aussi loin que possible dans son cul et je laisse mon sperme gicler dans ses intestins, libérant en moi un orgasme incroyable, à la limite de la douleur tellement il est puissant.

— AAAahhhh… Morgaaaaannne ! AAAaaahhh… AAAaaahh…

Je grogne à chaque giclée qui remplit ses entrailles jusqu’à ce que mon bas-ventre se calme et qu’un immense bien être envahi mon corps.

Le corps de Morgane semblait aussi se calmer en dessous de moi lorsqu’un deuxième orgasme la submerge de nouveau, sûrement provoqué par mes doigts que j’ai enfoncé profondément dans sa chatte dégoulinante de cyprine. De nouvelles vagues de jouissance déferlent dans son corps qui est pris par de nouvelles convulsions avant qu’elle ne s’effondre sur le lit, satisfaite et libérée, avec des petits soupirs de contentement.

Je suis toujours au plus profond de son petit trou du cul encore balayé par de petites contractions, ondulant amoureusement de mes hanches, sentant mes dernières gouttes de perme s’écouler dans ce tunnel d’amour qu’elle vient de m’offrir.

Encore haletants, j’embrasse son cou avec tendresse. Notre orgasme simultané nous a vidés de toute notre énergie et j’essaye de reprendre mon souffle pendant que ma queue commence à ramollir dans son boyau baigné de sperme.

Deux, trois minutes après, nos respirations redeviennent normales et avec un dernier baiser sur son cou, je roule sur le côté en retirant lentement ma bite de son cul. Elle grogne faiblement, semblant déçue que je ne sois plus en elle.

Elle posa sa tête sur mon épaule et je passe mon bras autour d’elle pour la maintenir contre moi.

— Morgane… c’est… incroyable, je n’ai jamais joui aussi fort !

— Ouiii, et moi donc ! C’était vraiment intense.

Nous avons joué un jeu très érotique, dans lequel je devais être le Maître et elle, la soumise. Cependant, j’ai besoins de savoir si elle ne regrette rien.

— Écoute, Morgane, je veux que tu saches que je te respecte toujours autant. Ce que je viens de faire, c’est juste pour te donner du plaisir. Je veux que tu sois satisfaite et…

— Alex ! Ferme -là !

Me dit-elle d’un ton autoritaire en me regardant dans les yeux avant de m’embrasser… passionnément, profondément, pendant plus d’une minute.

— Je ne me suis pas sentie aussi bien depuis très longtemps. Être dans tes bras c’est ce que j’avais le plus besoin et j’ai adoré être soumise à tes désirs. Détends-toi, je suis merveilleusement satisfaite et comblée.

Je suis rassuré car j’aime cette femme et j’espère qu’elle aura encore besoin de moi.

— Alex… ça fait plusieurs années que je me suis faite prendre par le cul. Et contrairement à mes souvenirs, c’est la première fois que j’en retire autant de jouissance. Je sens même que ça va me manquer. Sur ce, je vais prendre une douche ! Je dégouline de partout !

Elle rit et se dirige vers la salle de bain. Je regarde son corps nu alors qu’elle se déplace gracieusement à travers la pièce.

Je suis béni des dieux qui m’ont permis de posséder cette femme extraordinaire avec qui je partage une attirance sexuelle intense.

Lorsque je me réveille le lendemain matin, Morgane est déjà levée et elle est comme toujours sublime et sexy car elle n’a sur elle qu’un minuscule slip.

Elle vient vers moi pour m’embrasser sur les lèvres mais lorsque je veux l’attirer sur moi elle me dit.

— Alex, va prendre ta douche.

— Tout de suite ? On a le temps…

— Oui, mais tu pues le bouc sauvage et c’est insupportable.

— Oh vraiment…

Lui dis-je en plaisantant, sautant du lit pour la saisir par la taille et tirer son corps presque nu contre le mien en reniflant son odeur.

— Et toi… tu sens la rose ?

— Bien sûr, je suis une fleur délicate et parfumée !

Et avec une belle claque sur mes fesses nues, elle me pousse vers la salle de bain.

Lorsque je ressors avec une serviette enroulée autour de ma taille, elle se trouve devant le lit, presque habillée avec une jupe, mais juste en soutien-gorge. Elle est tellement désirable que je me mets à bander immédiatement et quand elle me demande.

— Alors Alex, prêt pour attaquer cette nouvelle journée ? Moi je suis en pleine forme !

— Moi aussi !

Et je laisse tomber ma serviette pour lui dévoiler ma queue dressée tellement cette femme m’excite.

Elle a le souffle coupé quand elle voit mon sexe en pleine érection qui parade devant elle.

— Putain ! murmure-t-elle d’une voix rauque.

Sans un mot, je viens vers elle, je dégrafe le bouton de sa jupe et descend la fermeture éclair pour tirer sa jupe sur ses pieds. J’arrache presque son slip qui rejoint sa jupe.

Elle gémit quand je la pousse sur le lit et que je lève ses jambes. Voyant ses grandes lèvres épanouies et les petites brillantes d’humidité, je place rapidement ma bite entres elles pour la pousser dans sa chatte.

Elle gémit doucement quand je commence à la baiser et ma bite est de plus en plus lubrifiée à chaque poussée.

— Pardonne-moi Morgane mais quand je te vois j’ai envie de te baiser.

Je remonte ses genoux de chaque côté de sa tête pour plonger ma queue le plus profondément dans sa chatte toute chaude et la baiser plus rapidement.

— Putain ! Moi aussi ! J’ai tout le temps envie que tu me baise !

D’un coup de hanches, elle accentue ma pénétration et je la baise rapidement pendant plusieurs minutes. Tous les deux nous copulons d’une façon bestiale et saisissant ses hanches, je la prends aussi vite et aussi fort que je peux. Morgane passe sa main entre ses cuisses et malmène son clito en grognant à chaque fois que mon pubis claque sur le sien en écrasant ses doigts.

— Tu vas jouir Alex ? Dans ma chatte ?

— Ouiii ! Juste après toi.

— Tu veux que je jouisse pour toi ?

— Ouiiii ! Tu vas jouir pour moi !

Je ne ménage pas mes coups de bite et au bout de quelques minutes, elle ferme ses beaux yeux et elle commence à jouir en criant de plaisir sous son orgasme qui a éclaté dans son corps sans la prévenir.

Je sens les convulsions de sa chatte diminuer et avec un sourire pervers, elle pousse ses doigts qui masturbaient sa chatte vers ma bouche.

Ils sont trempés de son jus épais, piquant, et son parfum frappe mon nez avant sa saveur, lorsqu’elle enfonce ses doigts dans ma bouche.

Ça déclenche immédiatement mon orgasme et mon sperme, jet après jet, remplit sa chatte pendant que je suce sa mouille sur ses doigts. Complètement vidé sous cette brutale jouissance, je m’écroule sur elle.

Nous reprenons notre souffle et après quelques minutes elle me dit.

— Eh bien…, c’était inattendu et impressionnant.

— Je n’ai pas pu me retenir. Tu es trop désirable.

— Mais je ne m’en plains pas ! Je déteste mettre fin à ça mais je dois rentrer au bureau car j’ai un rendez-vous important.

— Oui, je sais… malheureusement.

Je me redresse en retirant ma queue qu’elle retenait encore dans sa chatte et repartant vers la salle de bain je la regarde ramasser son slip et sa jupe.

— Non de Dieu ! Tu es si incroyablement sexy ! Tu vas me manquer !

— Toi aussi… J’ai ton numéro de portable… si l’occasion se présente… je t’appellerai…

Pendant des jours et des nuits je ne pense qu’à elle, elle m’obsède et me manque terriblement. Parfois j’aurais préféré qu’elle me dise de l’oublier pour que je passe à autre chose.

Et un soir je reçois un SMS.

— Le maître a-t-il oublié son esclave ?

Mon cur battant à 100 à l’heure je tape fébrilement.

— Non, impossible. Que puis-je faire pour elle ?

« Tout ce que mon maître désire mais surtout louer une chambre pour demain à l’hôtel Bellevue.

J’ai loué une chambre et j’ai envoyé un message à Morgane avec le numéro de chambre et l’heure où je l’attendrai.

Le lendemain, assis sur le lit je l’attends avec impatience. J’essaye de rester calme mais mon cur bat rapidement. Enfin, quelques minutes plus tard la porte de la chambre que je n’avais pas verrouillée, s’ouvre lentement.

Je me lève du lit quand Morgane entre dans la chambre et je n’ai même pas le temps de lui dire bonjour qu’elle se jette dans mes bras.

Je plaque ma main derrière sa tête et nous nous embrassons passionnément pendant plusieurs minutes avant qu’elle me pousse sur le lit pour m’arracher mon pantalon et slip. Elle saute sur moi en passant sa robe par-dessus sa tête et apparaître complètement nue.

Elle s’empale brutalement sur ma queue en érection maximum pour se baiser comme une sauvageonne en manque de sexe.

Ce jour-là, nous avons baisé comme des animaux, juste pour le sexe et le plaisir. J’ai rempli sa bouche, son sexe, son trou du cul, de mon sperme et elle n’arrêtait pas de jouir sous ma langue, mes doigts et ma queue qui n’avait pas le temps de débander.

Cest ainsi qu’a commencé notre véritable liaison. Tous les 15 jours elle a une réunion au siège de l’entreprise et nous nous rencontrons dans des hôtels différents.

Je ne sais pas combien de temps va durer notre liaison mais peu importe, Morgane, ma patronne, mon fantasme, est ma maîtresse et je profite de son corps pendant des heures lorsque nous sommes réunis pour nous aimer ou baiser comme des affamés de sexe.

Je l’aime tellement que je voudrai la mettre en cloque pour qu’elle me donne un beau bébé, une fille qui sera aussi belle qu’elle, mais elle ne s’est pas soumise à son "Maître".

Elle ne veut pas car, d’une certaine façon, elle aime toujours son mari. Bien qu’il ne la fait pasjouir autant que moi et plusieurs fois de suite, elle veut lui faire croire qu’elle est fidèle ! Du Morgane tout craché !

Mais sait-on jamais…

FIN

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