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Msuro et Mamadou – Chapitre 6

Msuro et Mamadou - Chapitre 6



Cela dit, il la couche par terre, lui écarte les jambons et lui déguste à pleine langue son minou subissant la crue centenaire.

Abreuvé par cette source de phéromones, Mamadou reprend des forces et son sceptre reprend une forme plus en adéquation avec sa réputation. Lentement, il délaisse ce puits des délices pour ramper en direction de sa bouche et laissant son bâton frottant les cuisses, arriver à l’orée de son but, le minou doré.

Lentement il le plonge dans cette fontaine de désir. Kitty murmure :

— Enfin je l’ai et je ne vais pas me laisser distraire cette fois.

Elle entame une sorte de danse du ventre en étant clouée sur le dos, il faut le faire, mais elle est douée. Lentement l’orgasme monte monte monte et encore monte, il arrive au sommet de son ascension, elle ne peut plus retenir sa joie et pousse des cris désordonnés, mais oh ! combien explicites. Mamadou, lui ayant déjà donné aux bonnes uvres se trouve très endurant et malgré l’orgasme dantesque qui secoue Kitty, il continue à piocher sa caverne d’or.

Kitty, par ce massage continu de son sanctuaire repart doucement, puis plus fort en direction d’un nouveau Nirvana. (enfin quelque chose qui ressemble à ça chez les Indiens), Arrive ce qui devait logiquement arriver, les deux amants explosent de joie et de passion, comme le jus du même nom.

Repus et fatigués, ils reposent sur la couche quand Mamadou entre-ouvre la porte, respirant fort cette odeur de fort nikation.

— Mamadou, je crois que pendant un certain temps, avec Nestor, il faudra que tu aies sur notre refuge d’hiver. Je ne crois pas que la venue de Kitty va rester sans conséquence.

— C’est pas vrai, à peine retrouvé qu’il faut à nouveau se séparer.

— Juste le temps qu’ils arrivent et qu’ils repartent et ne te fais pas de soucis, on va bien s’en occuper.

— C’est justement ce qui me tracasse, déjà que Élax l’a bien baisée pendant le voyage et qu’elle en a été très contente, j’ai un peu peur que cela se généralise.

— Tu ne t’es jamais plaint quand mes braves partaient sans toi chasser le bison et que toi tu partais chasser la femelle à poils.

Pendant ce temps chez le planteur

Quelques heures après que Kitty fut partie avec le groupe d’Indiens, son mari, le brave Élie constate que sa femme s’est volatilisée que ses affaires ont en partie disparu, ainsi que son étalon.

Inquiet, il se rend chez son beau-père pour savoir si elle est dans les environs. Sans succès.

Le planteur mène son enquête au près du personnel noir, quelques-uns affirment qu’ils l’ont vue partir avec un groupe de cavaliers blancs armés de fusils, plutôt l’air mexicain.

Mais il n’a pas entendu que des Mexicains se soient introduits dans cette région de la colonie, jusqu’à ce que la vieille esclave noire affirme haut et fort que ce sont des Indiens qui on fait le coup et qu’ils n’avaient pas l’air menaçants.

Louis, le majordome, aussi un beau noir qui avait remplacé Mamadou, émet cependant un doute :

— Minie, comment sais-tu ceci, toi qui ne quittes jamais tes fourneaux ?

— Cela m’arrive cependant, quand je dois pisser, je vais un peu loin dans forêt et c’est là que j’ai vu un groupe d’Indiens qui discutaient avec Nestor, qui au fait n’est pas réapparu.

— Saloperie d’Indiens, ils ne pourraient pas nous laisser tranquilles sur les terres que nous leur avons prises. Il faut voir avec le major pour les remettre à l’ordre.

— En attendant, Élie, veux-tu que je te trouve une petite esclave pas trop noire pour tenir ton intérieur et remplacer provisoirement ma fille.

— Ce ne serait pas de refus, je ne pense pas que j’arriverais à me débrouiller tout seul, surtout que j’avais pris goût aux choses du mariage.

— J’ai ici la petite Maria, toute neuve, je pensais l’utiliser pour mon usage personnel, mais devant la nécessité, je te la prête le temps que la situation se mette en ordre.

— Elle a déjà  ?

— Non, comme je te l’ai dit, elle est toute neuve, alors ne l’abîme pas trop, même si c’est une esclave soit gentil avec elle. Pour le reste, que fait-on, tu viens avec moi au fort ?

Conflits avec l’armée ?

Prenant un cabriolet pour les deux, ils se dirigent vers le fort pour demander du soutien au colonel Brindamour.

— Voilà comment se présente la situation. Ma fille, sa femme a été enlevée par des Indiens, ces chiens.

Le colonel connaissant bien les deux hommes et la fille qu’il espérait mettre une fois au moins dans son lit n’est pas dupe. Il était présent lors de la cérémonie de mariage quand le père à forcer sa fille à épouser ce crapaud de bénitier. Le geste du père ne lui avait pas échappé.

— Avant de lancer des opérations, j’aimerais être sûr qu’il s’agit bien d’un rapt. Je vais envoyer Lamy mon éclaireur Chéreauxquilles pour se renseigner et voir la nature du terrain si on lance une opération militaire. Cela me gêne un peu, car jusqu’à maintenant, les Indiens se sont tenus tranquilles, ils m’ont même fourni quelques hommes de terrain qui sont très bien.

— Faites votre devoir le mieux possible, ce n’est pas à nous de vous dire ce qu’il faut faire.

Là-dessus, les deux saluent et se retirent.

— Me voilà dans une position inconfortable, je suis bien persuadé que la miss n’a pas fait de résistance pour se séparer de ce barbon, mais il faudra que je présente des arguments bien faits pour pas que cela dégénère. 

— Lamy, au rapport.

— Présent mon colonel

— Voilà une mission tout à fait dans tes cordes. Demain, tu vas aller chez les Pointes fines avec le lieutenant Baltazar, enquêter sur la présence chez eux de Kitty, J’ai besoin de savoir si elle a été enlevée avec violence. En parallèle, tu observeras la situation si on doit intervenir militairement. Je t’adjoins le lieutenant qui fait ses premières expériences militaires hors de l’école. Je vais lui parler, envoie-le-moi.

Quelques minutes plus tard, le lieutenant Baltazar est au rapport.

— Lieutenant, j’ai confié une mission importante à notre éclaireur Lamy, vous l’accompagnerez et vous serez sous ses ordres, malgré la différence de grade. Ce sera une expérience pour vous qui n’en avez aucune sur le terrain, vous serez à bonne école.

— Ce sera avec plaisir, j’apprécie beaucoup Lamy.

Le lendemain matin, les deux partent en direction des collines avec un voire deux bivouacs prévus pour arriver à destination.

— Tu penses quoi de cette histoire, mon lieutenant ? Moi je ne la sens pas, je m’imagine pas qu’ils l’ont enlevée.

— Et pourquoi ça !

— Elle a eu une drôle d’existence Kitty. Elle était amoureuse d’un nègre, un beau nègre, un qu’on utilisait aussi pour la reproduction, quand cela s’est découvert, lui a pu s’enfuir et je le soupçonne d’être chez les Pointes fines. On ne l’a jamais rattrapé, mais elle, suite au scandale, son père l’a mariée de force avec un crapaud de bénitier.

— Peut-être, mais une blanche avec un nègre ?

— Combien tu penses qu’il y a de blancs qui forcent les négresses. Tu n’as qu’à voir le nombre de métisses et métis.

— Oui, mais ce sont des hommes et là, il est question d’une femme.

— Dites-moi Lieutenant, la morale et la loi sont une question de sexe ? Que pensez-vous des esclaves féminines à qui on ne demande pas leur avis, qui va les engrosser ou simplement jouer avec elles ?

— Oui, mais les noirs n’ont pas d’âme dit-on.

— Et les Indiens, ont-ils une âme ?

— Je ne sais pas, j’en ai jamais côtoyé.

— Autrement quels sont les moyens qui permettent de savoir si tel ou tel a une âme ou pas ?

— Je ne sais pas, mais c’est ce qui se dit qui compte, vous savez, je suis soldat, justement pour ne pas me poser de questions difficiles, on me commande et j’obéis.

— C’est bon, donc pendant la mission, contentez-vous de m’obéir aveuglement et tout ira bien. Comme c’est votre premier contact avec les Indiens, pas d’initiative intempestive. Votre morale et vos habitudes ne sont certainement pas compatibles avec les leurs et de dire les-quelles sont les plus justes, je réserve mon opinion. N’oubliez pas que notre but est de comprendre la situation et non pas d’allumer une guerre.

Sur ces bonnes recommandations, nos deux hommes arrivent en vue du territoire des Pointes Fines, Plusieurs feux s’allument aux sommets de crêtes, formant des petits nuages.

— Ça y est, on est repéré.

— Comment le savez-vous ?

— Regardez ces nuages de fumées, avec des interruptions, Cela signifie qu’ils nous ont repérés. Comme on est que deux, je ne pense pas qu’on risque quelque chose si on a pas de réactions agressives.

— Intéressant, cela ressemble à notre télégraphe, mais c’est limité par la distance.

Sans autre encombre, ils arrivent en vue du village, s’avance le chef, Msuro, la tête ornée d’une belle coiffe faite de plumes d’aigle.

— Bien venue dans notre village ami Lamy, Toi venir pourquoi ?

Descendant de son cheval, les deux font le cérémonial de rencontre. Balthazar est un peu surpris de voir quelle familiarité il y a entre-eux. Il ne peut s’empêcher de s’exprimer :

— Comment connaissez-vous notre langue si bien ?

— C’est pas mystère, ma femme tribu des chapeaux-pointus, a eu missionnaire. Il lui a appris rudiments de langue des blancs et elle apprendre à moi.

Le rappelant à l’ordre, Lamy lui rappelle leur arrangement.

C’est à ce moment que quelques papooses1 les entourent en réclamant des cadeaux. C’est alors que Balthazar remarque que certains n’ont pas franchement un type amérindien, mais plutôt africain.

— Mais il y a des noirs ici.

— Lieutenant, je vous rappelle à l’ordre, désormais vous n’ouvrirez la bouche que quand je vous autoriserais, allez plutôt au bord de la rivière pour voir si j’y suis ou vous rendre utile.

Une fois parti, les deux discutent :

— C’est une mission difficile que j’ai. Mon chef a réussi à tempérer l’excitation des colons blancs après ce qu’ils appellent l’enlèvement de la fille du planteur principal. Il m’a chargé d’aller enquêter chez vous comme cela s’est passé.

— Nous ne l’avons pas enlevée, juste nous lui avons dit que Mamadou aimerait bien la rencontrer. Elle est venue de son plein gré.

— Je n’en doute pas, est-ce que je peux la voir ?

— Oui, bien sûr, viens je t’amène vers son tipi, elle sera contente de voir autre chose que des Indiens.

— Autre chose, j’ai vu, comme le lieutenant qu’il y avait pas mal de très jeunes enfants qui avaient des traits africains.

— Cela m’embête que vous l’ayez remarqué, effectivement on a recueilli deux fugitifs noirs dans notre tribu, ce sont nos meilleurs éléments, j’espère qu’il n’y aura pas de raisons pour venir le chercher.

— Je ne connais pas assez le lieutenant et il serait bien de les tenir éloignés de sa vue.

— On va dire qu’effectivement pendant une saison, il y a eu un nègre, mais qu’il est mort dans un chasse au grizzli.

Pendant ce temps-là, le Lieutenant Balthazar ne perd pas tout son temps et mettant en pratique ce que l’éclaireur lui a conseillé, d’aller voir vers la rivière s’il y est, a la surprise de découvrir un groupe de femmes dont une magnifique femme blonde qui s’occupent à faire la lessive dans le ruisseau.

Doucement, il s’approche et demande :

— Bonjour, c’est vous Katty ? Je suis chargé de vous ramener au camp militaire.

— Ah ! Oui et pourquoi ?

— Vous avez été enlevée et je viens vous libérer.

— Qui vous a dit que j’avais été enlevée, je n’en ai pas connaissance. Je remplis une mission éducatrice dans la tribu.

— Excusez-moi, mais on m’a dit de votre mari s’est plaint de votre enlèvement.

— EH ! Bien, dans sa maison, chez lui, là-bas j’étais un peu prisonnière, ici par contre, j’ai pleine liberté et si je veux partir, c’est quand je veux, mais je ne veux pas retrouver la tutelle de mon mari que j’ai été forcée d’épouser.

À ce moment-là, la jeune sur de Msuro, frappée par la beauté de l’uniforme et ce qui l’habite et à priori quand Satan l’habite2, c’est encore mieux, l’invite à manger dans leur tipi. Lui-même est très touché par cette beauté un peu exotique.

Kitty, cependant ne peut s’empêcher de lui faire remarquer qu’étant militaire, son temps et sa personne ne lui appartienne pas, tout au moins pas tout de suite.

Un peu gêné par cette emmerdeuse qui se met en travers de son chemin de séduction, Balthazar ne peut s’empêcher de protester.

Cependant, Kitty qui n’est pas tombée de la dernière pluie, lui demande de dire clairement quelle est sa mission avec la tribu et tous les à-côtés.

— Je crois que pour cette partie, il vaut mieux demander à Lamy, en fait je suis à ses ordres.

La lessive étant faite, Mamadou et Nestor absents,

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