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Naima une petite beurette de 38 ans – Chapitre 1

Naima une petite beurette de 38 ans - Chapitre 1



Je suis Naima une petite beurette de 38 ans, 1m59, les yeux marron, vendeuses en parfumerie. J’ai de longs cheveux noirs que j’aime brosser. J’ai des lèvres pulpeuses, un corps athlétique. Je fais du sport, je fais du fitness et du jogging régulièrement.

Je fais un 85D avec des tétons en pointe, les petites lèvres de ma chatte sont plutôt… très grandes (c’était un complexe plus jeune), j’ai aussi un gros clito très sensible qui ressemble à une petite bite ; avec tout ça j’ai un bon gros cul de black (il parait) et je suis une grosse chienneje l’avoue.

J’habite avec mon mari Djibril un franco-camerounais, il est aussi vicieux et pervers que moi. Il fait 1m98, il a 32 ans, black, il faisait du basket quand on s’est connu. Aujourd’hui, il est mécano et il a son propre garage. Évidemment, je suis avec lui parce qu’il a une bite énorme de 24cm avec un gland gigantesque et pour mon plus grand plaisir, il m’encule toujours brutalement.

Je le confesse j’adore la sodomie depuis longtemps. Aujourd’hui mon anus ne ressemble plus à rien. Mon trou du cul à plutôt l’aspect d’un chou-fleur brunâtre boursouflé et tombant.

Ce que j’aime le plus c’est cette sensation quand une grosse bite pousse contre mon anus, le force violemment et écarte les sphincters. Ensuite, j’aime sentir le gland pénétrer mon rectum cm par cm, sentir la progression de la bite en moi, et enfin, la sentir buter au fond de mon trou du cul avec deux bonnes couilles qui frappent ma chatte gluante.

À ce moment-là, c’est le bonheur ! Je me sens déchirée, écartelée, possédée au plus profond de mes entrailles, de mon être et de mon âme. Je suis secouée de spasmes, mes jambes tremblent Je me sens femme. Je me sens chienne. Je me sens vivre. Je jouis du cul.

La sodomie, ça a commencé quand ma mère nous a quittés mon père, mon frère et moi, pour un homme plus riche, un pharmacien un grand black très classe. La pharmacie du quartier voisin. J’avais 18 ans.

Elle nous a quittés du jour au lendemain. Elle nous disait être partie au chevet d’une amie malade, mais au bout de 3 jours, elle est revenue prendre ses affaires une nuit. Ma mère essayait toujours d’être bien habillée malgré nos finances, mais là, sa tenue avait l’air froissée et elle avait aussi beaucoup de traces blanches sur sa robe.

Dans leur chambre, ma mère était calme, froide. Elle rangeait ses habits négligemment dans un grand sac en cuir d’une marque de haute couture. Mon père pleurait comme un enfant. Les larmes aux yeux, la morve au nez, il reniflait bruyamment. Je les entendais. Il lui hurlait de ne pas partir, qu’il l’aimait plus que tout, qu’il en mourrait, qu’il se suiciderait si elle le quittait mais ma mère s’en amusait. Calmement, elle le rabaissait, elle lui expliquait qu’il ne la méritait finalement pas, que moussa osait tout avec elle, qu’il faisait tout ce que mon père ne pouvait pas faire, qu’il ne sera jamais à la hauteur devant moussa.et tout ça très froidement pendant que mon père hurlait des phrases en arabes et pleurait à gros sanglots.

Sa femme, les soirées en famille, les fous rires à table, l’amour d’une famille unie, les souvenirs communs, le monde de mon père s’effondrait. « Un noir ?! Avec un Noir ???!!!!!…. »

Après nous avoir embrassés, dans les cris et les larmes de mon père, elle prit son gros sac puis sortit de l’appartement. Mon frère Rachid et moi étions malheureux de voir notre mère partir, surtout comme ça, sans vraiment comprendre. Elle prit rapidement l’ascenseur. Mon père, effondré, lui courut après dans les escaliers, les descendants 4 par 4. Il a descendu 5 étages en pleurant devant des voisins parfois peu compatissant par rapport au bruit occasionné.

En bas, dans le parking, il voit finalement ma mère s’approcher d’un cabriolet 308CC noir. La capote s’ouvre. Le mécanisme est lent. Mon père est subjugué. Un puissant sentiment d’infériorité le saisit. Elle ne voyait plus mon père, il avait disparu à ses yeux. Un grand noir, très classe, rasé, la cinquantaine, très foncé sort de la voiture, embrasse goulûment ma mère prend sa valise et la place de le coffre. Ensuite, il ouvre la portière de ma mère. Radieuse, elle monte dans le bolide comme au ralenti, sans un regard pour mon père. Avant de monter à son tour, le grand noir fait un grand sourire et un signe de la main à mon père qui répond machinalement. L’idiot. Ma mère et son nouveau mec démarrent dans un fou rire devant un homme abattu.

Depuis ce jour, mon père a sombré dans l’alcool. Il la harcelait. Il l’appelait, il allait l’espionner dans son nouveau travail à la pharmacie Victor Hugo. Un soir il est rentré avec des bleus. Moussa l’avait molesté devant ma mère m’avait-il confié. Elle a mis une distance entre nous. Son mari, mais aussi nous ses propres enfants. Notre famille était anéantie.

Tous les jours quand il rentrait du travail, il buvait une bouteille de whisky. Il vieillissait chaque jour. Ma mère n’était pas morte, mais sa trahison avait tué mon Père. Parfois il la croisait au volant de sa nouvelle voiture RCZ. Elle avait changé. Tout en elle avait changé. Il pouvait la voir aussi faire les courses, pousser son chariot nonchalamment cambrée dans ses nouveaux vêtements chics et sexys, qui mettent en valeurs les courbes du fessier de cette maman rebeu. Il l’imaginait vivre cette belle vie de bourgeoise qu’il n’aurait jamais pu lui offrir. La honte l’envahit. Évidemment, elle faisait semblant de ne pas le voir malgré ses signes d’appelsHumilié !

Mon frère Rachid de 2 ans mon aîné, l’homme de la famille, était faible devant la déchéance de mon père. Il prit le même chemin; l’alcoolisme. Rachid n’a jamais été dégourdi. L’alcool était devenu, un besoin quotidien pour mes 2 hommes. Évidemment, les problèmes liés à l’alcool apparaissaient : beuveries entre cassos, violences, police, incarcération, dépressions

Dans tout ce drame je devais aller au lycée (l’année de mon bac) et tenir la maison à flot avec 2 boulots (McDo et du babysitting), malgré le fait que je reçoive des coups de l’un et/ou de l’autre. Oui, ils avaient commencé à me battre. Ils me battaient quand je rentrais tard en me traitant de pute comme ma mère, ou quand le repas n’était pas prêt, là jetais une pute feignasse comme ma mère Je prenais surtout des gifles.

La fuite de ma mère, la dépression de mon père, la faiblesse de mon frère et l’alcool ont ruiné notre famille. La santé mentale de mon frère et de mon père déclinait rapidement.

J’étais toujours vierge à 18 ans, mais je me branlais beaucoup. Surtout le soir très tard quand tout le monde dort ou quand ils sont sortis. Je m’évadais grâce à ces séances de masturbation. Une nuit d’été j’étais seule à l’appartement, j’avais du mal dormir, il faisait très chaud. J’ai alors retiré ma chemise de nuit, j’avais une petite culotte de coton et un soutien-gorge tout simple. Malgré cela j’avais toujours chaud je transpirais. Je décidais donc d’aller prendre une douche.

De retour dans ma chambre, je décidai de rester nue. Sur mon lit, je n’arrivais toujours pas à trouver le sommeil. J’ai donc pris mon pc portable et j’ai navigué sur le Net pendant quelque temps jusqu’à aller sur des sites pornosje suis curieuse et je mouille beaucoup.

Je surfais de site en site. Plus je regardais des vidéos, plus j’étais excitée. Machinalement, je me suis mis à me caresser la chatte doucement, je mouillais, je dégoulinais. Les bites m’excitaient vraiment, je regardais les fellations gourmandes imaginant être à la place de ces femmes. Je voyais le sperme épais giclé, je les regardais encaisser ces gros chibres dans leurs chattes baveuses avec plaisir et je les admirais se faire bourrer l’anus avec bonheur

Déjà à l’époque jetais attirée par les blacks.Naturellement, j’ai tapé ANAL BBC et là j’ai vu des Bites. Ces énormes chibres m’ont vrillé l’esprit, je mouillais en continu comme une pisseuse, j’écartais les cuisses. Couchée sur le dos j’avais les cuisses écartées comme une grosse chienne et je me branlais la chatte devant une blonde qui se faisait enculée violemment par une gigantesque bite de noir. Le mec dominait sa femelle, il était sans pitié, il a giflait, l’attrapait par les cheveux pour mieux lui enfoncer sa queue juteuse au fond de la gorge.Toutes ces humiliations, cette agressivité, cette passion m’excitaient follement.

Je n’en pouvais plus, j’étais possédée. Ces images, cette fougue, l’odeur de ces sexes crémeux. Les cuisses écartées comme une chienne, je me suis caressé le clitoris frénétiquement tout en me fouillant l’anus.

Mon esprit s’en va. Je vois ma brosse à cheveux près de mon oreiller. Je regarde le manche de cette brosse. Le manche est fuselé, cylindrique.

C’était obscène ! J’avais le manche de ma brosse à cheveux au fond de mon cul. Plus je branlais mon anus, plus je mouillais et plus je rentrais dans un état second. Je transirais comme une chienne. J’étais sur le dos les jambes remontées sur ma poitrine, mes gros seins ballotaient dans tous les sens. Je frottais, titillais, branlais mon clitoris comme la dernière des damnées, tout en enfonçant le manche de la brosse à cheveux plus loin dans mon cul. J’avais la langue tirée comme une chienne, la bouche baveuse et je gigotais dans tous les sens. J’avais les yeux révulsés, j’étais dans un autre monde.

Mon clitoris vibre à me rendre folle, je frictionne mon clitoris (déjà gros à la base) comme une forcenée, je ne suis plus maitresse me corps je suis une grosse chatte vivante ! Un trou du cul béant, je suis une grosse truie ! Je tiens plus je jouis, comme une folle je hurle des mots d’une rare vulgarité : « Sale chienne », « trou à bite », « chieuse de sperme »

À ce moment-là, mon père ouvre la porte brusquement en criant

:

— Ma fille est une sale chienne comme sa mère la reine des putes !!!

À ces mots il tire mes jambes, me retourne me met a 4 pattes sur le lit. Je suis surprise et confuse j’essaye de m’expliquer, mais avec la brosse dans le cul c’est compliqué. Il la retire violemment de mon cul et il pose son gland sur mon anus douloureux. « Arrrghh mon cul !!! » Il le force. Il pousse, il met tout son poids pour que je m’ouvre. Il a du mal, il me gifle 2 fois.

Tire mes cheveux vers lui et me gueule : « Tu vas ouvrir ton trou du cul !! Pute à black comme ta chienne de mère !! »

Il pousse en criant « Écarte moi ce trou merdeux !!! »

D’un coup mon anus s’ouvre et la colonne de chair avance directement dans mon conduit anal. Je la sens. Je la sens progresser dans mon boyau. J’ai envie de chier. Mon père est en train de m’enculer. Il y va de plus en plus fort. Il me baise le cul, il met toute sa force dans ses coups de boutoir, il y met tout son poids. Il me brutalise. Je prends des gifles de temps en temps. Il veut me faire mal. Il veut m’élargir le trou à merde. Il ressort complètement, je flatule, je pète. Il me la remet, il me bourre encore et encore et il recommence il la ressort. De l’air sort de mon anus. Les bruits sont de plus en graveleux.

Il recommence l’opération plusieurs fois. J’imagine qu’il voulait se venger de ma mère quelque part.

Cette première vraie sodomie fut très douloureuse. À un moment j’avais tellement mal que c’est comme si je sortais de mon corps. Je me voyais me faire enculer comme une chienne. Il me brutalisait me giflait le visage, me claquait le cul Il me prenait uniquement à 4 pattes.

À un moment il a mis l’écran du pc devant mon visage. J’étais sodomisé en même temps je regardais ces images de sexe, ces images perverses, mes fantasmes de bites, d’humiliation. C’est à ce moment que j’ai vraiment pris du plaisir dans cette sodomie violente. Je sentais le sexe de mon père coulisser dans mon anus. J’essayais de ressentir chaque mouvement de cette bite dans mon rectum.

Petit à petit je comprenais que je devais pousser quand sa bite me force le cul et resserrer l’anus quand il repart. J’en jouais. Il me bourrait le cul avec brutalité. Il poussait des cris d’alcoolique, il marmonnait des insanités, des insultes, mais finalement tout ça m’excitait terriblement.

Il reprit l’opération. Il me bourrait l’anus violemment et ressortait. Mon cul faisait un bruit de pompe à vélo. Les images de mes rêves, mes fantasmes défilent toujours sous mes yeux. Une brune typée Latina se fait prendre par deux grosses bites dans le cul, une double anale, je n’avais jamais vu ça. Cet anus déformé rempli de deux grosses bites noires veineuses. Cette image me rend folle. Je me branle mon gros clito. Mes grosses lèvres pendouillent. Cette masse de chair dégouline de mouille odorante.

Je commence à bouger mon cul vers mon père comme une chienne. J’anticipe ses coups de reins. Je regarde mon père et lui dit « Ta fille Naima est une grosse pute comme sa mère. Bourre-lui le cul papa, défonce-lui l’anus !! »

Je bouge toujours mon cul comme une pute. Il ne tient plus, ses coups de reins deviennent saccadés, sa bite gonfle dans mon cul. Il m’encule toujours brutalement. Je tremble, mes jambes tremblent. Je me branle la chatte comme une enragée pendant que mon père venge son humiliation dans mon trou du cul. J’écarte mes fesses à deux mains. Il le voit il accélère, il devient bestial, il grogne pervers. Il souffle bruyamment.

Ses mains serrent mes hanches de plus en plus fort. Il s’agrippe à mes bourrelets, il me griffe. Il me bourre le cul comme un animal. Je bouge toujours mon cul vers lui en le regardant comme une chienne, comme ces filles dans les pornos. Il me traitait de salope, de vide couilles, il m’appelait Bouchra (le prénom de ma mère)

— Prends ça dans le cul grosse pute à black !!! Salope Argggghhhh Je te jute dans le trou du cul !!!!

Il rentre d’un coup dans mon cul et il se vide en grognant le bestiau.

Il m’envoie les premiers jets de foutre dans le cul. Mes jambes tremblent de plus en plus, j’ai des spasmes, mon clito vibre et mon anus est chaud.

« Argh.argh.Arrrrrggggghhhhh Putain !!!!!! Je jouis papa, je suis comme une truie, je suis comme ma salope de maman !!! Je suis un trou du coup gluant !!!! »

Il sort sa bite pleine de sperme et de merde de mon cul juteux. Il m’attrape par les cheveux et tente de rentrer sa bite sale dans ma bouche. Plusieurs fois sa queue glisse contre mes joues et fait des traces marron. Il trouve finalement le chemin de ma bouche. Ma première pipe et première pipe aromatisée. Je savoure la bite que j’ai en bouche, ce n’est pas grave. Elle pue elle pue mon cul, mais je continue, je salive dessus et la nettoie. Je suis trop heureuse d’avoir une bite dans la bouche et de m’être faite enculer ce soir.

Je suce encore je ne veux pas la lâcher. J’essaye de la prendre entièrement dans la gorge, je la sens, son odeur m’enivre. Je la lèche et l’avale encore. Je lèche les couilles poilues et odorantes de mon père quel bonheur. Je crache dessus, je les avale encore. Je remonte vers la bite je ne peux plus m’arrêter. C’est trop bon une bonne bite

Je regarde mon père et dit avec sa bite dans la bouche : « Papa tu pourras m’enculer tous les soirs devant mon film »

Il me regarde et je prends deux bonnes gifles daffilée. Il me pousse me remet en levrette enfonce sa bite dans mon trou du cul encore une fois. Il s’enfonce bien dedans et reste immobile. Je bouge mon cul pour faire le va-et-vient et là je sens quelque chose, je suis trempéeNon !!! Mon père ce pervers me pisse dans le cul. Mon ventre se remplit. J’essaye de bouger, mais il me maintient fermement. Il prend ma tête et la pousse fortement vers le bas. J’ai le cul bien haut et la tête sur matelas. Il m’attrape les deux mains dans le dos et il met son pied droit sur ma tête la position de la chienne ultime.

Il pisse encore un peu dans mon trou merdeux et il se retire brusquement. Il revient dans ma bouche m’attrape et la tête et baise ma bouche sans vergogne ; la sensation de soumission est magique, je bave, je tire la langue comme une cochonne.

Pendant ce temps je pousse pour faire ressortir la pisse de mon cul. L’urine sort par plusieurs jets puissants de mon anus. L’humiliation est suprême ! Des spasmes me parcourent la chatte et le cul, je jouis encore comme une damnée en tremblant du cul comme si je twerkais

.

Après 5 à 8 minutes à me déboîter la mâchoire, à m’en faire baver il jouit dans ma bouche de bonne quantité de sperme. Évidemment j’avale toutil me pousse la tête. Je regarde mon père sortir et je vois mon frère caché près de la porte. Je me remets en position le cul en l’air dégoulinant de sperme de merde et ma tête sur le matelas je m’endors je suis heureuse avec un gout de sperme dans la bouche.

Voilà comment j’ai commencé la sodomie. Évidemment tous les soirs je me mettais à 4 pattes devant un bon porno BBCanal, Beurettes BBC, BABet papa et parfois Rachid venaient m’enculer brutalement. Ils ne m’ont jamais pris la chatte. Ils disaient que ma chatte était pour mon mari. Même une pute doit se marier regarde ta mère.

Aujourd’hui je suis Naima une petite beurette de 38 ans et je suis une grosse chienne.

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