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Naima une petite beurette de 38 ans – Chapitre 2

Naima une petite beurette de 38 ans - Chapitre 2



Je suis Naima une petite beurette de 38 ans et je suis une grosse Salope…

Comment j’ai rencontré Djibril mon mari ?

Je devais avoir 24 ans. Depuis le départ de ma mère il y’ a 6 ans, je me faisais sodomiser tous les soirs, par mon père mon frère et parfois ses potes. J’étais la pute du quartier. Caves, tournantes, sodomies à la chaine… Dans la vie de tous les jours, je suis une jeune femme tout à fait normale… Bon j’ai un plug anal mais personne ne s’en rend compte. A l’époque, je travaillais dans une boite de nuit où on me traitait bien. On me respectait, aucune allusion coquine…

Je me souviens, je m’étais acheté des godes, des plugs… toutes sortes de jouets. J’avais amassé une grande collection de films pornos. Anal bbc only. J’étais une sodomite experte.

Je ne me gênais plus depuis longtemps. Je mettais le film sur la grande télé du salon et je commençais à me masturber. Le weekend c’était toute la journée. J’avais pris l’habitude d’avoir un plug dans le cul presque constamment, ça m’aidait à m’élargir l’anus le plus possible. J’adore, c’est… divin.

Je n’étais plus vierge. Un dealer m’avait baisée. Il m’avait bourré la chatte, un gros lard chauve avec des dents en moins, Ovidiu un roumain de 43 ans de la cité voisine. Il n’était pas seul ce jour-là. Ils étaient plusieurs. Ils nous avaient baisés moi et mon frère dans une cave parce que mon frère lui devait de l’argent. Ce drogué de Rachid nous a mis dans une situation dramatique.

Mon frère et moi, nous étions positionnés en 69 pendant toute une soirée à nous faire baisés et enculés. C’était le seul moyen de rembourser sa dette de 150… Evidemment je devais sucer toutes les bites qui sortaient du cul de mon frère Rachid et lui également. Il devait avaler toutes les bites qui sortaient de ma chatte ou de mon cul. C’était bestial. Il a assisté en live à mon dépucelage brutal par la bite de Ovidiu le dealer de crack de la cité.

Un souvenir impérissable… Ce gros lard transpirait, il puait. Il a enfoncé sa bite d’un coup dans ma chatte. Mes grosses lèvres palpitaient ; c’était nouveaux douloureux, mais intense. Il m’a pilonné la chatte un long moment. J’avais mal mais j’étais une femme… enfin. Ensuite ils m’ont ravagé la chatte les bougres. Je mouillais comme une chienne et plus je mouillais plus ils étaient durs avec nous. Ils nous bourraient les trous de toute leur force. On prenait des coups de partout. Des gifles, des claques sur le cul, sur les seins, des bifles… Ils étaient motivés.

Au début c’était difficile pour mon frère Rachid, il pleurait beaucoup, puis à force de bourrage, il y a pris gout. Sa petite bite bandait fort. Il suçait tout ce qui passait à sa portée, il se faisait défoncer le cul rudement. Ils nous tamponnaient comme des enragés à la bareback. Les commentaires salaces pleuvaient. On était insultés, humiliés.

« Ils sont frères et surs c’est dégelasse hahaha regarde les ! ».

« Ça reste en famille hahahah bande de salopes ».

« Elle est bonne la chatte de ta sur la gueuse ?!! ».

« Ton frère pue du cul ou c’est toi qui pue de la gueule hahahahaha Sale pute va »

Je voyais les sourires et jentendais les rires de nos violeurs… J’avais honte.

On nous a joui partout. Nos culs dégoulinaient de spermes chauds c’était fabuleux. Rachid est resté. Moi, on m’a libérée vers 2h du matin. Je chiais littéralement du sperme chaud, gluant et parfois visqueux, devant nos tortionnaires hilares. Le flot de sperme sortant de mon cul me déclencha un orgasme foudroyant. Je gigotais, je tremblais mes jambes flageolaient, je pissais un torrent d’urine et Je me suis m’effondrée dans ma position favorite le cul en l’air et le visage au sol.

Jai dû marcher pour entrer à la maison. Pendant tout le trajet je pétais du sperme… cette odeur !

Suite à cette journée éprouvante pour nous deux, il est devenu bi… mais bon c’est une autre histoire…

Enfin Bref… Je disais…

J’étais donc devant la télé les cuisses largement ouvertes, en train de regarder une rousse pousser le sperme de son cul, tout en suçant une bite noire nervurée et luisante. Je mouille grave. Je me branle et enfonce 2 doigts dans ma chatte gluante et odorante. Les mouvements de mes doigts font un bruit de pute mouillée, inondée. Je bave et j’ai la langue tirée comme une chienne.

Je suis concentrée sur cette baise de bouche brutale, le noir ressort la bite de bouche pour la renvoyer de plus belle. La bouche violentée de la rousse fait des bruits de chienne. Ça m’excite et je prends un gode de bonne taille et le rentre progressivement dans la chatte. Je suis pleine. Le cul plugé et la chatte godée, je m’active de plus en plus sur mon gros clito, devant les scènes de sodomies qui s’enchaînent. Je suis concentrée. Ça monte…

Soudain, J’entends les clés, la porte s’ouvre. Je vois mon père, mon frère et Ovidiu le Roumain qui m’a dépucelée. Ils voulaient tous me baiser. J’étais déjà en transe devant un film hardcore et de toute façon, je voulais me faire prendre le cul. Il commençait à gratter.

Ovidiu est le seul à se déshabiller. Je ne comprends pas. Je veux des bites moi. Il est à poils. Je vois cette vieille bite fripée avec un très long prépuce. Sa bite pue jusqu’ici. C’est ignoble. Mon père et mon frère comptent une grosse liasse de billets. Quest-ce qui se passe ? On a gagné au loto ? Je les entends marmonner, comme une négociation… Non !!!! Impossible !

Ils viennent de me vendre au roumain. Non !!

Je suis désemparée. Je me redresse. Le gode que j’ai dans la chatte s’échappe avec des filets de mouille, mon plug anal lui reste bien calé dans mon cul. J’essaye de fuir mais le roumain me rattrape par les cheveux et me fait tomber. En chutant le plug anal sort de mon anus et me fait péter de manière répétitive. Je suis au sol. Je me débats. Il est trop fort ce gros lard. Je tente de mettre des coups mais je pète au moindre effort. J’ai honte et la situation m’excite de plus en plus. Je mouille, ça coule partout sur mes fesses, sur mes jambes, sur le sol. Je bave beaucoup. J’essaye de me redresser mais Ovidiu pose d’autorité son pied sur ma tête.

— Je viens de t’acheter. Tu es à moi. J’ai filé 200 et quelques pastilles à ton père. Regarde comme ils sont heureux.

Là, je vois mon père et mon frère se partager l’argent de ma vente et les cailloux de crack. Il ne me calcule même pas. Pour eux je ne suis qu’une femme, qu’une pute, la reine des putes comme ma mère.

J’ai raté mon bac, je me suis fait virer du McDo, je bosse le soir dans une boite de nuit miteuse pour maintenir notre maison à flot, en plus de ça ils m’enculent régulièrement et eux ils me vendent comme une pute bulgare. J’en peux plus.

Ovidiu a toujours le pied sur ma tête.

— Regarde-les ! Famille de dégénérés.

Il lève subitement la main comme pour me frapper. J’essaye de me protéger, malgré son pied qui presse ma bouche contre le sol, mais un jet de pisse sort soudainement de ma chatte… comme une chienne. Je suis une salope ?! Il rigole, il se moque de moi. Il me traite de grosse putain.

— Hahahaha elle pisse quand elle a peur cette chienne !!!!

Il appuie plus fort son pied sur ma tête.

— Ouvre-toi le cul grosse pute !!

Je m’exécute immédiatement. Je suis trop excitée. Le crane aplati sur le sol, je me cambre au maximum, jécarte mon cul le plus possible avec mes deux mains et je pousse. Déjà que mon cul était boursouflé mais là on pouvait voir un début de prolapse. Anus qui va finalement rester béant avec les années.

Je suis cambrée. Mes 2 mains écartent mes fesses. Les grosses lèvres de ma chatte pendouillent de manière obscène, elles dégoulinent de mouille. Je pue de la chatte. Mon anus palpite, il respire. Il est déjà lubrifié par la mouille qui coule en continu de ma chatte. Mon trou du cul béant s’impatiente. Je vibre. Je pousse tellement fort que je pète. C’était le top départ.

Ovidiu m’encule directe. J’adore ! Son pied est toujours sur ma tête j’en bave. Il m’encule durement, il y met tout son poids. Ce gros lard me défonce le trou de merde. Il m’insulte en même temps, et plus il m’insulte plus mon cul se dilate. Sa bite de 15cm pistonne mon rectum rapidement. Il pousse de plus en plus. Il m’encule avec rage. Il veut me soumettre. Il me frappe le cul fréquemment. J’ai mal, j’ai honte, c’est bon. Il sort de mon cul dans un bruit salace. Je me sens vide d’un coup sa bite manque à mon anus. L’humiliation continue. Il s’amuse à rentrer et sortir de mon trou du cul béant tout gluant. A chaque fois qu’il rentre je pète grassement. Il me prend le cul comme une chienne. Je suis son vide couille. J’aime ça.

D’un coup, il me tire par les cheveux et me ramène vers le canapé devant le film qui continuait. J’essaye de faire la vrai soumise : marcher à 4 pattes mais il me tire tellement fort que je glisse littéralement. Il me traine par les cheveux sur le sol. Il s’assoit sur le canapé et m’installe sur lui de dos. Toujours en anal évidemment.

Il me frappe les fesses pour que je commence à bouger. Je monte et redescends sur sa bite. Elle perfore mon cul, je la sens bien profond. Je me donne à fond. Je me tamponne le cul sur sa bite. Dans cette position, j’ai vraiment envie de chier, c’est trop bon.

Devant moi, le film porno continue sur un bukkake. Une jeune asiatique se fait jouir dans la bouche par de grosses bites noires et les nettoie ensuite. Elle est passionnée, elle aspire le sperme comme une friandise.

Ça me rend folle. Je suis en transe. Je me fouille la chatte, j’arrive à me rentrer 4 doigts tellement je mouille. Je me dégage pour sucer la bite d’Ovidiu. Il s’étonne de mon dévouement, de ma nouvelle passion pour sa bite.

Je me mets à genoux entre ses jambes. Je saisis sa queue merdeuse. Je m’en moque. Je crache dessus et je l’avale d’un coup. Je la suce, je l’avale encore. Je la garde en gorge jusqu’à m’étouffer. J’ai comme un clito dans la gorge. J’enfonce la bite du roumain le plus possible dans ma gorge. Il appuie sur ma tête pour aller plus loin. Je salive bien, je bave. Je la lèche de haut en bas avec une gourmandise non dissimulée. J’aime sucer des bites. C’est bon. J’aime les odeurs de bites. Et celle-ci pue.

Je le suce, encore et encore et je rentre brutalement le chibre dans ma gorge. Je lui mange les couilles, les aspire. Elles sont recouvertes de salive. J’adore, je retourne sur la bite de mon maître. Et l’enfonce encore au fond de ma gorge. Il me tire par les cheveux pour que je respire et recommence l’opération plusieurs fois agrémentée de gifles et autres bifles.

— Grosse chienne va !!! Bouffe bien la petite bougresse !!! Prends au fond !! Tu aimes ça ? Tu aimes ça ? Grosse pute va !!! Dis-le que tu aimes ma bite qui pue la mort hein ??!!! Dit-il en en biflant

— J’aime ta bite. J’aime te sucer la bite même si elle sort de mon cul.

— T’es qu’une salope hein ?!! Dis-le, dis que tu es une salope, un vide couilles hein bonne qu’à se faire enculer hein dis le… dit-il en me giflant plusieurs fois cette fois-ci

— Oui, je suis ta pute, ton esclave, ton vide couilles. Défonce ta victime. Bourre mes trous défoncés de salope. Ils sont à toi maintenant. Prends tout je suis ta chienne disponible h24 pour une saillie brutale…

Je parle, mais j’en peux plus il me bourre la gueule devant mon père et mon frère qui se sont mis à se branler en entendant mon monologue de petite catin.

Je prends régulièrement des gifles dans la gueule je finis par aimé ça. Ovidiu… Je l’aime, j’aime sa bite. Il est laid, gros, sale et édenté mais j’aime sa manière de me baiser, m’humilier. Je suis une chienne comme ma mère. Je suis en chaleur en permanence.

Je saisis les couilles de mon violeur de la main gauche et de la droite j’attrape cette bite pour la remettre au plus profond de ma gorge. Le fond de ma gorge se met à vibrer. Je malaxe les couilles, je les presse et de la main droite le branle dans ma bouche. Je gigote, je tremble de partout, mon clitoris vibre, il me chatouille, une chaleur m’envahit. Jai des spasmes je jouis. Je jouis sans lâcher la bite toujours engouffrée dans ma bouche. Je m’étouffe pendant que je jouis. C’est tellement bon.

Un éclair me transcende je suis abattue par cette jouissance. Le roumain subjugué par cette performance me jouit dans la gueule. J’avale tout. Je suis déchaînée je lèche, je suce, je mange tout. Mon engouement pour sa bite redouble devant tout ce sperme, ce gout de sperme, cette odeur.

Excité il veut jouir une 2e fois. Il me pousse sur le canapé à 4 pattes le cul en l’air et la tête sous le coussin. J’écarte mon anus avec les 2 mains. Sans hésiter, il m’encule furieusement.

Je ne suis qu’un trou. Mon anus fait des bruits graveleux. Il s’enfonce et il ressort. Je pète à chaque rentrée. Il se renfonce et il ressort. D’un coup il se déchaîne avec des coups puissants, et brutaux. Il s’agrippe à mes hanches et me bourre le cul.

Il veut me détruire l’anus. Il veut marquer son empreinte sur mon corps. Mon anus se retrousse tellement il est enculé. Je bouge mon cul vers la bite de mon assaillant. Je le sens prendre son élan pour me la mettre plus fort dans le cul. Il me donne maintenant des coups secs, violents. Il y va fort, très fort, de plus en plus fort l’animal. Je le sens craquer sa bite palpite dans mon trou du cul. Ses coups sont de plus en plus rapides il souffle de plus en plus bruyamment. Il grogne comme un porc, il marmonne des insultes en roumain.

Soudain il se fige dans mon cul. Il me jouit dedans en criant comme un forcené.

— Argggghhhhhhh SSSalopeu… !!!! Putain de merde !!!!Je te farcis l’anus grosse chienne !! T’es vraiment la reine des putes !!! Putain !! Ton anus masse ma bite c’est fou… Argghhhh

Sa jouissance dans mon anus déclenche la mienne. Une vague de bien-être m’envahit, ma chatte se gonfle de jus, mon clito vibre, mon cul gigote, et je pisse. J’envoie de gros jets d’urine sur le canapé.

Toujours à 4 pattes sur le canapé, j’essaye de pousser pour faire sortir le sperme de mon rectum mais je n’y arrive pas.

— T’es vraiment une tarée toi. Vous êtes vraiment une famille de dégénérés. Grosse chienne en chaleur tu m’as bien fait jouir. Tu seras bien chez moi. Tu vas aider ma mère pour le ménage et le reste. Elle a des besoins spéciaux. Vous 2 venez là ! Enculez votre fille une dernière fois !

Les 2 morpions se précipitent sur mon cul. Mon frère me pénètre avec sa nouille de 11cm. Il me prend avec des mouvements rapides. Il jouit vite et me remplit le boyau. Je le regarde l’air mauvais. Éjaculateur précoce !

Mon père prend le temps de bien enfoncer le gland, de pousser, passer les sphincters, de pénétrer le rectum et progresser doucement jusqu’au fond de mon de trou du cul. C’est bon.

Là il me pistonne, il est sans pitié. Il m’encule et me frappe en même temps. Je me débats mais ça bite est bien fixée dans mon cul. Il me gifle, il me claque le cul.

Des claques violentes sur les fesses, sur les joues. Des claques pour faire mal physiquement et psychologiquement. Malheureusement pour lui, je suis devenue plus forte. J’ai compris. J’ai compris le pouvoir de mon cul. Je pousse quand il rentre et serre les fesses quand il ressort. Je bouge mon cul vers sa bite pour l’excité. C’est mon père quand même…

Il continue de me démolir le cul. Je suis une sodomite. J’adore ça. Il me défonce, mon père me ravage l’anus de toutes ses forces avec de grands va et viens brutaux ponctués d’insultes.

— T’es la reine des putes comme ta mère. T’as le sperme de ton frère et d’un migrant dans le cul. T’as pas honte ?! Hein ?!!! Hein ??!!… Arghhh… Arghhhhh… Chienne va !!! Arghhh Naima mon enfant, je jouis ma fille, je jouis dans le trou du cul de ma Fille cette grosse puteuuuuu !!! Arghhhhh… Argh… Argh… Salope va !!

— Oui papa !! Jouis dans mon cul. Remplis de sperme, souille ta fille avec ta queue crasseuse.

J’avais les deux mains sur mes fesses et il me remplissait littéralement. Il me faisait le plein de sperme. J’avais maintenant le sperme de mon frère, d’un migrant et celui de mon père dans le cul. Suis-je vraiment une tarée dégénérée ?… En plus j’ai du sperme et un gout de merde la bouche.

Ovidiu m’attrape par le bras me redresse et jette des escarpins et une robe ras la touffe. Je trouve le courage de me lever. Je m’habille devant eux. Je n’ai pas de culotte, je sens mes grosses lèvres dandiner j’adore.

Je pue de la chatte, mon anus dégouline de sperme. Je le bouche avec un gros plug.

Je me dirige dans la salle de bain. Je me nettoie juste le visage. Je me maquille, je me regarde. Je me trouve belle. Je ressors de la salle d’eau. Je prends une valise et j’y mets toutes mes affaires. Enfin surtout des fringues, mon pc et mes sex toys.

Je me dirige vers Ovidiu, je l’embrasse goulûment et nous quittons l’appartement sans un regard pour mon père. Comme ma mère il y’a 6 ans.

Je suis heureuse. Grâce à lui, je vais sortir de cet endroit maudit. Ovidiu ce raté n’a pas de voiture. J’aurais aimé les quitter comme ma mère. En montant dans une berline de luxe.

Nous nous dirigeons vers l’arrêt de bus pour aller chez mon nouveau maître. Il marque son territoire en me caressant les fesses devant tout le monde. Je rajuste ma micro jupe toutes les 10 secondes. Il abuse. J’ai honte. J’ai l’impression que tout le monde voit le sperme séché sur mes cuisses, ou que tout le monde sent ma chatte poisseuse… malgré ça, je le laisse faire.

Le bus est là nous montons et nous nous dirigeons vers le fond. Ovidiu me place au milieu de la rangée du fond. C’est dire que tout le monde me voit. Evidemment il me demande d’écarter les cuisses tout le long du trajet… bon il y a 3 arrêts. Il me doigte devant tout le monde. Il m’enfonce trois doigts dans la chatte, me les fait sucer tout en regardant une mamie trop curieuse droit dans les yeux. La vie dans la cité…

On arrive chez lui… Un t3 dans un état abominable. Comment peuvent-ils vivre dans un tel dépotoir ??

Je rencontre sa mère.

Elle est un peu austère, un visage sévère surtout maquillée comme un camion volé un jour de carnaval. De taille moyenne, un gros cul de maman.

Elle semble se complaire dans ce désordre. Ovidiu et sa mère discutent en roumain, ils semblent se disputer. Je le vois lui jeter de petits cailloux. Elle se précipite et consomme sa drogue dans la foulée…Ça promet !

Complètement dans les vapes. Simona, la mère d’Ovdiu s’affale sur le canapé. Là Ovidiu me dit : « Regarde »

Il prend sa mère, il la positionne à 4 pattes sur le sol. Il remonte sa robe. On dirait qu’elle semble être habituée. Il baisse sa grosse culotte tachée. Il lui met quelques claques sur le cul et lui pénètre sa grosse chatte charnue et poilue d’un seul coup. Je regarde le spectacle comme hypnotisée, je suis subjuguée.

Il baise sa propre mère. Il lui bourre la chatte vite fait et remonte inexorablement vers l’anus boursouflé de sa mère. Il lui rentre sa bite lentement mais surement. Une fois calée dans le rectum de la vieille. Il commence à bouger de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il grogne. Il insulte sa mère en roumain. Il frappe régulièrement le cul fripé de sa mère. Il y met toute sa force. Les coups de butoir qu’il donne à sa mère résonnent dans l’appartement et dans ma tête. Il y va comme un bourrin. Après un moment de ramonage de fion intensif, il lui jouit enfin dans le cul dans un râle animal. Il vient d’enculer sa mère devant moi le bougre !

Elle s’effondre, sous le choc de cette sodomie dévastatrice, en marmonnant des mots en rom. Ovidiu sort la bite du cul de sa mère. Le vieil anus est resté partiellement ouvert. Le sperme s’écoule du trou de la vieille comme un filet d’eau du robinet. Je mouille.

Ovidiu s’approche de moi et je vois sa petite bite tachée de merde.

— Nettoie-moi la bite. Elle est sale.

Je le regarde dans les yeux d’un air interrogateur. Je voulais lui dire que sa bite sortait quand même du cul de sa mère et qu’elle puait sa mère. Mais quand j’ai ouvert la bouche. Il m’a immédiatement rentré son chibre sale dans la bouche.

Je la nettoie et finalement j’aime ça. J’en raffole. Elle pue la merde, la pisse et le sperme. Le clito que j’ai dans la gorge commence à chatouiller je me branle avec mes deux mains en même temps que je suce cette bite.

Je jouis, mes jambes flageolent, mon plug anal tombe et tout le sperme que j’avais dans le cul ressort. Trois spermes différents quelle chienne je suis ?!

Je suis passée d’un enfer à un autre. C’était le premier jour.

Nous vivons comme ça pendant quelques mois. Il encule souvent sa mère dans la matinée et je dois lui nettoyer la bite. Sa mère parfois aspire le sperme que j’accumule dans mon cul ou ma chatte. Notre routine matinale.

Je fais le ménage dans cet appartement. J’essaye de rendre ce taudis vivable. Je travaille par-ci par-là, pour gagner un peu d’argent. J’ai décidé de mieux m’habiller. Je ne suis pas qu’une pute.

Mon maître Ovidiu a de plus en plus de problèmes avec ses fournisseurs des Bulgares. Il stresse. Il devient nerveux et quand il est comme ça. Il nous bat et nous viole sa mère et moi. Souvent même il nous viole en nous frappant en même temps. J’aime la baise, la soumission, et je suis belle… Mon cul mérite mieux que ça

Au fur et à mesure, la passion s’estompe. Ovidiu me baise toujours, mais les humiliations sont moins fortes. Il boit beaucoup, il se drogue… il bande moins. Du coup j’ai plus de temps pour moi. Je regarde toujours du porno hardcore toute seule ou avec sa mère. Je me suis mise au sport et à la danse hip hop, surtout le twerk ça me correspond. Je suis musclée et j’ai toujours un gros cul. Mais ce fils de chienne me frappe encore.

J’ai un nouveau travaille dans une boite nuit chic Le Beach Club. Une boite de nuit Afro-Antillaise. Je m’y sens bien, je suis une BAB (beurette à black). Ça me change. Je suis au bar, en salle… Je suis polyvalente. C’est dynamique, et j’adore ça. En plus on a une tenue. C’est un shorty, et un haut de maillot Beach Club. Je suis super bonne dedans avec mon plug. Le patron m’aime bien je crois. Mr Corsini. C’est un vieux blanc qui a fait l’Afrique noire, le Cameroun je crois. Il est discret et très gentil.

Ovidiu et Simona sa mère m’oblige parfois à les faire rentrer dans le Club. Mais ils ne sont pas assez classe pour cet endroit. Il faut qu’ils ouvrent les yeux.

Ovidiu et moi commencions à nous éloigner. Petit à petit je repris une vie normale. Je voyais qu’il faisait des efforts. Il ne me battait plus, il m’enculait plus souvent, il m’humiliait un peu plus mais… je n’y étais plus. Un samedi soir, lui et sa mère m’ont demandé de les faire entrer au Beach Club. Pour faire preuve de bonne volonté j’ai accepté.

Bilal et Victor les physionomistes ont failli le recaler. J’ai dû intervenir. Ca commençait mal. De plus, Il me reprochait d’être habillée comme une pute. En fait j’avais un shorty, des talons hauts et un haut de maillot de bain Beach Club. Il faisait le jaloux, il voulait montrer à tout le monde que je lui appartenais. Il me caressait les fesses, il me claquait le cul devant mes collègues ce looser. Je me suis rendu compte que j’étais trop bien pour lui.

Malgré tout, Je les ai mis bien comme on dit. Je leur ai pris un salon à côté du salon VIP, et deux bouteilles de Jack. Ils devaient juste me laisser faire mon travail.

Tout se passait bien. J’allais et venais. Je plaçais les clients dans les salons. Je prenais les commandes, je ramenais les bouteilles… Il m’arrivait de discuter avec les gens, de rire, de danser. J’étais à l’aise. Dans mon élément. Mais je sentais le poids du regard d’Ovidiu sur moi. Il me surveillait le jaloux. Je m’en foutais.

Je voyais Simona, la mère d’Ovidu enchainer les verres de whisky. J’ai même vu des blacks affamés la draguer devant son fils, dégouté. C’était un bon début de soirée.

La soirée se passe effectivement bien. La boite est bondée. Il y a du monde dedans et du monde dehors. Le DJ joue les derniers morceaux Hip-hop. Les gens dansent et s’amusent. Il y a une grosse ambiance ce soir. Vers 4H du matin un groupe arrive. Ils sont nombreux ce sont les VIP. Le fils du propriétaire joue au basket dans l’équipe de la région. Ils ont gagné le Championnat. Je les installe. Que des garçons blacks mais les filles sont de toutes les ethnies. Des blanches, des noires, des métisses, une asiatique, des beurettes… Une quinzaine de personnes.

Les mecs sont immenses entre 1.88m et 2.10m à peu près. Impressionnant… Enfin… Normal ce sont des basketteurs.

Je les installe dans le salon Vip. Ils sont très gentils, taquins mais très sympathiques. Surtout Djibril, Djibril Corsini un petit jeune, il doit avoir 18ans. 1.98m. Mon futur mari. Ils commandent des champagnes, des vodkas, whisky… Plus de 4000.

Le DJ annonce la présence de l’équipe sur une musique épique. Il les félicite, et particulièrement Djibril Corsini pour ses 37points en final. Je reviens avec les commandes. Sur du « Carmina burana » et 2 gogo qui m’accompagnent. Nous sommes super sexy et on apporte les bouteilles de champagne dans des seaux énormes avec fontaines de glaces, feux d’artifices et canons confettis

Il y a toute une mise en scène. Elles dansent pour eux pendant que je sers les clients. Le salon VIP est très animé. Les filles dansent et c’est de plus en chaud.

Ovidiu me regarde méchamment quand un des blacks me parle. Je tempère mes ardeurs. Tous ces grands black autour de moi. Leur charisme, leur nonchalance, leur assurance… Des Hommes. Je mouille. Ils me parlent. Ils plaisantent. Ils me touchent. C’est comme si on se connaissait depuis des années. Tout le monde danse. C’est de plus en plus sensuel.

Ovidiu se dispute avec sa mère parce qu’elle boit trop et se fait draguer par des gars de la boite. Ils me fatiguent ceux-là.

A part 2 ou 3 esclandres tout se passe plutôt, je me fais draguer par les basketteurs sous le regard d’Ovidiu. Je me lâche. Je commence à danser avec eux. On s’amuse mais je dois bosser.

La soirée continue. Je m’occupe d’autres clients. Même ambiance. Je m’amuse beaucoup. Je vois Simona la mère d’Ovidiu se faire doigter par des blacks justes à côté de son fils. Elle est bien entourée la chienne. Je continue. J’installe les clients, prends les commandes et les ramène.

Petit à petit la discothèque se vide. Les clients s’en vont.

5h du matin. La soirée est terminée. On ferme. Il reste le salon VIP. Ils ont la boite pour eux. Ils m’invitent à venir. J’avance vers le salon. J’ai terminé. Ils sont heureux, ils m’accueillent comme une amie il m’offre des verres. Ils plaisantent sur ma tenue et mon boulot. Ils commencent à me toucher. Ils décident de faire l’after sur place. C’est là que j’ai compris que l’un des VIP était le fils du patron. Le DJ remet de la musique. On danse je ne pense plus à rien, juste à m’amuser.

Ovidiu et sa mère s’invitent dans le carré VIP. Je précise que je les connais et tout se passe plutôt bien.

L’ambiance chauffe, tout le monde danse. Les filles commencent à se toucher. Elles se font des bisous devant les blacks. C’est sensuel. Des couples se forment et se déforment. Les caresses se précisent. Ça sent la transpiration… Je transpire.

Le plug dans mon cul commence à chatouiller. Je mouille. Tout le monde a le sourire même Ovidiu et Simona sa mère.

Les danses, les mouvements sont de plus en explicites. Je me mets à twerker, j’adore. Je bouge mon cul dans tous les sens. J’adore le Hip Hop, la Trap. Je me mets à 4 pattes sur une des banquettes et je commence à bouger mon gros cul. J’aime les femmes dans les clips de rap. Elles bougent leurs gros culs comme des chiennes. J’en suis une. Je mouille beaucoup là.

Je bouge tellement bien mon cul que tout le monde se tourne vers moi. Je deviens l’attraction. Je bouge de plus en plus. Je fais ma salope. Les filles m’imitent. Elles se mettent à 4 pattes et elles bougent aussi leurs culs. Je mouille énormément.

Les mecs sont aux anges. Ils commençaient à donner des fessées de plus en plus appuyées. Tout le monde est excité. Djibril Corsini, le meilleur joueur de l’équipe était juste derrière moi à me caresser les fesses pendant que je dansais. Ma chatte dégouline.

Le DJ passe la chanson de Cardi B « Bodak Yellow ». Je suis déchaînée. Je bouge dans tous les sens. Les mouvements de mon bassin sont très explicites. Petit à petit je baisse mon shorty. Mon bijou anal apparaît mon plug. La foule s’affole, Les grands blacks crient de joie, ils voient que je mouille comme une grosse chienne. Des bites sortent. Des mains me malaxent de partout, c’est bon. L’ambiance est vraiment chaude. Les autres filles étaient déjà nues ou en sous-vêtements, en train de se faire prendre la bouche, chatte ou le cul.

Je voyais des bites par-ci par-là. Je suis impressionnée par la taille et l’arrogance de leurs queues juteuses. Ça commence à baiser. J’entends des gémissements, des bruits de succion, des râles… Je vois Simona se faire doigter par 2 blacks, elle est heureuse la salope. De la chair fraîche pour cette vieille pute. Une partouze avec des basketteurs blacks.

Ovidiu pousse tout le monde, notamment Djibril et retire brutalement mon plug anal. Il joue les petits chefs mais il est bourré. Il agrippe mes hanches et m’encule violemment. Je pousse un cri animal. Les basketteurs encouragent Ovidiu à me baiser durement.

C’est son heure de gloire. Il est heureux, il fait le dominateur devant une bande de Blacks plus grands et plus volumineux que lui. Il me bourre le trou du cul devant tout le monde. Il se déchaîne. Il me met des claques sur mes grosses fesses. Il me sodomise vraiment fort en me tirant par les cheveux. Il me traite vraiment comme une grosse pute. Il rentre et ressort sa bite avec autorité. Je le sens heureux.

Je suis toujours à 4 pattes et soudain, j’entends du mouvement derrière moi. Ovidiu ne me pilonne plus. Je sens un vide dans mon trou du cul. Djibril vient de pousser Ovidiu. Il est au sol. Il se rebiffe et veut faire le voyou de cité mais ça ne marche avec des blacks de plus de 2metres. Il se sent honteux. Il baisse la tête et sa petite bite

Djibril pose son énorme verge noire (un monstre avec une couronne perlée et des veines saillantes) de 24 cm sur l’anus, en regardant Ovidiu dans les yeux. J’étais enfin une vraie pute à blacks. Cette bite Je l’ai senti passer. Ce n’était pas Ovidiu là. C’était une grosse bite de Blacks. Je tombais amoureuse.

Son gland est rentré non sans mal. J’en avais le souffle coupé. Il m’a perforé. Mon anus était distendu au maximum. La progression de ce monstre dans mon rectum fut laborieuse et douloureuse mais je la voulais. Ce plaisir de se sentir écartelée comme une grosse pute. Je l’ai bien senti au fond de mes entrailles. J’avais du mal à respirer. J’étais prise. Il m’a défoncé l’anus comme un malade en regardant Ovidiu humilié. Il me tamponnait comme un malade et je gueulais comme sa salope. Mon cul s’était déformé. Prolapse.

— Regarde Ovidiu !! Arrrgg… Elle est plus arrggghhh… grosse que la tienne. T’as vu sa bite ? T’as vu ce monstre ?? Lui… Arggghhh… il me perfore le cul. Il me déboite. Arghhh… Putain j’ai mal au cul !!! J’aime ça !!!! Argghhh… Tu… Tu vois Argghhh… Je me pisse dessus !!! Regarde Ovidiu Je me pisse dessus pendant qu’il m’encule.

Tout le monde se moque d’Ovidiu. Il ne sait plus où se mettre. Il cherche quelqu’un des yeux, un soutien… Il voit sa mère avec du sperme sur le visage, se faire prendre par deux blacks dans un coin. La gueuse ne s’occupait plus de son fils, elle bouffait des bites. Il était perdu, absent, déboussolé. Il essaye de partir…

— Regarde Ovidiu !! Où tu vas ? Regarde comment un vrai homme me baise. Je mouille comme une grosse salope. Regarde il m’éclate l’anus. Arrrgghhh C’est trop bon. Je jouis Oh Je jouis Oui c’est bon !!! Je te quitte !!! Je te largue Gros looser !!! Hahaha Il me remplit le cul de sperme de black…

J’étais sur un nuage. Depuis ce soir ou Djibril m’a explosé le cul, je suis avec lui. C’est mon mari et je l’aime.

Je suis Naima une BAB, bitch à black. Une grosse chienne comme ma mère.

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