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Nanie chez les blacks – Chapitre 1

Nanie chez les blacks - Chapitre 1



Cette histoire est arrivée il y a quelques années, j’avais à l’époque 25 ans et j’avais rejoint en Côte-d’Ivoire mon ami.

Un soir il rentre de son travail et m’annonce que son patron lui demande de remplir une mission de quelques jour au Sénégal, à Dakar et que, si je veux, je peux venir avec lui. Je pourrais m’occuper à visiter la ville et à faire de la bronzette. J’accepte avec plaisir, d’autant que rester seule avec le boy Norbert en Abidjan, ne m’enchante guère. La semaine suivante, nous nous retrouvons à Dakar, logés au TERANGA, un hôtel de luxe avec galerie marchande, piscine, et plage en face. À côté, la Place de l’Indépendance et le centre-ville.

Je passe des moments agréables à ne rien faire. Mon ami se lève tôt car il commence son travail et ses rendez-vous dès 7h30 le matin, pendant qu’il fait encore frais. Je descends à la salle à manger vers 9h30, j’y prends mon petit-déjeuner. Puis plage, piscine, grillade-salade et re-plage, balade en ville dès qu’il fait plus frais. Puis lorsque mon ami rentre, dîner, soirée à deux et dodo. Je suis en fait souvent seule et je commence à m’ennuyer un peu après quatre jours.

Je devais ce matin là avoir la tête de quelqu’un qui s’embête, car un des maîtres d’hôtel, que je voyais tous les jours, un type très baraqué, 1,90m, 100 kgs, Yousouf, s’inquiète de ma tête et commence un longue conversation, qui se prolongera sur plusieurs jours encore. Il est sympa, me donne des conseils où me promener, quoi voir, a de l’humour, nous sympathisons et une complicité amicale s’instaure.

Un soir mon ami m’annonce qu’il est obligé de rester dîner avec un client et que je dois me débrouiller seule parce qu’il ne rentrera que vers 23 heures. Je suis partagée entre la déception et la colère de rester seule pour la soirée, mais enfin, c’est mieux que d’être seule en Abidjan. Je descends au restaurant de l’hôtel, sous l’oeil amical de Yousouf qui me fait servir un bon repas. Puis je remonte dans notre chambre vers 21 heures pour prendre ma douche et regarder la télé locale. Il me vient alors l’idée de faire monter une demi bouteille de champagne pour me consoler d’être seule. J’appelle la réception et je passe ma commande. On me dit que le nécessaire va être fait, comme je connais les délais de prestation dans les hôtels, je décide de passer en vitesse sous la douche, ce que je fais en un quart d’heure, passe un string de dentelles et un soutif assorti pour attendre mon ami. Lorsque je sors de la salle de bain, je pousse un cri : Yousouf est là, un plateau à la main, avec ma bouteille de champagne. Il me dit :

— N’ayez pas peur, j’ai vu votre commande et j’ai décidé avant de partir, de vous la porter moi même.

Il pose le plateau sur le guéridon. Se retourne et s’approche de moi, gourde tétanisée, à moitié à poil au milieu de la pièce !

J’essaie de cacher une partie de moi-même avec mes bras, mais il n’y en aura jamais assez !

— Madame que tu es belle !! Me dit-il.

Et il approche encore de moi, ses mains touchent mes épaules, m’agrippent, me tirent vers lui, j’avance comme dans un rêve, je me décide à me rebeller :

— Mais je suis mariée !! Laissez-moi !

— Tu as déjà eu un amant noir ? Lance-t-il.

— Non et je n’en veux pas, attention je vais crier.

Il continu sa manoeuvre et je me retrouve collée à lui, sa bouche prend la mienne et je sens sa langue prendre possession de moi et ma résistance faiblir. Sentant que je deviens consentante, il s’enhardit et ses mains glissent derrière mon dos, le caresse un moment s’attarde sur le soutien-gorge qu’il dégrafe et fait tomber. Il recule d’un pas pour admirer ma poitrine, ferme et tendue, du 95 C. ses mains prennent possession des mamelons qu’il pétrit, sa langue toujours fichée dans ma bouche, ses lèvres étouffant ma rébellion qui est de plus en plus discrète. Il me pousse vers le lit où je m’écroule, sur le dos, la masse imposante du Sénégalais sur moi. Je sens son pubis se frotter sur le mien et c’est sans ambiguïté qu’il exprime à travers les duretés de son bas ventre le désir que je lui suscite ! Il me caresse, m’embrasse, suce mes seins, s’attaque à mon entrecuisse, lève mes jambes et fait glisser mon string, dernier et fragile rempart de ma fidélité ! Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue s’active sur ma chatte, mon clitoris, je ne peux résister plus longtemps aux caresses, mes reins ondulent, il voit mon accord implicite pour cet accouplement qu’il veux m’imposer. J’essaie pourtant de résister encore un peu pour le principe peut-être :

— Non arrêtez Yousouf, laissez-moi, je ne dirai rien à personne.

— Si madame, laissez-vous faire, vous avez envie de connaître une queue de noir, vous allez aimer, comme toutes les blanches.

Je ne peux que gémir pour toute réponse et il en profite pour accentuer sa prise de possession. Il se redresse, tenant mes jambes levées à 90?, d’une main, pendant que de l’autre, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis de me lâcher et de se déshabiller normalement, il lâche mes chevilles et me demande de garder les cuisses écartelées afin de pouvoir admirer ma chatte. Il ne s’en prive pas, impudique offrande au désir du mâle. Je vois tomber le pantalon et bientôt le slip, libérant un sexe tendu et disproportionnépar rapport à ce que je connaissais, mon ami étant pourtant bien membré. Mais là sa bite tendue fait au moins 25 à 30 cm pour 5 ou 6 cm de diamètre, toute noire velouté. Ses couilles, très grosses semblent bien lourdes. Conscient de sa supériorité, il me laisse admirer son engin :

— Alors Madame, je n’avais pas raison ? Tu vas aimer !

Je ne sais pas quoi répondre, surtout inquiète pour l’introduction. Il se coule sur moi, fait glisser son engin sur mes poils pubiens et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils s’accrocher aux miens, il continu à embrasser mes seins, à les pétrir, à prendre ma bouche. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes et glisse doucement sur mon bas ventre où je sens glisser son membre arrogant jusqu’à l’entrée de ma féminité. D’un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte et, d’une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con, que je sens se déplisser sous l’assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s’habitue, puis d’un puissant coup de reins prend entièrement possession de moi. Je ne peux que pousser un : ’Oh ! ouiiii’ outragé. Il agite lentement ses reins afin de s’habituer à mon antre et me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J’agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l’empalant à fond. Je m’enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d’excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, esclave consentante au Sénégalais ravit.

— Oui vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus !

Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne et me prend en levrette, m’arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et longue que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser, je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater sur mon utérus. Il se retire de moi et s’allonge à coté. Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d’une main pour affirmer sa possession, je lui dis que mon ami risque de rentrer, mais il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu’il en veux encore, que pourrais-je faire ??? Au bout d’un moment, il me fait glisser sur lui et met ma tête sur son sexe :

— Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche ?

Je m’exécute par une savante fellation sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, il redevient un homme. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir faire et bientôt j’ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude. Je continue le massage buccal jusqu’à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme.

Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.

Il me fait mettre à quatre pattes et s’installe derrière moi, je m’attends à être prise encore en levrette, mais je comprends vite qu’il en veut à mon petit trou. Je lui dis :

— Tu es trop gros, pas par là.

— Si, je veux te prendre complètement, tu seras à moi, comme toutes les autres !

Je n’ai guère le temps de discuter davantage, qu’il fait passer son gland dans mon anus qui se dilate et je sens son mandrin continuer la progression, me dilatant encore plus, bientôt il est installé en moi, victorieux. Il commence à me labourer de puissants coups de reins qui m’arrachent des cris de plaisir plus que de douleur !! Ses couilles battent sur mes grandes lèvres dilatées par le précédent assaut. Je jouis encore une fois en toute impunité, sous le joug de ce maudit Sénégalais. Je sens enfin les battements de sa queue qui annoncent que ses couilles se vident en moi, au fond de mes intestins. Nous restons liés un moment, puis il se libère de moi et va se laver dans la salle de bain. Il revient et se rhabille, satisfait d’avoir maté une blanche de plus. Il m’embrasse encore une fois et s’en va. Je me précipite sous la douche, refais le lit et enfin bois mon champagne en attendant sagement mon ami pour une fin de soirée qui sera peut-être animée, après mon entraînement et cette expérience…

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