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Natalie – Chapitre 29

Natalie - Chapitre 29



— Regarde bien, Petite-Louve, comment éros va lui coincer son nud.

— Il n’est pas encore rentré !

— À chaque à-coup, il va progresser, ne t’en fais pas. Ta copine va bien se faire coller par mon beau chien.

Les commentaires de la femme rousse et de Sabrina me projette dans un état second.

Je continue de parcourir de ma langue la chatte qui m’est offerte, mais j’ai du mal à me concentrer sur autre chose que mon ventre.

Je sens le sexe du chien progresser en moi et écarter les parois de mon vagin qui semble maintenant rempli comme jamais.

— Allez, Éros ! Vas-y, prends là, encourage la femme rousse

— Oui, vas-y, tu y es presque ! Ajoute Sabrina.

J’ai de la peine à respirer sous les assauts du chien. J’ai l’impression que le sexe a maintenant atteint le col de mon utérus.

— Alors, Grande-Louve, que dis-tu de mon amant ?

— Je… Je…

— Ça va, Natalie ? s’inquiète Sabrina.

— O… Oui ! Je…

— Ne dis rien, Grande-Louve, concentre toi à faire plaisir à Éros.

J’essaye alors de contracter brusquement mon vagin autour du sexe animal. Mes clients adorent, mais Éros va-t-il apprécier quant à lui ?

En tout cas, il l’a ressenti car il s’est arrêté net !

— Hé bien, Éros, tu cales ? Baise, mon chien, baise la !

À ces ordres le chien repart avec fureur à l’assaut de mes entrailles. Je sens désormais son nud aborder l’entrée de ma vulve. Je sens le col de mon utérus poussé sous une pression énorme. Je sens mon vagin se distendre. Dieu ! Va-t-il me transpercer ?

Cette fugace angoisse disparaît sous le flot de sensations que je reçois de mon ventre. Un peu de douleur, mais énormément de plaisir. Je tente à nouveau de contracter mon vagin. Nouvel arrêt du chien, surpris devant cette sensation. Il commence à émettre une sorte de ululement aigu.

— Baise ! Baise la !!!

— Oh oui, baise la !!!

Sabrina prodigue de façon effrénée ses encouragements au molosse qui recommence ses à-coups de façon très violente cette fois. Ces deux pattes m’enserrent fortement la taille. Je sens ses griffes sur mes cuisses.

Je sens quelque chose mouiller mon dos. Sa bave ? Je m’aperçois avec stupeur que je bave aussi sur la chatte de la femme rousse. Cette dernière, désormais, sait qu’elle n’a plus rien à espérer de moi, tellement je suis en extase ! Aussi sa main a-t-elle prit le relais de ma langue.

Ma vulve se distend maintenant pour laisser place au nud que mon vagin accepte avec difficulté, mais également avec une extase incroyable. Ma réaction est un nouveau spasme du vagin de façon à bien l’emprisonner en moi. Car çà y est, il est en moi et je suis à lui. Nous ne sommes plus qu’un ! Quel bonheur.

Éros émet à nouveau son curieux cri mais reste maintenant immobile, ce qui me permet de reprendre un peu mes esprits et de savourer les ondes de plaisir qui montent en moi.

— Dis-moi, Grande-louve, il est bien en toi maintenant ?

— Oh oui ! Il me remplit entièrement.

— Pas tout à fait cependant, il manque quelque chose. Gicle, Éros !

Un éclair parcours mon cerveau. La sensation d’un jet puissant au fond de mon ventre, mais pas du tout là où je l’attendais. J’ai l’impression de recevoir la semence directement dans mon utérus. Sous le plaisir, mes organes se contractent à nouveau provoquant un nouveau cri du chien.

— Je ne sais pas ce que tu lui fais, Grande-louve, mais je n’avais jamais vu éros dans un tel état.

Les décharges de sperme se succèdent au fond de mes entrailles. À chaque giclée, maintenant je crie mon plaisir et contracte mon ventre. En réponse, le molosse émet un cri puis renvoie un nouvel éjaculat.

Le rythme diminue progressivement. Ma respiration redevient calme.

La femme rousse se dégage de dessous-moi. J’en profite pour m’affaler sur mes bras, tête contre sol, tellement je me sens épuisée. Le basculement de mon bassin à cette occasion déclenche un nouveau spasme de mes organes.

— Il vaut mieux que je le maintienne maintenant, car il va vouloir tourner pour se mettre cul-à-cul avec toi. Comment çà va ? Tu n’as pas eu trop mal ?

— Un peu, mais je suis ravie comme jamais je ne l’avais été !

— Je peux prendre des photos ? Tu as été une si bonne chienne que je voudrais garder un souvenir.

J’hésite un moment.

— Oui, à condition de m’en envoyer un exemplaire.

— Vous me photographierez aussi cet après midi, s’enquière Sabrina.

— Bien sûr, Petite-Louve, à condition que tu te montres à la hauteur de ta copine.

— Vous allez voir ce dont je suis capable !

— Nous verrons ! Ah, attention, il veut tourner ! Je le laisse faire ?

— Oui, je réponds, je veux essayer.

— Il risque de vouloir te traîner un peu derrière lui quand il souhaitera se dégager. Tu n’as pas peur ?

— Non, affirmé-je gaillardement.

— Bon, alors, Petite-Louve et moi allons l’aider à se tourner. Déjà tu as abaissé ta poitrine, cela pouvoir lui permettre de se dégager les pattes avants.

Effectivement, d’un brusque mouvement, le chien dégage sa patte avant gauche et effectue un début de rotation pour se retrouver sur ma droite. Ce mouvement me fait crier de plaisir tant il soulève de sensations en moi.

— Maintenant, Petite-Louve, tu vas soulever doucement sa patte arrière gauche pour la faire passer par dessus le bassin de ta copine. Vas-y doucement. Pendant ce temps, je le maintiens.

Je sens que le chien continue sa rotation autour de mon bassin. C’est tout simplement divin.

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