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Natalie – Chapitre 37

Natalie - Chapitre 37



Je m’avance vers le sac de cuir que me présente Wilma. Je tire cette fois-ci le numéro onze.

— Numéro onze, Valéria ! Dis Wilma à Valéria qui était revenue vers l’estrade.

Je me penche vers Sabrina pour vérifier que tout va bien.

— Çà te plaît, Petite-Louve ?

Hochement affirmatif de la part de Sabrina.

— Tu en veux d’autres ?

Nouveaux hochements encore plus affirmatifs. Je caresse son dos, ses seins dont les tétons durcissent rapidement sous mes doigts.

Je vois Valéria qui revient déjà avec un autre molosse. Wilma bat des mains !

— Oui ! Beau tirage, Grande Louve ! Petite-Louve va avoir droit à un expert. S’il respecte ses habitudes, la saillie durera au moins quarante minutes.

Valéria monte sur l’estrade avec le chien, plus lourd que le précédent.

— Pas besoin de préliminaires avec lui. Lâche-le tout de suite Valéria, intime Wilma.

Valéria lâche la laisse. Le chien renifle l’air mais s’avance vers moi et non pas vers Sabrina !

— Non, pas moi ! C’est Sabrina que tu dois saillir, dis-je.

Mais le molosse se lève s’approche de ma vulve dont l’odeur doit lui paraître alléchante. Il se lève soudain sur ses pattes arrières pour venir appuyer ses antérieurs sur mes épaules.

Le poids de ce chien est terrible ! Je tombe en arrière lourdement et me cogne la tête. Je hurle ! Il est sur moi et va me dévorer le visage !

Mais non, il me lèche. Passe sa langue sur mes joues, mon nez, mes lèvres. J’ouvre la bouche. Sa langue s’infiltre entre mes mâchoires et vient rencontrer ma propre langue. Puis il recule et vient s’occuper de mon bas-ventre.

Je me tourne vers Wilma, interrogative.

— Que dois-je faire ?

— Tu te mets en position de saillie bien sûr ! C’est dommage pour Petite-Louve, mais on ne discute pas le choix du mâle ! Il est à toi. Ou plutôt tu es à lui ! Pendant ce temps, je vais faire un autre tirage pour ta copine de façon à ce qu’elle ne s’ennuie pas pendant ce temps !

Je me mets alors à quatre pattes. À peine suis-je en position que le chien m’enfourche avec ses deux antérieurs. Je sens son sexe venir buter contre mon périnée, puis venir forcer mon anus.

— Il me sodomise !

— Ah ? Et bien tant mieux ! Tu auras connu tous les plaisirs canins ! Numéro treize pour Petite-Louve, Valéria !

En fait de plaisir, c’est surtout de la douleur que je ressens car mon rectum n’est absolument pas lubrifié et chaque poussée en avant du molosse se traduit par un cri de douleur de ma part.

— Il me déchire !

— Allons, je suis sûre que tu pratiques la sodomie pendant tes activités professionnelles.

Bien sûr, mais je n’avais jamais été enfilée par un pareil calibre !

— Et le nud ?

— Quoi le nud ? Il va rentrer en toi bien sûr, mais n’aie crainte, il passera sans problème ! Contente toi de ressentir le plaisir d’une chienne en train de se faire enculer ! Tu ne mérites que cela et je suis sûre que c’est ton désir le plus vil !

Les poussées du molosse continuent et la progression du pénis dans mes boyaux est incoercible. Mon sphincter anal est tellement distendu que mes tentatives de contraction se soldent par une douleur intense dans mon ventre.

Je me résigne alors à tenter de me détendre pour faciliter la sodomie. Ma main droite atteint ma chatte et commence à caresser mes lèvres et mon clitoris afin de faciliter la montée du plaisir.

Un hurlement étouffé attire mon attention vers Sabrina. Le numéro treize est en train de s’activer sur elle et son pénis vient d’atteindre la cible convoitée !

Je fonds littéralement en réalisant la situation. Nous sommes toutes deux prises par deux molosses, l’une par la vulve, l’autre par le cul !

Mon ventre commence à accepter l’intrusion du pieu massif et la douleur a quasiment disparue pour faire maintenant place aux ondes de plaisir déclenchées par le frottement de mon rectum sur mes organes génitaux.

À chaque poussée dans mon cul, je sens mon vagin et mon utérus être caressés au sein de mes entrailles. Je m’aperçois que je gémis intensément. Depuis combien de temps suis-je en train de râler comme une femelle en rut sous les assauts de son mâle.

J’entends les gémissements de Sabrina en écho aux miens ! C’est divin !

— Tu vois bien que tu ne devais pas avoir peur de son nud ! Me dit

— Il est en moi ? Dans mon cul ?

— Tu ne l’as pas senti ? Je suis déçue, terriblement déçue !!! Mais rassure-toi, tu vas bientôt le sentir vraiment en toi !

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