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Ne pas négliger les préliminaires – Chapitre 2

Jalouse de lui - Chapitre 4



Salut c’est votre folle de lycra

Je suis toujours Franck et voilà douze bonnes années que je travaille pour le ministère de l’Éducation à la station métro Arcueil RER B. Au boulot je me sens un peu comme un loup dans la bergerie, tant il y a de femmes dans mon service. À mon étage, nous vivons à un rythme féminin et cela ne me dérange pas, bien au contraire. Je vais vous avouer que parmi mes collègues, je suis sorti avec la plupart officiellement ou officieusement. J’ai eu l’occasion d’initier des petites jeunes de vingt-deux ans et d’augmenter mes connaissances avec des femmes de près de soixante ans. Toutes m’ont toujours donné beaucoup de plaisir mais je leur ai surtout donné l’habitude à ce que le partenaire masculin prenne grand soin des préliminaires. Je pars du principe que l’on ne pénètre pas une femme si on ne l’a pas chauffée, il faut au préalable la chatouiller, la lécher, la butiner, la caresser.

Vu que j’étais le seul homme dans l’équipe, elles m’avaient assimilé comme étant une femme et elles parlaient de sujets très intimes devant moi. À force de mettre en avant ma théorie devant elles lors des pauses-café, Élodie une collègue et accessoirement ex, m’a informé que notre collègue Jacqueline aimerait bien que je lui présente en réel ma théorie sur les préliminaires. C’est ainsi qu’un week-end je me suis retrouvé chez Élodie en compagnie de notre collègue et que j’ai commencé à la besogner. Cela me faisait tout drôle d’être devant Élodie à faire du bien à notre collègue, par contre cette dernière n’avait pas l’air dérangée de faire ça avec une spectatrice. Je venais de passer une bonne demi-heure à préparer Jacqueline et, Élodie, comme moi estimions qu’elle était prête pour la pénétration. Je venais de donner un premier lent coup de reins, ce qui avait permis à mon sexe de mettre de longues secondes avant d’arriver en butée.

J’aurais aimé que mon sexe fasse soixante ou quatre-vingts centimètres, pour que je puisse savourer encore plus longtemps l’étroitesse et la capacité de contraction de son vagin. Elle avait la jambe droite sur le dossier du canapé et la jambe gauche au sol, sa tête reposait sur l’accoudoir où Élodie avait déposé un oreiller pour plus de confort. Au début je me tenais presque droit, mais maintenant je m’étais fortement incliné pour pouvoir embrasser Jacqueline pendant que j’allais et venais en elle. Ne sachant où poser mes mains, j’avais trouvé un point de chute au niveau de sa poitrine. Cette dernière était ferme, sensible et manifestement très excitée à en toucher la pointe, ses tétons étaient proéminents et je prenais grand plaisir à lui pincer l’extrémité. Pendant ce temps, Élodie m’embrassait ou embrassait notre invitée et surtout, elle me caressait les fesses, le sexe mais aussi celui de Jacqueline. Il n’y avait pas de doute, ces deux femmes avaient déjà eu des rapports entre elles, pour ne pas se sentir uniquement passive, de temps à autre, ma partenaire allait glisser ses doigts dans le minou de mon ex.

Quand ma partenaire a pris l’initiative de pincer la pointe de mes tétons, cela a tellement augmenté mon plaisir que j’ai cru que je n’allais pas tenir longtemps. Heureusement Élodie s’en est rendu compte et m’a fait me déboîter de notre collègue, elle a pris le relais pour lui pratiquer un cunnilingus d’anthologie. Ma collègue était vraiment experte dans l’art de donner du plaisir avec sa langue à une femme. De son côté, Jacqueline avait l’air vraiment très réceptive à ce genre de prestation car maintenant, je l’entendais pousser de petits cris et surtout elle soupirait très fort au point de s’en vider les poumons. Là, à ma grande honte, j’ai constaté que j’avais encore la culotte de notre collègue dans la main et je n’ai pu me retenir de la sentir et même d’y donner un petit coup de langue, quel délice. Je peux vous garantir qu’il n’y avait pas meilleur moment au monde que de se retrouver avec deux femmes, avec en musique de fond la voix suave de George Michael. Élodie a tant et si bien brouté le minou de notre collègue, que cette dernière a fini par pousser de grands cris.

Je suis arrivé juste avant Élodie, pour pouvoir embrasser Jacqueline et surtout étouffer ses cris. Notre brouteuse de minou est redescendue encore quelques instants avant de me céder la place pour que je lui dépose de la liqueur en profondeur. Pour mon plus grand plaisir, j’ai repris mon rôle de burineur, à chaque fois que j’arrivais au fond de Jacqueline, je sentais mes boules taper sur ses douces fesses. Maintenant notre collègue me tenait par les fesses et m’empêchait de reculer mes fesses, elle voulait que je reste le plus longtemps possible profondément en elle pendant qu’elle contractait ses muscles vaginaux. Maintenant Élodie avait repris son travail de chauffe, à savoir qu’elle allait glisser ses doigts dans le petit cul de sa collègue mais aussi dans le mien. Apparemment elle connaissait bien nos deux corps car elle prenait plaisir à nous voir nous trémousser. Moi je me sentais un peu gêné de dévoiler ainsi mes sensibilités à ma collègue Jacqueline, au fond de moi, j’espérais qu’elle n’aurait pas trop la langue pendue à ce sujet au boulot.

Puis j’ai quitté ma partenaire pour me mettre à lui caresser le corps qui ne demandait que ça. Au fur et à mesure je l’ai déshabillée, je l’ai soulagée de ses vêtements. A mesure que je l’effeuillais, un corps magnifique apparaissait sous mes yeux, sa plastique appelait les caresses ; comment ne pas passer des heures en préliminaires face à une aussi jolie femme. Autant Jacqueline avait un joli visage, autant son corps était magnifique, une réussite, il n’y a pas à dire le créateur avait dû faire des heures supplémentaires ce jour-là. Mes premières caresses lui occasionnèrent une chair de poule attendrissante, mais ses mamelons se sont rigidifiés tout comme ses tubercules Montgomery. Cela lui donnait une poitrine vraiment magnifique, qui ne pouvait pas cacher son désir que l’on en prenne soin. Je n’ai pas eu le temps d’admirer sa toison de plus près car Élodie s’est jetée dessus pour lui faire à nouveau un cunnilingus. Cela me faisait tout drôle de voir Elodie donner des coups de langue, car à chaque fois, elle récupérait de ma semence que j’avais déposée en Jacqueline.

Faisant attention, dans la vie de tous les jours à avoir les doigts toujours lisses, sans aucune aspérité, voilà qu’aujourd’hui j’allais pouvoir faire profiter Jacqueline de la douceur de mes mains. J’étais vraiment conscient que j’allais prendre un grand plaisir à effleurer ce corps irréprochable, et je souhaitais de tout cur que Jacqueline prenne tout autant de plaisir que moi. Dès les premières secondes de contact avec sa peau, j’ai pu découvrir au combien cette dernière était réceptive. Rapidement son anatomie ne m’était plus inconnue, je savais parfaitement où la faire réagir comme je le désirais. Je pense que ses flancs étaient là où mes caresses étaient les plus efficaces. Par moments Élodie reprenait son souffle et me laissait un accès à l’entrecuisse de notre partenaire, à ce moment-là, c’était l’extase. En plus de pouvoir donner un coup de langue expert, j’en profitais surtout pour lui caresser l’intérieur des cuisses car là aussi elle était monstrueusement sensible.

Pendant qu’Elodie était partie préparer un petit encas, moi j’étais en train dénerver la pointe des seins de Jacqueline, ainsi que son minou. Mes doigts virevoltaient autour de chacun, sans jamais toucher les parties sensibles que sont les tétons et le clito. Ma partenaire avait désormais fermé les yeux et elle essayait de deviner où allaient passer mes doigts. À chaque fois que je faisais des cercles concentriques autour de sa poitrine ou de son minou, je veillais toujours à m’arrêter avant de toucher le point le plus sensible. À force d’agir ainsi avec mes doigts, Jacqueline n’en pouvait plus, elle voulait maintenant que je m’attarde sur son petit abricot, sur sa friandise, sur la pointe de ses tétons mais je n’en faisais rien. En plus de mes caresses je crois que ma collègue voulait surtout que maintenant je la pénètre de nouveau et je lui redépose ma semence en elle. Je n’en faisais rien et je continuais à effleurer son corps pour la chauffer toujours plus. Quand elle a saisi ma main et surtout mes doigts pour se mettre à me les sucer, j’ai compris qu’il fallait que je passe aux choses sérieuses.

Voilà près de quarante-cinq minutes que j’étais en train de la caresser, Jacqueline n’en pouvait plus. Elle m’avait maintenant saisi le sexe et elle était en train de se caresser le berlingot avec. Si je m’étais écouté, je l’aurais pénétrée immédiatement, mais je préférais que ce soit elle qui gère les opérations. Manifestement elle a vite compris ce que je désirais car elle n’a pas été bien longue à glisser mon sexe dans son étui soyeux. Son vagin était étroit, mais monstrueusement bien lubrifié, manifestement nous avons pris autant de plaisir l’un que l’autre, car à la première pénétration elle s’est mise à crier. Il y a des fois où on a un doute sur le cri, est-ce qu’il vient de la douleur ou du plaisir, mais là il n’y avait pas d’ambiguïté, c’était du plaisir intense. À ma grande déception au bout de cinq minutes à aller et venir en elle, elle s’est mise à jouir comme rarement j’avais vu une femme jouir. Heureusement j’ai pu continuer à l’honorer quelques instants, avant que moi aussi je parte balance ma liqueur au fond de ses entrailles.

Quand Élodie est revenue, elle nous a surpris, nous n’avions pas bougé du canapé, j’étais toujours emboîté dans notre collègue et surtout, nous étions inertes tous les deux la tête dans les nuages. Quand elle nous a vus ainsi elle est partie chercher une couverture de peur que nous attrapions froid. Nous sommes restés presque une heure comme ça, j’étais sur Jacqueline mais je faisais attention à ne pas l’écraser. Élodie avait allumé la télé pour s’occuper le temps que nous nous reconnections. Quand nous avons repris nos esprits, Jacqueline était très câline avec moi et Élodie est venue elle aussi chercher des baisers. En quelques instants je m’étais fait repousser de ma partenaire pour céder la place à son amie et collègue. Élodie s’est mise à l’embrasser mais surtout à lui caresser sa friandise, l’excitation de Jacqueline n’était pas retombée avec cette heure d’absence. En quelques instants Élodie avait pris les commandes du plaisir de sa collègue. Jacqueline était maintenant en train de gémir sous les doigts de mon amie, puis Élodie s’est faufilée entre les jambes de sa collègue.

Une fois bien installée, elle s’est mise à lui donner des coups de langue, on sentait ces derniers experts, car à chaque passage Jacqueline poussait de petits cris. Il n’y a pas à dire Élodie connaissait parfaitement le corps qu’elle était en train de butiner, sa partenaire était en train de sentir montée de nouveau le plaisir. Jacqueline était vraiment insatiable, je pense qu’elle aurait pu jouir dix fois de suite. Pour ne pas me sentir inutile je me suis mis à effleurer, comme tout à l’heure, la poitrine de notre collègue et elle ne demandait que ça. Comme précédemment, je veillais à ne jamais toucher la peau et encore moins la pointe des seins. Maintenant, il n’y avait aucun doute, la combinaison de mes caresses et les coups de langue d’Élodie étaient en train de faire jouir une nouvelle fois Jacqueline. Ce coup-ci la jouissance était clitoridienne et comme tout à l’heure notre amie a poussé de grands cris de plaisir. Bien évidemment Élodie a continué à lui brouter le minou encore quelques minutes avant que sa collègue lui repousse la tête de son minou. Il n’y a pas à dire ces derniers coups de langue étaient vraiment insoutenables et les deux femmes le savaient.

Jacqueline a été plus rapide à reprendre ses esprits, Élodie était repartie s’asseoir dans son fauteuil avec beaucoup de satisfaction dans son regard. Le moment sexe était en train de prendre fin, Jacqueline était en train de se rhabiller tout comme Élodie et moi. Nous pensions que notre invitée allait rester dormir avec nous, mais il n’en fut rien, elle était un peu fatiguée par ce qu’elle venait de vivre, elle préférait rentrer à la maison. Une fois rhabillée, Jacqueline était redevenue ma collègue de boulot, mais je la désirais désormais bien plus qu’avant car je connaissais son corps et sa douceur à caresser. Nous nous sommes retrouvés Élodie et moi assez satisfaits de ce que nous venions de faire vivre à Jacqueline. Nous passâmes la fin du week-end ensemble et bien évidemment nous avons renouvelé la partie de jambes en l’air à plusieurs reprises mais seulement tous les deux ces coups-ci. Quand nous avons retrouvé Jacqueline le lundi au boulot, nos trois regards se croisèrent avec beaucoup de complicité.

Comme chaque jour, au bout d’une heure, une heure et demie de travail, tout le monde est descendu prendre le café. Comme d’habitude des sujets de conversation ont très rapidement dévié sur le sexe et pour la première fois Jacqueline s’est mise à défendre ma théorie au sujet des préliminaires qu’il fallait respecter et même vénérer à mes yeux. En remontant à nos bureaux, nous prîmes l’ascenseur et à ma grande surprise Jacqueline m’a invité à monter au dernier étage qui n’était que très peu utilisé, il ne servait que lors de grosses sessions d’examens. Là elle m’a accompagné jusqu’à un local archives, où nous nous engouffrâmes, nous devions être les deux seules âmes qui vivent à l’étage et le silence régnait, que ce soit à ce niveau ou dans ce local. Là, ma collègue s’est jetée sur ma bouche pour me voler un baiser gourmand et passionné, tout en même temps, elle était en train de me débarrasser de mon pantalon. Je vous laisse imaginer à quelle vitesse est arrivée mon érection et au même moment sa main prenait possession de mon sexe. La minute qui suivait, elle était à mes genoux, tout en essayant de garder le contact visuel avec moi.

Son regard était coquin et provocateur, elle ne m’a pas quitté des yeux même quand elle a pris mon sexe en bouche. Même son maquillage, qui était très discret, mettait en valeur ses yeux demandeurs de sexe. Elle tenait maintenant fermement mon sexe en main et de temps à autre, cette dernière tournait en gardant mon sexe, seule la peau bougeait c’était vraiment très agréable. À mon grand étonnement, et malgré la taille de mon sexe, elle arrivait à le rentrer en entier dans sa bouche, ce qui était source de sensations formidables. Je n’aimais proposer à une femme de me faire une gorge profonde, mais quand l’idée venait de ma partenaire, il eut été stupide de refuser. Je sentais sa langue partout sur mon pieu, de temps à autre elle était pointue, à d’autres moments elle était bien étalée. Il lui arrivait de délaisser mon sexe au profit de mes boules, qu’elle suçait en faisant attention à ne pas me faire mal et ne me procurer que du plaisir. Pendant ce temps-là, ses mains venaient se faufiler entre mes cuisses et aussi entre mes fesses ce qui me procurait une érection encore plus conséquente. Il n’y a pas à dire, Jacqueline adorait aussi les préliminaires, mais elle était aussi experte en fellations. Au fond de moi j’étais en train de me dire que je n’allais pas tenir bien longtemps à ce rythme-là.

J’en ai eu la confirmation quelques minutes plus tard, j’ai donc voulu retirer mon sexe de la bouche de ma collègue, mais elle savait très bien ce qui allait se passer et elle a voulu que je lui balance tout au fond de la gorge. Je lui ai balancé plusieurs giclées très épaisses et malgré cela elle a continué jusqu’à ce que cela devienne insoutenable. Elle avait toujours son sourire provocateur coquin et maintenant on pouvait y voir de la satisfaction.

— Je te fais ça pour te remercier pour ce que tu m’as fait vivre ce week-end, je n’avais jamais pris mon pied à ce point.

— Je souhaite sincèrement que nous ayons l’occasion de nous refaire du bien mutuellement, avec ou sans la présence d’Élodie.

Après ces quelques mots et s’est remise à me pomper encore quelques instants, mais mon sexe était trop sensible et je lui ai saisi la tête pour qu’elle se retire. À ma grande surprise, elle s’est débarrassée de son pantalon puis a défait sa culotte, elle m’a défait de mon boxer pour me donner à enfiler sa culotte qui était bien poisseuse.

C’est la première fois que l’on me faisait ça, j’ai trouvé ça bizarre, mais finalement j’ai accepté et je me suis laissé faire. Bizarrement sa culotte était bien plus incroyable à porter que ne l’était mon boxer, je pense que le lycra satiné y était pour beaucoup. Mon sexe était tout propre, suite à sa fellation effectuée dans les règles de l’art, mais la culotte de Jacqueline était barbouillée de mouille. Je réalisai que dans quelques minutes, mon sexe ainsi que mes couilles allaient être imbibés de sa cyprine. En fin de compte cela ne me dérangeait pas, car la petite odeur qui s’en dégageait n’était pas pour me déplaire. Elle m’a saisi le sexe pour le caresser à travers sa culotte, la douceur me mettait dans tous mes états.

— J’aimerais que nous montions souvent ici, et à chaque fois nous échangerons nos dessous.

— Je trouve que la coupe de ma culotte met tes attributs très bien en valeur.

Je ne sais pas si sa culotte m’était favorable, mais je ne me voyais pas porter ça tous les jours.

Jacqueline m’a encore caressé le sexe quelques instants, tout en me caressant les fesses, toujours pour me faire profiter pleinement de la douceur de la texture de sa culotte. Malheureusement, il fallait que l’on redescende, pour ne pas que l’on se fasse repérer par notre absence. Nous avons fait attention à prendre des chemins différents pour réintégrer nos postes, histoire de ne pas attirer l’attention. Quand je suis arrivé à mon bureau, j’étais quand même un petit peu perturbé par le fait que je porte la culotte de Jacqueline, mais j’étais heureux de pouvoir profiter de son odeur intime. Quelques instants après, Élodie est arrivée, pour nous me demander où j’étais passé.

— C’est bizarre toi et Jacqueline aviez disparu et vous êtes réapparus en même temps.

J’ai préféré ne pas relever et je me suis mis à travailler comme si de rien n’était.

— Tu sais que tu sens le sexe féminin.

— Il me semble même reconnaître, cette odeur de minou.

Les commentaires d’Élodie commençaient à me mettre mal à l’aise, devais-je en conclure que l’odeur de cyprine était bien plus puissante que celle que je sentais.

— Tu vas voir avec le temps, Jacqueline est une gourmande au niveau sexuel.

J’étais un peu gêné, car je me disais que j’allais sentir le minou toute la journée, que même mon bureau allait en être embaumé. La solution était d’ouvrir la fenêtre, chose que je fis sous le regard amusé d’Élodie. En ouvrant ma messagerie Outlook, je tombais immédiatement sur un message bien chaud de Jacqueline.

— Je suis pressée de remonter avec toi à l’étage.

— Ton boxer et déjà plein de mouille.

— Ta virilité et ta douceur m’excitent tous les jours un peu plus.

Il n’y a pas de doute, Jacqueline était chaude, mon petit doigt me disait que nous allions nous rendre souvent à l’étage.

J’espère qu’avec ce deuxième chapitre, vous ne regarderez plus ce bâtiment gigantesque, le long de la voie ferrée au niveau de Bagneux.

Si ce deuxième chapitre vous a plu, je lui donnerai une suite.

Bisous à vous

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