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Nicole, prête à tout – Chapitre 8

Nicole, prête à tout - Chapitre 8



8.

Cela faisait presque un mois et demi que ma nouvelle vie avait commencée. La ville se préparait pour les fêtes de fin dannée. Javais mis un jean slim et des escarpins à talons fins de presque huit centimètres. Isabelle entra dans la chambre et me donna une boite contenant un collant fin.

— met ça sous ton jean, me dit-elle.

Je bataillai un moment avec le collant sous le regard amusé dIsabelle. Il serrait délicieusement mes jambes fines et le jean glissa avec un crissement très érotique.

— on va faire des courses, annonça Isabelle. Il est temps de passer à létape suivante.

On se dirigea vers le centre commercial. Cette fois, jessayai jupes et robes. Nous repartîmes avec une demi-douzaine de jupe de différentes longueurs et autant de robes. Isabelle moffrit dautres ensembles de lingerie et surtout des porte-jarretelles. Je demandai à terminer notre tournées par le centre-ville, ce qui étonna Isabelle mais accéda néanmoins à ma requête.

Je marrêtai dans une boutique de vêtement dans laquelle javais vu une jupe en vitrine qui me plaisait bien. Je repartis avec mais en la portant sur moi.

— Isabelle, où est la boutique de ton amie Nathalie ?

— pas très loin dici, à quelques rues.

— on peut y aller ?

— si tu veux.

On arpenta les trottoirs sur cinq cent mètres et on entra dans la boutique de Nathalie en discussion avec une jeune cliente qui hésitait devant deux strings.

— Oh, Isabelle, ma chérie.

Elles se firent la bise, mais leurs mains trahissaient un désir den faire plus.

— tu te rappelles de Nicole ?

— cest le garçon que tu nous as présenté et à qui Clarisse a raconté sa vie ?

— tout à fait !

— et bien dis donc ! Tu es superbe.

— merci, dis-je, flattée

— quest-ce je peux faire pour vous ? demanda Nathalie.

— je ne sais pas, cest Nicole qui a demandé à venir.

— en fait, je ne veux rien, répondis-je. Isabelle, je voulais toffrir quelque chose pour te remercier de ce que tu fais pour moi.

— oh ma chérie, comme cest gentil. Ça me touche beaucoup

La cliente nous regarda de travers, déposa les strings et quitta la boutique

— désolée, dit Isabelle, je tai fait louper une vente.

— ne tinquiète pas. Ça fait une demi-heure quelle était là à hésiter. Elle serait repartie les mains vides quand même.

Après avoir regardé les portants, Isabelle tomba sur une guêpière blanche quelle sempressa daller essayer, suivie de près par Nathalie. Nayant pas jugé utile de refermer le rideau je pus observer les deux femmes mêler caresses et ajustement de la pièce de dentelle.

Bien que je sois venu sans velléité dacheter quoi que ce soit, je remarquai un ensemble de chez Aubade plutôt sexy comprenant soutien-gorge, string et porte-jarretelles.

— je peux lessayer ? demandé-je

— bien sur ma belle, répondit Nathalie en poussant le rideau de la cabine mitoyenne

Nathalie se dirigea vers lentrée, ferma la porte et posa un carton sur lequel était écrit « Fermé provisoirement » Isabelle en profita pour sasseoir sur petit tabouret et écarta les jambes. Nathalie se mit à ses pieds et commença à lui lécher la chatte.

Je terminai de passer mon ensemble qui mallait bien, trouvait une paire de bas couleur chair que jaccrochai aux jarretelles. Je me regardai dans le miroir. Le string mettait en valeur mon petit cul.

— viens, me dit Isabelle entre deux gémissement.

Elle dégagea mon sexe et me suça tout en se faisant lécher par la commerçante.

— je vais venir, dis-je quelques minutes plus tard

Nathalie abandonna la cramouille dIsabelle et ouvrit sa bouche comme un oiseau attend la béquée.

— donne-lui tout, dit Isabelle.

Je posai mon gland sur sa lèvre. Nathalie prit mon sexe et le masturba un peu et je déchargeai ma semence sur sa langue. Puis elle se tourna vers Nathalie pour échanger un baiser et partager mon sperme. Elles me léchèrent un peu, puis tout le monde se rhabilla.

— Merci pour ce moment, me dit Isabelle. Il y avait longtemps que je ne métais pas gouinée avec Nath.

— de rien. Mais ce nétait pas prémédité.

Elle membrassa.

Je réglai la guêpière à laquelle Nathalie offrit le string assorti et mon ensemble Aubade.

— jai encore envie, me dit Isabelle en montant dans la voiture.

Elle rentra en trombe au château et neut pas la patience de monter dans la chambre. Je la pris en levrette dans la Mini qui navait de mini que le nom.

Quelques jours plus tard, Isabelle me demanda de faire un test HIV. Jétais clean. Isabelle mexpliqua quelle avait cassé le moule et que je pouvais jouir dans son vagin sans crainte de tomber enceinte.

Ce que je fis dès le samedi suivant. Mais aussi, et surtout, je gouttais enfin au plaisir de me faire remplir le boyau avec le sperme de mes amants. Sentit la douce liqueur chaude gicler dans mon intestin. Comme lavait dit Clarisse, cétait divin !

Les vacances de Noël arrivèrent. Enfin, cela ne faisait pas grande différence pour moi puisque jétais, en quelque sorte, tout le temps en vacances. Payé à rien faire si ce nest baiser selon les humeurs et les envies des maîtres de maison. Le job idéal pour un faignant comme moi. Elle est pas belle la vie ?

Je fis la connaissance des enfants de Jean-Charles et Isabelle : Eléonore et Jean-François, jumeaux de vingt-trois ans.

Ils étaient arrivés dans la nuit, provenance presque directe de New-York. Isabelle mavait parlé deux avec fierté. Et il y avait de quoi : Eléonore étudiait à Harvard pour devenir avocat daffaires internationales ou un truc dans le genre, tandis que Jean-François, Jeff pour les intimes dont je faisais partie désormais, était inscrit au M.I.T. Devant mon air aussi étonné quignare, elle mexpliqua simplement que le M.I.T. était le Massachusetts Institut of technologie, une des plus grandes, sinon la plus grande, école, de sciences au monde. Et Jeff étudiait linformatique. Je savais ce que cétait quun ordinateur, mais jusquà présent, il ne me servait quà jouer ou envoyer des mails. Quelque chose me disait quil ne valait mieux pas que je demande des détails sur les cours de Jeff.

Je fus présentée sans détour comme travesti et le jouet sexuel de la maison. Mais les enfants ne firent aucun commentaire si ce ne fut de me souhaiter la bienvenue et que lon apprendrait à se connaitre. Et me féliciter sur ma tenue mon maquillage et ma féminité très crédible selon les mots dEléonore.

Le déjeuner fut pour moi loccasion den savoir plus sur les jumeaux. Charlène et Isabelle ne cessaient de leur poser des questions. Je fus quand même étonnée, mais pas longtemps, que Jean-Charles évoluait en femme devant ses enfants. Mais ces derniers semblaient être habitués et je laissai tomber mes questions existentielles.

— alors Jeff, demanda Isabelle, toujours pédé comme un phoque ?

— maman, je crois quà côté de moi, les phoques vont passer pour des pères la vertu.

— daccord ! Je vois

— et toi ma chérie, pas de petit amis en vue ? Pas davocat haut placé dans ton lit ?

— ben, en fait

— allons bon ! geignit Charlène. Je crains le pire.

— je suis en couple avec ma colocataire.

— tu as viré gouine ?

— par la force des choses. Enfin, cest compliqué.

— raconte-nous, demanda Charlène. On est tout ouïe. Et puis, avec le temps quil fait, on a tout laprès-midi pour entendre ton histoire.

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