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Notre couple et le garçon au pair – Chapitre 1

Notre couple et le garçon au pair - Chapitre 1



Durant mes études, j’avais un ami qui avait une soeur plus jeune que nous. Je la regardais jusqu’alors plutôt comme une petite fille. Vers l’âge de 16 ans, elle a commencé à être autorisée à sortir, à condition qu’elle soit accompagnée de son frère.

Lorsque mon ami me parla de sa soeur, j’eus peur d’être ennuyé par cette ? gamine ? qui nous suivrait partout. Je ne l’avais plus vue depuis longtemps, et ma surprise fut grande : elle était extrêmement belle.

Laetitia était une belle brune à la peau mate, de beaux cheveux bruns jusqu’à mi-épaule, une très belle paire de fesses dans des jeans serrés et des seins qui m’excitaient beaucoup.

Je l’ai tout de suite draguée. Nous avons vite sympathisé, et, après quelques semaines nous formions un couple et j’eus le plaisir de la dépuceler. Pour moi, c’était un bonheur incroyable, chaque fois que nous faisions l’amour, j’étais enchanté par ses formes, sa bouche pulpeuse, ses seins fermes et sa chatte très douce. Cinq ans plus tard nous étions mariés et après quelques années – j’avais alors 38 ans et elle 29 – notre couple était entré dans la routine.

Un jour, je reçus un appel téléphonique de la famille dans laquelle j’avais été en Australie. Ils me demandaient si le fils d’un de leurs amis ne pourrait pas passer un mois ou deux chez nous durant l’été. C’est avec plaisir que nous avons accepté.

Trois mois plus tard, Jonathan débarquait chez nous. C’était un jeune garçon, assez beau, mais timide, avec un côté intellectuel. Il étudiait les Lettres et venait se perfectionner en français dans une école de langue.

Avec mon épouse, nos relations sexuelles étaient sans saveurs et je pimentais nos ébats en lui parlant d’un troisième partenaire. Si au début elle avait été un peu étonnée, elle s’était laissée prendre au jeu et nous fantasmions souvent sur des trios, sans vraiment avoir l’intention de passer à l’acte. Et lorsque Jonathan est arrivé, c’est naturellement sur lui que nos fantasmes se sont tournés. Laetitia ne manquait pas durant la journée de l’aguicher un peu. Il réagissait au quart de tour, en devenant rouge lorsqu’elle venait prendre le petit déjeuner en peignoir ou lorsqu’elle avait un joli décolleté et qu’elle se penchait vers lui pour le servir. Il était aussi très gêné lorsque nous nous embrassions.

Il devait séjourner durant 8 semaines chez nous et ensuite voyager un peu en Europe. Après 5 semaines, j’ai sérieusement demandé à Laetitia ce qu’elle pensait de faire l’amour à trois, avec Jonathan. Laetitia était attirée par Jonathan, mais craignait deux choses : mettre notre couple en péril et elle n’était pas certaine que Jonathan soit intéressé. Quant à Jonathan, j’étais sur qu’il n’y avait aucun doute. Quel jeune homme célibataire de 19 ans pourrait résister au charme d’une jolie femme, ne serait-ce que pour l’aspect sexuel.

Il est vrai qu’il n’était pas certain qu’un trio l’attirerait, mais je pensais alors que les choses viendraient d’elles-mêmes. Quant à la question de notre couple, je n’y voyais pas de problème, je voyais plutôt cela comme une expérience enrichissante et je pensais notre amour assez fort pour résister. De plus, le fait que Jonathan était étranger arrangeait bien les choses, il ne restait pas….

Après une semaine d’hésitations, de questions et de discussions, nous avons décidé de passer à l’acte. Il ne nous restait plus que deux semaines, si nous voulions vraiment réaliser notre fantasme. Plusieurs matins de suite, Laetitia est venu prendre le déjeuné avec un peignoir qui laissait bien apparaître le haut de ses seins. Et en soirée, elle portait un chemisier avec un joli décolleté, très suggestif. Je constatais que Jonathan n’était pas insensible au charme de Laetitia.

Le mercredi soir, annonçant que je partais, je suis allé dans notre chambre à coucher. Laetitia et Jonathan ont regardé un moment la télé puis se sont séparés pour la nuit. Laetitia est venue me rejoindre. Elle était tendue, légèrement angoissée par la situation. De mon côté, j’étais impatient et j’attendais la suite avec beaucoup d’excitation.

Laetitia s’est déshabillée. Elle était très belle et je la désirais plus que tout. Je l’ai embrassé doucement, amoureusement. Elle m’a demandé, avec une voix tendue, si j’étais toujours prêt. Je lui ai répondu que oui et l’ai à nouveau embrassé et caressé un sein. Elle m’a légèrement repoussé, elle a enfilé son peignoir et s’est mis un peu de parfum dans le cou. Elle ne portait que sa montre et des boucles d’oreilles très discrètes. Elle s’est dirigée vers la chambre de Jonathan, elle a frappé et est entrée.

J’imaginais la suite : Laetitia déclare à Jonathan qu’elle veut encore bavarder avant de se coucher, puis s’approche de son lit. Elle s’assied légèrement sur le bord et commence à discuter. De quoi parlent-ils ? Elle le questionne sur ses projets. Tout en discutant elle laisse sa main voyager sur le couvre-lit. Lui ne la quitte pas des yeux, il observe ses seins qu’il voit à travers son peignoir en soie quasi transparent. Laetitia glisse sa main vers celle de Jonathan. Elle l’a lui prend, joue avec. Puis, après lui avoir fait un large sourire, elle prend la main de Jonathan et la pose sur son sein. Elle sourit, il lui répond par un sourire, elle se penche et lui dépose un baiser sur la bouche ; puis se redresse, le regarde avec amour et se penche à nouveau pour un vrai baiser. Elle lui prend à nouveau la main la promène sur ses seins, puis retire son peignoir, soulève la couette et se met sur lui. Elle l’embrasse, se met sur le côté et laisse Jonathan lui caresser les seins. Il est fébrile, il embrasse ses seins, les malaxe. Gentiment elle lui enlève son T-shirt, caresse son torse, l’embrasse. Elle descend sa main, le caresse à travers son short, le soulève et sort son pénis en érection. Elle fait deux ou trois va et vient avec sa main. Ils s’embrassent à nouveau. Elle commence à lui tailler une pipe, elle s’arrête, car elle sent qu’il va venir très vite. Elle le laisse découvrir son corps, explorer son sexe, elle lui demande de caresser et lécher son clitoris. Puis, elle se met sur lui, l’embrasse et décide d’aller plus loin. Elle prend sa bite d’une main, la guide dans son fourreau et descend gentiment. Elle s’arrête, regarde Jonathan dans les yeux et commence un lent va et vient. Elle est heureuse.

J’en étais là dans mes pensées, lorsque soudain Laetitia entre dans la chambre et se jette sur le lit. A sa tête – et au temps écoulé, pas plus de 10 minutes -, je comprends que tout ne s’est pas passé comme je l’imaginais. Je la questionne, pensant qu’il n’a pas voulu d’elle en l’embrassant dans le cou. Elle m’explique, très gênée, qu’elle n’a pas pu. Elle n’a pas eu le courage. Elle est entrée dans la chambre, elle est restée près de la porte, lui a parlé de nos activités du week-end lui demandant s’il voulait nous accompagner ou non, puis elle est revenue. Elle n’avait jamais couché avec un autre homme que moi. Je commence alors à la caresser, à l’embraser, elle se laisse gentiment aller. En la caressant, en passant sur ses seins, je sens sa tension, je sens qu’elle est prête au plaisir. Ce soir là, nous faisons longuement l’amour, je passe près d’une heure à la caresser, la couvrir de baisers ; elle éprouve beaucoup de plaisir juste à mes caresses, elle me dira plus tard qu’elle a éprouvé un orgasme au seul contact de ma bouche et de mes mains sur seins, ce qui ne lui était quasiment jamais arrivé.

Un peu dépité par cette tentative, nous en sommes restés là, les jours suivants. Mais la dernière semaine, nous avons recommencé à en discuter et à imaginer des plans, mais Laetitia m’expliquait qu’elle n’osait pas franchir la barrière. Pour ma part, j’y avais quasiment renoncé. Nous étions vendredi et Jonathan devait partir le lundi matin pour un voyage d’un mois à travers la France et l’Europe et ce soir, il était retenu par une fête d’adieu avec le élèves de son cours de langue. Le matin, je pars souvent très tôt, c’est ce que je fis ce matin-là. Laetitia prenait habituellement son petit-déjeuner avec Jonathan un peu après mon départ, parfois elle mangeait en peignoir, alors que Jonathan était toujours habillé. Mais ce matin-là, il vint prendre son petit-déjeuner en short. Laetitia le remarqua aussitôt et la tension monta d’un cran. Ils bavardèrent en mangeant, mais lorsque Laetitia se leva, elle vit l’érection de Jonathan à travers son short. Elle espérait qu’il ferait quelque chose, c’est donc assez lentement qu’elle commença à ranger la table. Il lui donna un coup de main. A un moment donné ils se touchèrent légèrement (Laetitia m’a dit qu’elle l’avait fait exprès).

Après avoir posé un verre sur l’évier, elle s’est retourné et s’est approché de Jonathan. Lui posant ses mains sur ses épaules, elle a approché son visage du sien et lui a donné un léger baiser, puis un second plus long et langoureux, leurs langues se sont mêlées. Elle sut que notre fantasme allait se réaliser.

Elle a ensuite pris la main de Jonathan qu’elle a posé sur son sein. Il a commencé à les caresser, puis à embrasser les Elle l’a pris par la main et entraîné dans notre chambre. Devant le lit, elle l’a embrassé, elle a enlevé son peignoir, puis elle a retiré le t-shirt de Jonathan. Elle lui a caressé et embrassé le torse avant de l’entraîner sur le lit où, quelques heures auparavant, nous avions fait l’amour. Elle l’a d’abord laissé découvrir son corps, il était fébrile, doux, mais aussi un peu maladroit et parfois un peu trop ferme lorsqu’il lui malaxait les seins, son jeune âge et son probable manque d’expérience le rendait nerveux. Elle lui a ensuite enlevé son short, puis elle a caressé sa bite. Elle a effectué deux ou trois va et vient, mais elle s’est rapidement arrêtée. Elle lui a ensuite demandé de la prendre, elle s’est couchée sur le dos, il s’est mis sur elle, ils se sont embrassés puis elle lui a pris la bite avec une main et l’a guidée en elle. Il s’est enfoncé en elle. Elle l’a retenu ainsi quelques instants, pour qu’il s’habitue, mais dès qu’elle a commencé à bouger, elle a senti qu’il venait. Elle a continué, se disant que c’était trop tard pour qu’il se retienne. Ils sont restés ainsi quelques minutes, puis Laetitia s’est dégagée. Elle l’a caressé. Au bout de 10 minutes de découvertes mutuelles de leur corps il bandait à nouveau très fort. Elle l’a à nouveau guidée en elle. Il s’est montré plus résistant, juste assez pour qu’elle éprouve un début de jouissance ; plus par la situation que par les talents de son amant. Ils sont restés ensuite un moment au lit avant de prendre une douche. En sortant de la douche, ils se sont embrassés et comme Jonathan bandait à nouveau, Laetitia l’a emmené dans notre chambre et ils ont refait l’amour. Jonathan est ensuite parti à ses cours, d’autant plus que c’était son dernier jour.

Laetitia est restée au lit, ses sentiments étaient troublés, ses pensées voyageaient d’une idée à une autre. Elle était bien, détendue et heureuse, mais en même temps elle se sentait coupable. Dès mon retour elle m’a emmené dans notre chambre, m’a demandé de m’étendre sur notre lit et m’a raconté ce qui s’était passé le matin. J’étais jaloux, mais excité, elle a ouvert mon pantalon et commencé à me masturber, tout en continuant à me raconter sa première infidélité. J’étais d’autant plus troublé que je m’étais fait à l’idée que rien ne se passerait avant le départ de Jonathan. Mes sentiments étaient vraiment troubles. Tout en me racontant son histoire, elle continuait à me masturber et elle a finit par me prendre en bouche pour une éjaculation et une jouissance formidable.

Nous avons convenu qu’elle coucherait à nouveau avec Jonathan, le soir même.

Il est rentré vers 23h30, légèrement saoul. Probablement gêné de me voir, il est directement allé dans sa chambre. Nous sommes allés nous coucher avec Laetitia, mais je l’ai encouragée à partir retrouver son nouvel amant. Après un temps de réflexion, elle s’est levée pour le rejoindre. Il était déjà couché. Elle a enlevé son peignoir pour se glisser sous la couette. Il était heureux, mais un peu tendu, elle lui expliqua, après un baiser, que je dormais et que j’avais le sommeil profond. Ils ont à nouveau fait l’amour, cette fois-ci plus lentement, plus tendrement. L’alcool aidant Jonathan fut plus résistant et Laetitia prit beaucoup de plaisir. Quarante minutes plus tard elle me rejoignait. J’étais heureux et j’avais envie de lui faire l’amour, mais elle ne voulait pas, elle était fatiguée, elle avait déjà fait l’amour plusieurs fois dans la journée… J’étais vexé et jaloux, car pour Jonathan, elle était en forme.

Le lendemain, nous n’avons pas beaucoup vu Jonathan, je crois qu’il se sentait très gêné. Des amis sont venus le chercher et il est rentré très tard. Malgré notre attente, nous nous sommes endormis.

Le dimanche, il est resté longtemps au lit et, en fin de journée, Laetitia m’a demandé si elle pouvait passer la nuit avec lui. J’ai accepté, nous avons décidé que je dirais que je devais partir et j’irais dormir dans la chambre d’amis, elle passerait la nuit avec Jonathan dans notre chambre. Aussitôt que j’avais tourné les talons, Laetitia a entraîné Jonathan dans notre chambre où ils font fait l’amour longuement. Moi j’étais revenu discrètement et je suis allé dans la chambre d’amis. Vers 23h30 Laetitia est venue me rejoindre. Elle était très belle, détendue et heureuse. Elle m’a dit qu’ils avaient fait l’amour une fois et qu’ensuite elle lui avait taillé une pipe. Elle m’a embrassé et j’ai touché son sexe, humide du sperme d’un autre. J’étais dépité mais heureux et surtout excité. Après l’avoir un peu caressée, j’ai glissé ma bite en elle, excité par le fait qu’elle venait d’avoir été prise par un autre et que son sperme était encore présent. Nous avons joui quasiment en même temps, j’étais comblé.

Elle m’a dit qu’elle ? retournait vers son amant ? et s’en est allée. Ils ont encore fait l’amour tôt le matin.

Puis Jonathan est parti. Trois jours plus tard, Laetitia m’a dit qu’elle l’avait appelé et lui avait demandé s’il ne voulait pas revenir. Il ne paraissait pas enchanté, il se sentait mal par rapport à moi. J’ai alors suggéré à Laetitia de lui dire que j’étais au courant et consentant. Ce qu’elle fit deux jours plus tard. Jonathan hésitait toujours à revenir, mais une semaine plus tard, il est revenu.

Nous sommes allés le chercher à la gare. De retour à la maison, nous avons bu un verre sans rien dire. Puis Laetitia s’est approchée de lui et l’a embrassé. Elle est venu vers moi, m’a embrassé, puis elle nous a pris par la main et nous a entraînés dans notre chambre. Là, elle s’est arrêtée, a embrassé Jonathan, pendant que je lui enlevais son pull. Elle a fait de même avec Jonathan. Je lui ai enlevé son soutien-gorge, ses seins ont aussitôt attiré Jonathan, qui les a caressés, soupesés, embrassés. Ils sont allés sur le lit en s’embrassant et je les ai rejoint.

Laetitia embrassait chaque parcelle de peau de son amant, léchant ça et là, une fois le ventre, puis sur le côté. Puis elle glisse sa langue sur sa bite, lentement, par petites touches avant de la prendre entièrement en bouche. Elle le suçait en me regardant, semblant dire : regarde comme je suis heureuse que tu me laisses ce jeune amant, regarde comme je prends du plaisir à lui donner du plaisir, regarde ton épouse chaste jusqu’ici qui se donne à un autre. De mon côté j’étais très excité, je regardais en me branlant lentement. Puis je me suis approché de Laetitia, je l’ai caressé ; Jonathan en fit de même. Nous étions deux à lui procurer du plaisir, nos langues et nos doigts allaient de ses seins à sa bouche, de son ventre à son clitoris, après une vingtaine de minutes de ce traitement, elle demanda à Jonathan de la prendre. Il se mit sur elle et je pus observer sa bite entrer dans le fourreau de mon épouse. J’éprouvais un vrai plaisir à les voir faire l’amour, à observer cette bite entrant et sortant, je ne pus m’empêcher de mettre ma main sur le sexe de Jonathan alors qu’il continuait ses va et vient. Je garde cet instant fixé dans ma mémoire. Ils ont joui quasiment ensemble. Jonathan s’est retiré, j’ai embrassé Laetitia et j’ai pris la place de Jonathan. C’était très excitant de pénétrer mon épouse, alors qu’un autre venait de se vider en elle. Pendant que je la prenais, nous nous regardions dans les yeux, elle semblait me dire : tu vois, je suis libre et heureuse, j’adore me donner à un autre et je t’aime, tu me donnes beaucoup de plaisir. Nous avons joui. Puis nous avons pris un verre pour nous rafraîchir et nous sommes revenus dans la chambre. Les caresses ont repris et pendant qu’elle taillait une pipe à Jonathan, j’ai pris Laetitia en levrette, j’étais heureux, mes mains allaient de sa taille à ses seins. Elle se donnait une peine folle à sucer Jonathan, elle rythmait ses caresses, rapides, puis lorsqu’elle sentait qu’il allait venir, elle ralentissait, stoppant même parfois pour embrasser ses couilles. Lorsqu’elle l’a désiré, elle l’a laissé jouir, tout en gardant le fruit de sa jouissance en elle. J’ai aussi joui. Et Laetitia s’est fait un plaisir de m’embrasser, alors qu’elle avait encore en bouche le goût de son amant. Nous nous sommes endormis. Le matin, nous nous sommes réveillés très tôt, Laetitia m’a embrassé et m’a remercié. Elle a ensuite embrassé Jonathan, puis elle lui a caressé la bite. Elle l’a ensuite laissé venir sur elle et elle a pris sa bite entre ses seins. Après dix minutes de ce traitement, il a jouit sur elle. Laetitia a étalé le sperme qui s’était répandu sur son cou, ses seins et un peu sur sa figure Je lui ai ensuite caressé les seins et les ai embrassés, ils avaient encore l’odeur de son amant, un mélange caractéristique, légèrement salé.

Après une journée tranquille, nous avons repris nos ébats le soir et nous nous sommes endormis. Au milieu de la nuit, je me suis réveillé, ils n’étaient plus là, mais j’entendais leurs souffles venant du salon. Je me suis levé pour voir ce qui se passait. Jonathan prenait Laetitia en levrette sur le canapé. Laetitia m’a souri lorsqu’elle m’a vu. Je me suis approché, je les ai regardé et j’ai commencé a caresser Laetitia. Je pouvais lui caresser la croupe, les seins et j’en ai profité pour lui présenter ma bite qu’elle a prise en bouche. Après quelques minutes, Jonathan a joui et je me suis aussi vidé.

J’avais pris deux semaines de vacances et nous avons passé notre temps à faire l’amour. Si au début nos ébats étaient assez traditionnels, avec le temps, nous avons évolué et nous avons exploré de nouvelles formules. Nous avons notamment fait un sandwich. Pendant que Laetitia était sur Jonathan, je l’ai prise par derrière, je l’ai pénétré lentement, puis lorsque j’ai été en elle, j’ai senti la bite de Jonathan et lentement nous nous sommes mis à bouger. Pour moi, ce fut l’un des moments les plus intenses de ma vie, j’étais sur Laetitia, je la tenais par les épaules, je voyais ses épaules, sa nuque, ses mains qui tenaient le lit et lentement nous bougions, alors que je sentais les mouvements de Jonathan. Bizarrement, je me rappelle des boucles d’oreilles qu’elle portait encore et de sa montre. Comme si nous étions conscients que ce moment était particulier, nous bougions lentement, toute notre concentration allait vers le plaisir de l’autre. Je crois que je n’ai jamais ressenti un tel instant de bonheur et ma jouissance a été formidable. Nous n’avons pas souvent répété cette position, Laetitia appréciant moyennement la voie annale.

Notre vie s’est ensuite installée dans cette relation à trois. Jonathan s’est inscrit à l’université et est resté chez nous. Notre relation est devenu le centre de notre vie. Lorsque je rentrais du travail, il m’arrivait souvent de les trouver en train de faire l’amour, où, plus souvent je les trouvais dans notre lit, en train de se reposer après avoir l’amour. C’était pour moi un excitant formidable ; je me déshabillais immédiatement et je faisais l’amour à Laetitia, qui était comblée. Nous faisions souvent l’amour. Il arrivait certains soirs, alors que nous regardions la télé, que Laetitia et Jonathan commencent soudain à s’embrasser, puis à faire l’amour au salon devant moi. S’il arrivait que je n’ai pas envie de me joindre à eux, je m’excitais de les voir faire l’amour et prendre du plaisir. Je prenais Laetitia juste après Jonathan, sans vrais préliminaires, chose que j’adore pourtant. Laetitia était heureuse, si elle ne jouissait pas avec Jonathan, c’est avec moi qu’elle prenait son plaisir et parfois avec les deux.

Nous dormions souvent tous les trois ensemble. Parfois Laetitia souhaitait passer la nuit uniquement avec moi et d’autres fois avec Jonathan. Lorsque nous étions les trois ensemble, l’enjeu consistait surtout à satisfaire Laetitia, par des caresses, des baisers et en la prenant à tour de rôle. Avec Jonathan, nous évitions de nous toucher, mais un soir, alors qu’il prenait Laetitia et que je regardais sa bite aller et venir, il est sorti de la chatte de mon épouse. Comme ma tête se trouvait près de sa bite, je l’ai prise en bouche. La sensation était étrange. Le plus étonnant était la chaleur. Le goût aussi, ce goût caractéristique du sperme et des sécrétions de Laetitia. La sensation était étrange, j’entendais mon coeur battre, je prenais du plaisir, sans vraiment en connaître la raison. Etonnamment, j’ai pris du plaisir à faire jouir Jonathan et Laetitia m’a embrassé, pour partager la semence de notre amant. Puis Laetitia a pris mon sexe en bouche, elle m’a caressé lentement, avec amour. Elle a embrassé Jonathan et l’a invité à me prendre à son tour en bouche. Il s’est lancé et m’a donné du plaisir. Ma relation avec Jonathan en est resté là. Nous prenions de temps à autre du plaisir à nous tailler une pipe, mais toujours dans le feu de l’action, lorsque Laetitia était avec nous.

Après deux ans de vie commune, Jonathan a souhaité retourner en Australie. Au début, nous étions heureux avec Laetitia, car nous voulions avoir des enfants. Mais après deux semaines, il nous manquait beaucoup. Cinq mois plus tard, Laetitia m’a demandé de prendre un nouvel amant. J’étais un peu réticent, car la relation entre Laetitia et Jonathan était devenue tellement forte que je commençais à être vraiment jaloux. J’avais peur qu’elle s’attache à un amant. En même temps, je me refusais à fréquenter un club échangiste ou des endroits de ce genre, je voulais une relation sérieuse, pas des baises vulgaires. Nous ne voulions pas non plus du premier venu et un jeune homme similaire à Jonathan, nous conviendrait à tous les deux. Nous nous sommes donc inscrit dans l’ancienne école de langue de Jonathan pour héberger de jeunes étranger en séjour dans notre pays.

Nous avons d’abord hébergé deux filles, nous ne voulions rien tenter avec elles. D’une part, cela ne nous intéressait pas et d’autre part nous ne voulions pas risquer des problèmes pour attentat à la pudeur sur des filles que nous hébergions. Nous avons ensuite hébergé un jeune homme d’Allemagne, mais qui ne nous convenait pas vraiment. C’est alors que l’école nous a proposé d’héberger un jeune Suédois, Marcus. Il avait 18 ans et était très beau. Laetitia était sous le charme et moi aussi. A nouveau, nous ne savions pas comment commencer cette relation, nous avions peur d’un refus, peur qu’il accepte une liaison avec Laetitia, mais ne soit pas attiré par une relation à trois.

Nous avons très vite constaté que Laetitia ne le laissait pas indifférent. Et un soir, nous avons décidé de nous lancer. Après avoir passé la soirée ensemble à discuter, nous sommes allés dans nos chambres. Laetitia s’est déshabillée et a passé un peignoir en soie transparente. Elle n’avait gardé que sa montre. Nous nous sommes embrassés et avons décidé d’attendre quelques minutes avant qu’elle n’aille rejoindre Marcus. Nous étions tendus, j’avais la gorge serrée et Laetitia regardait sa montre. Puis elle s’est levée et est partie le rejoindre. Comme deux ans et demi auparavant j’étais très anxieux et excité. Nous avions convenu qu’elle coucherait avec lui et viendrait me rejoindre ensuite. L’attente fut longue.

Elle m’a ensuite raconté leur première nuit. Elle est entrée dans sa chambre et elle est allée s’assoire dans sur son lit. Elle a discuté avec lui, elle était paralysée et ne savait que faire, mais elle remarquait que lui aussi avait le souffle coupé et ne pouvait pas vraiment lui parler. Elle a hésité, le fait qu’il ne parle pas était-il l’absence d’intérêt ou d’une excitation très forte. Il pouvait voir, à travers le peignoir les seins de Laetitia et cela ne devait pas le laisser indifférent. Comme ils étaient tous deux paralysés, Laetitia ne savait pas comment se lancer. Puis soudain, alors qu’ils ne se parlaient plus, elle s’est penchée et l’a embrassé. Ce baiser a entièrement libéré Marcus, qui lui a aussitôt caressé les seins et l’a couverte de baisers. Laetitia s’est laissée faire, elle était encore sous le coup de son audace et charmée par cet élan juvénile et fébrile. Pendant près de trente minutes, il n’a cessé de lui prodiguer des caresses, lui caressant le corps, mais sans vraiment s’attarder sur son sexe. Laetitia était charmée, elle était considérée comme une princesse. Mais elle voulait aller plus loin, elle l’a donc embrassé et a pris les choses en main. Après lui avoir caressé et embrassé le torse, elle a lui caressé la bite à travers son short, elle a enlevé son short et caressé la bite avec la main, puis a posé un baiser sur son sexe dressé. Elle a alors repris la bite en main et commencé un va et vient, mais après un mouvement, Marcus a éjaculé. Laetitia était heureuse de l’effet produit, mais un peu déçue qu’elle n’ait pas pu choisir le moment où elle allait le faire jouir et surtout qu’il ne l’ait pas prise. Elle lui a demandé s’il avait déjà fait l’amour et il lui a répondu par la négative.

Laetitia était heureuse, elle allait pouvoir lui apprendre les plaisirs de l’amour. Ils se sont embrassés et à nouveau elle l’a laissée la caresser et l’embrasser. Il était très doux et Laetitia était heureuse, pensant qu’il allait devenir un amant parfait. Après trente minutes de caresses, il avait repris de la vigueur et Laetitia lui a proposé qu’il la prenne, comme il était puceau, elle l’a laissé couché sur le dos, s’est mise sur lui, a pris sa bite en main pour la guider en elle, mais dès qu’elle voulu descendre sur ce beau sexe, il a éjaculé. Laetitia était un peu déçue, elle était très excitée, surtout à l’idée d’initier un jeune homme et d’avoir un nouvel amant. Elle est restée avec lui. De mon côté, j’étais très impatient, je ne pouvais pas dormir. Au milieu de la nuit, lorsqu’il s’est endormi, Laetitia est venue me rejoindre. Elle était heureuse qu’elle ait pu initier une relation, légèrement déçue des performances de son amant, mais compréhensive. J’étais très excité et nous avons aussitôt fait l’amour, Laetitia était tellement heureuse de me retrouver que nous avons fait longuement l’amour.

Le lendemain matin, j’ai demandé à Laetitia d’aller rejoindre Marcus. Elle s’est levée, elle était entièrement nue et très belle, j’ai eu du plaisir à l’observer de dos et à la voir partir vers son nouvel amant. Elle a frappé et est entrée dans sa chambre. Il était réveillé, elle est allé le rejoindre dans son lit, après quelques caresses, elle a pu constater qu’il bandait fortement et elle lui a demandé de la prendre. Cette fois-ci, elle s’est couchée sur le dos et lui a demandé de venir sur elle, comme il était maladroit, elle lui a pris la bite et l’a guidé vers son foureau, mais avant qu’il ne la pénètre, il avait débandé. Elle l’a embrassé, caressé et fait comme si elle n’avait pas fait attention à sa défaillance. Finalement, elle l’a légèrement masturbé et il a éjaculé.

Elle est venue me rejoindre, un peu dépitée, mais heureuse qu’elle ait au moins pu lui donner un peu de plaisir. Je l’ai prise immédiatement et elle était prête à me recevoir. Pendant près d’une semaine, elle est allée le rejoindre chaque soir, mais elle n’est parvenue qu’à le faire jouir avec ses mains. Pensant qu’il réagissait ainsi en raison de scrupules à mon égard, elle lui a dit que j’étais au courant et consentant et un matin que j’étais seul avec lui, je lui ai dit que je ne voyais aucun inconvénient à ce qu’il couche avec Laetitia. Et un soir, Laetitia est parvenue à ce qu’il la pénètre, mais après trois va et vient, il avait déjà joui. Un soir, alors que nous regardions tous les trois la télévision, Laetitia m’a embrassé et a embrassé Marcus. Ils se sont ensuite déshabillés et caressés, j’en ai fait de même, puis j’ai pris Laetitia en levrette sur le canapé. Marcus se masturbait, je me suis donc interrompu et l’ai engagé à prendre Laetitia, il l’a pénétré, mais très vite il a débandé. Ses va et viens se sont vites interrompus. Laetitia s’est dégagée et l’a embrassé et nous sommes partis tous les trois dans notre chambre. Après quelques caresses, il bandait à nouveau. Pendant que je prenais Laetitia, il se masturbait et a joui en éjaculant sur notre lit. Le lendemain matin, j’ai encouragé Laetitia à s’occuper de lui et après quelques caresses, il l’a pris en bouche et il s’est montré très résistant et il a joui ainsi. Notre relation a continué ainsi, Marcus était incapable de prendre Laetitia, il bandait, parvenait parfois à quelques va et vient, mais rien de plus. Le plus souvent, il jouissait lorsque Laetitia le masturbait ou lui taillait une pipe, ou alors il venait entre ses seins. Il adorait nous voir faire l’amour, il n’était jamais autant excité que dans ces moments-là et son plus grand plaisir était que Laetitia lui taille une pipe alors que je l’a prenais. Souvent il couvrait Laetitia de sa semence alors que je l’a prenais.

Il est resté six mois avec nous ainsi, puis, une fin d’après-midi, alors qu’il revenait d’une après-midi avec des amis, il est allé vers Laetitia, l’a embrassé, a commencé à lui faire l’amour comme d’habitude, mais soudain il l’a pénétré, tout en maintenant son érection. Il l’a baisé près de quarante minutes, Laetitia a beaucoup joui, elle a eu trois orgasmes, elle était surtout excitée par le fait que Marcus la pénétrait sans difficulté, par cette situation nouvelle. Lorsque je suis rentré du travail, il l’a prenait à nouveau, ils étaient sur le canapé, il prenait Laetitia en levrette. J’ai été étonné, puis je me suis réjoui de voir qu’il avait surmonté ses difficultés. J’étais un peu jaloux, car il y avait une sorte de plaisir à ce que mon épouse avait un amant qui ne pouvait pas totalement la satisfaire. Dès ce jour et pendant près de trois semaines, ils ont fait régulièrement l’amour, il y avait chez eux comme une envie de rattraper le temps perdu, je les trouvais presque tous les soirs en train de baiser et j’existais à peine pour eux. Je commençais d’avoir peur de perdre Laetitia. C’est à ce moment-là que Marcus nous a annoncé qu’il avait une amie et qu’il nous quittait en fin de semaine. Avant de partir, il m’a expliqué qu’il avait été amoureux de Laetitia dès le premier jour qu’il était arrivé chez nous, qu’il l’avait mise sur un piédestal, pensant ne jamais pouvoir avoir une relation avec une femme mariée et plus âgée que lui. Et que lorsqu’elle s’était donnée à lui, il n’avait pas vraiment assumé le passage de la femme idéalisée à la femme réelle, sexuelle qui se donnait à lui. En fait, c’est le fait d’en aimer une autre, de descendre Laetitia de sa statue de femme aimée qui lui a permis de vivre sa sexualité sans problème.

Avec Laetitia, nous avons décidé de stopper nos aventures. Au début, ce fut un peu difficile, nous éprouvions un manque, puis nous avons des enfants et notre vie a changée.

Paul Nicolas.

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