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Notre première fois candauliste – Chapitre 1

Notre première fois candauliste - Chapitre 1



Avant de rentrer dans le vif du sujet, je vais vous présenter notre couple et plus particulièrement ma femme. Nous sommes un couple marié depuis 5 ans maintenant. On s’est connu à la fac. J’ai été son premier amant. Et son unique amant jusqu’à il y a encore très peu de temps.

Au moment de notre mariage, des amis m’ont interrogé, "mais tu n’as pas peur qu’elle regrette de n’avoir connu que toi avec le temps ?". J’avoue que je ne m’étais jamais posé la question. La fidélité allait de couple avec le mariage et si ma femme m’avait dit oui, c’est qu’elle avait pris en compte également ce petit détail.

Mais hélas, cette question s’est mise à tourner et à tourner dans ma tête. Je rêvais, ou cauchemardais plutôt, plusieurs nuits durant sur des scènes où je découvrais ma femme se faisant prendre violemment pas différents amants tous mieux montés et plus endurants que moi. Je me réveillais avec une érection du diable. J’étais en train de fantasmer sur le fait de voir ma femme dans les bras et surtout sur la queue d’un ou d’autres hommes. J’ai alors découvert au fil de mes recherches Internet le candaulisme. Et là, le déclic, j’étais en fait un cocu convaincu !

Maintenant, il va falloir en convaincre une autre 🙂

Il faut savoir qu’on a toujours eu une sexualité assez débridée avec ma femme, dès qu’on avait une envie ou un fantasme, on s’en parlait et jusque-là, on les réalisait avec beaucoup de plaisir. Je pense honnêtement avoir fait énormément de choses à deux.

Je suis donc allez voir ma femme, mais là, son éducation catholique a pris le dessus. Pour elle, faire l’amour avec un homme, même dans la version la plus débridée, sous-entendait la notion d’amour. Elle ne pourrait jamais faire l’amour avec quelqu’un d’autre sans amour, même pour un soir et même en ma présence. Sexe et amour étaient donc indissociables. Impossible et cela ne sous-entendait aucun appel. Cela n’arriverait jamais.

J’étais donc bredouille, mais avec un fantasme très tenace. Je ne compte plus le nombre de séances de masturbation que j’ai eues sur divers sites d’histoires érotiques.

Petit à petit, j’ai tout de même réussi à gratter des expériences me satisfaisant. Si un homme réel ne pouvait être avec nous, peut-être pouvions-nous simuler sa présence avec différents godes ou autre. Petit à petit, j’ai donc acheté divers godes et plugs de plus en plus gros. Nous avons simulé plusieurs doubles pénétrations, sandwich et autres. Mais le virtuel c’est bien, mais le réel c’est mieux. Je connais ma femme, il faut que l’idée vienne d’elle, alors j’ai laissé faire le temps.

Petit à petit, c’est elle qui réclamait les godes, c’est elle qui m’indiquait pendant nos coïts, "tu imagines là, si c’était vraiment un autre homme dans mon petit cul ?" Elle s’amusait de mon excitation et parlait de plus en plus de ce scénario. Elle fantasmait de son côté sur ce trio.

Et cet été, elle m’a avoué qu’elle souhaitait réaliser ce fantasme, elle voulait de plus en plus réaliser ce trio, deux hommes pour elle, moi et un inconnu. Ce n’était pas du candaulisme pur, mais c’était déjà un énorme pas !! Tout heureux que j’étais !!

Elle a posé ses conditions, elle ne voulait pas s’occuper du choix, elle souhaitait avoir les yeux bandés tout du long et être offerte au mâle. Elle voulait qu’un préservatif soit mis du début à la fin pour n’importe quel acte et pas de baiser ni de faciale. Elle ne souhaitait pas d’hommes trop vieux ou trop jeunes.

Je trouvais ses limites classiques et me suis donc mis à la recherche de l’amant parfait. J’avais aussi mes critères, je voulais un homme avec de l’expérience et surtout bien foutu et bien membré.

Je me suis alors inscrit sur deux sites spécialisés et j’ai posté une annonce. Je ne pensais vraiment pas recevoir autant de réponses. Ma femme est canon, mais quand même ! Pour information, elle mesure 1m68, 58 kilos, un gros 85C en poire, des petites taches de rousseur, châtain aux yeux verts et un très joli cul bien bombé. Elle est très sportive et adore la lingerie fine donc les photos publiées étaient, je pense, motivantes.

J’ai sélectionné 5 possibles futurs amants et après avis de Marie, j’ai donc contacté l’heureux élu, ce dernier, après de long échanges nous a lâchés. J’ai alors contacté un second homme qui lui s’est cassé un doigt lors d’un match. Je commençais à croire que j’avais la poisse. La date choisie approchait, Marie très très excitée par ce que je devais donc trouver.

Et là, la pépite, un homme un peu plus âgé que nous (38 pour 30 ans) très courtois, avec de l’expérience et surtout plutôt bien monté et endurant. Aucun tabou ou presque et surtout disponible. Il nous avait également fait parvenir un test récent et à jour. C’était parfait !

Autre point de détail important. Marie a arrêté de prendre la pilule il y a quelques mois maintenant, car nous désirons avoir un enfant. L’arrêt de la pilule a décuplé sa libido, ses hormones sont en flèche et du coup, je ne l’ai jamais vu aussi excitée que le jour de notre rendez-vous.

Nous avons voulu faire les choses bien et avons loué une chambre d’hôtel dans un très bel hôtel. Très beau lit et très belle chambre. J’ai donné rendez-vous à notre complice à 23h/00h. On commence notre soirée par boire quelques verres et manger quelques tapas en amoureux.

Marie était sublime, elle portait pour l’occasion une superbe robe noire très moulante. La robe était très courte de sorte qu’au moindre mouvement, elle laissait apercevoir la lisière de ses bas et les clips du porte-jarretelles. On pouvait deviner en transparence les attaches des bas à travers la robe. En haut, elle n’avait mis aucun soutien-gorge et je pouvais voir ses petits tétons roses se dresser et pointer sous le tissu. Elle débordait de sex appeal et j’aurais aimé la prendre là directement sur la table du restaurant.

Nous avons un peu abusé des cocktails et nous étions quelque peu saouls en sortant du restaurant et en rejoignant l’hôtel. Je caressais sans trop de pudeur Marie sous sa robe durant notre trajet, elle était trempée. Au moment où Marie marchait presque cul nu, j’ai croisé un regard d’un homme envieux. Si seulement il savait que cette petite coquine allait connaître une seconde queue dans quelques minutes.

J’ai envoyé un petit texto à notre partenaire pour le prévenir et lui dire de se reprocher. Nous sommes montés dans notre chambre. Marie a délicatement enlevé sa robe. Elle enfile un soutien seins qui laissait accès à toute sa poitrine nue et fière, mais qui l’a redressait avec charme. Elle a directement enlevé son petit string. Il ne lui reste donc que son redresse sein, son porte-jarretelles et ses bas, l’ensemble étant noir.

J’ai commencé à la doigter doucement et à lui prodiguer un doux cunni. Un SMS m’indique que notre complice m’attend en bas. Je confie donc à Marie son jouet préféré pour qu’elle continue de jouer toute seule. Je lui mets son bandeau et vais chercher notre ami.

Le veilleur de nuit nous voit monter avec un sourire en coin. Notre complice est comme je l’imaginais, sympa et très distingué.

Je rentre dans la chambre sans faire de bruit suivi de notre ami. Marie est à quatre pattes sur le lit. Elle est en train de se goder en levrette, nous voyons l’engin aller et venir en rythme dans sa petite chatte toute rose. Elle gémit doucement à chaque fois qu’elle s’enfonce ce sexe en plastique. Je m’approche doucement et pose ma main sur sa fesse. Elle sursaute et gémit. Je prends alors le contrôle du gode et la masturbe doucement d’abord, puis avec force. Notre ami s’est assis au bord du lit et admire le spectacle.

J’ai accéléré le mouvement, Marie gémissait de plus en plus fort. Notre ami s’est mis à caresser les gros seins de Marie qui s’agitait à chaque cout de gode. Marie atteint son premier orgasme de la soirée lorsque la langue de notre complice est venu titiller ses tétons. Elle a tremblé comme une feuille et a joui bruyamment expulsant le gode. Nous avons alors échangé nos places et pour la première fois, j’ai vu un autre homme prendre possession de ma femme, c’est lui qui prenait le pouvoir sur elle, il a commencé à la caresser. Je voyais les mains d’un autre sur son cul, sa chatte et sur son clitoris. J’ai alors murmuré un " je t’aime" à l’oreille de ma femme, elle a donc sûr que ce n’est plus moi derrière elle, elle ne m’a pas répondu et a seulement gémi. Il a de suite compris comment ma femme fonctionnait, Marie est montée à nouveau très vite et j’ai alors vu ma femme jouir. C’est la première fois que j’assistais à sa jouissance en étant 100% spectateur.

J’étais paralysé devant ce spectacle.

C’est là que je suis devenu plus spectateur qu’acteur, je me sentais de trop, je voulais lui laisser entièrement ma femme. Jouir de ce spectacle. Après deux nouvelles jouissances, il m’a demandé de venir s’occuper un peu d’elle. Il s’est alors déshabillé. J’étais alors encore le seul habillé. Je n’étais pas déçu il était très bien monté, un sexe long assez fin, mais avec un gland énorme. Il a enfilé un préservatif et a présenté son sexe devant le visage de Marie. Elle avait encore les yeux bandés, il a approché son gland de ses lèvres, sans aucune hésitation Marie l’a alors pris en bouche et l’a pompé avec vigueur pendant plusieurs minutes. J’étais entre ses jambes à m’appliquer à lui faire un merveilleux cunni et j’entendais des bruis de succions et de salive. Elle lui avalait sa queue avec envie. Elle s’amusait et titillait son gland et sa queue sur toute la longueur. Ne tenant plus et ne voulant pas lui repeindre le visage, il m’a fait un signe pour que l’on échange.

Il s’est allongé sur le lit et a fait venir Marie sur lui en Amazone. Il m’a dit "prends ton téléphone pour faire des photos, il faut que tu gardes des souvenirs de cette pénétration". J’ai pris mon téléphone, me suis placé au pied du lit à genoux et j’ai regardé Marie s’enfoncer doucement sur cette queue, j’ai entendu distinctement son "oh putain hum".

Je nai jamais autant bandé qu’à ce moment-là. J’étais hypnotisé par cette queue qui fendait cette petite chatte qui n’avait vu que la mienne pendant presque 10 ans. C’était incroyable. Il la baisait littéralement maintenant, je tournais autour d’eux, je voyais ses seins se balancer. Sa tête était en arrière, sa bouche était ouverte, elle adorait ce moment et cette queue.

Sachant que Marie voulait un trio, il a donc voulu que je participe aussi, il l’a placée en levrette (il a vraiment été très directif tout le long et c’était vraiment super). Il a continué à la prendre sauvagement. Il a stoppé un moment pour lui insérer un plug dans son petit cul. Marie voulant subir une vraie double pénétration, il fallait bien la préparer surtout avec son gros gland.

Une fois le plug en place, il a repris sa besogne. J’ai embrassé Marie, je lui ai roulé une pelle. Et là, j’ai décidé de moi aussi me déshabiller pour profiter de la bouche de ma femme. Mais là, impossible de bander, c’est la première fois depuis mon adolescence que ma queue refusait de se lever. Ma femme a alors embouché une queue molle, ce nest pas faute d’avoir mis du cur à l’ouvrage, mais impossible de bander. Notre ami la besognant de plus en plus fort, me petite queue molle était expulsée de la bouche de ma femme. J’ai donc décidé de redevenir voyeur. Et là, j’ai vraiment eu l’impression d’être un cocu. Je voyais enfin ce dont j’avais rêvé : un vrai mal puissant, dominant et viril besognant avec vigueur ma femme pour son plus grand plaisir. Et là, ma queue est devenue à nouveau dure. Je me suis gentiment masturbé entre deux photos. Marie atteignait son 6ème orgasme de la soirée. J’ai alors de nouveau tenté de me faire sucer, mais incroyable, j’ai débandé en quelques minutes.

Dès que j’approchais de ma salope de femme, impossible pour moi de bander, aucune idée de pourquoi. Cela reste un mystère.

Notre ami s’énervant un peu a alors pris les choses en main et a décidé qu’il était temps d’enculer ma petite femme. Tous ses trous allaient donc avoir reçu la visite d’un second homme. Je ne l’ai jamais vue accepter une queue dans son cul aussi rapidement. En quelques secondes il était au fond de son petit cul. Marie s’agitait comme une folle, il a changé plusieurs fois de position pour bien la défoncer. A un moment, il l’a placée à nouveau en levrette et là, il lui a défoncé son cul, elle criait comme jamais. Il s’est alors retiré, a enlevé son préservatif et a demandé à ma femme de bien écarter ses petites fesses avec ses mains puis lui repeindre son petit cul de salope.

En entendant ces mots, je bandais à m’en faire mal. Et du sperme a commencé à perler au bout de mon gland quand j’ai vu Marie d’elle même écarter ses fesses et le supplier de lui jouir dessus. Elle ne pensait plus à aucune consigne de sécurité mise en place auparavant, elle voulait sentir son sperme chaud sur ses fesses, elle voulait sentir son sperme dégouliner sur son trou du cul et descendre jusque dans sa petite chatte fertile. Et là, j’ai vu une quantité impressionnante de sperme sortir et venir s’étaler sur les petites fesses blanches.

Épuisée, Marie s’écroule alors sur le ventre et réclame un verre d’eau. Je me précipite en bon serviteur dans la salle de bain pour aller lui chercher un verre d’eau. Un peu plus conscient de la situation, j’en profite pour prendre une petite serviette pour que Marie s’essuie et limite les risques. De retour dans la chambre, notre ami lui caresse les fesses et commence à gentiment étaler son sperme sur ses fesses, sans doute pour marquer un peu son territoire. Je donne le verre à Marie et l’aide à boire, je lui tends alors la serviette pour qu’elle s’essuie. Elle boit et laisse la serviette de côté. Notre ami me demande aussi de l’eau, en partant, la serviette tombe au sol et elle y restera toute la soirée. Je reviens avec de l’eau, notre ami me remercie et boit tout en doigtant doucement Marie qui est maintenant sur le dos. Je vois encore un peu de sperme sur les doigts de notre ami lorsqu’il se promène sur son clitoris et dans sa chatte fertile.

Je ne sais pas si c’est parce que Marie n’a rien fait ou si j’étais à nouveau paralysé, mais j’ai laissé faire sans rien dire. Je sais que je bandais.

On s’est alors allongé de part et d’autre de Marie sur le lit pour reprendre un peu nos esprits. Marie avait toujours les yeux bandés et a alors pris nos deux sexes en main. Elle a lors lancé un "oh moins là, je sais qui est qui". On a rigolé, moi un peu jaune, mais en même temps cela m’excitait.

Tout en se caressant mutuellement, l’ambiance se réchauffait à nouveau. Marie m’a demandé de lui faire un nouveau cunni, je pensais au sperme de notre ami, mais encore une fois, je n’ai rien dit, ce n’était que quelques minuscules goûtes. J’ai fait jouir Marie avec ma langue, elle m’a demandé de venir la prendre en missionnaire, à nouveau, j’ai débandé en elle en quelques minutes, me sentant bête, j’ai décidé d’abandonner et de revenir lui faire un cunni. Entre temps, notre ami avait déjà remis le préservatif et lui a nouveau pris le cul. Il l’a alors besognée pendant plusieurs nouvelles minutes dans plusieurs positions. J’ai réussi à me faire un peu sucer pendant qu’il lui prenait le cul, mais honnêtement, il la secouait tellement que je n’arrivais pas à grand-chose. J’ai alors une nouvelle fois repris ma position de voyeur.

Je n’avais toujours pas joui de mon côté, et je sentais à nouveau du sperme perler au bout de mon gland, j’ai donc arrêté de me caresser et j’ai juste regardé ma femme atteindre son 10ème orgasme.

Elle était épuisée et a jeté l’éponge. Nous nous sommes donc approchés d’elle qui était allongée sur le lit. Elle nous a sucé à tour de rôle. Nous avons alors joui sur ses gros seins. Elle avait du sperme partout. C’était magnifique.

Nous nous sommes alors enlacés et embrassés tous les deux pendant que notre ami partait prendre une douche rapide. Ce dernier nous a alors quittés assez rapidement pour nous laisser en amoureux.

Nous avons aussi rejoint la douche italienne pour nous retrouver à deux, pendant que je la savonnais, mon sexe se réveillait aussi doucement. Marie s’est alors agenouillée pour me sucer sous la douche et là, miracle ! je n’ai pas débandé. J’ai alors savouré cette superbe pipe. Je l’ai ensuite amenée sur notre lit pour pouvoir l’honorer dignement cette fois-ci. Nous avons ensuite fait tendrement l’amour. Mon sexe tenant sans soucis le coup, j’ai pu jouir sur ma femme. Je n’ai par contre pas réussi à lui faire atteindre un 11ème orgasme.

Nous avons un peu débriefé puis nous nous sommes écroulés de fatigue après 2h30 de baise intense, enfin surtout pour elle.

Notre partenaire a été juste incroyable, prévenant au début, dirigiste quand il le fallait, très endurant et son expérience lui a permis de faire jouir Marie plusieurs fois. Il a respecté toutes nos limites et a été très respectueux de Marie, son plaisir était son unique but. Il a aussi été très sympa avec moi, ne m’oubliant jamais. On voulait faire que du one shot, mais franchement nous aimerions bien le revoir. Le seul point négatif est que le lendemain, l’excitation retombée, Marie a eu peur d’être tombée enceinte suite à sa petite folie de la levrette. Il est vrai que c’était sa période d’ovulation, mais les chances restent très faibles. Ses règles devant arriver ce week-end, on sera vite fixé, je ne vous cache pas que cela m’excite bizarrement un peu, même si cela reste du grand n’importe quoi.

Je passe mon temps à regarder mes photos, c’était une magnifique première fois ! Je l’ai attendu pendant des années, mais je ne regrette pas du tout d’avoir attendu autant ! J’espère que vous aimerez le récit de cette soirée.

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