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Panne et dépannage – Chapitre 6

Panne et dépannage - Chapitre 6



Je me souviens encore de la fois où Cécile avait utilisé cette expression et m’avait montré à quelle réalité elle correspondait :

"Brouter le minou"

Avec douceur, de la bouche et de la langue elle s’était emparée de mon sexe, y avait mis le feu. Mais nous avions été interrompues par l’entrée de Sébastien. Aujourd’hui le même Sébastien me donne en deux temps la version masculine de l’expression. Les mains appliquées sous mes genoux relevés il se penche dans mon entrejambe, lisse mes grandes lèvres de la pointe de la langue, s’ouvre la voie jusqu’à découvrir mes nymphes, puis sa bouche se colle à ma moule et me suce. Tout y passe, renflement des lèvres, petites lèvres admirables, paraît-il. Ses mains quittent le pli poplité, descendent en direction de mes fesses, caressent la peau "si soyeuse" de l’intérieur de mes cuisses et terminent momentanément leur périple en pressant ma vulve en un mouvement giratoire du haut en bas de ma fente, avant de m’ouvrir. Et dans mon trouble j’entends l’étonnement du garçon :

-Mais, c’est vrai, tu es encore vierge. Mon dieu, comment est-ce possible à ton âge ? Et ce François t’a ratée, m’a raconté Cécile. Quel idiot. Ah ! Comme je te ferais disparaître cette peau. Hélas, le privilège est réservé au petit copain de ma soeur. Cécile est vicieuse, elle lui impose cette épreuve pour se faire une idée du potentiel sexuel de celui dont elle est tombée amoureuse. Moi je trouve cela bien compliqué. Je pourrais… :

Que tente-t-il ? Je sens une pression forte sur mon intimité et je m’ébroue

— Non Sébastien, arrête, ne triche pas.

-C’était juste pour évaluer la résistance de ton hymen. Je suis obligé d’attendre, Cécile a menacé de me rejeter si je devance Paul dans ta grotte. Mais tu dois comprendre combien je souffre de devoir trépigner à la porte de ton paradis. Apporte-moi un peu de réconfort. Je fais un demi-tour au-dessus de toi. Sois gentille, prends ma verge dans ta bouche et je reprends mes caresses.

Il a changé de position, ses mains frictionnent à nouveau mes chairs gonflées de sang, puis sa bouche attrape mon clitoris, le suce et l’aspire. C’est fort, c’est bon, excessivement bon, trop bon, ma croupe se soulève, mes muscles se crispent, je geins comme un nourrisson affamé. Je dis oui, je dis non dès que la queue qui occupe ma bouche entame un retrait. J’écarte les mâchoires à en avoir mal. L’archet de chair raide de Seb est plus volumineux, plus gros et plus long que l’instrument de François, hélas, et distend mes muscles. Je suis obligée de bloquer la pénétration sinon il me ferait vomir au contact de ma gorge ou m’étoufferait. J’interpose mes mains entre son bas-ventre et mon menton, je repousse le ventre de Seb. Je veux pouvoir respirer, donc mes doigts, en anneaux autour de son pieu, le maintiennent à distance. Son gland tape contre mes joues, cherche le fond de ma gorge sans l’atteindre. Il grogne mais est trop occupé avec ma vulve et la flagellation ou la sucion de mes chairs : il se contente de n’entrer que partiellement dans ma bouche. Il est moins doux que sa soeur, mais tout aussi doué pour obtenir des convulsions. Peu à peu je prends goût à l’entourer fermement de mes lèvres. C’est donc ça une fellation ? Ca aussi c’est bon, c’est fameux,

,

Je me cabre automatiquement sous les lèvres furieuses qui s’acharnent sur ma chatte ou à cause des doigts qui tâtent mon petit trou vierge lui aussi; mais par quel phénomène mon attention se porte-t-elle davantage sur le travail de ma bouche, de mes lèvres et de ma langue autour du pieu enfoncé en moi. Mes mains cessent de repousser les assauts, lâchent prise, se déplacent le long des cuisses, s’accrochent à ses fesses et deviennent complices des élans de Seb pour le garder en moi, le plus profondément possible et pour me maintenir en apnée, conscience abolie, comme si je voulais mourir dans cet état de béatitude. La bite a des convulsions, Seb grogne comme un ours. Il va se produire quelque chose de nouveau, tous mes sens sont en éveil…

-Holà ! Vous deux, vous y allez fort. Stop, Paul est arrivé. Séparez-vous. pouffe Cécile. ( Nous ne l’avons pas entendue arriver, sa voix casse le rêve). Dis-moi, frère bien aimé, comment la trouves-tu, est-elle mure, bonne à passer à la casserole ?

— Elle est bonne pour le service, ma chérie. J’adore renifler les cons et celui d’une vierge constitue un mets de choix. Va… Dans un soixante-neuf les deux partenaires sont actifs. Jeanne m’a pris moi dans sa bouche. Elle a réalisé d’énormes progrès en deux ans. Elle sait faire; c’est parfait pour un début. Mais c’est injuste, nous nous accordons parfaitement. Nul n’était besoin de convoquer ton Paul.

-Comprends-moi, cher frère. Tu m’as pris mon pucelage, je ne pourrai plus le lui donner. Je lui dois une compensation, Paul sera le premier à prendre Jeanne. C’est justice et c’est bien utile, Jeanne passera progressivement en deux étapes à l’état de femme, ce qui arrange nos affaires. De plus dès la première fois elle aura l’avantage de goûter à deux mâles successivement. Enrichie de cette expérience double, passant du plus petit au plus grand, elle deviendra l’épouse éclairée de François qui se situe entre les deux extrêmes. Connaître de cette manière la variété des dimensions et des caractères, c’est s’offrir une possibilité enviable de sortir du carcan d’une fidélité étouffante.

— Bon, Cécile il faut en finir avec les discours. J’ai hâte d’’être baisée. François est en train de me chercher. On y va ?

— Jeanne, ma chérie, j’ai dû composer avec Paul. Il m’a fait un caprice, ne veut pas travailler en aveugle Il tient à voir ton corps, il prétend qu’il ne lui est pas possible de bander assez s’il ne voit pas au moins tes seins, ton ventre et tout ton bassin, ton devant et ton derrière, ton sexe et ton cul. Il veut te découvrir, te toucher partout et te désirer, Ce qu’on lui demande est très important, il veut en tirer le maximum de plaisir. Cela impose malgré moi une mesure supplémentaire, : Tu dois enfiler ce passe-montagne cacher tout ton visage et tes cheveux. Par ailleurs il exige que tu lui fasses une fellation. Il s’est documenté sur internet Ca pose un véritable problème, jure-moi de ne pas parler, de ne pas tenter de le séduire.. Mais attention, au moindre mot on arrête tout avec ce garçon. D’accord ? Fais oui. C’est bien, Jeanne. Là, suce mon doigt. Fameux Tu pourras enfourner son petit oiseau, le trou du passe-montagne devant la bouche est assez grand. Seb, fais entrer Paul.

-Bon, j’y vais. Mais ce n’est pas juste, j’aurais réussi tout seul et Jeanne aurait vraiment joui dès notre premier rapport. Cécile tu me déçois.

-Va et ne sois pas jaloux. La séance commence, tu auras la meilleure part. Fais entrer, conclut mon amie toujours caressante.

La déception de Sébastien s’entend :

-Entre, morveux, ces dames t’attendent. Es-tu sûr de ne pas surestimer tes capacités? Bien sûr ton tire-bouchon est petit, il va entrer comme dans du beurre. Est-ce qu’on constatera une différence quand tu te retireras? La fille ne constatera pas de transformation. Ton robinet n’est pas de taille.

Cécile se fâche :

-Seb, ça suffit. Fous-lui la paix. Ne lui gâche pas cet instant merveilleux et laisse-lui le temps de faire ses preuves. Paul, mon chéri, ne l’écoute pas. Tu es magnifique tout nu, mon coeur, je te fais confiance. Ah ! Julie regrettera de ne pas avoir pu t’admirer . Viens que je t’embrasse. Mais… tu bandes déjà. Viens, embrasse Julie. Tu peux l’embrasser à tous les niveaux. Laisse-toi aller à ce qui te plaît.. Après tu pourras m’aimer, je me donnerai à toi pour te récompenser, comme je te l’ai promis.

La respiration saccadée de Paul trahit son émotion. Des mains moites effleurent ma poitrine, des doigts tremblants pincent mes tétins. Il s’est penché, son souffle chaud passe sur mon estomac et de nouveau des doigts me touchent, s’emmêlent dans mes poils pubiens, jouent à les traverser. Et puis plus rien… Cécile le stimule:

-C’est là. Elle est belle, hein. Regarde bien, prends ton temps. Tu peux toucher, là, entre les jambes. Ne tremble pas, elle veut se donner à toi. Décris des cercles sur son sexe. Tu peux appuyer. Ciel, que tu es timide. Je connais une solution. Julie va se pousser un peu vers le bord du lit, je vais m’allonger à côté d’elle et mon ami Sébastien te fera une démonstration. Tu imiteras chacun de ses gestes, ce qu’il me fera, tu le feras avec Julie. Regarde bien et applique-toi. D’accord?

L’innocent Paul voudrait en premier savoir s’il est vrai que des filles peuvent faire l’amour. Cécile veut esquiver la question. Il nous refait un caprice. Que Cécile lui montre comment elle fait avec une fille, C’est la vue de Cécile en action qui augmentera son désir de moi. Pour couper court Cécile se plie encore à ses désirs.

Elle me fait allonger, m’ordonne d’ouvrir les jambes. de remonter un peu mes genoux. Je m’exécute docilement. Aussitôt des doigts parcourent mes jambes en direction de mon sexe. Ils ouvrent mes grandes lèvres, Une bouche aborde ma vulve et me fait frémir. Je tends les mains vers la tête, j’enfonce les doigts dans des cheveux longs. Cécile s’applique à me préchauffer le four de sa langue et de son haleine chaude. Elle réveille des souvenirs vieux de deux ans. L’amie était déjà douée pour mettre le feu dans une chatte, mais aujourd’hui, investie d’une mission, elle suce encore mieux et m’affole bien vite. Je bondis, je gigote tant les sensations sont fortes. La bouche "cousue", je ne peux pas protester contre ce traitement et je compense par des tentatives d’évasion vouées à l’échec.

A ce moment je constate que deux mains solides tiennent mes épaules. Seb est bien présent et déjà actif. Le frère et la soeur vont m’offrir brûlante à mon sacrificateur. En attendant Cécile s’effondre entre mes cuisses et se met à souffler vite et fort. Elle me lâche et supplie:

-Non, Seb, ce n’est pas prévu comme ça. Tu m’as juré de rester tranquille, attends ton tour, sors de mes fesses.

-Bien ma soeur chérie, j’abandonne tes fesses, répond la voix fraternelle.

-Ce n’est pas une raison pour pénétrer mon vagin. Non,Seb, pas aujourd’hui et pas sans protection. Une chose à la fois, s’il te plaît. Tu embrouilles notre jeune ami. Garde tes forces pour Jeanne, tu en auras besoin pour accomplir ta part de travail. Si tu recommences, tu seras privé de Jeanne, je ferai appel à un autre.

-D’accord, mais faites vite toi et le petit. Je bous d’impatience. La vue de Jeanne, de son ventre et de ses seins si mignons active la circulation de mon sang. Puis-je m’occuper de sa poitrine pendant que tu butines son miel entre ses jambes?

Pendant quelques minutes les voici unis pour me rendre plus malléable.Entre eux rien n’a donc changé. Contrairement à mon attitude passée, là j’aimerais voir, pour comprendre un peu mieux cette complicité du frère et de la soeur.

-Tu peux m’aider à la remettre en condition. Attends, Seb, tu es au bord de l’éjaculation, quand sauras-tu te modérer ? Viens, que moi aussi je te prenne en bouche. Fais doucement, sois sage… Maintenant repose-toi.

J’entends bouger. Cécile allongée près de moi, tient ma main gauche et invite Paul :

-Reprenons sérieusement. J’espère avoir satisfait ta curiosité, petit voyou pervers, tu as vu que deux filles peuvent se faire du bien. La démonstration a été rapide. Une autre fois nous développerons. N’oublions pas ce qui nous réunit aujourd’hui. Toi mon petit amour tu dois t’initier et aimer Julie. C’est une partie de notre contrat. Agis avec Julie, comme Sébastien agit avec moi. Seb, viens ici, tes deux genoux entourent ma tête, tu offres ta verge à mes lèvres. Cochon, enfile ton préservatif. Paul tu n’en as pas besoin. Oui, Paul, c’est bien..

Il faudra m’expliquer pourquoi Paul est dispensé du port d’une protection.

Sur ma bouche un pénis repose. Un index cherche son chemin entre mes lèvres, le pénis s’insinue entre mes dents. J’obéis aux commentaires et aux ordres de Cécile. Que tout cela est étrange. Le pénis de Paul visite ma bouche, donc celui de Sébastien occupe celle de sa soeur.

A suivre

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