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Paul devient Paule – Chapitre 4

Paul devient Paule - Chapitre 4



Encadrée par ces deux mâles en rut, je n’ai pas tardé à avoir les orifices bien occupés. Mais quel plaisir de pouvoir se délecter d’une bonne verge bien dure et juteuse alors qu’une autre laboure sans retenue mes chairs intimes. Excitée depuis le début de l’après-midi par mon amant qui n’a eu de cesse que de maintenir au bord de la jouissance, je me suis jetée sur ces deux bites dressées comme une affamée. Passive depuis toujours, il me plaît de me laisser guider et de m’offrir le mieux possible à celui ou ceux qui désirent profiter de moi. Être ainsi possédée, offerte, décuple le plaisir ressenti par le glissement d’un membre viril dans l’anus dilaté devenu chatte, cette sensation divine d’une boule de feu qui grandit au creux des reins.

J’aime sentir la vigueur de mes amants qui s’accentue quand le plaisir envahit leur corps, quand ils sentent le point de non-retour atteint, quand ils ne pourront plus interrompre la montée de la sève dans leur queue tendue à l’extrême. Alors que les coups de reins se font plus durs, plus profonds, pour pousser plus loin encore leur gland turgescent, je jouis du mâle puissant râlant son plaisir quand il lâche sa semence qui me féconde telle une femelle docile ou quand il en inonde ma gorge, m’offrant sa liqueur comme une récompense pour son plaisir.

Avachie sur le canapé, dégoulinante de sperme, ils me délaissent pour aller se rafraîchir. J’ai joui au moins deux fois sous les coups répétés de leur grosse pine, devant les regards amusés et admiratifs de Michel et Marie. Malgré mes paupières engluées de foutre, je regarde avec envie la belle queue de Michel dressée et luisante de mouille que Marie caresse doucement.

— Michel, tu as trouvé une perle ! Jai pourtant vu défiler des tas de petites salopes mais celle-ci est une des meilleures.

— Je suis bien content qu’elle te plaise ma chérie

— Alors on est d’accord ? Tu me la laisses et toi, tu profites du camping comme tu veux.

— Tout à fait d’accord ! Elle est à toi !

Je les regarde un peu incrédule. Michel viendrait-il de… m’échanger contre son séjour ?

— Michel, qu’est-ce qui se passe ?

— Eh bien ma belle, tu vas prendre encore plus de bon temps que tu ne le pensais. Tu vas rester chez Marie, qui va faire de toi la petite femelle la plus demandée du camping !

Marie me regarde en souriant, visiblement satisfaite de sa transaction.

— Allez Michel, tu ne veux pas te la faire avant de partir ?

— Elle est pleine de foutre ! Je la retrouverai bien d’ici la fin de mon séjour.

Je le regarde quitter la pièce alors que Marie m’invite à la suivre pour passer sous la douche.

— T’as vraiment bien assuré avec mes deux lascars ! Quest-ce qu’ils t’ont mis putain !

Une fois lavée, je me retrouve sur la terrasse devant un café avec Marie. L’eau chaude m’a fait du bien et m’a bien détendue. J’ai même pu me faire un lavement grâce à un pommeau de douche à la forme adéquate.

— Ma chérie, je te propose une soirée plus calme. Tu as aussi besoin de te reposer… un peu. Je ne peux pas t’assurer que x ou y ne viendra pas te tenir compagnie mais comme ça demain je pourrais te présenter à quelques personnes qui sauront utiliser tes compétences à bon escient.

— J’avoue que je suis un peu… perdue. Je suis venue ici pour passer du bon temps avec Michel. Je me retrouve maintenant avec toi. Tu me parles d’autres personnes encore. Qu’attends-tu de moi ?

— Ecoute ma belle, tu es faite pour… donner du plaisir. Tu mets les hommes dans un tel état ! Cest incroyable ! Et j’ai besoin de personnes comme toi pour faire tourner mon affaire. J’ai des clients exigeants, désireux de passer du bon temps avec des petites coquines prêtes à tout.

— Et tu crois que je peux faire ça ?

— Tu aimes le cul, non ? Tu adores te faire défoncer dans tous les sens, tu en redemandes. En plus, tu es bi, et j’ai aussi des clientes perverses. Je te fais travailler pendant les trois semaines qui viennent. Ensuite, si tu veux, tu restes avec moi. Mais il faudra alors que tu changes d’allure.

— Changer d’allure ?

— En clair, je te fais suivre un traitement. Tu deviens une femme. Je te fais pousser des mamelles. Les mecs en seront dingues ! Tu garderas ton clito si tu veux mais tu seras une belle femelle désirable et tu baiseras avec une multitude d’hommes et de femmes.

Je la regarde fixement. Suis-je en train de rêver ?

— Et ne me dis pas que cela ne te plaît pas ! Regarde-moi comme tu bandes ! Tu t’imagines déjà avec une grosse poitrine aux gros tétons en train de te faire labourer le cul par de belles grosses bites !

La soirée fut en effet assez calme, avec un petit repas en compagnie de x et y à qui je ne pus résister de faire une petite fellation. Je me suis endormie assez vite, sans doute bien fatiguée par cette journée et par le petit cocktail préparé par Marie bu en apéritif.

Après le petit-déjeuner, Marie m’accompagne chez Frankie.

— C’est là que tu passeras beaucoup de temps. Les meilleurs clients passent tous ici.

Nous le trouvons dans son bureau. A cette heure matinale, les clients ne sont pas encore là.

— Voilà donc ta dernière trouvaille, lance-t-il à Marie alors qu’il m’attrape par les hanches. C’est vrai qu’il y a du potentiel !

Comme tout le monde ici, il est nu et je peux voir qu’il est déjà bien en forme. Mais surtout qu’il a un paquet bien plus gros que la moyenne. Je l’imagine bien dure entre mes fesses ! Ses grosses paluches me malaxent les fesses en me pressant contre lui. Il est bien musclé. Je ne pèse pas bien lourd entre ses bras. Sa queue est contre mon ventre. Je ne peux résister à la prendre à pleine main. Je ne fais même pas le tour de son chibre avec mes doigts.

— Ici, l’important est de tenir la cadence. Viens par-là ! On va voir ce que ça donne.

Il me pousse dans la pièce derrière son bureau. Une sorte de fauteuil y est installé. J’y suis installée rapidement et ligotée. Mes cuisses sont largement ouvertes, offrant ma rondelle à la vue de tous. Le collier qu’il me serre autour du cou lui permet d’immobiliser ma tête.

Malgré moi, je bande assez fort, sous son regard lubrique. Il m’attrape la queue par moments, comme pour en tester la raideur. Ses doigts glissent aussi entre mes fesses et forcent facilement ma rondelle. Je crois que je mouille déjà ! Lui aussi bande de plus en plus et son membre se balance devant mes yeux. Il place entre mes fesses un gode monté sur un axe qu’il commande avec un boîtier. Le gode s’avance, s’immisçant dans ma rondelle. Je pousse pour accueillir ce sexe en latex. Le glissement sur ma rondelle dilatée, puis sur mes chaires intimes est divinement bon. Je me détends, profitant pleinement de cette pénétration mécanique. Le gode s’agite maintenant tout seul d’avant en arrière, pilonnant consciencieusement mes entrailles au rythme réglé par Frankie. Celui-ci me ligature maintenant les couilles en les divisant bien avant d’entortiller ma queue qui semble vouloir grossir encore, étranglée par cette cordelette. Mon gland rougit encore, congestionné, prêt à éclater. Il suinte aussi, laissant perler les gouttes translucides témoignant de mon excitation.

La cordelette est fixée à une potence au-dessus du fauteuil. Après avoir placé des pinces sur mes tétons, Frankie entraîne Marie vers son bureau. J’ai juste le temps de l’entendre lui dire :

— On va voir combien de temps il tient avant de…..

Le bruit du moteur électrique entraînant le gode entre mes fesses envahit la pièce. Cette sodomie mécanique est enivrante, excitante. Je suis soumise à une machine. Cette machine qui me baise va me faire jouir. Car je sens cette boule de feu naître au fond de mon ventre. Ma queue ligaturée me fait divinement mal. La tension sur mes couilles est terrible. Chaque fois que le gode arrive en bout de course, au fond de mon ventre, j’ai l’impression que la cordelette se resserre encore. La pression des pinces sur mes tétons augmente aussi doucement. J’inspire profondément. Le gode se retire. La cordelette me cisaille les couilles et la queue et les pinces tirent sur mes tétons exsangues.

J’ignore que Frankie et Marie me regardent sur un écran. Il augmente la vitesse du gode en tournant le bouton sur son boîtier. Je ne peux empêcher un cri, vite perdu dans mes gémissements. Waouh ! Que c’est bon ! Douleurs, plaisirs. Ma queue est en feu mais je vais jouir ! Mon gland va exploser. Comme si mon sperme ne pouvait pas gicler alors que le gode me lime encore et encore. La bombe éclate soudain au fond de mon ventre, me faisant me raidir dans mes liens. Mon foutre fuse de mon méat, enflammant mon gland déjà hyper sensible. Le gode ralentit un instant, avant de repartir à nouveau. Je n’ai pas débandé. Je ne peux pas débander. Ligaturée comme elle est, ma queue reste sous pression. J’ai l’impression de sentir mon souffle sur mon gland tellement il est devenu sensible. Le premier coït m’a pris d’un coup. Le deuxième arrive aussi vite. Je crie maintenant presque en continu, des cris de plaisirs où se perdent mes supplications pour arrêter cette machine infernale, qui me procure tant de plaisirs.

J’ai l’impression que mon anus s’ouvre, s’élargit, devient béant tout en décuplant les sensations, provoquant des énormes frissons qui se répercutent jusquà ma poitrine. Mes tétons lancent alors comme des pics, des milliers d’aiguilles qui se plantent partout.

Je ne me rends compte de sa présence que lorsque la machine s’arrête. Je ne l’ai pas vu entrer. Debout près de moi, il me regarde en souriant, les mains sur les hanches.

— Pas mal du tout ma grande !

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