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Perverse Coralie – Chapitre 1

Perverse Coralie - Chapitre 1



Au retour des vacances, nos nouveaux amis, également parisiens, nous convièrent à une soirée spéciale, organisée par un ami célibataire commun, où il serait bien sûr beaucoup question de sexe. Nous nous rendîmes donc à cette soirée. Sandrine et Sophie étaient venues avec leurs conjoints respectifs, David et Marc. Le « maître de cérémonie », Fabien, nous accueillit avec empressement. Nous ne savions que peu de choses du programme sinon qu’il y aurait un jeu et que le couple perdant serait l’objet de toutes les attentions et prendrait beaucoup de plaisir. Le goût du risque avait décidé Coralie. Le jeu en question était une sorte de jeu de l’oie à gages.

En guise d’introduction, Fabien distribua aux participants masculins un comprimé de Viagra. Le but du jeu était de ne pas arriver les premiers dans la case centrale. On pouvait retarder l’échéance en choisissant de retirer des vêtements plutôt que d’avancer. Coralie jetait le dé et eût peu de réussite. Nous dûmes enlever pas mal de vêtements et Coralie se retrouva assez rapidement en sous-vêtements au grand plaisir de Fabien qui semblait beaucoup apprécier sa plastique. La blonde Sophie était jambes nues. Nous nous rapprochions dangereusement de la case fatidique en nous déshabillant petit à petit. Il existait des possibilités de retour en arrière si on n’arrivait pas directement dans la case. Coralie dut sacrifier son soutif pour retarder l’échéance. Puis sa petite culotte, au grand plaisir de l’assistance, moi y compris, je dois l’avouer. Peut-être le Viagra faisait-il déjà effet ! Toute nue, Coralie effectua le jet fatidique. Perdu ! Ce jet fut accueilli par une exclamation générale de satisfaction. Nous nous regardâmes sans mot dire. Le maître de cérémonie n’attendait que çà.

— Quelle chance vous avez ! Vous allez donc être soumis à tous les plaisirs. Mais c’est nous qui mènerons le jeu. Vous serez donc attachés sur votre chaise.

Puis il sortit de la pièce et en revint avec plusieurs objets. Je reconnus immédiatement 2 sex toys avec leur télécommande. Coralie entrouvrit la bouche.

— Sophie va équiper notre heureuse perdante avec ces objets. Le plus gros par devant, le petit par derrière !

Sophie s’approcha de Coralie et lui dit :

— viens avec moi dans la salle de bain, j’ai du gel pour celui de derrière. Mais avant .

Elle passa les mains derrière son dos et ôta son soutien-gorge. Elle descendit ensuite sensuellement sa petite culotte. Ses formes opulentes étaient très suggestives. Sandrine en faisait autant de son côté. Les 3 hommes de l’assistance, en caleçon, n’en perdaient pas une miette. Sandrine en profita pour me déculotter également. J’étais un peu gêné car j’étais déjà en érection. Je fus ensuite installé sur une chaise avec les mains attachées au dossier. Sophie réapparut bientôt avec Coralie qui avait quelques difficultés à marcher avec ses gadgets. Elle fut installée et également attachée sur une chaise en face de moi.

— Cela va être excitant de la voir se trémousser de plaisir ! dit Marc

— Vérifions que tout est en place, dit fabien. Devant .

Il appuya sur la première télécommande bleue. Coralie se tendit en ouvrant grand la bouche.

— et derrière .

et il appuya sur la télécommande rouge.

— Oooh ! fit Coralie

— Tu vas prendre du bon temps

Fabien commença alors à actionner la télécommande bleue par intermittence. Et Coralie commença à frémir, se tortillant sous les vibrations. Elle était à présent solidement fixée à la chaise, sans aucune possibilité d’éliminer le petit jouet qui la titillait délicieusement. Elle était extrêmement bandante avec ses seins dont la pointe était érigée de désir. Sandrine et Sophie commencèrent d’ailleurs à les caresser. Marc avait saisi la télécommande bleue et appuyait dessus de temps en temps, générant à chaque fois une vive réaction de ma compagne. Après environ 10 minutes de ce manège, Coralie était à point et suppliait :

— Faîtes moi jouir ! Laissez les jouets en marche !

J’étais dans une érection superbe. Sophie répondit alors :

— Arrêtez les jouets. Si tu veux jouir, tu devras te soumettre à un petit phantasme en prendre un petit apéritif avant de commencer !

Et elle se dirigea vers le buffet pour en sortir un petit verre à pied. Elle se dirigea vers moi.

— Je suis sûre que ton petit copain ne s’y opposera pas ! dit-elle en me regardant avec malice.

Je la regardais avec surprise quand elle s’accroupit près de moi et commença à me caresser doucement de son autre main libre. A ma grande honte, un désir irrépressible me prit à la pensée de ce qu’elle voulait faire. Je bandais violemment quand je compris quel genre d’apéritif elle voulait offrir à Coralie : mon sperme dans un verre ! Je ne voulais pas offrir ce spectacle à tout le monde mais visualiser Coralie immobilisée et obligée de boire mon sperme au verre m’excitait encore plus. Je tentais néanmoins :

— pas dans un verre quand même . !

— mais pourquoi pas, après tout ! insista Sophie

Elle et Sandrine me caressaient les cuisses et les couilles. C’était délicieusement bon et excité comme je l’étais déjà, je ne pouvais pas tenir très longtemps. Les 3 autres mecs attendaient le résultat avec impatience ! Je voyais Coralie fixer mon sexe.

— Je vais jouir dans le verre, Coralie !

— Voyons, chéri, retiens-toi un peu !

Mais je sentais que je pourrai plus tenir très longtemps. Je dis bientôt :

— Excuse-moi Coralie mais j’y vais.

Je me laissai alors aller et éjaculai bientôt avec force dans le verre. J’eus l’impression que mon éjaculation n’en finirait jamais. Quand ce fût fini, Sophie leva le verre et dit :

— Mais c’est qu’il y en a une bonne petite quantité ! regarde comme tu as bien excité ton petit ami ! tu en connais le gout, je suppose ?

Elle lui montra le verre dont le fond était effectivement abondamment rempli du fruit de mon excitation précédente.

— Tu veux jouir ?

— Oui .

— Alors, bois !

Elle approcha le verre de la bouche de Coralie. Celle-ci recula la tête mais entrouvrit en même temps les lèvres ! Sophie en versa le contenu qui tomba d’un bloc dans sa bouche. Je vis ensuite Coralie déglutir. Au même moment, Sandrine appuya sur le bouton de l’ouf vibrant et Coralie gémit en déglutissant.

— Quel ravissant spectacle, vraiment ! dit Sophie

Coralie geignait maintenant sous les douces vibrations qui naissaient dans son vagin.

— Mettez l’autre en marche ! implora t’elle

Fabien saisit alors l’appareil et l’interrompit.

— C’était vraiment très beau ce que tu as fait. J’ai envie de le revoir. Nous allons jouir tous les 3 dans le verre et tu devras en boire tout le contenu. Après je mettrais les 2 appareils en marche en même temps et tu jouiras tout ton saoul !

J’étais médusé ! Coralie le regardait, haletante. Je la sentais prête à accepter.

— Tu ne vas quand même pas leur donner ce spectacle !

— Excuse-moi, chéri, mais j’ai trop envie ! je crois que je vais le faire .

— Mais pense à la quantité qu’ils vont mettre !

— Oui, mais ce sera si bon après !

— D’ ailleurs, çà l’excite déjà, ton petit copain, renchérit Sandrine.

Je pris conscience que j’étais en train de rebander (sans doute l’effet du viagra !).

— Cochon, çà t’excite ce qu’ils vont me faire ! Après tout c’est à peine pire que ce que tu m’as fait faire pendant les vacances ! Eh bien tu vas voir, je vais tout boire !

Je regardais, incrédule, Marc puis David éjaculer abondamment dans le verre. Je voyais Coralie fascinée regarder le verre se remplir de semence. Fabien le compléta bientôt. Il y en avait au moins 2 cm au fond du verre. Fabien leva le verre et dit :

— Là, c’est quand même autre chose que tout à l’heure. Cette fois, tu n’auras plus soif après ! Tu es prête ?

Pour toute réponse, Coralie entrouvrit la bouche. Fabien posa le bord du verre sur ses lèvres puis l’inclina dans sa bouche et lui fit boire une première gorgée. Je la vis avaler.

— C’est bon, gourmande ?

Le salaud ! Il faisait durer le plaisir !

— Allez, bois tout le reste, petite cochonne !

Et il inclina franchement le verre dans sa bouche. Un torrent blanchâtre se précipita dans sa bouche et je vis, incrédule, Coralie l’avaler avidement.

— Oh ! elle a tout bu !, dit Marc émerveillé

Il en restait sur les parois et au fond.

— Ouvre la bouche !

Et il inclina le verre au-dessus de sa bouche grande ouverte, laissant lentement tomber les dernières gouttes. Pour l’humilier davantage, il la fit rester ainsi un long moment à attendre que les dernières gouttes tombent du verre. Enfin, ce fut fini. Coralie avait englouti la tripe dose de foutre ! Elle dit alors d’un ton suppliant :

— J’ai fait tout ce que vous vouliez ; j’ai bu tout votre sperme ! maintenant, faîtes moi jouir.

— Allez, dit David, on va la faire exploser. Appuie sur le détonateur !

Fabien appuya simultanément sur les 2 télécommandes en disant « feu ! ». Et Coralie perdit tout contrôle. Ce fut alors un concert de gémissements, de « oui ! » de « non ! », de cris inarticulés. Elle se trémoussait follement dans ses liens. Je ne sais combien de temps dura ce déchaînement mais je discernai qu’elle eut au moins 3 orgasmes. Je bandai maintenant franchement, de même que les trois autres spectateurs. Les spectatrices, elles, se caressaient doucement. Au bout d’un long moment, Fabien arrêta les jouets. Coralie retomba sur sa chaise et dit, en reprenant son souffle :

— Déjà ?

J’étais suffoqué ; elle en redemandait !

— Je comprends ta déception, dit posément Fabien, mais, il faut penser aux autres. Maintenant que tu t’es bien satisfaite, tu vas nous satisfaire. Nous allons passer dans la chambre à côté pour mieux profiter de tes charmes.

— D’accord, mais n’éjaculez pas en moi, je ne prends pas la pilule.

— Pas de problème, mon ange !

Pendant qu’ils la détachaient, Sophie me glissa, perverse :

— Ce n’est pas une très bonne idée mais peut-être qu’elle a encore soif ! mais ne soit pas triste, nous allons nous occuper de toi, pendant ce temps !

Coralie me jeta un regard heureux avant de disparaître dans la chambre voisine, accompagné de ces trois satyres. Je restais impuissant, ligoté à mon siège. Je ne pus ensuite qu’essayer de deviner ce qui se passait. Je l’imaginais pénétrée par l’un et suçant les deux autres ! Pendant ce temps, les 2 coquines entretenaient mon érection par leurs douces caresses. J’entendais des vois étouffées. Puis un râle de jouissance. Sophie me dit :

— Voilà la première dose pour ta gourmande !

En effet, j’entendis alors distinctement, à travers la cloison :

— Avale tout !

Je compris alors que chaque grognement de jouissance serait synonyme d’une éjaculation buccale. Je perdis bientôt le compte de ces cris pendant que Sandrine me faisait une fellation. Sophie, allongée sous elle, lui offrait un cunnilingus. Je me laissai bientôt aller dans la bouche experte de Sandrine. Elle gonfla ces joues en faisant « Hmmm » mais n’avala pas et recracha tout dans le verre. Résigné, je ne pouvais que la laisser faire. Elle tendit le verre à Sophie. Celle-ci entra aussitôt dans la chambre à côté et j’entendis son exclamation étouffée. De longs instants après, Sophie reparut. Elle me dit aussitôt :

— Les cochons ! Quand je suis entrée, elle était à genoux et ils finissaient d’éjaculer dans la bouche à tour de rôle. Ils ont voulu que je lui verse moi-même ton sperme dans sa bouche. Elle débordait presque, après !

Sophie et Sandrine se mirent alors tête-bêche et me firent profiter de leurs ébats. Sophie me fit ensuite à son tour une fellation et j’eus grand plaisir à remplir sa bouche d’une grande quantité de sperme gluant car c’était à cause d’elle que nous avions été à cette soirée. Pas de verre cette fois et elle avala tout.

Je fus libéré peu après et Coralie et ses trois étalons ressortirent épuisés. Nous partîmes peu après prendre un repos bien mérité. Coralie me confia que, le Viagra aidant, elle avait du avaler une énorme quantité de sperme et qu’elle y avait pris plaisir. Mais de cela, je ne doutais pas une seule seconde !

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