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Peut être eût-il mieux valu ne pas provoquer Saphô ? – Chapitre 3

Peut être eût-il mieux valu ne pas provoquer Saphô ? - Chapitre 3



« A une aimée :

Ah ! Moi, sais tu, si je te vois,

Fût-ce une seconde aussi brève,

Tout à coup alors sur mes lèvres,

Expire sans force ma joie »

Saphô, troisième strophe, 630 avant JC, Ile de Lesbos

Toujours attaché, crucifiée par ma bêtise, je m’en aperçois à présent, la mémoire me revenait par bribes.

Il faut dire qu’avec la dose d’alcool que j’avais ingurgitée la veille, et cette putain de gueule de bois, difficile de rassembler ses souvenirs.

Après cette soirée du tennis, lors de laquelle Cécile était revenue avec bien des mystères, je la surveillais et essayais de rassembler des preuves pour voir si JD avait raison.

Le scénario d’imaginer ma femme faire l’amour avec Noémie et sa copine, même s’il m’excitait au-delà de tout, me semblait très tiré par les cheveux.

Ma femme avait toujours été une bonne épouse et une bonne mère de famille, parfois un peu trop même

Donc j’exerçais une surveillance discrète à son encontre, mais rien dans son comportement n’éveillait mes soupçonspas de changements d’emploi du temps, pas de soirée surprise, pas de fantaisies vestimentaires.

Tout au plus Cécile allait à ses entrainement de tennis avec de nouvelles tenues de sport plus affriolantes et un peu de rouge à lèvres pas de quoi fouetter un chat, surtout que d’après ce qu’elle m’avait dit, Noémie était dans sa période de formation au CREPS.

Néanmoins elle en faisait plus, devant pallier à l’absence de la jeune monitrice.

Un jour je croisai un des gamins qui faisait du tennis avec ma femme et Noémie.

Lui demandant s’il ne se sentait pas soulagé de l’absence de cette mégère de Noémie, il fut surpris par ma question et me répondit, que non seulement cette dernière assurait les cours actuellement, qu’elle n’était pas en formation, mais qu’en plus elle était devenue beaucoup plus cool, depuis que Cécile était bien copine avec elle

J’avoue que quand j’entendis cela les bras m’en tombèrent !

Ainsi Cécile m’avait doublement menti : tout d’abord Noémie était bien présente sur le village et ensuite les deux s’étaient réconciliées

Oui et alors, cela ne prouvait pas grand-chose, de là à dire qu’elles étaient amantes

Ainsi les jours passèrent jusqu’à ce que ma femme m’apprenne que nous allions recevoir pour le diner un couple d’amis, dont elle ne voulut pas révéler l’identitémais cela devrait me plaire m’avait-elle affirmé.

Le samedi 24 mai 2017, le carillon résonna et ma femme qui était encore en haut en train de se changer, me demanda de recevoir nos invités

Quelle ne fut ma surprise quand j’accueillis Noémie et son amie, avec l’une, une bouteille de bordeaux et l’autre une bouteille d’eau de vie de prune.

Un peu embarrassé quand même, j’essayais de faire bonne figure, mais le sourire éclatant des deux jeunes femmes et leur allant, fit retourner la situation.

Alors que je m’apprêtais à être désagréable, je leur fis les honneurs de la maison.

Il faut dire que c’était deux très belles jeunes femmes que je recevais là.

Noémie, pour une fois très féminine, portait une jolie robe à fleurs à bretelles, liée à la taille par une ceinture, avec un petit gilet noir qui lui couvrait les bras.

Manon, quant à elle, était habillée en noir, jupe de cuir un peu courte avec une grande fermeture éclair brillante sur le devant, un chemisier grenat et un "perfecto", lui aussi noir, ainsi qu’une paire de bottines noires en cuir à haut talons.

Je les fis installer sur le canapé dans le salon, pendant que ma femme descendait l’escalier en face d’elles.

Leur expression de surprise et d’admiration en voyant ma femme arriver m’interloqua

Je me retournai pour voir ma femme arriver tout sourire, les yeux brillants.

Elle portait une robe rouge en stretch très moulante qui laissait voir toutes ses formes splendides. Il ne fallait pas être grand clerc pour constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et que les pointes de ses seins étaient en érection.

Sur ses jambes des collants ou des bas blancs ? À vue de nez il était difficile de le dire.

En tout cas avec sa nouvelle coupe de cheveux et un peu de maquillage, l’effet était dantesque.

Les trois femmes se dirent bonjour en se faisant la bise et Cécile se retrouva assise entres les deux.

Les trois discutaient de façon chaleureuse en buvant leur verre, tandis que moi en face je me sentais un peu à l’écart.

Alors sur une impulsion et ressentant une légère sensation de malaise face à la situation, je décidai de quitter la pièce sous le prétexte d’aller chercher des cacahouètes.

En revenant, ayant bien pris mon temps, je me posai silencieusement contre le mur et jetai un coup d’il furtif vers le canapé.

Et là je vis que Cécile se faisait caresser par ses deux amies.

Elle avait sa robe relevée au niveau de son ventre, son pubis rasé était dévoilé à la convoitise des deux jeunes femmes qui se régalaient de le caresser, d’écarter les cuisses de ma femme, de la doigter franchement.

Cécile commençait à gémir doucement, elle fermait les yeux sous les douces caresses de ses copines, mais soudain sentant le danger venir, elle remit sa robe convenablement et demanda à ses deux voisines de se tenirje choisis ce moment pour entrer dans le salon comme ci de rien n’était.

Nous passâmes à table et je remarquai que l’alcool coulait à flot.

Je ne m’en plaignais pas, en pensant que si les 3 femmes étaient suffisamment désinhibées, il pourrait alors se passer des choses plus qu’intéressantes lors de cette soirée.

Et effectivement sous l’effet du bordeaux, l’atmosphère se réchauffait de façon très érotique.

La conversation devenait assez grivoise et Noémie et Manon se rapprochaient et commençaient à se chauffer à deux.

Je remarquais que mon épouse n’était pas insensible à leur flirt érotique.

Quant à moi, le vin commençait à faire vraiment son effet, je ne perdais pas encore les pédales mais n’en étais plus très loin.

C’est alors que pour le dessert, Cécile nous proposa de le prendre au salon et de goûter à cette fameuse eau de vie de prune.

Cécile assise prés de moi, m’en versa dans mon verre de façon généreuse, et pris dans la conversation avec les filles, j’étais extrêmement émoustillé.

Pensez donc ! Je me disais que j’allais peut-être mettre dans mon lit ma femme avec ce couple de lesbiennestoujours est-il que je ne faisais plus attention à ce que je buvais

A un moment dans un état semi comateux, alors que je voyais les deux jeunes femmes se rouler des pelles et se caresser sur le canapé devant moi, Cécile revint avec le gâteau, sauf qu’a part un petit tablier de cuisinière elle ne portait rien du tout d’autre.

J’étais tellement soul que sur le moment rien ne me parut anormal

Ce n’est que lorsque ma femme se tourna et me présenta sa croupe pour poser le gâteau sur la table basse, que je m’aperçus qu’elle était nue à part son porte jarretelle blanc et ses bas de la même couleur.

Malgré mon ébriété je ne pus m’empêcher de passer ma main entre ses cuisses et de sentir son entrejambe complètement humide.

J’étais comme un fou, même l’alcool ne m’empêcha pas d’avoir une érection plus que raisonnable.

Cécile, un grand sourire aux lèvres donna à chacune des filles leur part de gâteau, puis vint s’assoir nue entre les deux.

Cécile embrassa langoureusement Noémie à pleine bouche, puis ce fut le tour de Manon.

Les trois commencèrent à se caresser langoureusement, puis Manon et son amie soulevèrent ma femme, lui enlevèrent son tablier et prirent chacune une de ses cuisses sur la leur.

Ma femme était un peu écartelée entre les deux jeunes femmes, son sexe était béant. Je voyais la petite fente plus qu’ouverte et son clitoris qui montrait le bout de son nez.

Manon promena ses doigts sur la chatte de ma femme et commença à masturber le clitoris, entrainant une réaction de plaisir de mon épouse.

Elle commença à gémir et ahaner sous la caresse saphique.

Pas de doute Manon savait y faire avec une femme, sans doute mieux que moi

Pendant ce temps, Noémie prit un peu de crème chantilly du gâteau et en tartina généreusement les seins de Cécile puis les lui lécha.

Cécile partit d’un grand éclat de rire et rejetant la tête en arrière, elle criait à présent sa jouissance sans aucune retenueje ne l’avais jamais vu comme ça.

Excité au delà de tout ce que j’avais pu imaginer, je me régalais du spectacle :

ma femme qui réalisait à présent son fantasme lesbien, et le mien

Puis Manon enleva son pull grenat, fit descendre la fermeture éclair de sa jupe de cuir et apparut nue, en guêpière et porte-jarretelle noir ; elle ne portait pas de string et j’avais une vision de son petit triangle de blonde, bien taillé.

Elle se plaça à genoux devant l’entrejambe de Cécile et commença à lécher clitoris et vulve de mon épouse.

Deux minutes de ce traitement eurent raison de ma femme qui se cabra et fut saisie d’un violent orgasme, elle poussa une plainte de plaisir sidérante.

Un peu remise de son plaisir, elle s’adressa à moi me demandant si le spectacle m’avait plu ?

Je répondis par l’affirmative.

Elle se leva alors et me resservit un verre d’eau de vie que je vidai cul sec, pour « fêter » ça, à sa demande. J’étais minable, la tête me tournait je ne savais plus trop ce que je faisais, affalé sur mon canapé.

Cécile nue et droite devant moi, fut rejointe par ses deux amantes, nues elles aussi. Elles avaient le regard mauvais, Noémie serrait les dents dans un rictus de haine.

Cécile me regarda très méchamment et sans aménité me dit :

— Tu n’aurais peut être pas dû boire autant mon amourtu vas en payer le prix. 

Ce furent mes derniers souvenirs de cette soirée, pour me réveiller avec cette épouvantable gueule de bois, nu, entravé, un bandeau sur les yeux, dans ce qui semblait être mon donjon, installé dans le cellier.

Décidément JD avait raison :

— Je n’aurais pas du provoquer Saphô !

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