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Plage coquine – Chapitre 1

Plage coquine - Chapitre 1



Les plages du Roussillon ne sont plus les immenses déserts de notre jeunesse mais quelques coins confidentiels subsistent encore entre les vagues de bétons. C’est le cas de la zone à demi marécageuse qui s’étend sur deux kilomètre au nord de l’embouchure du Tech: on appelle ça le Boucau du Tech, près d’Elne. C’est un espace réservé aux coquins en tout genre. Sur plus d’un kilomètre, il est presque impossible de voir un seul maillot, la totalité de la population paraissant naturiste.

Nous savons depuis longtemps, pour l’avoir pas mal pratiquée, que cette plage naturiste est des plus chaudes: près du cours du Tech même, c’est le domaine des homo, plus au nord celui des couples. Nous avons donc profité de notre premier après-midi de liberté et de beau temps, hier dimanche, c’est tout frais, pour aller revoir ce coin sympathique. Oh bien sur, nous connaissons déjà les plages girondines et leurs creux de dunes complices mais là c’est vraiment autre chose: une plage et ses abords exclusivement réservés à la baise. On y va pour ça et aucun innocent ne s’y risque, aucune crainte donc de choquer quelqu’un ou de surprendre des pudeurs effarouchée, il n’y a là que des baiseurs et des voyeurs. Quant aux forces de l’ordre, qui ne peuvent ignorer cette particularité, elles préfèrent la tolérer tant que ceci ne cause aucun débordement.

Par ce premier bel après-midi de juin, au moins pour nous, nous voici partis en exploration. Nous laissons la voiture en amont, assez loin de la plage vers laquelle nous nous aventurons dans la tenue adéquate, short et tee-shirt, faciles à ranger dans un sac de plage. La plage elle-même, large d’une vingtaine de mètres au plus est surmontée d’une petite dune couverte d’une brousse de tamaris entremêlés de cistes et de roseaux. Des sentiers y serpentent et des sortes de clairières, ou pour mieux dire d’alcôves, sont ménagées de place en place dans cette végétation touffue. Il est à déplorer que la municipalité, ou quelqu’autre ayant droit, ait cru devoir élaguer les bosquets de tamaris les plus proches de la plage. Il reste heureusement suffisamment de brousse en arrière !

Après avoir longé le Tech, nous arrivons à la plage pour constater qu’il n’y a que des hommes, souvent jeunes et bien bâtis, tous à poil et superbement bronzés, la plupart avec le noud très visiblement décapuchonné, signe d’appel et de disponibilité que nous avons appris à reconnaître depuis longtemps. ( Lors de nos premières visites, ces bites avec le gland largement découvert nous avaient quand même intriguées: nous avons vite compris ! ) Nous sommes évidemment dans la zone homo et nous savons bien que nous n’allons pas y trouver quelque chose d’intéressant pour nous. Je ne me démonte pas pour autant. D’abord nous savions bien ce que nous allions trouver en abordant la plage par les berges du Tech. Et puis, je fais remarquer à mon chéri que tout le monde à le droit de se baigner.et puisqu’ils sont tous à poil, que nous pouvons bien les imiter. Nous retirons donc nos vêtements pour les déposer dans le sac de plage d’où nous ne jugeons pas urgent de sortir nos maillots. Nous nous baignons et bronzons tranquillement en regardant ce qui se passe. En ce qui nous concerne, rien. Ma plastique, pourtant encore valable, n’attire même pas les regards. Celle de Georges ne doit rien avoir d’excitant pour ces éphèbes. Les garçons qui nous entourent sont seuls ou en couples, mais rien de choquant sur la plage. De temps à autres, on en voit se promener, sortir des fourrés ou y entrer. Même pour ceux qui ne sont pas au courant, ce qui n’est pas notre cas, il est évident que des choses intéressantes se passent sur la dune. Ce n’est pas ce que nous cherchons mais je ne suis pas contre le spectacle de mecs qui font l’amour entre eux et j’aimerais bien voir ce qui s’y passe. J’incite donc Minet à aller y faire un tour, j’ai envie de jouer les voyeurs, mais en restant totalement à poil pour ne pas choquer ces naturistes un peu spéciaux.

En suivant le premier sentier qui se présente et serpente dans une dense végétation, nous tombons vite sur quelques clairières successives, dont certaines occupées par des garçons dans des positions sans équivoque. Le premier rencontré est un tout jeune homme, très beau, efféminé. Agenouillé dans le sable, il tend les fesses aux passants dans une position si obscène que j’en rougis presque. On dirait qu’il faut honorer son cul pour avoir le droit d’aller plus loin. Je lui demande innocemment si je peux quelque chose pour lui et ne m’attire qu’un regard noir. C’est pas pour une femelle son beau cul ! Nous passons. Un peu plus loin, c’est un jeune couple qui est en action, l’un des garçons agenouillé devant l’autre est en train de le sucer doucement. Et je te prie de croire que j’en prendrai presque des leçons, tant il suce à gorge profonde. Deux autres mecs regardent en s’astiquant la tige. Ce n’est pas vilain à regarder, très tendre et, après tout, très semblable à ce que je sais si bien faire. Me rapprochant de l’un des spectateurs, je tends la main vers son membre, mais il se détourne: les dames ne doivent pas être son genre. Vexée, je tire mon chéri dans la suite du sentier.

Nous finissons par tomber sur une clairière très fermée où sont regroupés une demi-douzaine de mâles, si on peut dire. A terre, l’un d’eux, agenouillé, en suce un autre debout devant lui tandis qu’un troisième l’encule sans ménagements. C’est une position que j’adore et que j’ai pratiqué des tas de fois, et en plus avec un troisième en dessous pour garnir la voie royale que ne possèdent que les dames. Ils sont cons, ces mecs, pourquoi il n’y en a pas un qui se glisse dessous pour téter la pine de l’enculé qui me semble raide à point. J’aime bien les voir faire, c’est assez beau et ça me fait déjà mouiller Oh, bien sur, j’ai déjà vu des garçons faire l’amour entre eux mais le plus souvent dans l’ambiance des partouzes où on voit également des filles faire de même et des couples mixtes procéder plus classiquement. Ici, il n’y a qu’eux ! Les regards qui nous accueillent ne sont peut-être pas franchement hostiles, mais pas franchement accueillants !

Je n’aime pas qu’on me prenne pour une potiche quand j’ai envie de baiser, je prends donc assez mal la chose. L’un des spectateurs s’approche et nous fait remarquer que ce n’est pas là la place d’une dame, je ne suis pas la bienvenue. Si je veux vraiment me faire sauter, il faut aller plus au nord où il y a une zone pour couples où des tas de mecs attendent leur tour pour baiser les nanas en chaleur comme moi. Mais il n’est pas question qu’une fille joue les voyeuses ici ! Si elle provoque les homos, elle risque de se faire virer avec pertes et fracas ! J’ai beau montrer mon cul, et le reste, ce n’est pas ce qui les intéresse. Je m’attendais évidemment à cette réaction que nous avons déjà constatée ici même en nous mélangeant avec les homos, je sais que le mec qui m’a parlé à raison et parle dans mon intérêt. Bien compris, nous filons.

Près d’un kilomètre plus loin, nous commençons à voir apparaître des filles sur la plage, ou plus exactement des couples ou des groupes, toujours sans le moindre maillot. Quelques hommes seuls se promènent bien mais ce sont visiblement des voyeurs en recherche de participation et non plus des homo. La différence est flagrante pour moi qui vois regrimper en flèche ma côte de popularité ! C’est le bon coin. Le principe est le même que plus bas, rien sur la plage, tout dans les fourrés. Nous restons un moment sur le bord de la dune où nous déclinons les offres de deux ou trois mecs qui nous font signe de les suivre: je ne suis pas là pour suivre le premier mâle de rencontre, je n’en suis plus là et j’ai déjà beaucoup trop donné dans nos dunes aquitaines pour que la chose garde le moindre intérêt pour moi. Mais on ne serait pas contre lier connaissance avec un beau couple où nous mêler à quelques jeux plus variés. Nous prenons donc le chemin du maquis pour voir ce qui s’y passe. Rien de bien excitant ! Dans les tamaris du nord de la plage, au milieu de nombreux mecs qui bronzent avec la bite décalottée, nous trouvons trois ou quatre couples d’allure bien sage. Au détour d’un tamaris, nous tombons cependant sur une scène qui aurait pu se révéler intéressante. Une nana assez jeune, brune et potelée, étendue sur le dos se fait caresser par un mec à poil à côté d’elle: la main du monsieur court sur le buste et le ventre de la dame. Tout autour, cinq autres mecs, tout aussi à poil, se branlent doucement en regardant et peut être en attendant leur tour.

— Tu te vois à sa place, me demande Georges ?

— Pourquoi pas ! Tu sais que ça m’a toujours plu de me laisser câliner en public. Ce n’est pas déplaisant et les mecs ne paraissent pas manquer dans ce coin pour s’occuper des quelques filles. J’ai bien envie de faire un peu la pute, mon chéri. Tu veux qu’on trouve un coin tranquille ?

— Rien de plus facile, nous n’avons qu’à nous installer dans la première clairière vide que nous trouverons. Mais elle ne restera pas tranquille longtemps: si nous restons dans ce couvert, il est clair que tu cherches à te faire baiser, les mecs ne vont pas manquer de nous suivre et les voyeurs qui se promènent vont s’arrêter pour t’admirer.

Effectivement, empruntant le premier chemin qui s’ouvre devant nous, nous y croisons deux gars qui se retournent sur notre passage. Du coin de l’oil, je les vois s’arrêter pour jauger la marchandise que j’offre et revenir sur leurs pas pour nous suivre. Nous parvenons rapidement dans une nouvelle clairière qui n’attendait que nous. Mon chéri étale nos serviettes sur le sable et nous nous y étendons sur le dos, dans la position même où nous nous endormons chaque soir. C’est à dire que ma main caresse et branle tout doucement la pine de Georges pendant qu’il laisse ses doigts courir sur mes seins et ma fente déjà bien humide. Il ne nous faut pas longtemps pour voir arriver les deux mecs que nous venons de croiser, l’un pas mal, l’autre correct sans plus. Ils savent bien que nous sommes là pour les exciter mais comment savoir si nous voudrions aller un peu plus loin?

— Caresse moi le clito, chéri, fais moi jouir, j’en ai envie et je voudrais bien les chauffer un peu. Tu crois qu’ils vont se décider ? Je préfère ne pas voir. Il y a un foulard dans le sac, prends le et bande moi les yeux.

Georges fait ce que je lui demande bien sur ! Pour moi, et il le sait bien, me faire voiler les yeux signifie que je ne veux pas voir ce qui va se passer et que je suis prête à tout accepter. Tout à fait consciente de ma provocation, j’ouvre largement les cuisses et laisse la main de mon chéri écarter mes lèvres pour découvrir mon intimité à nos voyeurs. Ses doigts constatent vite une humidité révélatrice du plaisir que je prends à m’exhiber ainsi. Il doit bien sentir se raidir mon clito qu’il titille doucement en même temps que mes hanches ondulent et que mes doigts serrent mon dard sans plus penser à le branler. Minet se penche sur moi pour mordiller l’une de mes pointes en taquinant l’autre de sa main libre. Nos admirateurs ne doivent pas être déçus, le spectacle va leur plaire. Mon chéri me murmure à l’oreille qu’ils sont entrain de s’astiquer la queue et qu’elles sont de belle taille depuis qu’elles bandent. Comme je ne vois rien, je ne peux qu’imaginer mais je sais bien ce qui va se passer ! Les mecs vont discrètement lui demander, d’un signe, s’ils peuvent participer et il va les y autoriser ! Il adore ça, de me voir me faire monter ! Je crois que l’un d’eux vient s’agenouiller entre mes jambes maintenant largement ouvertes, en tout cas, je sens une main se poser sur ma cuisse. Je dois bien constater que c’est une nouvelle main qui me touche puisque les deux de Georges sont déjà occupées sur moi, mais je ne bronche pas. Prenant bien sur cette absence de réaction pour un accord, la main remonte vers ma fourche, se pose au bord de ma fente et vient remplacer celle de mon chéri: le salaud lui cède facilement la place. Il est là pour m’offrir, pas pour consommer lui-même et c’est vrai qu’il va jouir rien que de me voir baiser.

Le type doit être attiré par l’odeur de femelle en rut qui se dégage de mon coquillage car je sens tout à coup ses lèvres qui viennent butiner l’intérieur de ma cuisse, remontent vers ma toison où elles remplacent vite sa main. Ça y est, il est en train de me sucer ! Je ne sais pas lequel des deux s’occupe de moi puisque j’ai les yeux bandés mais j’apprécie beaucoup et crispe ma main sur la bite de mon chéri pour lui faire partager mes sensations. Je sais que je vais me donner sans retenue aussi quand le second spectateurs vient s’agenouiller à mes côtés et s’empare de ma main libre pour la porter sur sa bite, c’est sans hésiter que je la referme sur elle. Soucieux de mes réactions, mon chéri remonte un peu le long de mon corps pour venir auprès de moi et me murmurer:

— Tu es bien ? Il te suce comme tu aimes ?

— Bof, j’ai eu mieux ! Laisse le faire, il me chauffe, c’est pas mauvais. Et j’ai une belle bite en main. Tu crois qu’ils vont me violer ?

— N’exagérons rien !Ils espèrent bien te la mettre tous les deux ! Et aussi quelques autres qui passeront par là. Tiens en voilà justement un de plus qui arrive.

— Chéri, j’ai vraiment envie de me faire mettre, tu veux bien, dis ? Tu les laisseras faire et tu ne m’en voudras pas de faire la salope ?

— Mon petit amour, tu sais bien que tu es là pour te donner. Tu es belle quand tu jouis, tu sais que j’adore, vas-y.

— Laisse moi bien partir sous sa minette. Après ils pourront m’avoir s’ils le veulent. Je sens que je vais être une vraie pute à l’abattage, je crois que je vais me laisser faire par tous ceux qui passeront sans même les regarder. Surveille quand même et dis moi s’il n’y en a pas trop ! Oh, ce qu’il me fait du bien ! Il me mordille le clito.

— Qu’est ce que je dois surveiller ? Ce qu’ils te feront ou ceux qui te le feront ?

— Ne sois pas idiot, les deux ! Je ne veux pas me faire baiser par un type dégueulasse. S’il ne te plait pas, vire le !

— Et s’il me plaisent, qu’est ce qui leur est permis ?

— Chéri, ne me force pas à te le dire, tout ça veut dire tout ! Tu peux tout leur offrir, je suis ta petite pute qui t’aime, je ferai tout ce que tu voudras !

— Même ton cul ?

— Oui, même s’ils veulent m’enculer, là, tu es content ? Fais quand même gaffe qu’ils m’aient préparée avant et qu’ils mettent des capotes ! Oh, laisse moi jouir.je suis bien.

— Et si une bite approche de ta bouche ?

— Impossible, tu me donneras la tienne à sucer..ah, il va me finir.je sens que ça vient.

— Si tu te laisses faire par pas mal de mecs, je ne tiendrai jamais assez longtemps !

— Tais-toi, salaud, je vais jouir.c’est bon.oui.c’est ça.bouffe moi bien profond.Tant pis pour toi si tu ne tiens pas, je serai obligée d’en bouffer d’autres à ta place.oh! qu’est ce que vous me faites dire.je suis une vraie chienne.je viens.Ahh.Oui.

Je jouis trop fort et dois lâcher la bite que j’essayais de branler, je repousse fermement la tête qui me ventouse encore la chatte pour retomber inerte, cuisses toujours ouvertes. J’entend mon suceur demander doucement à Georges:

— On peut la prendre ?

— Bien sur mais pas comme ça. Attend !

Il sait bien ce qui me plait dans ce genre de situation pour m’y avoir souvent admirée. Il doit s’asseoir devant moi car je le sens me prendre par les épaules pour m’amener à me retourner et attire ma tête sur sa queue. Je comprends bien ce qu’il veut et me met en levrette, enfournant son dard pour un superbe pompier en laissant mon cul à la disposition de mes admirateurs. Mon chéri me dit qu’ils sont maintenant quatre, fascinés par la chiennerie de la superbe femelle que je joue. Il ajoute que mon suceur doit estimer avoir un droit sur moi parce qu’il s’agenouille et approche sa pine de mon entrecuisse offert. Je sens effectivement un gland qui se promène le long de ma raie. Par où va-t-il passer ? Très classiquement par l’orifice qu’il a si bien lubrifié. Me tenant aux hanches, je le sens doucement enfoncer une queue superbe dans ma moule offerte. J’ai l’impression que j’ai tiré le gros lot et je suis en train de prendre un superbe calibre dans mon petit con, il me la met bien à fond, lentement, se retire puis entreprend des va et vient de plus en plus brutaux qui m’obligent chaque fois à avaler la pine de mon mec à gorge profonde. Je sens tout à coup deux mains étirer la pointe de mes seins ballottant librement dans ma position agenouillée. Deux autres mecs ont du venir se coucher à côté de moi. Dommage que je sois obligée de m’appuyer sur mes coudes, ce qui ne me permet pas de me servir de mes mains. La vue d’une chienne en chaleur comme moi en train de se faire saillir par un mec en en pompant un deuxième entre deux autres qui lui caressent les seins doit être sublime: Georges me murmure qu’il y a maintenant pas mal de voyeurs qui se branlent autour de nous. Il en arrive mais aucun ne semble décidé à partir. Je ne vais quand même pas tous me les faire ! Je me doute un peu de l’affluence et j’interrompt mon pompier, pour demander à mon homme:

— Il y en a beaucoup ?

— Pas mal ! Tu fais recette. Tu dois être la seule fille baisable de ce coin de plage.

— Tu vas pas les laisser tous m’enfiler ?

— Tu as bien dit tout ce que je voulais ce soir ? Alors jouis et tais toi. Ne t’inquiète pas, ils sont nombreux mais pas mal du tout ! Je sens que je vais aimer compter les pines qui te mettront par tous les trous. Je veux te voir couverte de foutre. Tu vas les satisfaire tous !

— Salaud, c’est dégueulasse ce que tu me fais faire mais c’est pour toi, je t’adore. Si tu veux que je tienne ne les laisse pas s’éterniser dans mon con, tu sais que ça me fait trop jouir, je partirai trop vite.

Georges doit faire discrètement signe à mon baiseur de sortir pour se vider sur mon dos après avoir retiré sa capote, ce qui ne tarde plus guère et je sens un premier jet de foutre gicler sur ma peau: depuis qu’il n’est plus possible de les sentir au fond de mon con, je me contente de ça, mais c’est bien triste ! Dès que le premier se retire, un autre mec se présente pendant que je reprend en bouche le gland de mon chéri. Ce deuxième assaut commence mal: le calibre me paraît bien modeste comparé au précédent. En bonne pute appliquée à satisfaire son client, je donne quelques coups de reins rageurs pour le faire partir plus vite, ce qui produit bien l’effet recherché et me vaut une nouvelle giclée sur le dos, assez modeste cette fois.

Le gars qui s’approche à présent est superbe, du moins d’après ce que me dit mon chéri, avec une bite longue et mince qui va pouvoir me fouiller profondément. Je le sens m’enconner doucement et commencer à la limer bien à fond. Pas désagréable pour moi et, du coup, j’accélère le mouvement de mes lèvres sur la tige de Minet ! Sachant que je ne peux pas le voir, le gars essaye au moins de me renseigner sur ses intentions en s’adressant à mon chéri :

— Elle est bonne ! Elle fait tout ?

— Tout ce que tu voudras, oui, tu peux y aller pourvu que tu la fasse jouir !

— Même par derrière ?

— Même par derrière mais il faudrait un peu la préparer. Chérie, notre ami veut ton cul, tu vas le lui donner.

— Hon.Hon.

Même s’il m’est difficile de parler la bouche pleine, il doit savoir que ça veut dire oui. Mon bel amant à l’air de savoir y faire. En poursuivant son baisage, je sens sa main passer sous mon ventre, venir recueillir un peu de mouille qui doit couler en abondance et glisser ensuite le pouce et l’index entre mes fesses. Le pouce titille doucement mon oillet et je sens qu’il s’y glisse: c’est bon et je le montre en ondulant de la croupe comme une chienne. Un moment après la main se retire et vient cueillir un peu plus de mouille pour s’insinuer à nouveau dans mon cul qui, je le sais, doit commencer à s’ouvrir. Me jugeant à point, il se retire de mon minou et promène son gland sur toute la longueur de ma raie. Les spectateurs doivent en baver d’excitation et se branler comme des fous. Ils n’ont qu’à jouir, ça sera toujours ça en moins pour mes trous ! Je ne vois pas mais j’entends les commentaires:

— Putain, il va l’enculer.regarde elle est superbe.

— Quelle chienne, elle a le feu au cul ! Il va le lui faire passer.

— Vas-y, encule la à fond, elle à l’air d’aimer ça.

Oui, elle aime ça ! J’apprécie la bite qui, petit à petit, force mon ouverture étroite. Toute occupée à tendre mes fesses, je lâche le gland de Minet et gémis comme une salope en rut.

— Ah ! chéri.j’aime sa bite dans mon cul.il me la met complètement.je sens ses couilles sur mes cuisses.ah ! ce qu’il me fait du bien.

Une fois bien emmanché, mon amant y va franchement, ayant bien compris qu’il n’est pas le premier à passer par là et que sa cavalière en redemande.

— Il y a de la place pour un autre. Elle aime la double pénétration ?

— Je te dis que ce soir, elle aime tout !

— Prends la en même temps, ce sera meilleur pour tous.

— Non, pas moi, je l’offre mais je ne veux pas la prendre moi-même. Je préfère que vous vous la fassiez. Il y a bien quelqu’un qui sera intéressé ?

Il aurait plutôt du dire quelques uns. Ils ont l’air de se bousculer autour de moi pour garnir ma minette. Ces cons ne vont pas se battre pour m’avoir ! C’est un type surement bien bâti qui écarte les autres et se glisse sous moi, écartant du même coup mon chéri et interrompant mon enculage. Mon enculeur, provisoirement sans emploi, me guide doucement pour amener ma fente sur le dard dressé du type qui va me servir de matelas. A genoux, les cuisses bien écartées, je me laisse lentement descendre sur le pieu qui m’empale et remue pour le loger au plus profond de ma chatte: calibre intéressant, mais sans plus !

— Chéri, c’est dingue ce que tu me fais faire. Ah, je suis mise bien à fond, c’est bon tu sais, je sens que je vais jouir.oh! on m’encule ! oui.leurs deux bites en moi.je les sens.elles me remplissent bien.j’aime.foutez-moi fort.

Je m’interromps brutalement parce qu’un troisième larron, profitant du retrait de mon chéri, est venu s’agenouiller devant moi et, par dessus la tête de mon baiseur, vient de me foutre son gland dans la bouche. Je ne vais pas le refuser, bien au contraire. Le spectacle doit devenir sublime. Pour l’avoir vu et vécu des tas de fois, je peux parfaitement l’imaginer, même les yeux bandés. Possédée par tous mes orifices, je me tords comme une chienne et me déchaîne sous les assauts de mes amants. D’après ce que m’avais dit mon chéri du nombre de voyeurs, il doit y en avoir six ou sept qui se branlent en me regardant. Je rugis de plaisir malgré la pine qui force ma bouche, je me donne totalement et suis totalement possédée. Hélas, mon enculeur ne peut plus tenir le rythme et s’arcboute pour se répandre dans sa capote, tout au fond de mon conduit. Je le sens vaguement partir et m’indigne quand il se retire.

— Ah, le con, il a tout laché ! J’ai pas joui, moi !

— Tu en veux un autre ?

— Putain, je veux jouir, je veux qu’on m’encule, je veux qu’on me mette de partout !

— Puisque tu le veux, tu vas avoir ce qu’il te faut !

Comme je le connais, mon chéri a du faire signe au mec qui a la plus belle queue de tous ceux qui sont là, bien épaisse de préférence. Je vais la sentir passer. Il se met en position et présente son gland sur mon oeillet. Il n’y a plus guère besoin de lubrification et mon cul reste encore ouvert. Je suis pourtant surprise du calibre qui m’enfile. Mon chéri a du donner mon cul à celui qui était monté comme un âne ! Je suis pourtant bien obligée de le subir en me trémoussant sur la bite qui m’enconne. Quand il me l’a mise complètement, je cherche à nouveau la bite que je suçais et me déchaîne totalement en grognant mon plaisir faute de pouvoir le crier.

Les meilleures choses ont une fin et dans un dernier râle j’explose et désarçonne mes cavaliers qui me paraissent s’être tous vidés dans moi, ou plus exactement, hélas, dans leur capote. Je m’écroule sur le dos, épuisée, sur la serviette en gémissant

— Assez, je n’en peux plus ! Laissez moi me reposer, j’ai trop joui, je ne peux pas continuer. Pitié, chéri, ne me force pas à en supporter d’autres.

Mon chéri sait bien que cette déclaration fait partie de mon petit cinéma mais il doit aussi comprendre que je suis réellement crevée pour le moment. Je n’ai plus vingt ans et il n’est pas questions de les laisser continuer. Me retirant mon foulard qui me voilait les yeux, Minet écarte donc ceux qui estiment n’avoir pas eu leur tour et me prend tendrement dans ses bras pour me bercer pendant quelques minutes. Le nombreux public, uniquement masculin, qui s’est rassemblé autour de moi pendant que je me faisais mettre, n’a pas l’air de vouloir partir. Ils espèrent peut-être que mon mec va à nouveau me livrer à eux ! Non, il n’en est plus question, j’en ai assez pour cet après-midi et il le sait bien. Je joue peut-être la pute à l’abattage mais je n’en suis quand même pas là ! Un moment plus tard, j’émerge de ma torpeur et lui murmure que j’aurai bien besoin d’un bain. C’est d’ailleurs bien évident à voir mon dos enfoutré, ma chatte dégoulinante et mon cul ouvert. Nous ramassons donc nos affaires et partons dignement vers la plage où je pourrai faire une toilette bien nécessaire. Au passage, nous passons à proximité de deux couples qui s’amusent ensemble et sourient gentiment en voyant luire mon dos et mes cuisses.

Baignée, reposée et toute alanguie, je demande à Georges si ça lui a plu de me voir jouer la victime dominée.

— Tu pense qu’ils ont réellement cru que tu allais me forcer à les satisfaire tous ?

— Pourquoi ? Tu ne l’as pas cru, toi ?

— Bien sur que non ! Je savais que tu arrêterai quand je te le dirai. Seulement, je ne savais pas que j’aurai envie de te le dire aussi vite. Il fallait quand même qu’ils soient cons pour penser que j’allais me faire monter par tous ceux qui passaient par là. Mais qu’est ce que j’ai joui en sandwich, c’était vraiment géant, surtout avec le deuxième qui me remplissait complètement ! Le faire en plein air et devant tant de mecs m’excitait peut-être plus que d’habitude. Je me suis vraiment donnée à fond et je n’ai pas pu résister. En tout cas, j’ai explosé, je n’en pouvais plus, j’étais comblée !

— Tu as été superbe. Ils n’ont pas du avoir souvent l’occasion de voir une salope en chaleur comme toi !

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