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Police polissonne – Chapitre 41

Police polissonne - Chapitre 41



Après une bonne et douce nuit, Sonia se réveille. Chloé est déjà partie travailler en laissant sur la table de la cuisine une poche en papier avec des pains au chocolat « Comme ils disent dans le Nord ! » Juste à côté, un petit mot où elle lui souhaite de passer une belle journée, et de bien travailler. Elle déjeune nue avec son petit câlin matinal, puis elle se douche. En se regardant dans la glace, elle a la bonne surprise de découvrir que les traces de sa folle soirée de Noël ont totalement disparu. Elle décide de travailler son code pendant toute la matinée, puis d’aller comme prévu chez l’homme d’en face un peu avant midi.

Onze heures trente, elle enfile sa robe argentée, se regarde dans la glace de la salle de bains, et constate avec satisfaction qu’elle est vraiment canon. Elle est certaine qu’elle va arriver à ses fins avec le vieil homme. Onze heures quarante-cinq, elle dévale les escaliers ; onze heures quarante-huit, elle sonne chez l’homme. Lui, l’attend depuis ce matin. Il a pris le temps de se préparer. Comme à son habitude, il s’est soigneusement épilé sous les aisselles ainsi que le sexe et les bourses, puis tondu le torse ; il aime ses poils blancs, mais courts. Pour finir, il s’est douché, rasé de près avec son éternel rasoir Gilette 4 lames, frictionné avec un baume après-rasage et enfin parfumé avec son Pure Xs Night à l’odeur discrète. Il a attendu toute la matinée, fébrile et excité à la fois ; depuis tout ce temps où il est seul. Tout à coup, il se sent revivre, il est nu derrière sa porte, son cur bat la chamade ; il ouvre.

Sonia est là, radieuse dans sa robe fendue jusqu’à la taille et les seins libres sous le large décolleté. Devant la beauté de son hôte, il arrive à peine à déglutir sa salive, son sexe se dresse. Sonia entre ; il referme la porte derrière elle.

Elle lui saute au cou, l’embrasse à pleine bouche ; sa salive a un goût de menthe. Elle se plaque contre lui et sent sa verge rouler contre son pubis. Lui, respire la douce odeur d’un parfum si délicat, il tient entre ses bras ce corps qu’il trouve si beau, si ferme. Il respire fort, elle aussi.

Faites-moi l’amour, lui annonce-t-elle.

Mais tu pourrais être ma petite fille…

Justement, il paraît que les hommes mûrs font l’amour mieux que personne.

Oh, tu sais, je n’ai plus vingt ans.

M’en fous, lui dit-elle en le poussant sur le canapé.

Dans la hâte, elle ôte sa robe ; il se lève et l’entraîne dans sa chambre. Pour cet homme, c’est comme un renouveau, il sent sa jeunesse resurgir ; et sa fougue d’antan est bien là. De la belle, il en fait sa poupée, il la caresse avec délicatesse, explore chaque partie de son corps avec soin. Il le fait comme avant, au temps où ils étaient deux ; où l’Amour était là. Elle ferme les yeux et se laisse aller, emportée, envoûtée par cet homme qui joue avec ses anneaux tout neufs, avec son clito décoré et sensible. Quand il la pénètre, c’est encore dans la douceur et la lenteur ; c’est comme s’il voulait ajuster une pièce fragile. Il ne la baise pas, il lui fait l’amour avec respect et délicatesse, il entre et ressort doucement ; il observe les réactions de Sonia. Il ajuste le rythme, la position de son membre dans l’antre lubrifié ; il touche le point G, s’en va et revient dessus.

Sonia se cambre, elle respire fort, son rythme cardiaque s’accélère ; il sent qu’elle va arriver dans peu de temps ; c’est un expert. Il accélère et lui donne le coup de grâce en éjaculant de fortes giclées en elle. Pour elle, c’est une tornade de plaisir qui l’envahit en la laissant inerte un instant ; elle se plonge dans un nuage de coton. Les doigts de l’homme ne peuvent s’empêcher de caresser ce corps si beau, si doux qui lui rappelle bien des moments.

Eh bien, Sonia, tu es d’une vivacité impressionnante ; je ne m’attendais pas à autant de fougue.

Vous n’avez pas aimé ?

Oh que si ! Tu viens de réveiller en moi une ardeur que je croyais disparue. Je t’en remercie, et je dois dire que depuis hier soir, je me languissais de vivre ce moment. Prenons l’apéritif, une coupe de champagne me semble tout à propos.

Vous avez raison, je reste nue ?

Non, car je n’ai pas eu le temps d’apprécier la magnifique robe que tu portais.

Elle remet sa robe, joue les mannequins en offrant à l’homme un magnifique défilé en prenant des poses suggestives et érotiques ; l’homme dont l’ardeur était descendue remonte, il bande de nouveau. Il n’a d’yeux que pour le décolleté et l’échancrure de la robe, Sonia s’en amuse. Ils trinquent, discutent, elle lui pose des milliers de questions ; ils passent à table.

Pour le repas, il a prévu des cailles entièrement désossées et farcies avec une préparation de son invention ; le met est excellant. Sonia se régale et la conversation va bon train. Petit à petit, chacun se confie et l’ambiance est cordiale ; Sonia se sent bien, si bien qu’elle pose une question indiscrète.

Dites-moi, bon je sais que cela ne se fait pas, mais pardonnez ma curiosité ; quel âge avez-vous ?

Pourquoi cette question, si c’est pour savoir où en est ton tableau de chasse, je ne répondrais pas.

Non pas du tout…, j’ai été maladroite et je vous prie de m’excuser.

Alors, si c’est pour savoir si le papy tient encore le coup, je te dirai que j’ai soixante-quatre ans ; ça te va ?

Et tant qu’à m’enfoncer encore plus ; vous avez eu beaucoup d’aventures ?

Oh, tu sais mon petit ; je pense avoir été le plus grand baiseur que la terre n’ait jamais porté. Et toi petite indiscrète, je suis certain que tu n’es pas encore sortie de l’adolescence.

Si Monsieur, j’ai vingt et un ans, rétorque-t-elle un peu vexée.

C’est bien ce que je disais, sache que selon de très sérieuses études ; que l’adolescence peut aller jusqu’à vingt-cinq ans.

Vous n’avez jamais pensé à écrire et à partager vos aventures avec d’autres ?

Si bien sûr, j’écris sur un site, oh…, ce n’est pas bien glorifiant, mais ça amuse les lecteurs.

Ah oui, et c’est quoi comme site, j’aimerais bien y faire un tour.

Si cela peut te faire plaisir, je te montre après manger ?

C’est d’accord, pardonnez-moi, mais je suis de nature curieuse.

Je vois, j’ai l’impression d’avoir affaire à la police ; mais un peu spéciale, car je ne pense pas que les interrogatoires commencent par une belle partie de…

De cul, vous voulez dire ? J’en connais une que si…

Humm… Je crois que c’est plutôt un fantasme.

Au fait, vous connaissez votre voisine d’en face ?

De vue oui… Ce n’est pas bien, mais j’aime la regarder quand elle est nue : elle me fait de l’effet. Mais hier soir, vous m’avez complètement retourné.

Ah oui ! Et si je lui demandais de venir ce soir, on pourrait s’amuser tous les trois ?

Tu veux ma mort, mais je prends le risque ; et puis ce serait une belle mort tu ne crois pas ?

Vous êtes fou, alors pas question.

Mais si, venez toutes les deux ; je vais vous cuisiner un plat qui nous fera tenir toute la nuit.

Bon, alors c’est d’accord.

Le repas terminé, l’homme se lève, débarrasse les couverts, puis se dirige vers le petit bahut où est posé son ordinateur portable, le prend et le dépose délicatement sur la table de la salle à manger, le branche et ouvre le couvercle. Pendant ce temps, Sonia en profite pour envoyer discrètement un SMS à Chloé qui lui répond instantanément.

[SMS]

>Coucou Chloé, c’est bon pour ce soir.

<Super ! On fait comment ?

>Tu viens pour l’apéro, prends du champ et des trucs à grignoter et surtout prépare tes fesses ; il est super bon le Papy ! )

< OK, je mets quoi et c’est où ?

>Tenue sexy, ou carrément à poil ; c’est comme tu veux ! Il est au quatrième, porte de droite.

<OK, Super, j’ai hâte J

Le PC démarre. L’homme clique sur un raccourci et la page s’ouvre. Sonia découvre que le site est le même que celui où Chloé sévit ; en haut et à droite, elle voit l’avatar : une femme nue sur une plage avec un coucher de soleil en fond, et juste à côté son pseudo : « Pikatchu »

Tu vois, ce n’est pas plus simple que ça, une image, un pseudo et des histoires ; pour se prendre pour un grand écrivain, mais juste l’espace d’un instant en faisant rêver les lecteurs.

Eh bien, et vous en parlez comme ça sans gêne ?

Non parce que cela m’amuse beaucoup de faire fantasmer les lecteurs en y cachant des moments de vérité, des souvenirs et même des choses que j’aurais aimé faire. Et puis s’imaginer que de petits jeunes se secouent la queue, ou des jeunettes comme toi, cachés derrière leur écran se caressent jusqu’à en mouiller leur culotte (s’il y en a une) ; m’amuse beaucoup. Essaie, tu verras ; promis si tu mouilles, j’irai boire ton jus avec plaisir. Mais ce qui me plaît le plus, c’est écrire ; tout simplement.

Humm… Monsieur est gourmand ! On fait un test ?

Je pense qu’il serait plus sage d’attendre ce soir… Je n’ai plus vingt ans, mais si tu veux lire, profites-en ; je vais préparer le repas de ce soir.

Non, mais je veux bien vous accompagner pour discuter.

Comme tu veux.

Quitte sa robe et le suit dans la cuisine, s’installe le dos à la fenêtre sur un tabouret haut. Puis il la complimente sur ses bijoux corporels :

Tu as bon goût, ces bijoux sont magnifiques ; surtout celui-là, dit-il en désignant le piercing nombril qu’elle porte avec fierté. Le cadeau de ton petit ami ?

Non pas vraiment, c’est… ce qui me reste de ma mère, dit-elle.

Son visage se ferme et Pat ressent le mal-être de la jeune femme.

Excuse-moi, je ne voulais pas te faire de peine ; mais si tu as besoin d’en parler, tu peux te confier. Tu sais, moi aussi j’ai eu des moments difficiles dans la vie, et le fait d’en parler fait du bien ; installons-nous sur le canapé, et je vais te faire goûter un petit truc que va te faire du bien.

Je ne voudrais pas vous ennuyer avec mes histoires.

Ne fais pas l’enfant, viens.

Il l’installe sur le canapé et lui sert une petite liqueur qu’il a rapportée d’un voyage en Provence : de l’Amandine et pour lui de la Farigoules : deux liqueurs au goût puissant, l’une faite avec des amandes et l’autre une sorte de thym sauvage. Elle prend une petite gorgée de ce précieux breuvage. Mise en confiance et la tête dans le creux de l’épaule de Pat, elle se confie. Il l’écoute en lui caressant tendrement le bras, le côté de sa hanche et de sa fesse. À l’entendre, il se rend compte que cette jeune femme trois fois plus jeune que lui a beaucoup souffert, et le fait qu’elle se confie le touche beaucoup. Mais ce sont les deux coups de sonnette à la porte d’entrée qui mettent fin aux confidences de Sonia.

Ah, qui peut venir à cette heure tardive ? Encore ces démarcheurs, maugréé Pat.

Ou une visite surprise, ajoute Sonia dont le coup de mou a brutalement disparu.

Une visite ? interroge Pat.

C’est un vieux briscard et en regardant Sonia, il sait qu’elle n’est pas innocente à l’affaire.

Alors ouvrez, c’est peut-être le Père Noël…

Humm. Toi tu es en train de me faire une blague.

Peut-être… reprend-elle en riant.

Il se dirige vers la porte d’entrée, regarde par le judas, mais ne voit que du rouge ; intrigué, il déverrouille la porte et l’entrouvre. Il découvre une jeune femme pétillante déguisée en Mère Noël ultra-sexy qui s’exclame :

Joyeux Noël ! Sonia est là ? demande-t-elle.

Euh oui, entrez, car vous allez prendre froid ainsi vêtue.

Effectivement, son costume rouge blanc avec : l’ultra-minijupe, le soutien-gorge et le bonnet ne risquent pas de lui tenir chaud.

Moi, c’est Chloé, bonsoir, et j’ai envie de jouer avec vous, car je vois que vous êtes déjà en tenue…

Nous discutions sérieusement, intervient Sonia.

À poil ? Mais tu me prends pour une gourde. Bon, j’ai apporté quelques restes du resto et à boire. Demain, je ne travaille pas et j’ai aussi envie de fêter Noël ; vous voulez bien de moi ?

Ah, Chloé toujours aussi coquine ! Pat, vous ne connaissez pas Chloé ?

Juste de vue, je me plais à l’espionner et elle me le rend bien ; vous êtes très jolie et très…

Coquine, et vous la connaissez plus que ça.

Ah bon ?

Pat, je vous présente Chloé23 et toi je te présente Pikatchu, alors elle n’est pas bonne la fliquette ?

Sonia, tu m’avais promis de ne rien dire ; c’est déconné.

Je n’ai rien dit, j’ai juste fait les présentations ; c’est tout.

Eh bien, si je m’attendais à ça, s’étonne Pat.

Surpris ?

Un peu, mais ravi, dit Pat avec aplomb. Nous allons fêter dignement cette rencontre, qu’en pensez-vous ?

Les deux filles acquiescent, Chloé s’installe à côté de Sonia sur le canapé. Pat sort des flûtes à champagne, ils disposent les amuse-gueules rapportés par Chloé et font le service. Quand il s’installe, son regard est immédiatement attiré pas la vulve nue sous la minijupe de Chloé. Entre Sonia totalement nue et sa copine à peine vêtue, son appétit sexuel se réveille, son esprit s’échauffe, sa jeunesse revient ; son sexe se redresse et il bande comme jamais. Lui qui pensait ne plus jamais tomber sur si belle occasion, il a du mal à réaliser que cela puisse encore lui arriver. Mais quand les deux filles commencent à se toucher le bout de la langue avec sensualité, il est bien obligé d’admettre que ce qu’il vit n’est pas une fiction ; pour lui, c’est Noël !

Les deux coquines sont bien conscientes que pour cet homme, la fête ne fait que commencer, car elles ont bien l’intention de vérifier si un « Vieux » surpasse un jeune coq inexpérimenté. L’inverse est aussi vrai, car il se doute bien que si elles sont là, c’est bien pour vérifier cette théorie. Prudent, il décide de se lever et d’aller finir de préparer le plat à base de gingembre et autres plantes aphrodisiaques qui vont lui permettre de satisfaire ses deux invitées. Pendant qu’il termine la préparation du plat, même si les deux filles n’ont pas l’intention de vérifier s’il est capable de leur offrir le must de l’amour ; elles s’organisent pour lui offrir un feu d’artifice de plaisir.

À son retour dans le salon, il a le plaisir de découvrir Chloé entièrement nue. La tête entre les jambes de Sonia avec la croupe bien en évidence, juste à bonne hauteur, en bonne position comme pour inviter l’homme à venir goûter sa vulve déjà bien humide. Il ne fait pas que de la goûter, il y enfonce deux doigts ; mais la tentation est trop grande. D’un coup sec, il lui enfile sa bite et la lime avec vigueur. À entendre les gémissements, les ondulations de la croupe toute bronzée de la belle coquine, il redouble d’efforts et finit par lui arracher des cris de bonheur étouffés par les bruits de succion qu’elle pratique à Sonia.

Ah la vache ! Mais dis donc Chloé, tu as joui comme une folle.

Mais il est formidable, attendez ; je vais vous remercier, dit-elle en s’agenouillant devant lui et en embouchant son membre encore dégoulinant de la cyprine de Chloé.

Cette entrée en matière a mis Sonia dans tous ses états, alors en attendant son tour, elle se masturbe, joue avec son capuchon décoré de l’anneau et aussi avec ceux de ses mamelons. Pat se réjouit de la situation et se laisse gentiment faire, son plaisir est grand ; mais il préfère interrompre la séance. Il sait aussi que s’il arrive au plaisir maintenant, la soirée sera terminée pour lui ; il repousse gentiment Chloé et s’assoit dans son fauteuil face à elles.

Une musique de fond, et la soirée se poursuit, les discussions uniquement basées sur le sexe vont bon train, tout comme les coupes de champagne qui défilent aussi vite que les amuse-gueules disparaissent. Les deux filles s’amusent à le provoquer en prenant des poses aguicheuses, parfois sensuelles ou provocantes. Inconsciemment, elles le revoient à son passé et ce temps où tout lui était permis, guitariste dans un groupe de rock totalement inconnu, mais qui déchaînait les foules dans les concerts précurseurs des rave partys en plein air. Il déshabillait les filles sur des basses percutantes, où réduisant à l’état de zombie tous ceux collaient de trop près leurs oreilles aux enceintes et ces fins de concert. Lorsque le groupe se retrouvait au bar entouré de filles toutes plus folles les unes que les autres, elles imploraient presque de leur faire l’amour en transformant les champs en un véritable baisodrome.

Les deux pépettes qui se jouent de lui en l’aguichant de plus en plus, sont loin de se douter de ce qu’il leur réserve.

Ils se lèvent, dressent le couvert et les invites à prendre place. Le plat qu’il leur propose ressemble fort à une salade, mais il garde le secret de sa composition malgré toutes les interrogations des filles. Certains aliments sont doux et d’autres très forts. Le vin est bon, l’ambiance toujours excellente et chacun se félicite de passer un si beau soir de Noël en tenue d’Adam et Ève. Puis ils prennent le dessert au salon, une forêt noire accompagnée de champagne. Les effets du gingembre et des autres plantes aphrodisiaques commencent à se faire sentir, les corps se réchauffent, l’appétit sexuel apparaît sournoisement.

Les filles invitent Pat à les rejoindre entre elles deux sur le canapé ; impossible pour lui de refuser, et c’est donc avec un immense plaisir qu’il prend place : Sonia à droite et Chloé à gauche. C’est alors que quatre mains s’occupent de tout son corps, deux sur son service trois-pièces et les deux autres sur le reste de son corps, mais la position est assez inconfortable ; il leur propose de continuer dans un endroit plus confortable. C’est sur son grand lit qu’ils continuent leurs ébats, ainsi il peut se laisser faire et même toucher ces vulves encore si jeunes et si fraîches. Palper ces poitrines, boire le jus de chacune en leur caressant les fesses et en les doigtant ; lorsqu’il suce l’une, l’autre lui taille une pipe. Quand l’une est couchée, et lui tel un animal tenant sa proie, lui dévorant les seins ; l’autre le bouffe les couilles. Quand elles se gouinent, lui les regarde en se masturbant, juste histoire de maintenir la forme ; puis arrive le moment de conclure.

Il y dépense toute son énergie pour faire monter les deux jeunes pouliches au septième ciel ; il donne tout pour les faire glousser de plaisir. C’est à grands coups de reins qu’il les entraîne au paradis du plaisir en leur arrachant des gémissements et toutes sortes de petits cris de jouissance.

Un dernier verre, un dernier baiser et le plaisir de voir les deux filles traverser la rue, entièrement nues puis regarder le spectacle des deux nymphettes se lécher la moule encore une fois avant d’éteindre les lumières.

Heureux de cette magnifique soirée, il se couche avec de jolies pensées qui meubleront sa nuit.

[À suivre]

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